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➢ RAKOTONOMENJANAHARY Richard.

N° : 9ISST19-757FGCI/GEI

➢ RANDRIANARY Gillia. N° : 9ISST19-641FGCI/GEI

Parcours / Niveau : Génie Electronique Informatique / L3

TOXICOMANIE

A l'origine la Toxicomanie est un terme qui vient du grec toxikon, « poison » et mania,
« folie » et qui signifie que quelqu'un use de manière répétée et excessive d'une ou plusieurs
substances toxiques (analgésique, stimulants et autres psychotropes) sans justification
thérapeutique. Les usages évoluent vers un besoin incontrôlable de continuer à consommer le
produit, accompagné d'accoutumance puis de dépendance. La toxicomanie représente donc une
aliénation, une certaine privation de liberté puisque le toxicomane est profondément dépendant
de sa drogue. L'OMS préfère même au terme de "toxicomanie", celui de
"pharmacodépendance". Pour cela la question se pose « quels sont les véritables problèmes sur
les jeunes et les adultes dans la société de la toxicomanie en global ? ». Pour répondre à cette
question allons-nous voir premièrement, quelles sont les différents types des drogues,
deuxièmement quelles sont les facteurs favorisants de la toxicomanie ou les causes ; ensuite les
conséquences de la toxicomanie ; enfin la solution.

Premièrement, Les drogues sous contrôle international comprennent les stimulants de


type amphétamine, le coca/la cocaïne, le cannabis, les hallucinogènes, les opiacés et les sédatifs
hypnotiques. La cocaïne est un alcaloïde tropanique extrait de la feuille de coca. Célèbre
psychotrope, elle est un très puissant stimulant du système nerveux central, et sa consommation
est extrêmement addictive. Elle constitue également un vasoconstricteur périphérique. Le
cannabis qui se présente sous forme de fleurs, de feuilles, de résine ou d'huile est connu dans le
langage populaire sous des dizaines de surnoms plus ou moins imagés comme : le cannabis
récréatif en général : cannabis, chanvre récréatif, chanvre indien ; les fleurs : marijuana, weed,
ganja, beuh, pot, zamal. L'héroïne est une drogue addictive aux propriétés antidouleur, obtenue
à partir de la morphine, substance que l'on trouve à l'état naturel, le pavot à opium d'Asie. La
MDMA, communément appelée ecstasy, est une drogue de synthèse, c'est-à-dire qu'elle est
composée de molécules chimiques produites dans des laboratoires clandestins. La MDMA est
une substance dérivée des amphétamines. Le GHB (gamma-hydroxybutyrate) est une
substance présente naturellement dans votre organisme. Il agit à titre de dépresseur, ralentissant
et calmant l'activité de votre système nerveux. Au Canada, les médecins peuvent prescrire du
GHB pour le traitement de la narcolepsie (un trouble du sommeil grave).
Deuxièmement, Les facteurs de risque liés aux problèmes d’abus d’alcool et de drogues
chez les jeunes comprennent les suivants :la présence de problèmes d’abus d’alcool et de
drogues dans la famille ; de mauvais résultats à l’école ; la pauvreté, les conflits et les
perturbations au sein de la famille ainsi que le stress ; le fait d’avoir des amis qui prennent de
l’alcool ou des drogues ; avoir de la difficulté à s’intégrer ou être exclu d’un groupe en raison
de sa race, de son ethnicité, de son sexe, de son âge, de son orientation sexuelle, de ses capacités
ou d’autres facteurs ; avoir subi de la violence psychologique, physique ou sexuelle ; avoir fait
l’objet de discrimination ou d’oppression.

Troisièmement, L'alcool et les drogues peuvent avoir des effets négatifs sur tous les
aspects de la vie de la personne qui en consomme, entre autres : blessures dues aux facultés
affaiblies. Angoisse, irritabilité ou dépression. Difficulté à réfléchir. Des risques sanitaires sont
associés à la consommation de drogues illicites : dépression respiratoire, intoxication,
contamination, surdose, vulnérabilité psychique ou physique... Parmi les conséquences néfastes
qu'entraînent l'usage et l'abus des drogues chez les jeunes, on peut citer la dépendance, les
surdoses, les accidents, les dommages physiques et psychologiques et, parfois, un décès
prématuré.

Enfin, on va voir la lutte contre la toxicomanie. Faire respecter la loi, en particulier


renforcer l'effectivité de l'interdiction de vente aux mineurs de l'alcool, du tabac et des jeux
d'argent. Assurer la sécurité au quotidien dans tous les quartiers et réduire l'offre de produits
stupéfiants. Un sevrage ambulatoire ou hospitalier peut être mis en place mais aussi une
réflexion sur la place que la drogue a pris dans votre vie et les raisons ayant entrainé cette
consommation. Une prise en charge globale est essentielle, la consommation de drogue n'étant
jamais un problème isolé dans la vie d'une personne. Pour réduire de façon efficace l'usage de
drogues, les programmes de prévention en milieu scolaire doivent être ciblés, tenir compte des
résultats de la recherche scientifique, utiliser des méthodes interactives et être centrés sur les
jeunes.

Pour conclure ; On ne dispose à l'heure actuelle d'aucun moyen permettant d'identifier


les personnes qui deviendront dépendantes. La dépendance à la drogue est un trouble d'ordre
médical, et non un manque de volonté ou de force de caractère. La dépendance à la drogue et
les maladies mentales touchent souvent les mêmes personnes. Quelles sont les meilleurs
solution pour que la toxicomanie n’empêche les futur générations ?

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