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Faculté de Médecine de Tunis

Section de Biophysique

Thème 11

LA SENSATION
VISUELLE

2019-2020
OBJECTIFS

1) Etudier les différents types de photométrie.

2) Définir les grandeurs photométriques.

3) Etudier le phénomène de Purkinje.

4) Etudier l’adaptation de l’œil au différent niveau de


luminance.

5) Mesurer l’acuité visuelle d’une personne.


INTRODUCTION A L’OPTIQUE
PHYSIOLOGIQUE

L’optique physiologique a pour objet l’étude du fonctionnement de


la rétine et des voies nerveuses qui lui font suite.
- Photophysique et de la photochimie : conditions et mécanismes
d’absorption de la lumière par les groupes chromophores des
pigments contenus dans les photorécepteurs de la rétine. 
- Electrophysiologie cellulaire élémentaire qui met en évidence les
processus biophysiques qui conduisent de l’absorption de photons à
la genèse de potentiels d’action. 

- Théorie du codage de l’information qui doit élucider comment


l’information visuelle est traitée et transmise, par les voies et
centres nerveux optiques. 
STRUCTURE DE LA RETINE
STRUCTURE DE LA RETINE
TRIVARIANCE VISUELLE

- Intensité : correspond au fait que toute source


lumineuse paraît plus ou moins brillante,
indépendamment de sa couleur.  

- Tonalité ou Teinte : la qualité qui fait qu’une lumière


est perçue colorée.

- Saturation : la qualité qui fait distinguer un rose


d’un rouge par exemple. Une couleur non saturée peut
être considérée comme plus ou moins lavée de blanc.  
LA SENSIBILITE DE L’ŒIL A L’INTENSITE
PHYSIOLOGIQUE DE LA LUMIERE
PHOTOMETRIE VISUELLE :

- L’œil est un récepteur sélectif.


* récepteur sélectif, sensible entre
380 nm (violet) et 780 nm (rouge)
* sensibilité variable le long de cette
bande : étudiée par photométrie
- Nécessité d’étalonner ce
récepteur sélectif.  
- La sensibilité de l’œil est une
grandeur non mesurable.  

- L’œil ne peut que comparer les sensibilités.


LA SENSIBILITE DE L’ŒIL A L’INTENSITE
PHYSIOLOGIQUE DE LA LUMIERE
PHOTOMETRIE HOMOCHROME :
photométrie : établir, pour chaque , la relation entre
le paramètre psycho-visuel : la sensation d’intensité
lumineuse ou luminance visuelle perçue L et le
paramètre physique : l’intensité du stimulus ou
brillance énergétique B.
La luminance est proportionnelle à brillance énergétique

Le dispositif utilisé pour comparer les sensibilité est


dit photomètre. 
LA SENSIBILITE DE L’ŒIL A L’INTENSITE
PHYSIOLOGIQUE DE LA LUMIERE
PHOTOMETRIE HOMOCHROME :

Opaque

Zone éclairée par


les deux sources
S1

S2

Transparent

La fréquence de rotation du disque est comprise entre


6 est 10s-1. 
LA SENSIBILITE DE L’ŒIL A L’INTENSITE
PHYSIOLOGIQUE DE LA LUMIERE
PHOTOMETRIE HOMOCHROME :
La fréquence de rotation du disque est comprise entre
6 est 10s-1. 
disparition du papillotement 

grandeurs et unités photométriques : 


- brillance énergétique de la source B , exprimée
en W.sr-1.m-2. 
- luminance visuelle perçue L , exprimée en
candela.m-2( 1 cd.m-2 = 1 nit).  
LA SENSIBILITE DE L’ŒIL A L’INTENSITE
PHYSIOLOGIQUE DE LA LUMIERE
PHOTOMETRIE HETHEROCHROME (1 ≠ 2) :
1 ≠ 2 et B1 = B2  réapparition du papillotement
disparition du papillotement  
V : coefficient d’efficacité lumineuse

L = K.V.B

K = 663 Lumen.W-1 en vision diurne (6 à 10 nits)


LA SENSIBILITE DE L’ŒIL A L’INTENSITE
PHYSIOLOGIQUE DE LA LUMIERE
PHOTOMETRIE HETHEROCHROME (1 ≠ 2) :
En vision diurne, max = 555nm (verte)
: d’efficacité lumineuse relative

courbe d’efficacité lumineuse en vision diurne :


les réponses individuelles sont très subjectives
de ce fait, le VIième Congrès International de
l ’Eclairage (C.I.E.,1924) a proposé la courbe
d ’un observateur moyen ou observateur de référence
LA SENSIBILITE DE L’ŒIL A L’INTENSITE
PHYSIOLOGIQUE DE LA LUMIERE
PHOTOMETRIE HETHEROCHROME (1 ≠ 2) :

courbe d’efficacité lumineuse en vision diurne :

0,5

0
400 500 600 700 
LA SENSIBILITE DE L’ŒIL A L’INTENSITE
PHYSIOLOGIQUE DE LA LUMIERE
PHENOMENE DE PURKINJE :

vision diurne ou photopique : L > 10 nits :


- courbe d ’efficacité lumineuse dont le maximum est
à 555 nm (vert)
- sensations chromatiques : vision trivariante (cônes)
vision nocturne ou scotopique : L < 10-3 nits :
- courbe d ’efficacité lumineuse dont le maximum est
à 510 nm (limite bleu-vert)
- sensations achromatiques : vision univariante
(bâtonnets)
LA SENSIBILITE DE L’ŒIL A L’INTENSITE
PHYSIOLOGIQUE DE LA LUMIERE
PHENOMENE DE PURKINJE :

0,5

400 510 555 600 700


(nm)
LA SENSIBILITE DE L’ŒIL A L’INTENSITE
PHYSIOLOGIQUE DE LA LUMIERE
PHENOMENE DE PURKINJE :
Vision crépusculaire ou mésopique :10-3 < L < 10nits
domaine intermédiaire, avec sensations chromatiques modifiées
du fait de l ’effet Purkinje (la lumière blanche paraît bleutée)
ADAPTATION AUX NIVEAUX DE
LUMINANCE
ADAPTATION AUX NIVEAUX DE
LUMINANCE
SEUIL ABSOLU D’ADAPTATION:
en passant de la lumière du jour à l ’obscurité, les
performances visuelles baissent
en séjournant à l ’obscurité : les performances visuelles
s’améliorent discrètement et progressivement :
adaptation à l ’obscurité.
- adaptation complète après 20 mn de séjour à
l ’obscurité
- adaptation meilleure en vision latérale (rétine
périphérique : bâtonnets )
ADAPTATION AUX NIVEAUX DE
LUMINANCE
SEUIL ABSOLU D’ADAPTATION:
étudiée en mesurant, en fonction du temps de séjour à l’obscurité,
la valeur de la plus petite luminance perceptible (Log Ls): seuil
absolu = minimum minimorum (lumière blanche).

log Ls

Cassure de HECHT

-3

minimum
-6 minimorum

2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 Temps de séjour à
l ’obscurité (mn)
ADAPTATION AUX NIVEAUX DE
LUMINANCE
SEUIL ABSOLU D’ADAPTATION:
Lumière monochromatique

log Ls

-3

minimum
-6 minimorum

2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 Temps de séjour à
l ’obscurité (mn)
ADAPTATION AUX NIVEAUX DE
LUMINANCE
SEUIL ABSOLU D’ADAPTATION:
Plage étroite (1°) éclairée en lumière blanche

log Ls

Vision fovéale
-3

Vision périphérique
minimum
-6 minimorum

2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 Temps de séjour à
l ’obscurité (mn)
ADAPTATION AUX NIVEAUX DE
LUMINANCE
SEUIL ABSOLU D’ADAPTATION:
Interprétation des résultats
résultats cohérents avec la théorie de la dualité
rétinienne et avec le phénomène de Purkinje.
adaptation rapide des cônes avec un seuil de l’ordre
de 10-3 nit
adaptation plus lente et prograssive des bâtonnets
Lorsque le seuil des cônes est atteint, les
bâtonnets, pour lesquels le seuil est plus bas,
s’adaptent à leur tour.
ACUITE VISUELLE

NOTION DE DIAMÈTRE APPARENT:

B2

B1

α C A
A2 A1
B

2 objets de tailles différentes vus sous le même


diamètre apparent ont des images rétiniennes de même
taille
ACUITE VISUELLE
CONCEPT : l ’AV représente le pouvoir séparateur = le minimum séparable
= la résolution spatiale de l’œil : plus petite distance α séparant 2 objets
ponctuels dont les images rétiniennes sont séparées.

objet image

DÉFINITION : AV= inverse du diamètre apparent du minimum séparable,


exprimé en minutes d’arc (mn d ’arc)
ACUITE VISUELLE
l’AV s’exprime en dixièmes: minimum séparable=1 mn d’arc,AV =10/10 ièmes

sujet normal : AV =10/10 ièmes ou plus (jusqu’à 20/10 ièmes


chez l ’enfant)

anomalies dioptriques et pathologies oculaires font chuter l’AV : mesure de


l ’AV acte de pratique courante

ex : chute de l ’AV en fonction du degré de myopie :

mimimum séparable AV sans correction degré de myopie


20 mn 1/20ième >- 3 D
10 mn 1/10ième - 3 D
5 mn 2/10ième - 2 D
2,5 mn 4/10ième - 1 D
1,66 mn 6/10ième - 0,5 D
1,11 mn 9/10ième - 0,25 D
ACUITE VISUELLE
MESURE DE L’ACUITÉ VISUELLE :
En vision de loin (5m), de près (33cm), en vision
monoculaire, puis binoculaire
Optotypes divers

5 1 1 5
ACUITE VISUELLE

M R T V F U E N C X O Z D10/10
- optotypes : lettres
majuscules dont le détail
D L V A T B K U E R S N 9/10
caractéristique correspond
RCYHOFMESPA 8/10 à une valeur donnée de
l ’AV, sur chaque ligne, à
EXATZHDWN 7/10
une distance de 5 mètres
YO E L K S F D I 6/10
- en pratique : échelle de
OXPHBZD 5/10 Monoyer :
1ère ligne : 1/10ièmes
NLTAVR 4/10 2ième ligne : 2/10ièmes...

OHSUE 3/10

MCF 2/10

ZU 1/10
ACUITE VISUELLE
TEST de PARINAUD (P14 à P1) : Distance de lecture : 33 centimètres
14 4
on pouvait acquérir une connaissance claire et assurée de tout ce
qui est utile à la vie, j’avais un extrême désir de les apprendre.
Mon dessein n ’est Mais, sitôt que j ’eus achevé tout ce cours d ’études autour duquel
on a coutume d ’être reçu au rang des doctes, je changeai
pas d ’enseigner entièrement d ’opinion, car je me trouvais embarrassé de tant de
doutes et d’erreurs qu’il me semblait n’avoir fait aucun profit, en
tâchant de m ’instruire, sinon que j ’avais

10 3
découvert de plus en plus mon ignorance. Et néanmoins j ’étais en l ’une des plus
ici la méthode que chacun doit célèbres écoles de l ’Europe, où je pensais qu’il devait y avoir de savants
hommes, s ’il y en avait en aucun endroit de la terre. J ’y avais appris tout ce que
suivre pour bien conduire sa les autres y apprenaient, et même, ne m ’étant pas contenté des sciences qu’on
nous enseignait , j’avais parcouru tous les livres traitant de celles qu’on estime
raison, mais
les plus curieuses et les plus rares qui avaient pu tomber entre mes mains. Avec
cela je savais les jugements que les autres faisaient de moi, et je ne voyais point
qu ’on m’estimât inférieur

8 2

seulement de faire savoir en quelle sorte à mes condisciples, bien qu’il y en eût entre eux déjà quelques-uns qu’on destinait à remplir les places
de nos maîtres : et enfin notre siècle me semblait aussi fleurissant et aussi fertile en bons esprits qu’ait

j ’ai tâché de conduire la mienne. Ceux


été aucun des précédents. Ce qui me faisait prendre la liberté de juger par moi de tous les autres, et de
penser qu’il n ’y avait aucune doctrine dans le monde qui fût telle qu’on m ’avait auparavant fait espérer.
Je ne laissais pas toutefois d’estimer les exercices auxquels on s ’occupe dans les école. Je savais que
qui se mêlent de donner des préceptes les langues que l ’on y apprend sont nécessaires pour l ’intelligence des livres anciens ; que la
gentillesse des fables réveille l ’esprit ; que les actions mémorables des

se doivent
6 1,5

estimer plus habiles que ceux auxquels ils les


histoires le révèlent, et qu’étant lues avec discrétion elles aident à former le jugement ; que la lecture de tous les bons livres est comme une convention avec les
honnêtes gens des siècles passés qui en ont été les auteurs, et même une conversation étudiée en laquelle ils ne nous découvrent que les meilleurs de leurs
pensées ; que l ’éloquence a des forces et des beautés incomparables: que la poésie a des délicatesses et des douceurs très ravissantes ; que les mathématiques
ont des inventions très subtiles et qui peuvent beaucoup servir tant à contenter les curieux qu’à faciliter tous les arts et diminuer le travail des hommes: que les

donnent, et s ’ils manquent à la moindre chose, ils écrits qui traitent des mœurs contiennent plusieurs enseignements et plusieurs exhortations à la vertu qui sont fort utiles ; que la théologie enseigne à gagner le
ciel ; que la philosophie donne moyen de parler vraisemblablement de toutes choses et se faire admirer des moins savants ; que la jurisprudence, la médecine et
les autres sciences apportent des honneurs et des richesses à ceux qui les cultivent, et enfin qu’il est bon de les avoir toutes examinées, même les plus

en sont blâmables. Mais ne proposant cet écrit


superstitieuses et les plus fausses, afin de connaître leur juste valeur et se

que comme une histoire, ou, si vous l ’aimez


DESCARTES - DISCOURS DE LA METHODE

mieux, que comme une


5
fable en laquelle parmi quelques exemples qu ’on peut
imiter, on en trouvera peut-être aussi plusieurs autres
qu ’on aura raison de ne pas suivre, j ’espère qu ’il sera utile
à quelques-uns, sans être nuisible à personne et que tous
me sauront gré de ma franchise. J ’ai été nourri aux lettres
dès mon enfance, et, pour ce qu ’on me persuadait que par
par leur moyen
TOPOGRAPHIE RETINIENNE
Conditions d’éclairement : - diurnes=photopiques :AV=10/10ièmes (cônes)

- nocturnes=scotopiques :AV=2/10ièmes (bâtonnets)


rétine centrale : cellules en cônes, vision diurne : AV = 10/10 ièmes, décroît
vers la périphérie
rétine périphérique : cellules en bâtonnets, vision nocturne : AV = 3/10 ièmes,
décroît vers la fovéa
tache aveugle=papille (départ du nerf optique)
Côté nasal Côté temporal
160000

Acuité visuelle
Nombre de photorécepteur par mm2

120000 0,8

0,6

80000
0,4

Tache aveugle
0,2
40000

60 40 20 0 20 40 60 60 40 20 0 20 40
nasal temporal
Excentricité rétinal (°) Degrés de déviation par rapport à la fovéa
TOPOGRAPHIE RETINIENNE
 théorie de la dualité cônes-bâtonnets :

- cônes: vision fine, précise, "active", chromatique : regarder


- performants aux fortes luminances
- bon pouvoir séparateur (AV : 10/10 ièmes ou plus)
- perception des couleurs : vision trivariante
- bâtonnets: vision grossière,"passive", achromatique : voir

- performants aux faibles luminances


- mauvais pouvoir séparateur (AV : 2 à 3/10ièmes)
- absence de perception des couleurs : vision univariante
- "on voit avec la rétine (les bâtonnets), on regarde avec la
fovéa (les cônes)"
CORRECTION
DES TESTS
Test 3 (voir polycopie)
On éclaire un écran E par une lumière monochromatique de longueur
d’onde  variable de 400 à 750 nm, de brillance énergétique B de
haut niveau qui ne varie pas au cours de l’expérience.
1- Tracer la courbe qui donne la variation de l’intensité de la
sensation s perçue par un observateur normal en fonction de la
longueur d’onde : s = f().

Réponse

0
400 500 600 700 
Test 3
2- Que peut-on conclure quant aux caractéristiques de la
rétine du sujet.

Réponse

Récepteur sélectif
Test 6 (voir polycopie)
On a présenté à un sujet normal deux plages étendues, l’une rouge
et l’autre verte, qui lui paraissent d’une luminosité (subjective) de
même ordre de grandeur à la lumière diurne. Ces mêmes plages,
éclairées par une lumière blanche de brillance 10.000 fois plus
faible (nocturne), paraissent de luminance différente.
Laquelle des deux plages paraîtra la plus brillante, pourquoi ?

Réponse
La plage verte (phénomène de purkinge)

0,5

400 510 555 600 700 (nm)


Test 7 (voir polycopie)
L’efficacité lumineuse d’une certaine lumière monochromatique passe
de la valeur 0,1 à 0,01 quand on passe de la vision photopique à la
vision scotopique.
De quelle couleur peut-il s’agir? Justifier la réponse.

Réponse

Couleur rouge

1
Scotopique Photopique

0,5

400 510 555 600 700 (nm)


Test 10 (voir polycopie)
Tracer, pour chacun des tests suivants, la courbe d’adaptation à
l’obscurité. Indiquer pour chaque cas le type de vision (centrale
ou périphérique) ainsi que la nature des récepteurs intéressés.

1- Test rouge de 20° en vision centrale.

Réponse

log Ls

-3

minimum
-6 minimorum

2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 Temps de séjour à
l ’obscurité (mn)
Test 10
2- Test rouge de 1° en vision centrale.

Réponse

log Ls

-3

minimum
-6 minimorum

2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 Temps de séjour à
l ’obscurité (mn)
Test 10

3 - Test vert de 20° en vision centrale.

Réponse

log Ls

-3

minimum
-6 minimorum

2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 Temps de séjour à
l ’obscurité (mn)
Test 10

4- Test blanc de 1° en vision centrale.

Réponse

log Ls

Vision fovéale
-3

minimum
-6 minimorum

2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 Temps de séjour à
l ’obscurité (mn)
Test 10

5- Test blanc de 1° en vision latérale.

Réponse

log Ls

-3

Vision périphérique
minimum
-6 minimorum

2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 Temps de séjour à
l ’obscurité (mn)
Test 10

6- Test blanc de 20° en vision centrale.

Réponse

log Ls

Cassure de HECHT

-3

-6

2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 Temps de séjour à
l ’obscurité (mn)
Test 10

7- Test blanc de 20° en vision centrale pour un sujet


profondément carencé en vitamine A.
Réponse

log Ls

-3

minimum
-6 minimorum

2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 Temps de séjour à
l ’obscurité (mn)
Test 19 (voir polycopie)
Calculer l’acuité visuelle d’un sujet qui regarde la lettre E d’un
optotype à une distance 5 m. Il arrive à lire la lettre pour
laquelle le jambage est de 3 mm (1’ = 3.10-4 radian).

Réponse
α est faible donc tgα ≈ α
d= 3 mm

α
d= 3mm
D=5m

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