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COUR DE LICENCE TRANSPORT ET LOGISTIQUE : DOUANE ET ASSURANCE

Chapitre 1 : les missions de la douane


L’administration de la douane djiboutienne assure des nombreuses missions. Elle participe en particulier
a la régulation des échanges économiques entres les états de la région (comesa) et les pays tiers.

I. Mission fiscal

L’administration douanière assure la perception des diffèrent droits et taxes qui alimentent
principalement le budget de l’état. Pour le compte de l’UE, l’administration douanière perçoit
notamment le droits et autres taxes à l’importation du droit agricole dans le cadre de PAC (politique
agricole commune), le droit anti dumping (qui sont des surtaxe appliqués sur le produit importé lorsque
le fournisseur d’un pays tiers revend le prix inferieur a celui pratiqué sur le marché nationale, faussant
ainsi le jeu de la concurrence).

Au niveau national, la douane perçoit principalement le taxe sur la valeur ajoutée sur les produits
importés des pays tiers à l’UE. Elle assure également la perception des droits plus spécifiques comme le
droit l’assise (droit frappant certain produit comme l’huile minéral, l’alcool et la boisson alcoolisé, le
tabac manufacturier), le taxe parafiscal (taxe collecté au profit de certain activité). Elle participe au
control de recouvrement de la TVA des échanges intercommunautaire (échanges réalisé entre état
membre).

II. Mission économique

1. Le principe de libre échange

L’UE a mis en place une politique commerciale économique qui repose essentiellement sur le principe
de libre échange. Selon ce principe l’essentielle des marchandises a accès au marché communautaire où
on sort sans contrainte particulière, des lors qu’il n’a pas été procédé aux formalités de dédouanement.
Le rôle de l’administration douanière est d’assurer la bonne application des règles issues de cette
politique.

2. Le control de commerce externe

Des exceptions à ce principe existent. La volonté de soutenir la complexité des entreprises européennes
dans un certain secteur et de protéger les consommateurs justifiant l’application des mesures de control
pur certain marchandises. Les mesures consiste à soumettre l’opérateur européen a l’accomplissement
des formalités particulière, comme l’obtention d’autorisation à l’imiter ou interdire les entrée ou les
sorties de certain marchandises du territoire ou communautaire.

3. L’application des mesures de control

A. Les mesures à l’importation :


a. Les marchandises surveiller et contingenté : certain marchandises importé en trop quantité en
un prix inférieur au prix européen pourrait poser des difficultés au entreprise européen. La
douane place alors ces marchandises sous surveillance, ce qui rend nécessaire la présentation
de documents de surveillance par l’importateur lors de dédouanement. Elle peut, si danger est
plus grave, la mise en place d’un contingent quantitative qui consiste à limiter les importations
des marchandises par l’instauration des quotas au-dessus desquels il ne sera plus possible
d’importer. Les mesures rend nécessaire l’obtention préalable d’une licence d’importation.
Exemple : nécessite d’une licence d’importation du produit textile originaire de la bio.
b. Les marchandises prohibés : la douane peut également décider d’interdire l’entrée de certain
marchandises qui sont contraire à l’ordre public au bonne meures ou néfaste pour la santé.
c. Les marchandises faisant l’objet d’un contingent tarifaire : pour faciliter l’importation des
marchandises nécessaire à l’économie européenne, il peut être mise en place des contingents
tarifaire qui consistent pour le produit concerné à réduire ou rendre nul le droit de douane sur
une certaine période.

B. Les mesures à l’exportation

Certaines marchandises en principe interdite de sortir du territoire de l’UE (médicaments, végétaux,


armes, etc.) peuvent être exportés sous condition d’obtenir une licence d’exportation. Nécessite
également une licence d’exportation les biens de haute technologie dite a double usage qui peut
être utilisé à des fins civil ou militaire (électronique, système de transmission). Les mesures du
commerce extérieurs tend aujourd’hui a diminué.

III. Les autres missions de la douane

La douane veille à la conformité, à la réglementation relative à la qualité et la sécurité des produits


importées par le control du respect de la norme CE et à la lutte contre la contrefaçon. Elle procède à
l’établissement et à la diffusion de statistique du commerce extérieur. Elle développe un rôle de
conseil auprès des entreprises en matière de dédouanement avec la présence dans chaque région
des cellules de conseil aux entreprises.
Chapitre 2. L’organisation de la douane ou du dédouanement
Les échanges des biens entre l’UE et les pays tiers nécessitent le respect des formalités bien précises
afin de procéder au dédouanement des marchandises.

I. La conduite et la mise en douane

1. À l’importation

A l’entrée dans l’UE les marchandises sont présentés au bureau de douane le plus proche (bureau
d’entrée) où une déclaration sommaire est déposée. La douane procède ensuite à l’enregistrement : la
mise en douane qui atteste de prix en charge des marchandises par les autorités douanier.

2. À l’exportation

Les formalités sont simplifies, il s’agit d’acheminer les marchandises vers le bureau de douane le plus
proche du lieu de chargement. Aucune déclaration sommaire à effectuer.

II. La déclaration préalable de sûreté et sécurité (ICS/ECS)

À compter de premier janvier 2011, afin de sécuriser le flux de marchandise, et rendre obligatoire
l’entreprise d’une déclaration préalable. Avant tout entrée ou sortie du territoire de l’UE. Cette
déclaration est transmise par informatique, dans un délai qui varie selon l’opération (importation ou
exportation) et les type de transport utilise.

III. Les procédures de dédouanement

Elle s’applique aux opérations à l’importation comme en exportation.

1. La procédure de dédouanement de droit commun

A. Les dépôts de la déclaration en douane

L’entreprise ou toute personne habilité à réaliser les dédouanements qui prend alors le nom de
déclarant, procède à la transmission par voix informatique de la déclaration en douane auprès du
bureau de douane comportant. Cette déclaration se fait un formulaire appelé DAU (document
administratif unique) préalablement renseigne par le déclarant, il précise le document requis par la
législation douanière.

En cas d’impossibilité de produit d’un des documents requis dans le délai et afin d’éviter
d’immobilisation de produit, le déclarant peut demander un délai supplémentaire pour présenter ce
document il fournit le formulaire D48qui consiste l’engagement de l’entreprise à produire le document
manquant dans le délai convenu.
B. L’enregistrement de la déclaration en douane

Lorsque la déclaration est recevable, la douane procède à son enregistrement. La déclaration définitive.
Le déclarant est désormais reconnu par les informations qu’elle contient.

C. L’enlèvement des marchandises

À l’importation, la délivrance du BAE (bon à enlever) par la douane permet à l’opérateur de disposer de
sa marchandise. Elle est précédée de l’acquittement ou l’engagement à s’acquitter de droit et de taxe et
de la réalisation de control de la douane privant être d’ordre physique (vérification de la marchandise)
et documentaire (control de la formalité et de la cohérence des documents).

À l’exportation, la déclaration en douane n’entraine pas l’acquittement de droit et de taxe. Celle des
frais liés aux formalités de dédouanement comme le taxe lie à l’utilisation de système informatique
(Delta) de dédouanement, sont à la charge de l’opérateur.

Après des contrôles éventuels si tout est régulier, la douane délivre le bon à exporter(BAE).

D. Les limites de la procédure.

Même si aujourd‘hui l’introduction de l’informatique et notamment l’internet permet d’accélérer les


procédures, celle-ci reste lourde et allonge les délais d’acheminement induit par la conduite en douane,
les délais pouvant être augmenté en cas de control.

2. la procédure dédouanement à domicile (PDD)

Impôt douanier.

1. Impôt portable : les marchandises doivent être conduit physiquement au bureau de douane
pour y être taxés
2. Impôt déclaratif : il doit s’agir d’un acte spontanée de l’importation qui rédige et présente la
déclaration en douane.
3. Impôt payable au comptant : le droit en douane est payé au préalable (que les marchandises
sont présent ou pas).
CHAPITRE 4: le dédouanement d’une importation
L’importation des marchandises originaire des pays n’appartenant pas l’UE suppose l’évaluation de
la dette douanière, constitue de droit et de taxe faisant l’objet d’une règlementation
communautaire et national. Afin de disposer librement de ses marchandises il est impérative
d’appliquer ces imposition, en principe exigible encore.

I. Inventaire de droit et taxe exigible à l’importation

1. LE DROIT DE DOUANE

Ils sont le plus souvent Ad-valorem, c’est-à-dire calculé en appliquant un % selon la valeur de la
marchandise, la base de calcul de droit peut être également la quantité de marchandise, poids, voiture
et nombre.

2. LE DROIT anti-dumping

Le producteur communautaire qui estime lèse par les pratiques des dumping ou des subventions de la
part de pays tiers, peut demander à la commission européen de mettre en place un droit anti-dumping
ou un droit compensateur. Un dumping se définit comme le fait pour un producteur tiers de vendre son
produit à l’exportation vers l’UE a un prix inférieur au prix auquel il vendrait ce même produit sur le
marché local.

3. Le droit d’assise.

Ce sont de droit de communication frappant certain catégorie de produit ils sont codifié et réagit par
des directives communautaire et le code général des impôts. Il concerne 3categories de produit :

 Huile minéral
 Alcool et boisson alcoolisé
 Tabac manufacturé.

4. taxe parafiscal.

Cette taxe, très faible ne pèse que sur certain catégorie de produit : des industries de l’habillement, de
la pêche maritime, de culture marine.

5. La TVA

L’importation de marchandises constitue un acte imposable à la tva.

La TVA à l’importation est recouverte par l’administration de douane qui applique le taux nationaux
(20%, 5.5%)
1. Le calcul de droit de douane

Trois éléments sont déterminants pour le calcul de droit de la douane : l’origine de marchandise, leur
espace tarifaire et leur valeur.

A. L’origine de marchandise (préférentielle ou non préférentielle)

C’est une notion complexe, pour simplifier on peut considérer qu’elle provient le lieu où ont été
fabriquées les marchandises importées. Elle permet de déterminer le niveau de perception de droit de
douane et l’application éventuelle des mesures du politique commercial. Droit anti dumping et quota.

Elle est l’objet de 2 définitions dans le système juridique communautaire : l’origine référentielle et
l’origine non référentiel. Elle est distincte de la provenance géographique qui correspond du pays à
partir duquel les marchandises sont exportées. Exemple, pour les marchandises fabriquées en Chine et
arrivé en France via port d’Anvers, l’origine est la chine et sa provenance est la Belgique.

- Origine Préférentielle : des accords préférentiels ayant été passé entre l’UE et certain pays tiers
ou groupe de pays, une même marchandise sera taxée de façon différente.

Selon son origine : le droit de douane réduit ou nul pouvant être appliqué, exemple : les accords
préférentiels ont été passé avec le pays de l’AELE () avec les pays méditerranéen, avec le pays de
l’Afrique pacifique, caraïbe (ACP) ou encore le pays en voie de développement qui bénéfice d’un
système de préférence généralisé. Chaque système d’accord préférentiel exige que le transport de
produit originaire des pays partenaire qui sont exporté vers l’UE au bénéfice du régime préférentiel
s’effectué directement. Les bénéficiaire d’un régime référentiel est subordonné en principe à la
présentation d’une preuve de l’origine au moment du dédouanement : le certificat de circulation de
marchandise (EUR1.) ou euro mède dans le zone pana euro mède qui constitue 28 états de l’UE de
l’AELE, de la Turquie de l’ile de chitre des pays euro mède : Algérie, Maroc, Tunisie, Égypte, Israël,
Jordanie, Liban, Syrie, le 6jordanie le bande gaza)

Au lieu et place du certificat EUR1 peut être présenté une déclaration sur facture établie par toute
exportateur si la valeur ou l’origine de l’envoi n’excède pas 6000£ et au-delà de 6000£ par un
exportateur agréé par les autorités douanières des pays d’exportation.

B. L’origine non préférentielle

L’origine non préférentiel devrait être utilise pour déterminer l’application éventuel à l’importation de
l’UE des politiques commerciale (quota, droit anti dumping …..) ou pour procéder au marquage de
l’origine sur le produit dans ce cas aucune réduction et suspension de droit n’est pratiqué : les tarifs
extérieur commun (TEC) s’applique. C’est dans le cas des procédures des produits marqué.

2. L’espace tarifaire de marchandise.

Ce calcul de droit et taxe dans l’UE.


Impôt valeur nominal (10000£) origine Japon incoterm FOB, cout de transport 1000£, base taxable FOB
cout de transport 11000, droit de douane 10% le droit de douane TVA :

- VN(10000£) FOB
- CT=1000£
- Base taxable1100£
- Droit de douane(10%)=11000x0,1=1100
- TVA= BT+droit de douane=11000+1100=12100
- BT TVA=12100x0,19=2371,5
- Total a acquité= Droit de douane +TVA= 1100+2371,5=3471,1

Exercice2

Valeur UE, base de calcul de droit de douane =valeur de la facture


Les éléments a ajouter, si non inclus dans la valeur de la facture + commission a la vente et frais de
courtage +coût des emballages +frais de transport et d’assurance des marchandises importé et frais
de chargement et manutention jusqu’au lieu d’into de l’UE.
Élément à déduire si inclus dans le facture : intérêt dû par l’importateur pour paiement différé, frais
de transport et d’assurance engagé après l’entrée sur le territoire de l’UE, commission.

Exemple 1 : importation de parasol du Japon, taux de droit de douane (4,7%), deux fournisseurs ont
fait les offres suivant :

Offre A : 5000£, port de Kope, fret KOPE via le Havre, fret : KOPE – Havre= 1550£

Offre B : 5300 CIB, reins via le port de Dunker, frais de transport Dunker – Rein = 465£

Exercice1 : calcul de la valeur douane, NB= 50000, BCT= 1550,BT= 51500 Dit de ou : 51550 X
0,047=2423£

Exercice2

Prix CIP inclus le frais de transport jusqu’à Reins .NB=53000BT=53000+465 Droit de douane :
52535+0,047=2469

Exercice :

TVA à calculer. Répondre l’offre B : 5300 CIB Rein via le port Dunker (D/R=465)est de droit de douane.
Hypothèse1 : dédouanement a lieu Dinker (premier lieu de destination). Assise TVA= valeur VE+droit de
douane =52535+2469=5504. TVA a aquitter (5504X0,2=11000,8)

Hypothèse2 : dédouanement a lieu a Rein : les marchandises voyagent sur un regime T1 entre Dunker et
Reins. Assise TVA=Valeur VE +droit de douane +frais jus a Rein=52535+2469+465=55469) TVA a
acquitter 55469X0, 2=11086.
CHAP2 : Assurance corps et assurance faculté

L’assurance est une mutualisation du risque maritime auxquels les biens sont exposés. L’industrie des
assurances maritimes a pour objet de repartir entre la communauté les assureurs le poids financier du
mal subit par l’un entre eux. Le but de l’assurance est de fournir en cas de sinistre a cette assuré
l’indemnisation du dommage causé c’est avec l’ensemble des primes versés que l’assureur indemnise
celui qui a subi le dommage. L’assurance maritime témoigne cette volonté des gens de mer de repartir
ces risques. C’est ici que cette technique juridique se trouve inventé et à son origine dans une décision
de l’empereur Claude également pour encourager le commerce maritime privée. Claude a donné une
garantie d’état consistant à indemniser l’armateur en cas de naufrage. En 14e siècle en Italie en relève
les premiers traces historiques de l’assistance mais le premier police d’assurance n’ont pas le même role
qu’aujourd’hui. À cette époque l’assistance nécessitait plus qu’un pari, que l’assureur faisait sur le
retour à son point d’une expédition maritime. Il accordait sa garantie d’indemnisation moyennant au
départ d’un prix. L’assurance maritime s’inscrit dans un prolongement d’un contrat appelé contrat de
commande jusqu’au 18ème siècle, l’assurance actuel prenne sa forme actuel, il faut deux découvertes
mathématique au 17ème siècle.

BLAIZ Pascal introduit la loi de grand nombre et au 18ème siècle Pasteur pris a inventé le calcul de
probabilité. C’est sont ses débits qui permet à l’assurance de se développer. L’assurance devient alors
un véritable industrie. Les assurances se divisent en :

- Assurance navire appelé assurance corps


- Assurance marchandise appelé assurance faculté
- Assurance des responsabilités appelé assurance PI club

Les dernières assurances sont fournis par des institutions très particulier, les clubs de protection et
indemnisation (P I club). Dans tous les cas l’assurance obeit a principe de droit des assurances « contrat
aléatoire, contrat indemnitaire, contrat de bonne foi), ici plus qu’ailleurs la bonne fois doit prévaloir
dans la déclaration de l’assurance.

A. Les assurances corps.

Les navires s’est perdus, corps et bien, le corps est les marchandises du navire. La valeur mise en risque
est toujours très élevé. Dans les assureurs, la réalisation d’un sinistre est toujours une catastrophe
considérable. Comme cela s’est développé, la coassurance et les réassurances.

Les coassurances est un groupement plusieurs assurance maritime pour assurer la même risque, même
navire on même cargaison. Si le risque se réalise chaque coassuranceur intervient dans l’indemnisation à
proportion dans sa part dans la coassurance. Il y a toujours parmi les coassurances une coassurance en
chef. L’assureur appelé a paritaire, celui qui es en une ligne qui assure la gestion de dossier par le groupe
de Co assureur.
La réassurance : obligation fait au assureur de souscrite auprès d’une caisse central, un garantie leur
permettent quand leur propre garantie est engagé, d’être indemnisation d’un sinistre. Il n y a pas de lien
contractuel entre l’assuré et le réassureur ni d’action direct entre eux. L’assurance corps est gouvernée
de manière subletique par la loi de 23juillet 1967 et du décret du 18janvier 1968 codifié en 1976 dans le
code des assurances.

Quelques dispositif impérative : exemple l’impossibilité d’assurer la faute intentionnelle ou inexcusable


mais l’essentiel de l’assurance corps est fixée dans le contrat type analyser par le ministère de finance.

La question de réassurance (coassurance/réassurance assurance corps/assurance faculté)

 Le principe de la réassurance ; la réassurance est un concept assez amusant car elle consiste
pour une compagnie d’assurance à s’assurer. L’assurance semble tellement indispensable, que
même les compagnies d’assurance ont besoin de s’assurer. En règle générale, il faut dire que les
valeurs en matières d’argent dans les sociétés modernes ont explosés, et désormais un assureur
peut retrouver à assurer une société pour de montant exorbitant. La réassurance permet donc à
l’assurance de pourvoir assurer un risque pour de montant externe.
 Comment fonctionner la réassurance ? l’assureur rentre en relation avec un réassureur pour
transférer une partie du risque qu’il a contrôlé avec un client. Dans ce cas c’est l’assureur qui
doit reverser une prime d’assurance au réassureur. Cette prime sera elle aussi calculer en
fonction risque. L’assureur devient alors comme nous un client banal qui doit s’assurer pour
garantir un risque qu’il pense ne pas pourvoir couvrir seul. Les traitements est la même et votre
assureur qui est en a faire avec un réassureur devra procéder de la même manière que lorsque
vous souscrivez un contrat d’assurance.

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