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VI - Non-linéarité géométrique
A - Principe des puissances virtuelles
1 - Formes incrémentales
a - Expression générale
- Les tenseurs E (Green-Lagrange) et S (second tenseur de Piola-Kirchhoff) sont
utilisés car "objectifs" (invariants dans une rotation de corps rigide) et énergétiquement
conjugués. L'équilibre est considéré assuré à l'instant t :
S (HAt) = S (t) + A S
±(t+At)
t _ ê(t) +, A
Atê
u ""TJ u
yv
VI-1
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Chapitre VI Non linéarité géométrique
- En supposant que l'on puisse utiliser une loi de la forme : ASy = Cijk|.Auk,l et en réécri-
vant {2} sous une autre forme, on obtient:
JJJ Vh j.Cijk|.Auk,l.df> <-» ^.K^.AU où KL: partie "Linéaire" de la matrice de raideur (r-Vl-5)
Ût
JJJ Vklj.a}Jt).Aukli.d'& <-» 'V.K^.AU où KML: partie "Non Linéaire" de la matrice (r-vi-6)
at
APe <-* *V.AF où AF: incrément de chargement entre p(t) et p+1(t+At) (r-vi-7)
^ représente les efforts qui, appliqués sur les nœuds de la structure à t, donneraient
les contraintes a^ ; ce qui explique l'indice "int" correspondant à "internes"...
Si l'équilibre, en fin d'incrément p (t), est parfaitement réalisé, alors : F(t) = Fj^.
Correction d'équilibre :
Si, juste après un incrément de chargement AF, la "différence" (F-Fint) est jugée trop
importante - suivant un critère précisé ultérieurement -, une ou plusieurs itérations (i) de
correction d'équilibre sont imposées sans incrémenter le chargement.
En Formulation Lagrangienne Actualisée à chaque Itération (FLAI), l'équation {4} avec
AF = 0 devient, pour l'itération i: [K^1) + K^"L1)].ÔU = (F(M) - F-^1)); ce qui donne OU.
Un pas (incrément + itérations) est franchi quand l'équilibre est considéré atteint.
JJJ Au,, JXJ, .dd <-» !AÛe -Fe(jnt) où Fe(int) = JJJ! B.d.dv (r-vi-13)
Ve
b - Continuité C°
u + z.6y
Au=v-z.9 x
w
u, v, w : déplacements d'un
point du plan moyen (z = 0).
P = JJjAûk, j/qj. Auk,i.dv = ^Ûe.Kg. AÛe où AÛe est exprimé en base locale (x,y,z) (r-vi-14)
HP * * s\ * *
— /T M KA ^ *T
°xx . ._ 2 xx .2 xx xx ^ xx
2
CTyy=-.N + -3-.Z.M=> JZ . (Jyy .dZ = —.N O Ù N = Nyy 0t M = Myy = J z . ( J y y . d Z
"M.A.d-^Q^jJ^lcfe
2 J°] O Ù Q J^UFMdz (,VM5)
a yz j 2.h h i LCT^J [_oj [QyzJ i[ayzj
2 2
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Chapitre VI Non linéarité géométrique
d - Influence de u et v
a
xx °"xy 1[U)X1 [Nxx ^
U X vv y uÛy vvxl
x Gyy Gxy V V NN v = Nyy Nxy
dv
^L = [Ûx L - -y -y ' > Oxy ayy • ^' g Nxy Nyy
CT
°"xy xxJLV'XJ L N
xy N
xx.
[Ul~
v
"u,xl fy 2 -y31 lys-Vil lyi-yzl 1 i
^ICV^RV
=*K Nv Bv A par V > y - R V V - 1
g -B g .N g .B g .A car ^ y -B g .V e -^ ^—^-
X
3"X2 X X
^ — 1~ 3
X
—— 2 ~ ><1 ."2
^
e - Influence de w
=>KÏ^B5.N
9 fl
9
.BS^ car [W'X1 = B^.We = ^[ y2 ~^ \ ^ " Yl I Yl " y2 fc
(r VI.17) Lw.yJ -Lx3-x2ix1-x3|x2-x1J^
f - influence de 6
CT CT
xx xy Oy.X
g - Couplage V-e
h - Contraintes G^ et cryz
a
xz QXZ K-Ve_tRV n QS A
K
HP fT Tfl 1 O 2g- B g-Qg-Be.A
U r o r / v * * * ~\ ^ yz
v z ^ yv ^^ ^*vz
z
-^ = [U>x v,y u,y v,x]. . Qg= * •=» et
a v
yz L~°xJ Uyz O ifev_t
K Rs o R A
2g-Be.Qg.Bg.A
u w
xzj L xzj
(r-VI-20)
L'expression de la matrice BQ est donnée dans le paragraphe V-A-1 -f.
i - Remarque importante
F Kgv
IS. K1ve
IS. -i-K ve
g + IV2g .1 TV
Ve 1
- L'étude numérique de différents exemples montre que seules les matrices K)fy et IC
y
ont
une influence notable.
i - Efforts "internes"
=^ F înt=[ F x1 F
y1 F
x2 F
y2 F
x3 F
y3 | Mx1 M
y1 M
x2 M
y2 M
x3 M
y3 | Fz1 F
z2 F
z3J
RaBpjeJ : ces efforts - forces et moments - sont ceux qui devraient être appliqués sur les
nœuds 1, 2 et 3 de l'élément pour engendrer les contraintes résultantes N, M et Q.
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Chapitre VI Non-linéarité géométrique
B - Programmation
Dans ce chapitre, seule la non-linéarité géométrique - grands déplacements - est
présentée en se limitant à un comportement élastique linéaire du matériau.
1 - Présentation générale
a - Algorithme simplifié
DEBUT
initialiser 8F à zéro; {8F pour itérations d'équilibre sans incrément de charge}
initialiser F et U à zéro; {F, U: efforts et déplacements totaux calculés ou imposés}
initialiser N, M, Q à zéro; {N, M, Q : contraintes résultantes totales par élément}
POUR (nb incréments) <— 1 à (nb incréments demandé) FAIRE
DEBUT
constituer chargement AF, AU ; {AFconnu, AFinconnu, AUconnu, AUinconnu}
sommer 8F ; {AF <— AF + AF}
assembler matrice K; {K<-K L + Kg où Kg = Kg(N, M, Q)}
résoudre AF = K.AU ; {calcul de AUinconnu, AFinconnu}
calculer contraintes AN, AWI, AQ ; {correspondant à AU}
sommer contraintes dans N, M, Q; {N <- N + AN, M «- M + AM, Q <- Q + AQ}
sommer déplacements dans U; {U <— U + AU}
actualiser coordonnées et normales; { X < - X + A U x , Y 4 - Y + A U Y , Z < — Z + AU Z }
calculer efforts "internes" E; {élément e: Ee = J ^.Ge.dv CJe(N, M, Q)}
calculer efforts résiduels 8F ; {8F <- (F + AF) - E}
calculer F; {F 4— E: correspondant aux contraintes}
calculer précision; {par ex. ||8F||2 /||F||2}
(nb itérations) <- 0;
TANT QUE (précision > précision souhaitée) ET (nb itérations < nb itér. max) FAIRE
DEBUT
(nb itérations) <- (nb itérations + 1);
assembler matrice K;
résoudre 8F = K.8U ; {8Uj = 0 si liaison suivant le d.d.l. i}
calculer contraintes 8N, 8M, 8Q ; {correspondant à 8U}
sommer contraintes dans N, M, Q; {N «— N + 8N, M <— M + 8M, Q <— Q + 8Q}
sommer déplacements dans U; {U <— U + 8U}
actualiser coordonnées et normales; {X <— X + 8UX, Y «- Y + 8UY, Z 4- Z + 8UZ}
calculer efforts "internes" E; {élément e: Ee = J !Be.ae.dv Oe(N, M, Q)}
calculer efforts résiduels 8F ; {8F <- (F + 8F) - E}
calculer F; {F <— E: <-> contraintes résultantes N, M, Q}
calculer précision; {par ex. |6F||2 /|F||2}
FIN
FIN
F<-F + SF;
FIN;
b - Caractéristiques principales
- La programmation est donc limitée à un pilotage en force. Dans [18], on trouvera des
algorithmes relatifs aux pilotages en déplacement et en longueur d'arc qui s'avèrent
nécessaires dans l'étude des instabilités.
- Le critère d'arrêt des itérations ne concerne que les normes (2), dites "euclidiennes",
des composantes de forces et de moments prises séparément :
llôRL
II
/|R|L < pR : précision sur les forces (1 .OE-4, par exemple);
\\<L II ll^
rMD-i
F
9t = j (r-VI-23)
|8T||2 /||T|2 < pT : précision sur les moments (TV»"Torque");
c - Remarque importante
Après divers essais sur des programmations différentes, c'est l'algorithme détaillé
précédemment qui a été retenu car nécessitant le nombre minimal d'itérations d'équilibre
pour assurer une précision donnée. La particularité réside dans l'ordre suivant :
Avant calcul, une normale est associée à chaque nœud de la structure non déformée.
Suivant les cas, elle représente une "moyenne" des normales aux plans des éléments
connectés au nœud considéré ou une normale à la surface réelle de la coque.
Ces normales sont ensuite actualisées en même temps que la géométrie. Elles servent
lors du calcul pour l'élément courbe proposé par Stolarski (chapitre V) et lors de l'édition
des résultats pour les éléments plats.
En effet, une moyenne des contraintes calculées dans les éléments connectés à un
nœud est effectuée. Le résultat est alors présenté dans un repère de projection constitué
de la normale en question, d'un axe qui reste parallèle au plan (X, Z) du repère global et
d'un troisième axe normal aux précédents réalisant ainsi un trièdre direct.
La nouvelle position V2 d'une normale V-j après rotation de l'angle <j> dans la direction
r est définie par la formule suivante qui peut utiliser aussi la théorie des quaternions [13],
[16], Q:{s,VJ ou l'algèbre de Clifford.
a - Données
Les résultats d'un tel calcul sont rappelés dans le tableau ci-dessous. Relatifs au
déplacement vertical du centre de la plaque, ils sont comparés à une solution analytique :
Maillage I Théorir^TrHUMipY~DKJ~\Co"~TR^^
5x5 34,776mm 34,5184 34,5351 34,114^ 1jD 0,993 0,993 0,981
10x10 134776 mm 134J063 134,7lT6 134,6T8[TgJâ^
c • Calcul non-linéaire
La pression est appliquée en 19 incréments: 10 entre 0 et 0,01 N/mm2 puis 9 entre 0,01
et 0,1 N/mm2.
Le critère d'arrêt des itérations est fixé à 1 .OE-4 pour les forces et pour les moments.
Le bord circulaire de la plaque est considéré fixe ; des liaisons radiales sont donc
imposées sur les nœuds de ce bord :
Nota : l'élément S3 est un élément Simplifié à 3 nœuds qui ne sera pas présenté ici [20].
Prévu pour les plaques minces, il est moins précis que DKT mais il présente l'avantage
d'un calcul beaucoup plus rapide ; ce qui peut être sensible dans les cas de calculs non
linéaires pouvant comporter un grand nombre d'itérations.
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Chapitre VI Non-linéarité géométrique
a - Données
Plaque rectangulaire de longueur L = 100 cm, largeur b = 20 cm, épaisseur h = 0,5 cm.
L'extrémité gauche est encastrée tandis que l'extrémité droite est soumise à une rotation
imposée de 360° suivant Taxe y.
/ / / / / ^< ^V ^V N. ^v ^^ (f-VI-8)
— — — I
Le matériau a pour caractéristiques : E = 2,1 E6 daN/cm2 et v = 0,3.
b - Calculs non-linéaires
Ils sont destinés à mettre en évidence l'influence du nombre d'incréments sur les
valeurs des déplacements suivant x et z du point C ainsi que sur le moment suivant y.
c - Résultats
Les calculs ont été effectués avec les deux éléments TRUMP et DKT ; les résultats
sont si peu différents que les courbes fournies ci-après sont valables pour les deux.
(f-VI-10)
Juste après un incrément, avant correction de l'équilibre, ces mêmes rapports sont de
l'ordre de 1.QE-1 ou 1.0E-2 suivant le nombre d'incréments demandé.
D'une façon générale, quand un "déplacement" est imposé (ici l'angle de rotation) le
nombre d'itérations pour atteindre une précision souhaitée est inférieur à celui nécessaire
pour atteindre la même précision quand les efforts sont imposés. Divers exemples traités
permettent de constater qu'une précision comprise entre 1 .OE-3 et 1 .OE-4 est suffisante.
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Chapitre VI Non linéarité géométrique
C - Compléments
1 - Critères de convergence
Par critère de "convergence", il est entendu ici: "critère d'arrêt des itérations de
correction d'équilibre". L'exemple unidimensionnel donné ci-dessous permet une mise en
évidence aisée de la méthode incrémentale et des différents critères.
F,1 est appliqué et la résolution de F,1 = K].U| donne U] puis o]=$ <T 4- a + a] ;
A cette contrainte CT correspond l'effort d'équilibre (ou "interne") E] ;
Le résidu F,2 = F,0 -E] est calculé ; jugé suffisamment petit, les itérations cessent et le
pas 1 est franchi.
F2° = (Q2 - Q,) + F,2 est appliqué et F2° = K°.U° donne U° puis G° => G <- G + G° ;
A cette contrainte a correspond l'effort d'équilibre E2 ;
Le résidu F2 = Q2 -E2 est calculé; jugé suffisamment élevé, une itération débute.
F3° = (Q3 - Q2) + F22 est appliqué et F3° = K°.U° donne U° puis G° ^ G <- a + G° ;
A cette contrainte a correspond l'effort d'équilibre E3 ;
Le résidu F3 = Q3 - E3 est calculé ; jugé suffisamment élevé, une itération débute.
Nota : dans le dessin donné, les matrices de raideur sont les matrices tangentes ; ce
qui correspond à la méthode de Newton - Raphson.
RI < eiF.||Fp°| {1} OU |F;|-< e2F.|Qp| {2} OU |F;[ < 83F.|^| {3} (r-VI-26)
Parce que l'interprétation physique est évidente et que les incréments n'ont pas
toujours même valeur, c'est le troisième critère qui a été programmé en séparant les
composantes de forces et de moments afin de comparer des grandeurs de même nature.
De nombreux exemples ont été traités avec une précision comprise entre 10~3 et 10~4.
b - Critère en déplacement
|Up| < EU-|^P|| : ce critère est utilisé dans [18] avec une valeur de 10~3 ou 5.10'3- (r-vi-27)
c - Critère en énergie
|F;4[<ew-|Fp0.i{| fr-yi-28)
Sur la figure précédente, cette "précision" est le rapport des deux aires hachurées dont
le dénominateur correspond à l'aire A 3 et le numérateur à l'aire A 2 .
Ce critère est utilisé dans [15] avec une valeur de 10"5.
Quand le repère utilisé n'est pas corotationnel, il est nécessaire de calculer AQ12, ce qui
correspond, pour les contraintes, à un changement de base relatif à une rotation AT
autour de l'axe z, normal au plan de l'élément (voir chapitre V).
Avec les fonctions d'aire L1? L2, L3, on obtient : (r-vi-29) """""""—^^^^
x
A^ = ^((x 3 -x 2 ).Au l +(y 3 -y 2 ).Av 1 +(x l -X3)-Au 2 +(y l -y 3 ).Av 2 +
ax
^["^xx y] +AQ[axx a
xy] [axx ^xyl A^ = I" ^xx ~ g-AT.Gxy I G^ + ^¥.(O^ - CTyy)"
+ a O a + a a
LCTxy ^yyj "[»xy yyj L *y °yyJ " L xy AT.(Oxx ~ yy) | yy +2^.0^
Nota:
{1} suppose que les déplacements Au et Av sont petits ; il est donc préférable d'utiliser un
repère corotationnel dont l'axe x est défini, par exemple, par le côté 1-2 (Voir V-B-1-a).
a - Données
Sur la périphérie : pas de déplacement ni rotation possible suivant x et y ;
Epaisseur h; !z (f_VM2)
y
Matériau : E, v ; j/
Pression p suivant z. ^^-x
b - Hypothèses
r2
La forme de w(r) - suivant z - trouvée en IV-B-1 est conservée : w = wc.(1 --j^")2;
• " H
Le déplacement radial est choisi sous la forme : u = r.fR-r).^ +C2.r);
On vérifie bien ainsi : u(r=0) = 0; u(r=R) = 0; w,r(r=0) = 0; w,r(r=R) = 0 et w(r=R) = 0.
Comme démontré en n-B-5 : err =u,r+^(w,r)2 tandis que, comme en m-D-2-c: eee = —
c - Flexion
Avec l'hypothèse de Kirchhoff, l'énergie de déformation s'exprime comme en IV-B-1-c :
2 / R / '
b
-X =ljJ(|%.z.w^dz+ aee.zX.dz).r.dr.d0 = 7t.J(w''.Mrr+XMee).r.dr où ^^
5» ' o w =w,rr
^-V'-^itD^
=> Vi - g ' ^ - R Z
d - Membrane
L'énergie de déformation s'exprime comme en n-D-2-b :
I T
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Chapitre VI Non linéarité géométrique
3Vm 3Vm w2 w2 D w4
0 C =1 185
âér ^ 3C=T°~ ' ' 1?- *'C 2 =-175-=»-V,» = 2,59.V -
e - Superposition
b m 32 w2 w2
-V l =-V, -V l =— 7C.D.^f-(1 + 0,244.^f) ;
r r2 R2
Ve =2.7i.q.wc.j(1—2")2.r.dr = 7i.q.wc.-— où Ve est l'énergie due à la pression q ;
R 3
o
La position d'équilibre correspond à : 9 W + V ») = 0 => wc.(1 + 0,488.^-) = -9^-
dwc h 64. D
f - Complément
4 - Bibliographie du chapitre VI
[I] ARGYRIS, J.H., DUNNE, P.C., MALEJANNAKIS, G A, SCHELKLE, E., A simple
thangular facet shell élément with applications to linear and non-linear equilibrium
and elastic stability problems, Computer methods in applied mechanics and
engineering, 1977, Volume 10, pages 371-403.
[2] ARGYRIS, J.H., DUNNE P.C., MALEJANNAKIS, G.A., SCHELKLE, E., A simple
triangular facet shell élément - Numerical examples, Computer methods in applied
mechanics and engineering, 1977, Volume 11, pages 97-131.
[3] ARGYRIS J.H., BALMER H., KLEIBER M., HINDENLANG IL, Natural description of
large inelastic déformations forshells of arbitrary shape, Computer methods in
applied mechanics and engineering, 1980, Volume 22, pages 361-389.
[4] BATHE, K.J., CIMENTO, A. P., Sonia practical procédures for thé solution of
nonlinear finite élément équations, Computer methods in applied mechanics and
engineering, 1980, Volume 22, pages 59-85.
[5] BATHE, K.J., RAMM, E,, WILSON, E.L., Finite élément formulations for large
déformation dynamic analysis, International journal for numerical methods in
engineering, 1975, Volume 9, pages 353-386.
[6] BATOZ, J.L., Analyse non linéaire des coques minces élastiques de formes
arbitraires par éléments triangulaires courbés, thèse de doctorat : Université de
Laval, Québec, 1977, 146 pages.
[7] BRU NET, M., Formulations de base des simulations numériques en grandes
déformations, Presses du CNRS IRSID, Paris 1990, pages 24-36.
[8] BRUNET, M., Modélisation numérique des grandes déformations élasto-plastiques
avec contact et frottement - Application à la mise en forme des métaux, Thèse de
doctorat d'état, INSA de Lyon, 1987, 202 pages.
[9] CORDEBOIS, J.P., Rappels sur la cinématique des milieux continus. Ecole d'été
d'Oléron, Presses du CNRS IRSID, Paris 1990, pages 24-36.
[10] CRISFIELD, MA, A faster modified Newton-Raphson itération, Computer methods
in applied mechanics and engineering, 1979, Volume 20, pages 267-278.
[II] DUBIGEON, S., Mécanique des milieux continus, Eléments finis, Tome 3, polycopié
ENSM, Nantes, 1985, 88 pages.
[12] DUBIGEON, S., Mécanique des milieux continus, Tome 2, Cours polycopié ENSM,
Nantes, 1985, 192 pages.
[13] FAYET, M., Robots et autres structures mécaniques, Cours polycopié INSA,
Lyon, 1990, 120 pages.
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Paris, 1987, 125 pages.
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dynamique, thèse de doctorat : Institut National Polytechnique de Lorraine, 1989,
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