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LISSASFA
Réalisé par : Encadré et suivi par :
Remerciement _______________________________________________________ 3
• Définition ______________________________________________________5
• Les schémas des travaux effectués ____________________________5--14
• Introduction ___________________________________________________17
• Choix d’un démarreur ___________________________________________17
• Le démarrage direct ____________________________________________18
• Démarrage étoile triangle_________________________________________18
• Démarrage statorique____________________________________________20
• Tension réduite par auto-transformateur ___________________________20
• Démarrage rotorique ____________________________________________21
• Les démarreurs électroniques _____________________________________22
• Tableau récapitulatif ____________________________________________24
Types de Freinages ____________________________________________________25
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Conclusion___________________________________________________________27
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Personne ne peut nier la grande importance du stage pour la bonne formation de
futurs techniciens en électricité.
Le stage et aussi une occasion pour explorer le monde travail, ainsi que l’entreprise
et c'est afin de joindre la pratique à la théorie et d’éliminer tous traque envers le monde de
économique.
Pendant notre séjour à l'entreprise qui nous a accuiellé comme stagiaire on a réussi à
réaliser plusieurs taches et opérations constituant l'installation électrique domestique:
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I. Définition
Les propriétés de l'électricité ont commencé à être comprises au cours du XVIIIe siècle.
La maîtrise du courant électrique a permis l'avènement de la seconde révolution industrielle.
Aujourd'hui l'énergie électrique est omniprésente dans les pays développés : à partir de
différentes sources d'énergie (principalement hydraulique, thermique et nucléaire),
l'électricité est de nos jours un vecteur énergétique employé à de très nombreux usages
domestiques ou industriels
1. Simple allumage
1.1. But
Il permet d’allumer ou d’éteindre un point lumineux en un seul point d’allumage.
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1.2. Schéma développé
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1.5. Schéma multifilaire
Il correspond au schéma de câblage.
2. Double allumage
2.1. But
Il permet d’allumer ou d’éteindre ensemble ou séparément et d’un seul endroit
le ou les points lumineux.
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2.2. Schéma développé
3. Va-et-vient
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3.1. But
Il commande l’allumage et l’extinction de point(s) lumineux de deux endroits différents.
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4.1. Prise
4.1.1. But
Elle permet un raccordement électrique d’appareils mobiles.
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4.2.3. Schéma architectural
5. Télérupteur
5.1. But
On installe un télérupteur lorsque l’on dispose d’au moins de trois point
d’allumage pour l’allumage de points lumineux. Exemple : couloir.
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5.2. Fonctionnement
Une impulsion sur l’un des points d’allumage (bouton poussoir) permet la mise sous
tension des points lumineux. Une nouvelle impulsion sur l’un des points d’allumage permet
d’éteindre les points lumineux.
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5.3. Schéma développé
6. Minuterie
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6.1. But
On installe une minuterie lorsque l’on désire une extinction automatique d’un ou
de plusieurs points lumineux.
6.2. Fonctionnement
Une impulsion sur un des points d’allumage (bouton poussoir) permet la mise
sous tension d’un ou de plusieurs points lumineux pendant un temps t prédéterminé.
L’extinction du ou des points lumineux est automatique.
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6.4. Schéma développé avec effet
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Lors de la mise sous tension d'un moteur asynchrone, celui-ci provoque un fort appel
de courant qui peut provoquer des chutes de tension importantes dans une installation
électrique. Pour ces raisons en autres, il faut parfois effectuer un démarrage différent du
démarrage direct.
Il est donc logique de limiter le courant pendant le démarrage à une valeur acceptable.
Mais si l'on limite le courant, on limite du fait la tension (dans certain cas seulement).
Remarque: Cette étude ne tient pas compte des possibilités offertes par les variateurs
électroniques de fréquence.
Le choix est guidé par des critères économiques et techniques qui sont :
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Dans la suite de ce chapitre, nous exposerons et comparerons les différents types de
démarreur.
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• La machine entraînée ne peut accepter les à-coups mécaniques brutaux Le confort et
la sécurité des usagers sont mis en cause (escalier mécanique) 4-Démarrage
étoile triangle
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0
Ordre de marche
1 KM KM
Temporisation
2 KM
Ouverture de
3 KM KM
Ordre d’arrêt
Lors du couplage étoile, chaque enroulement est alimenté sous une tension 3 fois plus
faible, de ce fait, le courant et le couple sont divisés par 3.
Lorsque les caractéristiques courant ou couple sont admissibles, on passe au couplage
triangle. Le passage du couplage étoile au couplage triangle n'étant pas instantané, le
courant est coupé pendant 30 à 50 ms environ. Cette coupure du courant provoque une
démagnétisation du circuit magnétique. Lors de la fermeture du contacteur triangle, une
pointe de courant réapparaît brève mais importante (magnétisation du moteur).
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5-Démarrage statorique
0
Ordre de marche
1 KM1
Temporisation
2 KM1 KM2
Ouverture d’arrêt
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0
Ordre de marche
1 KM1 KM3
Temporisation 1
2 KM1
Temporisation 2
3 KM1 KM2
Ordre d’arrêt
Id = 1,7 à 4 In
Cd = 0,5 à 0,85 Cn
Ce mode de démarrage est surtout utilisé pour les fortes puissances (> 100 kW) et
conduit à coût de l’installation relativement élevé, surtout pour la conception de
l'autotransformateur.
7-Démarrage rotorique
Dans tous les démarreurs précédents, nous n'avons utilisé que des moteurs à cage
d'écureuil. Pour ce démarreur, nous avons besoin d'avoir accès au conducteur rotorique.
Le fait de rajouter des résistances au rotor provoque une limitation de la pointe de courant
au démarrage. En plus, il a l'avantage, si les résistances sont bien choisit, de démarrer avec
le couple maximal du moteur.
Avec :
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Le couple ne dépend que du rapport R2/g.
Ils permettent un démarrage progressif des moteurs, ils remplacent les démarreurs à technologie
électromagnétique cité dans les précédents paragraphes.
• constitution :
Les démarreurs sont constitués d’un gradateur triphasée à angle de phase
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• Principe de fonctionnement : U rampe
- La tension du réseau d’alimentation est
U rampe
appliquée progressivement au stator du moteur.
max
- La variation de la tension statorique est obtenue
t
par la variation continue de l’angle de retard à 0
td
l’amorçage des thyristors du gradateur. - La consigne
de démarrage permet de régler la pente d’un signal en
forme de « rampe ». Cette consigne est étalonnée en 180°
secondes.
- A la fin du démarrage, le stator du moteur est t
sous tension nominale, les thyristors sont alors en 0
pleine conduction. U stator
- Le phénomène inverse se produit lors d’un arrêt
progressif contrôlé. La consigne de décélération Un
permet de faire évoluer l’angle des thyristors de
0° à 180° donc Umoteur de Un à 0 t
0
- Pour une charge donnée, le réglage de la pente
permet de faire varier la durée de démarrage, donc le temps de mise en vitesse progressive de
l’association moteur+charge
9-Tableau récapitulatif
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Démarrage Démarrage Démarrage Démarrage par Démarrage Démarreur
direct étoile triangle statorique auto rotorique électronique
transformateur
Courant de
démarrage 100% 33% 50% 40/65/80% 70% 150 à 750%
Surcharge en
ligne 4 à 8 In 1.3 à 1.6 In 4.5 In 1.7 à 4 In <2.5 In
Couple en % 10 à50%
de Cd 100% 33% 50% 40/65/80% (50 à 100%
en 100ms)
Couple
initiale au 0.6à 1.5 Cn 0.2 à 0.5 Cn 0.6 à 0.85 Cn 0.4 à 0.85 Cn 0.4 à 0.85 Cn <2.5 Cn
démarrage
commande T.O.R T.O.R 1 cran fixe 3 crans fixe De 1 à 5 crans électroniques
avantages - démarreur -économiques - -possibilités -bon rapport -très bon -Démarrage
simple et bon rapport de réglages couple/courant rapport sans à coup -
économique couple/courant des valeurs - possibilités couple/courant montée
-couple au au démarrage de réglages -possibilité de progressive
démarrage - des valeurs au réglage des en vitesse -
important démarrage valeurs au limitation de
démarrage l’appel de
courant au
démarrage
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Moteur à encoches profondes
Lors du démarrage, les courants rotoriques sont refoulés vers la
périphérie des barres du rotor : la résistance " utile " du rotor est donc
augmentée.
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Freinage par injection de courant continu
Au moment du freinage, KM1 s'ouvre puis KM2 se ferme. Un courant
continu est envoyé dans le stator. Le moteur se comporte comme un
alternateur dont l'inducteur est constitué par le stator, l'induit par le rotor
en court - circuit.
Moteur frein
Le moteur est muni d'un frein électromagnétique à disque monté du
côté opposé à l'arbre de sortie. En l'absence de courant (ouverture de
KM1 ou coupure du réseau), un ressort de rappel permet d'assurer le
freinage. C'est un élément important de sécurité, en particulier dans les
applications de levage.
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Ce stage nous a appris en premier lieu, que la formation technique est
loin de se limiter à être le véhicule d’un certain savoir. Puisqu’il ouvre les
voies de s’habituer au monde de travail et de s’intégrer avec les
techniciens de service aux moments des interventions, Cependant c’est
une culture lourde axée sur trois paramètres fondamentaux :
* Le savoir ;
* Le savoir faire ;
* Le savoir être.
D’une autre part. Ce stage nous a permis de voir et de comprendre
beaucoup de choses sur l’entreprise DATELIC, nous avons la chance de
pratiquer et d’acquérir de nouvelles connaissances, ce stage nous a
permis aussi de consulter des ouvrages et des documents concernant le
sujet traité, ainsi nous avons profité de l’ensemble des suggestions de
notre encadrant et des techniciens qui nous ont aidé à réaliser ce travail
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