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ISTA 

LISSASFA
Réalisé par : Encadré et suivi par :

Période de stage : du 15/03/2010 au 14/05/2010

 Remerciement _______________________________________________________ 3

 Introduction général ___________________________________________________4

 L’électricité de Bâtiment ________________________________________________5

• Définition ______________________________________________________5
• Les schémas des travaux effectués ____________________________5--14

 Démarrage des moteurs asynchrones __________________________________17

• Introduction ___________________________________________________17
• Choix d’un démarreur ___________________________________________17
• Le démarrage direct ____________________________________________18
• Démarrage étoile triangle_________________________________________18
• Démarrage statorique____________________________________________20
• Tension réduite par auto-transformateur ___________________________20
• Démarrage rotorique ____________________________________________21
• Les démarreurs électroniques _____________________________________22
• Tableau récapitulatif ____________________________________________24
Types de Freinages ____________________________________________________25
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Conclusion___________________________________________________________27

Nous avons le grand plaisir de pouvoir exprimer nos gratitudes, nos

reconnaissances et notre grand respect a nos formateurs:

Mr. LAKHMISSI, Mr. FAURISCU et a tout le personnel de l’Institut

Spécialisé de Technologie Appliqué de LISSASFA

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Personne ne peut nier la grande importance du stage pour la bonne formation de
futurs techniciens en électricité.

En effet, un stage pour la pratique des conception théoriques reçus pendant la


formation.

Le stage et aussi une occasion pour explorer le monde travail, ainsi que l’entreprise
et c'est afin de joindre la pratique à la théorie et d’éliminer tous traque envers le monde de
économique.

Certes, à la fin de chaque expérience acpuise, il fout faire un bilan de ce qu’on a


appris ; c’est pour ce là que j’ai le plaisir d’élaborer ce monde travail.

Pendant notre séjour à l'entreprise qui nous a accuiellé comme stagiaire on a réussi à
réaliser plusieurs taches et opérations constituant l'installation électrique domestique:

 Canalisation encastrée par les tubes oranges

 Tirage des conducteurs de différentes sections selon l'utilisation et par la


technique des spires jointives

 Tirage des fils pour la télévision et le téléphone

 Installation des moteurs triphasés

 La réparation des pagnes électriques

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I. Définition

L'électricité est l'interaction de particules chargées sous l'action de la force


électromagnétique. Ce phénomène physique est présent dans de nombreux contextes :
l'électricité constitue aussi bien l'influx nerveux des êtres vivants que les éclairs d'un orage.
Elle est largement utilisée par les sociétés développées pour transporter de grandes quantités
d'énergie facilement utilisable.

Les propriétés de l'électricité ont commencé à être comprises au cours du XVIIIe siècle.
La maîtrise du courant électrique a permis l'avènement de la seconde révolution industrielle.
Aujourd'hui l'énergie électrique est omniprésente dans les pays développés : à partir de
différentes sources d'énergie (principalement hydraulique, thermique et nucléaire),
l'électricité est de nos jours un vecteur énergétique employé à de très nombreux usages
domestiques ou industriels

II. Les schémas des travaux effectués

1. Simple allumage
1.1. But
Il permet d’allumer ou d’éteindre un point lumineux en un seul point d’allumage.

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1.2. Schéma développé

1.3. Schéma architectural ou d’implantation


Il permet de donner l’emplacement des éléments du schéma développé à l’intérieur
de la pièce concernée.

1.4. Schéma unifilaire


Il permet de donner l’emplacement des conduits dans lesquels il y aura les
conducteurs.

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1.5. Schéma multifilaire
Il correspond au schéma de câblage.

2. Double allumage
2.1. But
Il permet d’allumer ou d’éteindre ensemble ou séparément et d’un seul endroit
le ou les points lumineux.

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2.2. Schéma développé

2.3. Schéma architectural

3. Va-et-vient

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3.1. But
Il commande l’allumage et l’extinction de point(s) lumineux de deux endroits différents.

3.2. Schéma développé

3.3. Schéma architectural

4. Prise et prise commandée

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4.1. Prise
4.1.1. But
Elle permet un raccordement électrique d’appareils mobiles.

4.1.2. Schéma développé

4.2. Prise commandée


4.2.1. But
Elle est destinée à alimenter des appareils d’éclairages mobiles.

4.2.2. Schéma développé

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4.2.3. Schéma architectural

5. Télérupteur
5.1. But
On installe un télérupteur lorsque l’on dispose d’au moins de trois point
d’allumage pour l’allumage de points lumineux. Exemple : couloir.

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5.2. Fonctionnement

Une impulsion sur l’un des points d’allumage (bouton poussoir) permet la mise sous
tension des points lumineux. Une nouvelle impulsion sur l’un des points d’allumage permet
d’éteindre les points lumineux.

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5.3. Schéma développé

5.4. Schéma architectural

6. Minuterie

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6.1. But

On installe une minuterie lorsque l’on désire une extinction automatique d’un ou
de plusieurs points lumineux.

6.2. Fonctionnement
Une impulsion sur un des points d’allumage (bouton poussoir) permet la mise
sous tension d’un ou de plusieurs points lumineux pendant un temps t prédéterminé.
L’extinction du ou des points lumineux est automatique.

6.3. Schéma développé sans effet

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6.4. Schéma développé avec effet

6.5. Schéma architectural

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Lors de la mise sous tension d'un moteur asynchrone, celui-ci provoque un fort appel
de courant qui peut provoquer des chutes de tension importantes dans une installation
électrique. Pour ces raisons en autres, il faut parfois effectuer un démarrage différent du
démarrage direct.
Il est donc logique de limiter le courant pendant le démarrage à une valeur acceptable.
Mais si l'on limite le courant, on limite du fait la tension (dans certain cas seulement).

Remarque: Cette étude ne tient pas compte des possibilités offertes par les variateurs
électroniques de fréquence.

2-Choix d’un démarreur

Le choix est guidé par des critères économiques et techniques qui sont :

• les caractéristiques mécaniques,


• les performances recherchées,
• la nature du réseau d’alimentation électrique
• l’utilisation du moteur existant dans le cas d’un rééquipement,
• la politique de maintenance de l’entreprise
• le coût de l’équipement.

Le choix d’un démarreur sera lié :

• au type d’utilisation : souplesse au démarrage,


• à la nature de la charge à entraîner
• au type de moteur asynchrone
• à la puissance de la machine
• à la puissance de la ligne électrique  à la gamme de vitesse requise
pour l’application.

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Dans la suite de ce chapitre, nous exposerons et comparerons les différents types de
démarreur.

3-Le démarrage direct

C'est le mode de démarrage le plus simple. Le moteur démarre sur ses


caractéristiques "naturelles". Au démarrage, le moteur se compose comme un
transformateur dont le secondaire (rotor) est presque en court-circuit, d'où la pointe de
courant au démarrage.
Ce type de démarrage est réservé aux moteurs de faible puissance devant celle du
réseau, ne nécessitant pas une mise en vitesse progressive. Le couple est énergique,
l’appel de courant est important (5 à 8 fois le courant nominal).

Malgré les avantages qu'il présente (simplicité de l'appareillage, démarrage


rapide, coût faible), le démarrage direct convient dans les cas ou :
• La puissance du moteur est faible par rapport à la puissance du réseau (dimension du
câble)
• La machine à entraîner ne nécessité pas de mise en rotation progressive et peut
accepter une mise en rotation rapide
• Le couple de démarrage doit être élevé

Ce démarrage ne convient pas si

• Le réseau ne peut accepter de chute de tension

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• La machine entraînée ne peut accepter les à-coups mécaniques brutaux  Le confort et
la sécurité des usagers sont mis en cause (escalier mécanique) 4-Démarrage
étoile triangle

Ce mode de démarrage n'est utilisable si les deux extrémités de chaque


enroulement sont accessibles. De plus, il faut que le moteur soit compatible avec
un couplage final triangle

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0
Ordre de marche
1 KM KM
Temporisation
2 KM
Ouverture de
3 KM KM
Ordre d’arrêt

Lors du couplage étoile, chaque enroulement est alimenté sous une tension 3 fois plus
faible, de ce fait, le courant et le couple sont divisés par 3.
Lorsque les caractéristiques courant ou couple sont admissibles, on passe au couplage
triangle. Le passage du couplage étoile au couplage triangle n'étant pas instantané, le
courant est coupé pendant 30 à 50 ms environ. Cette coupure du courant provoque une
démagnétisation du circuit magnétique. Lors de la fermeture du contacteur triangle, une
pointe de courant réapparaît brève mais importante (magnétisation du moteur).

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5-Démarrage statorique

Ce type de démarrage a des caractéristiques comparables au démarrage étoile


triangle Il n’y a pas de coupure de l’alimentation du moteur entre les deux temps de
démarrage.

0
Ordre de marche

1 KM1
Temporisation

2 KM1 KM2

Ouverture d’arrêt

Ce dernier démarreur peut être associé au dispositif de démarrage étoile-triangle.


On démarre en étoile, puis on passe en couplage triangle avec les résistances, et enfin on
termine en couplage triangle direct.
Pour les moteurs de grosse puissance, les résistances sont remplacées par un
démarreur à résistances électrolytiques. Des barres sont plongées progressivement dans
une cuve remplie de liquide. Au fur et à mesure que les barres plongent, la résistance
diminue progressivement, et en fin de démarrage, on court-circuite les résistances

6-Tension réduite par auto-transformateur

Dans le démarrage par autotransformateur, on effectue le même type que le


démarrage étoile triangle (on a en plus le choix du rapport des tensions en choisissant le
rapport de transformation) mais les phénomènes transitoires du démarrage étoile triangle
(pointe de courant au passage triangle, ne vont plus exister car le courant n'est jamais
coupé).

Dans un premier temps, on démarre le moteur sur un autotransformateur couplé en


étoile. De ce fait, le moteur est alimenté sous une tension réduite réglable. Avant de passer
en pleine tension, on ouvre le couplage étoile de l'autotransformateur, ce qui met en place
des inductances sur chaque ligne limitant un peu la pointe et presque aussitôt, on
courtcircuite ces inductances pour coupler le moteur directement au réseau.

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0
Ordre de marche

1 KM1 KM3
Temporisation 1

2 KM1
Temporisation 2
3 KM1 KM2

Ordre d’arrêt

Id = 1,7 à 4 In
Cd = 0,5 à 0,85 Cn

Ce mode de démarrage est surtout utilisé pour les fortes puissances (> 100 kW) et
conduit à coût de l’installation relativement élevé, surtout pour la conception de
l'autotransformateur.

7-Démarrage rotorique

Dans tous les démarreurs précédents, nous n'avons utilisé que des moteurs à cage
d'écureuil. Pour ce démarreur, nous avons besoin d'avoir accès au conducteur rotorique.
Le fait de rajouter des résistances au rotor provoque une limitation de la pointe de courant
au démarrage. En plus, il a l'avantage, si les résistances sont bien choisit, de démarrer avec
le couple maximal du moteur.

Avec :

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Le couple ne dépend que du rapport R2/g.

Cmax et Cmin sont fixés par le cahier des charges, g2 et g3 sont


déterminés sur la caractéristique " naturelle " du moteur. Connaissant la
valeur de la résistance du bobinage rotorique r, on détermine les
valeurs des résistances de démarrage R et R'.

8-Les démarreurs électroniques

Ils permettent un démarrage progressif des moteurs, ils remplacent les démarreurs à technologie
électromagnétique cité dans les précédents paragraphes.

• constitution :
Les démarreurs sont constitués d’un gradateur triphasée à angle de phase

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• Principe de fonctionnement : U rampe
- La tension du réseau d’alimentation est
U rampe
appliquée progressivement au stator du moteur.
max
- La variation de la tension statorique est obtenue
t
par la variation continue de l’angle  de retard à 0
td
l’amorçage des thyristors du gradateur. - La consigne

de démarrage permet de régler la pente d’un signal en
forme de « rampe ». Cette consigne est étalonnée en 180°
secondes.
- A la fin du démarrage, le stator du moteur est t
sous tension nominale, les thyristors sont alors en 0
pleine conduction. U stator
- Le phénomène inverse se produit lors d’un arrêt
progressif contrôlé. La consigne de décélération Un
permet de faire évoluer l’angle  des thyristors de
0° à 180° donc Umoteur de Un à 0 t
0
- Pour une charge donnée, le réglage de la pente
permet de faire varier la durée de démarrage, donc le temps de mise en vitesse progressive de
l’association moteur+charge

9-Tableau récapitulatif

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Démarrage Démarrage Démarrage Démarrage par Démarrage Démarreur
direct étoile triangle statorique auto rotorique électronique
transformateur
Courant de
démarrage 100% 33% 50% 40/65/80% 70% 150 à 750%

Surcharge en
ligne 4 à 8 In 1.3 à 1.6 In 4.5 In 1.7 à 4 In <2.5 In

Couple en % 10 à50%
de Cd 100% 33% 50% 40/65/80% (50 à 100%
en 100ms)
Couple
initiale au 0.6à 1.5 Cn 0.2 à 0.5 Cn 0.6 à 0.85 Cn 0.4 à 0.85 Cn 0.4 à 0.85 Cn <2.5 Cn
démarrage
commande T.O.R T.O.R 1 cran fixe 3 crans fixe De 1 à 5 crans électroniques
avantages - démarreur -économiques - -possibilités -bon rapport -très bon -Démarrage
simple et bon rapport de réglages couple/courant rapport sans à coup -
économique couple/courant des valeurs - possibilités couple/courant montée
-couple au au démarrage de réglages -possibilité de progressive
démarrage - des valeurs au réglage des en vitesse -
important démarrage valeurs au limitation de
démarrage l’appel de
courant au
démarrage

inconvénients -pointe de -couple de -faible -nécessite un -moteur à -prix


courant très démarrage réduction de auto bague plus
importante - faible - la pointe de transformateur onéreux
démarrage coupure courant au onéreux -
brutal d’alimentation démarrage - présente des
au nécessite des risques de
changement résistances réseau
de couplage - volumineuses perturbé
moteur 6
bornes
Constructions spéciales
Moteur à double cage
La cage externe est plus " résistive " (laiton), la cage interne présente une
inductance plus élevée. Au démarrage, le moteur se comporte comme un
transformateur : la fréquence des courants rotoriques est élevée (50Hz). Le
courant circule essentiellement dans la cage externe, car l'impédance de la
cage interne (L.w ) est plus élevée. Au fur et à mesure que la vitesse du
moteur augmente, la fréquence des courants rotoriques diminue, le courant
circule progressivement dans la cage interne.

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Moteur à encoches profondes
Lors du démarrage, les courants rotoriques sont refoulés vers la
périphérie des barres du rotor : la résistance " utile " du rotor est donc
augmentée.

Différentes sections de barres rotoriques utilisées:

Moteur à cage résistante


Le courant de démarrage est limité, sans que le couple soit diminué.

Freinage par contre - courant


Lors du freinage, il y a ouverture de KM1 puis fermeture de KM2 : le moteur
est alimenté par un champ statorique inverse. Les pointes de courant sont très
importantes et il est conseillé d'insérer un jeu de résistances pour limiter ce
courant. KM2 doit s'ouvrir dès l'arrêt du moteur, pour éviter un redémarrage
en sens inverse : il est donc nécessaire de prévoir un capteur détectant
l'absence de rotation (capteur centrifuge).

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Freinage par injection de courant continu
Au moment du freinage, KM1 s'ouvre puis KM2 se ferme. Un courant
continu est envoyé dans le stator. Le moteur se comporte comme un
alternateur dont l'inducteur est constitué par le stator, l'induit par le rotor
en court - circuit.

Moteur frein
Le moteur est muni d'un frein électromagnétique à disque monté du
côté opposé à l'arbre de sortie. En l'absence de courant (ouverture de
KM1 ou coupure du réseau), un ressort de rappel permet d'assurer le
freinage. C'est un élément important de sécurité, en particulier dans les
applications de levage.

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Ce stage nous a appris en premier lieu, que la formation technique est
loin de se limiter à être le véhicule d’un certain savoir. Puisqu’il ouvre les
voies de s’habituer au monde de travail et de s’intégrer avec les
techniciens de service aux moments des interventions, Cependant c’est
une culture lourde axée sur trois paramètres fondamentaux :
* Le savoir ;
* Le savoir faire ;
* Le savoir être.
D’une autre part. Ce stage nous a permis de voir et de comprendre
beaucoup de choses sur l’entreprise DATELIC, nous avons la chance de
pratiquer et d’acquérir de nouvelles connaissances, ce stage nous a
permis aussi de consulter des ouvrages et des documents concernant le
sujet traité, ainsi nous avons profité de l’ensemble des suggestions de
notre encadrant et des techniciens qui nous ont aidé à réaliser ce travail

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