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FOUGHALI Omar
EI4 QSF 2012/2013
Enseignant Encadrant : M. CLOUPET Sylvain
Démarche de
Certification ISO 9001
Laboratoire ROUVRE
4 Quai Président Wilson
BP : 70202
44202 Nantes Cedex 2
Tél : 02 40 47 56 39
Fax : 02 40 47 33 73
www.laboratoire-rouvre.com
Démarche de certification ISO 9001 du Laboratoire ROUVRE
AVANT-PROPOS
Par ailleurs nous remercions Monsieur Eric BESSIERES, Consultant en Qualité, qui grâce à ses
compétences en la matière, nous a permis d’approfondir nos connaissances en terme de
Management de la Qualité. Sans son aide, ce projet n’aurait pu être réalisé.
Aussi, nous remercions les salariés du laboratoire ROUVRE pour leur collaboration et leur
contribution lors de ces quinze séances de projet, ceci ayant contribué au bon déroulement
de la démarche de certification ISO 9001.
SOMMAIRE
INTRODUCTION ............................................................................................................................ 5
Historique ................................................................................................................................. 7
Organigramme .......................................................................................................................... 8
Fabrication ..................................................................................................................................... 11
Contexte ................................................................................................................................. 14
Enquête de satisfaction.................................................................................................................. 30
CONCLUSION.............................................................................................................................. 47
BIBLIOGRAPHIE .......................................................................................................................... 48
GLOSSAIRE ................................................................................................................................. 49
ANNEXES.................................................................................................................................... 50
INTRODUCTION
La Qualité, définie par le dictionnaire Le Robert comme une manière d’être, est une
caractéristique qui donne de la valeur aussi bien à un objet qu’à un être vivant. Par opposition, un
défaut marque une absence de quelque chose de nécessaire ou de désirable.
Dans les secteurs professionnels, la recherche du « bel ouvrage » ou du « travail bien fait » est une
préoccupation majeure. Toutefois, avec l’arrivée de l’industrialisation, un nouveau besoin a vu le jour
au sein des organismes afin d’assurer la liaison entre les activités et la fabrication des produits : la
standardisation. Mais dans un univers « standard », la nécessité de marquer une certaine différence
a conduit à la définition, au niveau international, de signes distinctifs notamment grâce à des
organismes comme l’ISO (International Organization for Standardization). C’est ainsi que sont nés les
normes et leur corolaire, la certification.
Notre mission consistait donc à remettre à jour le système documentaire basé sur le référentiel ISO
9001, mettre en place des indicateurs de performance, améliorer la communication au sein du
laboratoire et développer l’implication de tous les salariés.
Néanmoins, lors de ce projet nous nous sommes posé un certain nombre de questions sur l’utilité
d’être certifié ISO 9001 et les limites qui en résultent. En effet, dans le domaine médical le référentiel
ISO est toujours en vogue mais d’autres normes sont utilisées comme l’ISO 13485 (dispositifs
médicaux) et la 14001 (environnement). D’un point de vue industriel un très grand nombre
d’entreprises sont aujourd’hui certifiées, il n’y a donc plus une grande distinction entre-elles. Par
ailleurs ce référentiel est basé sur la satisfaction du client, or le contexte économique et social actuel
nous pousse à prendre en compte toutes les parties prenantes de l’entreprise (fournisseurs, salariés
et actionnaires), toutes ces constatations nous amènent à nous demander si la fin de l’ère ISO 9000
est proche, et s’il existe d’autres moyens pour se différencier de la concurrence ?
Afin d’apporter des éléments de réponse à cette question nous allons dans un premier temps
présenter le laboratoire ROUVRE, ensuite les avantages et limites de la certification ISO 9001 dans
une entreprise comme celle-ci, et enfin dans une dernière partie nous présenterons les travaux
réalisés au cours de ce projet dans le but d’obtenir un système organisé et rigoureux.
PRESENTATION DE L’ENTREPRISE
FICHE D’IDENTITE
Téléphone : 0240473373
Fax : 02 40 47 33 73
APE : 3250 A
L’activité de ce laboratoire est la fabrication d’orthèses dentaires, dans le but de replacer les
dents dans leur position idéale. Ses clients sont essentiellement des orthodontistes. Les
produits sont :
Moulage ;
Appareil fixe ;
Appareil fonctionnel ;
Elastodontie ;
Thermoformage.
HISTORIQUE
1975 : Monsieur Jean-Yves ROUVRE, après une expérience de salariat de quelques années à la
Faculté Dentaire, crée son laboratoire de prothèses dentaires spécialisé en orthodontie, au fond du
jardin de ses parents sur la commune de Rezé.
1980 : Mme Isabelle Rouvre rejoint une équipe de 4 prothésistes et assure très rapidement
l’organisation administrative.
1981 : Reprise du Laboratoire Morel, 4 rue Gaston Veil à Nantes, entrainant un déménagement dans
de plus grands locaux. Expansion de l’activité du laboratoire, de 5 personnes, il passe à 11.
1996 : Nouveau déménagement dans d’autres locaux de 230 m², au 40 bd Gustave Roch à Nantes.
1998 : Décès de Monsieur Rouvre. Reprise du Laboratoire par sa femme. Licenciement de 3 salariés
pour permettre le redémarrage du laboratoire avec une plus petite structure.
02 Août 2004 : Déménagement du laboratoire dans les locaux actuels au 4 quai Président Wilson.
Locaux agencés de manière plus fonctionnels et ergonomiques.
2007 : Pré-Audit mais pas d’aboutissement à la Certification pour cause de dépôt de bilan de
l’organisme certificateur.
ORGANIGRAMME
ACCUEIL TELEPHONIQUE
Accueil ;
Bureau ;
Atelier 1 (résine et fixe) ;
Atelier 2 (Elastodontie – fixe).
Les appels reçus au bureau et à l’atelier 1 sont enregistrés sur un agenda. Tous les autres appels
sont enregistrés sur les fiches « Enregistrements des appels téléphoniques » pour l’accueil. Cet
agenda comporte :
Les appels téléphoniques sont archivés pendant douze mois. Le laboratoire dispose de deux
lignes téléphoniques, une adresse électronique, un téléphone portable et un site Internet
disponible à l’adresse suivante www.laboratoire-rouvre.fr.
ENLEVEMENT – LIVRAISON
L’enlèvement du travail est effectué dans les délais et les modalités convenus avec le
praticien lors de sa demande. Il est toujours accompagné d’un exemplaire du bon de
commande. Les demandes de passage de nos praticiens sont enregistrées sur la fiche « passage
coursier ».
Dans certains cas, les praticiens apportent et retirent leur commande au laboratoire ;
Une boite à empreinte est installée près de la porte du bas, pour déposer les
empreintes à toute heure du jour ou de la nuit.
La fiche livraison hebdomadaire regroupe par jour les différents cabinets livrés, l’heure de
passage, et est signée en fin de journée par la coursière. Cette feuille reste avec les bons de
livraisons de la journée.
Les livraisons transporteur et de la Poste sont renseignées sur un agenda qui comporte 2
colonnes : TNT et Poste. Dans chaque colonne sont indiqués :
Le laboratoire dispose pour le transporteur TNT et pour la Poste d’un document contractuel
signé par les deux parties.
En cas de non livraison indépendante du laboratoire, le cabinet dentaire téléphone dans les
heures qui suivent la non livraison des dispositifs. Le Laboratoire effectue une recherche,
rappelle le praticien et propose une solution.
Date ;
Identification praticien ;
Identification patient ;
Nature du travail ;
Dates et délai de livraison ;
Informations techniques, le cas échéant ;
Besoins du praticien (fiche, sachet, étiquette d’expédition).
VENTILATION – PLANIFICATION
A réception des travaux et après vérification des bons de commande les ordres de
fabrication sont enregistrés informatiquement et numérotés. Les empreintes accompagnées
d’un exemplaire du bon de commande sont envoyées au secteur plâtre pour le coulage des
empreintes.
Le moulage d’appareil, et la fiche de prescription sont mis dans des bacs de couleur, par type de
travaux à effectuer, comme le montre le tableau suivant :
Après le taillage des moulages d’appareil, les boîtes sont ensuite dirigées vers les secteurs
concernés des différentes fabrications, et mises en attente sur des étagères de travaux et/ou de
priorité en terme de délai.
FABRICATION
Au secteur Résine, les travaux reçus dans une boîte rouge ou verte représentative du
secteur sont classés par la personne habilitée sur l’étagère au jour du délai d’urgence
défini sur le bon de commande. La charge de travail quotidienne est distribuée aux
collaborateurs concernés, par la personne habilitée.
Au secteur Fixe, les travaux, en attente, reçus, dans des boîtes de couleurs bleues ou
transparentes, sont regroupés dans les étagères par date d’urgence « délai ». La
personne responsable distribue quotidiennement la charge de travail classée selon la
priorité de fabrication en relation avec le délai de livraison.
Au secteur Elastodontie, les travaux sont mis dans des boîtes spécifiques au secteur
(boîtes bleues ou grises larges). Ils sont placés en étagères par délai d’urgence. Une
étagère est consacrée aux travaux spécifiques et/ou en attente.
Au secteur Moulage, les moulages sont classés au nom du client, sur une étagère en
fonction des délais demandés. Chaque jour des plateaux de travail sont préparés par la
personne habilitée. Les travaux de la charge sont répartis en fonction des modèles à
fabriquer :
o Moulage intermédiaire ;
o Moulage U.S (taille américaine) ;
o Moulage SS (sécurité sociale).
En fin de fabrication, le dispositif est passé à la vapeur ou aux Ultra-sons pour nettoyage afin
d’éliminer les traces de produit de polissage. Il est désinfecté et emballé dans un sachet à usage
unique, sur lequel est indiqué « Dispositif médical sur mesure non stérile », auquel est joint un
exemplaire de la commande.
Les moulages sont taillés, grattés et étiquetés (attribution d’un numéro d’ordre en lien avec
l’identification patient et praticien. Les moulages terminés sont stockés en étagère, au nom du
client par secteur de livraison.
Tous les travaux terminés sont dirigés et classés sur des étagères du secteur « départ ».
CONTROLE ET SUIVI
Coulage ;
Taille ;
Fabrication de l’appareil ;
Contrôle de l’appareil ;
Contrôle final.
Une cartographie des processus, axée sur l’exploitation des empreintes à partir de leur
réception jusqu’à l’expédition avec le moulage ou l’appareil fabriqué, permet de modéliser
l’organisation du laboratoire :
Cette cartographie montre plus en détails les processus relatifs à la réalisation des produits. En
effet, Madame ROUVRE ayant décidé de réduire le champ de certification à l’exploitation des
empreintes, nous avons voulu mettre l’accent sur toutes les étapes où les empreintes sont
nécessaires à la réalisation des moulages et des appareils.
CONTEXTE
Au démarrage de notre projet, un état des lieux du système nous a permis d’identifier les
outils déjà mis en place mais à modifier ou à compléter :
Cet état des lieux nous a également permis de savoir quelles tâches nous devrions accomplir :
Après avoir effectué quelques recherches, nous nous sommes aperçus que dans le secteur de la
fabrication de prothèses dentaires, de plus en plus de laboratoires sont certifiés ISO 9001. Nous
pouvons alors penser que sur le long terme, cette certification sera nécessaire pour tous les petits
laboratoires afin de faire face aux plus importants concurrents. Par ailleurs, d’autres normes sont
applicables pour ce secteur d’activité, comme la norme ISO 13485, continuité de la norme 9001,
spécifique aux dispositifs médicaux et à la matério-vigilance ou encore comme la norme ISO 14001
concernant le management environnemental.
Pour le laboratoire ROUVRE, l’objectif actuel est donc d’être certifié ISO 9001 dans un premier
temps, pour peut-être acquérir, dans quelques années, le label ISO 13485.
L'entière satisfaction du client constitue, pour cette entreprise, l'objectif essentiel. Il convient de
comprendre ses besoins présents et futurs et de s'efforcer d'aller au-devant de ses attentes. C'est
pourquoi, par le biais de cette démarche de certification, le laboratoire veut s’évertue à mettre en
œuvre une politique qualité afin d'améliorer continuellement son niveau de performance.
Afin que le Système soit précis, rigoureux et suivi, le laboratoire s’appuie sur la norme ISO 9001.
Celle-ci est issue de la famille ISO 9000 (International Organization for Standardization).
Ces référentiels représentent un consensus international sur les bonnes pratiques du
management de la qualité. La famille se compose des normes et lignes directrices relatives aux
systèmes de management de la qualité et des normes de soutien associées. Ces normes s’appuient
sur le concept de l’amélioration continue conformément au principe de la roue de Deming comme le
montre le schéma suivant.
Source : http://testtt.centerblog.net/2-
qfvae-fehbgv
ISO 9001:2008 est la norme qui fournit un ensemble d'exigences normalisées pour un système de
management de la qualité, indépendamment du domaine d'activité et de la taille de l'organisme
utilisateur, et qu'il soit dans le secteur privé ou dans le secteur public.
Les autres normes de cette famille couvrent des aspects spécifiques comme les principes essentiels
et le vocabulaire, les améliorations des performances, la documentation, la formation et les aspects
financiers et économiques.
Démontrer son aptitude à fournir régulièrement un produit conforme aux exigences des
clients et les exigences légales et réglementaires applicables ;
Viser à accroître la satisfaction de ses clients par l’application efficace du système.
La norme ISO 9001 définit trois niveaux d’intervention qui sont les fournisseurs, l’organisme et les
clients. De plus, dans une entreprise, 8 fonctions clefs sont définies comme le montre le tableau
suivant. La rédaction de la norme ISO 9001 est basée sur ces 8 fonctions.
I. Domaines d’application
II. Références normatives
III. Termes et définitions
IV. Système de Management de la Qualité
V. Responsabilité de la direction
VI. Management des ressources
VII. Réalisation du produit
VIII. Mesure, analyse et amélioration
Les 5 derniers chapitres comportent un certain nombre d’exigences que l’organisme doit respecter
pour être certifié ISO 9001.
Un classement et une description de ses processus : les processus peuvent être classés en 4
catégories qui sont Réalisation, Support, Pilotage et Amélioration. Chaque processus fait
l’objet d’une description détaillée et en complément, une cartographie doit être modélisée,
celle-ci représentant les liens entre tous les processus ;
Une description de ses procédures : comme pour les processus, chaque procédure doit être
détaillée. Par ailleurs un logigramme de procédures doit schématiser l’enchaînement des
différentes tâches ;
Un manuel Qualité spécifiant l’organisation du Système de Management de la Qualité de
l’organisme ;
La liste des exigences légales, réglementaires et autres ;
La liste des risques environnementaux ;
La gestion de la documentation décrivant de quelle manière l’organisme prévoit de maîtriser
sa documentation ;
La gestion des enregistrements décrivant de quelle manière l’organisme prévoit de maîtriser
ses enregistrements qui serviront de preuves tangibles de la qualité.
RESPONSABILITE DE LA DIRECTION
REALISATION DU PRODUIT
Au-delà de tous ces aspects, une certification ISO 9001 permet avant tout d’augmenter la confiance
des clients et des employés dans l’entreprise.
L’ISO 9001 n’est pas une norme qui embrigade l’entreprise dans des obligations strictes et des
procédures complexes, en effet seulement 6 procédures sont obligatoires. Outre l’apport de
discipline et de rigueur apportés au sein de l’organisation, cette norme n’empêche en rien la
créativité, au contraire elle l’encourage par le besoin d’analyse, de remise en question, de recherche
d’outils d’amélioration et de moyens de communication. Tous ces éléments montrent donc que la
norme ISO 9001 est source de progression et d’ouverture pour les entreprises qui en sont certifiées
Néanmoins, un certains nombres de facteurs clés de réussite sont primordiaux afin que le Système
de Management de la Qualité soit efficace :
L’engagement de la Direction ;
La formation et l’implication de tous les salariés ;
La compréhension de la norme et de ses exigences pratiques ;
L’état d’esprit d’ « amélioration continue ».
ORGANISATION DU PROJET
Tous les outils et documents créés et cités dans ce tableau sont décrits dans les deux parties
suivantes « Formalisation d’un système documentaire basé sur le référentiel » et « Mise en place
d’outils et d’indicateurs ».
Afin de répondre aux exigences de la norme ISO 9001, un Manuel Qualité a été créé. C’est un
outil de référence du Système de Management de la Qualité. En effet, il présente les dispositions
prises par le laboratoire ROUVRE pour la mise en place, le déploiement, le suivi et l’amélioration
continue de ce SMQ.
Ce Manuel Qualité s’adresse aux clients, fournisseurs, collaborateurs du laboratoire afin qu’ils
comprennent les engagements pris pour proposer des produits de qualité et l’état d’esprit régit au
sein de l’entreprise.
Cet outil est validé par la Direction qui le détient dans sa version originale. Sa diffusion est assurée
par le Service Qualité qui attribue un numéro à chaque nouvel exemplaire.
Le Manuel Qualité du laboratoire ROUVRE formalisé lors de notre projet comporte 9 chapitres.
I. Engagement du laboratoire
II. Présentation du laboratoire
III. Processus Direction
Rappelons qu’un processus décompose les tâches nécessaires à la réalisation d'un projet ou d'une
activité en opération de traitement : transmission, saisie, classement... C'est un enchaînement
d'opérations. Une procédure est un ensemble de règles d'organisation dont l'objectif est d'arriver à
un certain résultat.
Le Tableau n°2 suivant présente la liste des fiches processus et procédures constituant le Manuel
Qualité :
Pour permettre une meilleure compréhension du Manuel Qualité, une explication plus
précise du Chapitre 7 : "Processus Achat" et plus particulièrement la « Fiche Processus Achat », la
« Procédure Achat » et la « Procédure Sélection des fournisseurs, évaluation et suivi » sont présentés
ci-dessous.
Les enregistrements pour ce chapitre sont la « Liste des fournisseurs » sur EXCEL et la « Grille
d’évaluation des fournisseurs » présentée un peu plus bas dans le rapport.
La fiche processus est un outil synthétique qui permet à la fois de réfléchir sur l’organisation
du processus et de communiquer l’essentiel auprès des équipes. Elle constitue un outil de pilotage
qui s’avère utile lors des audits ou des intégrations de nouveaux collaborateurs pour présenter le
processus.
L’intérêt de cette fiche est de pouvoir « zoomer » autant que nécessaire au sein du processus et des
activités qui le composent. En effet, pour chaque processus les mêmes éléments sont décrits :
Dans certain processus, des éléments précis peuvent être rajoutés, dans l’exemple choisit plus bas,
le « Choix des fournisseurs » a été indiqué en plus.
Enfin, un logigramme est réalisé. C’est un outil pour analyser et décrire un processus ou une activité.
Cela nécessite de séparer le processus ou l'activité en plusieurs événements et de montrer la relation
logique qui les unit. Construire un logigramme permet une meilleure compréhension du processus.
Les achats en termes de fournitures sont réalisés par le responsable des achats. Le responsable
Achats peut déléguer les activités dont il est responsable auprès des personnes habilitées.
Domaine d’application :
Finalité du processus :
Entretenir avec les fournisseurs répondant à nos exigences qualité, coûts et délais, une
relation de partenariat
Assurer la disponibilité des marchandises avec le niveau de qualité, les quantités et délais
requis
Entrant:
Sortant :
Le respect du délai et de la quantité sont les critères primordiaux de validation du fournisseur. Ils
seront mesurés grâce au formulaire « évaluation des fournisseurs » une fois par an avant la revue de
direction.
Cet indicateur doit nous permettre de ne pas stocker une quantité trop importante de matière, de ne
pas immobiliser de capitaux (sachant que généralement nos délais de paiement de 60 jours sont plus
courts que nos délais de paiement client qui sont à 90 jours) tout en restant réactif face aux
commandes de nos clients.
Date :
Les modes d’emplois, les attestations CE et démarche qualité ainsi que les fiches de données de
sécurité, sont regroupés dans le dossier « Certificats fournisseurs, norme CE ». Ces documents sont
regroupés par liste alphabétique de nos fournisseurs.
La liste des produits sensibles est présentée dans la fiche « produits sensibles ». Elles comportent :
Les produits achetés sont vérifiés visuellement par les opérateurs avant qu’ils les utilisent.
Les critères de sélection du laboratoire ROUVRE quant au choix de ses fournisseurs sont dans l’ordre :
A la réception de nos achats, les commandes sont vérifiées par les personnes habilitées et cochées
sur le bon de livraison ou la facture reçue permettant ainsi le contrôle des produits et le traitement
comptable de la facture.
Un formulaire d’évaluation des fournisseurs est disponible dans les enregistrements sous la
référence F7-2.Grille d’évaluation des fournisseurs.
3. Fournisseurs sensibles
Nos principaux fournisseurs sensibles de produits intermédiaires (constitutifs des prothèses livrées)
et de produits concourants (participant à la fabrication des dispositifs) sont recensés dans la liste des
fournisseurs.
Celle – ci comporte :
Le nom du fournisseur
La famille du produit
L’adresse, les numéros de téléphone et de fax
Le contact le cas échéant
La norme ISO 9001, consciente de cette règle d’or du client roi, a introduit le concept d’orientation
client depuis la version 2000. Elle évoque depuis à 3 reprises :
Dans le chapitre « 5.2 Ecoute Client», la norme nous incite à identifier les besoins et attentes
des clients, du marché, de la réglementation pour évaluer les opportunités d’amélioration et
mieux. Il s’agit de l’écoute « amont », l’écoute marketing.
Dans le chapitre « 7.2 Processus relatif au client», il s’agit de l’écoute opérationnelle des
besoins client qui se traduit concrètement au niveau du processus commercial.
Dans le chapitre « 8.2.1 Satisfaction du client», la norme parle de l’évaluation de la
satisfaction client, il s’agit donc d’une écoute rétroactive qui peut être faite en réalisant des
enquêtes de satisfaction.
Un bon nombre d’entreprises, non conscientes des apports d’une enquête de satisfaction,
réalisent des enquêtes stériles plus par soucis de conformité à la norme que par volonté de
progresser pour mieux satisfaire leurs clients. La norme précise donc explicitement, qu’il est
préférable d’analyser des informations pertinentes (marchés perdus/gagnés, retours
positifs/négatifs, remontées d’informations du terrain) plutôt que de procéder à des enquêtes qui
n’apportent pas de valeur ajoutée.
LE CADRAGE
Lors de la rédaction de notre enquête de satisfaction client, nous avons définit 3 objectifs :
Recueillir toutes les informations manquantes concernant les cabinets dentaires, qui
représentent les clients (orthodontistes) ;
Evaluer le niveau de satisfaction des clients par rapport à tous les services du laboratoire ;
Savoir ce que pensent les clients de la démarche de certification ISO 9001.
DEFINITION DE L’ECHANTILLON
Pour définir notre échantillon nous avons utilisé la méthode ABC. Celle-ci donne un
pourcentage des clients interrogés, en utilisant des règles statistiques pour une population suivant
une loi normale, en fonction du chiffre d’affaires qu’ils représentent. Cette méthode nous a conduits
à envoyer l’enquête à 94 clients sur 250. Ces 94 clients représentant plus de 80% du chiffre d’affaires,
leur réponse permet donc d’avoir une idée sur le niveau de satisfaction de la totalité des clients.
Mesurer la satisfaction des clients par rapport à leurs besoins et attentes vis-à-vis des
services et produits que le laboratoire fabrique ;
N’aborder que les sujets sur lesquels le laboratoire peut agir ;
Inclure des échelles d’attitude qui nous permettent de donner plus d’éléments sur les
priorités à donner aux actions d’amélioration à mener suite à l’analyse des résultats de
l’enquête ;
Créer une liste de questions ne prenant que 3 minutes maximum à remplir afin d’augmenter
le taux de réponse.
L’échelle d’attitude choisie : échelle verbale (très satisfait, satisfait, insatisfait, très insatisfait).
Afin de recueillir les résultats de l’enquête de satisfaction pour chaque client ayant répondu,
une grille Excel a été créée. Des notes pour chaque critère d’attitude ont été attribuées dans le but
de calculer la moyenne de chaque grande partie de l’enquête et de pouvoir donner un indice de
satisfaction de chaque client.
Pour obtenir l’indice global de satisfaction pour l’entreprise, il est seulement nécessaire de réaliser la
moyenne de l’ensemble des indices de satisfaction.
INDICATEURS DE PERFORMANCES
Pour avoir plus de renseignements et n’ayant pas trop d’idée sur quel type d’indicateur implanter
pour le laboratoire, nous nous sommes également procuré des listes type. Malgré toutes ces
recherches, trouver des indicateurs adaptés aux besoins et contraintes du laboratoire nous a
demandé beaucoup plus de réflexion et de communication avec la gérante et les employés.
Finalement pour choisir nos indicateurs nous avons décidé de partir sur des mesures :
Simples: nous avons privilégié les modes les plus simples afin de caractériser la performance
d’une situation, d’une activité ou d’un processus.
Représentatives : il ne doit pas y avoir de débat possible sur la mesure. Pour y parvenir un
indicateur doit être à la fois objectif, exhaustif et quantifiable.
Donc pour nous un bon indicateur doit respecter ces trois points :
Représentativité Opérationnalité
Après avoir abordé la définition des indicateurs, nous nous sommes posés la question de
« comment consolider les mesures les plus représentatives de la performance du système de
management de l’entreprise au sein d’un unique document, le tableau de bord qualité ? »
L’élaboration des objectifs Qualité prend pour cadre la politique qualité d’une entreprise, cela induit
de s’appuyer sur les orientations de cette politique pour suivre les performances du système. Le
tableau ci-dessous illustre le croisement entre les processus et les axes de la politique qualité :
Le tableau de bord réalisé permet une analyse rapide des résultats qualité et ainsi à l’entreprise de se
positionner par rapport à sa stratégie, de déterminer le niveau d’efficacité des processus et enfin
d’identifier et de prioriser les axes d’amélioration. Voici la partie analyse de notre tableau de
bord (le tableau de bord en entier est placé en annexe) :
L’évaluation des fournisseurs est un outil mis à la disposition du processus Achat afin de
maîtriser la chaîne d’approvisionnement. En effet, la Qualité Achat peut avoir un impact non
négligeable sur la réalisation du produit par l’entreprise.
Les critères de sélection du laboratoire ROUVRE quant au choix de ses fournisseurs sont dans
l’ordre :
A la réception des achats, les commandes sont vérifiées par les personnes habilitées et
cochées sur le bon de livraison ou la facture reçue permettant ainsi le contrôle des produits et le
traitement comptable de la facture.
Nous avons mis en place une grille d’évaluation des fournisseurs sous forme informatique qui donne
une note globale en fonction des critères choisis pour l’évaluation des fournisseurs, la grille affiche
PRESENTATION DU LOGICIEL
Il s’agit d’un système de gestion des événements constatés et des actions d’amélioration
permettant de saisir les informations relatives à un dysfonctionnement (résultat d’audit, service,
réclamation client, incident, problème, urgence…).
Pour chacun de ces événements constatés, il est possible de créer une ou plusieurs actions.
Recherche de cause ;
Action immédiate particulière ;
Action corrective ;
Action préventive.
Ensuite, une fois affectées à un responsable, celle-ci sont suivies jusqu’à leur complète réalisation.
Puis, leur efficacité doit être vérifiée avant la clôture de l’action.
1°) Une base de données contenant les informations sur les employés de l’entreprises ;
2°) Une saisie des informations relatives (formulaires) :
Figure 10 : Formulaire de
saisie d’une non-conformité
sur ACCESS
Figure 11 : Tableau de
restitution des non-
conformités
Sur cet exemple, il s’agit d’un tableau restituant les non-conformités en cours pour chaque catégorie.
Le progiciel est développé sous Microsoft Access Version 2007. Il peut fonctionner sur les versions
supérieures mais non sur les inférieures. Voici une capture d’écran de la structure du progiciel.
Dans le processus gestion de ressources humaines et matérielles, nous avons nécessité d’un
inventaire des matériels utilisés dans le laboratoire, pour cela nous avons créé un autre progiciel :
1°) Une base de données contenant les informations sur les employés de l’entreprise qui utilisent les
matériels ;
2°) Une saisie des informations relatives (formulaires) :
Figure 13 : Formulaire de
saisie d’un nouveau
matériel
Il s’agit du Formulaire pour saisir un nouveau bien, avec possibilité d’ajouter des commentaires et
pièces jointes.
Le progiciel est développé sous Microsoft Access Version 2007. Il peut fonctionner sur les versions
supérieures mais non sur les inférieures. Voici une capture d’écran de la structure du progiciel.
AUDIT INTERNE
L’audit interne est un outil servant à évaluer le SMQ de l’entreprise et accroitre la confiance en
interne.
Ce chapitre permet donc d'expliquer comment les audits internes sont réalisés au sein du laboratoire
et également, de présenter l’audit blanc réalisé au cours de notre projet avec M. Bessieres.
Les auditeurs habilités à réaliser des audits relatifs au Système de Management de la Qualité
figurent sur la liste des auditeurs internes habilités que nous avons créée.
La responsabilité du plan d’audit appartient au département Qualité. Les changements du plan sont
le résultat :
de la revue de direction;
des résultats des audits précédents;
du feedback client (interne et externe);
d’une modification de la stratégie;
de modifications de processus;
des résultats d’indicateurs.
Le Responsable Qualité peut déclencher un audit non planifié si cela lui semble nécessaire.
3- LA REALISATION DE L’AUDIT
Les réponses formulées par le(s) audité(s) sont consignées par l’auditeur sur le
Formulaire « Audits Internes".
4- LE RAPPORT D’AUDIT :
L'auditeur renseigne la deuxième partie du Formulaire « Audits Internes" par les actions
correctives à mener s'il y a lieu. Les écarts consignés dans le rapport d'audit sont de trois natures :
L’auditeur détermine avec le(s) audité(s) les actions correctives et préventives à mener, les
responsabilités ainsi que les dates de mise en place.
Une fois les responsables et les dates des actions correctives déterminés, la ou les personnes
auditée(s) signent le rapport pour attester les conclusions et valider leur engagement à mener et à
suivre les actions correctives dans les délais fixés. Ensuite l'auditeur appose sa signature pour valider
les conclusions de l’audit, puis un exemplaire du document est remis aux parties intéressées.
L'auditeur s'assure que les actions correctives sont mises en œuvre et efficaces. Il existe
deux cas :
l'action corrective est immédiate, sa mise en place est évaluée lors de l'audit. Elle figure
tout de même au rapport d'audit interne;
l'action corrective est réalisée après l'audit: la liste des actions correctives est alors
complétée par l'auditeur sur le Formulaire « Audits Internes".
Selon la nature de l'action corrective, l'efficacité sera évaluée après un délai de mise en place
suffisamment long laissé à l'appréciation de l'auditeur.
L'efficacité des actions correctives est systématiquement vérifiée à chaque audit interne. Suite à la
validation de ces actions, l’audit peut être clôturé.
6- CLOTURE DE L’AUDIT
Afin d’évaluer notre travail, Monsieur Bessières nous a audités pour voir à la fois si le travail
demandé était réalisé mais aussi pour évaluer la maturité de l’entreprise et ainsi conclure si celle-ci
est certifiable ou non.
Le résultat était très positif car le système documentaire a été jugé complet. Néanmoins un petit
écart a été formulé :
Le point à tirer de cet audit blanc, dans notre cas est le manque de sensibilisation du personnel à la
qualité, et leur implication dans le projet de certification.
CONCLUSION
Ce projet industriel, réalisé dans le cadre de notre deuxième année de cycle ingénieur à
l’ISTIA, option Qualité et Sûreté de Fonctionnement s’est avéré être une très bonne expérience
pour nous. En effet, nous avons découvrir plus précisément le monde de l’entreprise, notamment
l’aspect Qualité de celle-ci et ainsi approfondir nos connaissances théoriques acquises en cours.
Notre projet consistait donc en la mise en place d’une démarche de Certification ISO 9001 dans le
laboratoire ROUVRE, fabricant de prothèses dentaires pour les orthodontistes, avec l’aide d’un
consultant en Qualité. Cette collaboration avec un professionnel a été très enrichissant pour nous
puisque nous avons découvert de nouvelles méthodes de travail, il nous a également fait part de son
expérience dans le domaine et nous a donné de précieux conseils.
Lors de ce projet nous avons donc définis des indicateurs de performances, mis en place un
certain nombre d’outils pour atteindre les objectifs fixés et formalisé un système documentaire basé
sur le référentiel ISO 9001.
Par ailleurs, après avoir étudié et exploité la norme plus en détails, plusieurs interrogations nous sont
venues à l’esprit. Nous nous sommes notamment demandé si cette norme était applicable par tous
les types d’entreprise, si elle ne compliquait pas ou n’alourdissait pas le travail pour certaines d’entre
elles. En plus d'être à l'origine d'un important coût financier pour l'entreprise voulant être certifiée
ISO 9001 (par le biais des frais de l'organisme certificateur lors de l'audit de préparation, de
certification et des audits de suivi), cette norme ne prend en compte qu'une seule partie prenante de
l'entreprise, les clients. Or le contexte actuel de crise économique pousse les entreprises à prendre
en compte d'autres parties prenantes.
BIBLIOGRAPHIE
Sites internet
o http://www.iso.org/iso/fr/iso_9000_essentials
o http://www.qualiblog.fr
o http://www.techniques-ingenieur.fr/
o http://www.commentcamarche.net/contents/qualite/
Œuvre littéraire
o L’ISO 9001 facile – Réussir sa démarche de certification
Volume 2 : Les outils pour mettre en œuvre la démarche
Documents de l’entreprise
GLOSSAIRE
Action préventive : action visant à éliminer la cause d’une situation potentielle indésirable.
Client : organisme ou personne qui reçoit un produit ou un service ; le client peut être interne ou
externe à l’organisme.
Opérateur : toute personne qui exécute les tâches relatives à la réalisation d’un processus.
Performance : efficacité ; capacité de réaliser les activités planifiées et d’obtenir les résultats
escomptés.
Processus : ensemble d’activités corrélées ou interactives qui transforme des éléments d’entrée
en éléments de sortie.
ANNEXES
conformités Amélioration
Continue
F5-1. Fiche EIA Processus Ressources 07-03-2012 1
Humaines et
Matérielles
F5-2. Fiche de poste Processus Ressources 07-03-2012 1
Responsable du Humaines et
laboratoire Matérielles
F5-3. Fiche de poste Processus Ressources 07-03-2012 1
Responsable Qualité Humaines et
Matérielles
F5-4. Fiche de poste Coursier Processus Ressources 07-03-2012 1
Humaines et
Matérielles
F5-5. Fiche employés Processus Ressources 07-03-2012 1
Humaines et
Matérielles
F5-6. Gestion des matériels Processus Ressources 07-03-2012 1
Humaines et
Matérielles
F7-1. Liste des fournisseurs Processus Achat 07-03-2012 1
F7-2. Grille d’évaluation des Processus Achat 07-03-2012 1
fournisseurs
F8-1a. Consigne de sécurité Processus Production 07-03-2012 1
Aspiration
F8-1b. Consigne de sécurité Processus Production 07-03-2012 1
Machine à vapeur
F8-1c. Consigne de sécurité Processus Production 07-03-2012 1
Port des gants
F8-1d. Consigne de sécurité Processus Production 07-03-2012 1
Poste de travail
F8-1e. Consigne de sécurité Processus Production 07-03-2012 1
Résine
F8-1f. Consigne de sécurité Processus Production 07-03-2012 1
Taille plâtre
F8-1g. Consigne de sécurité Processus Production 07-03-2012 1
générale
F8-1h. Numéros d’urgence Processus Production 07-03-2012 1
F8-2a. Fiche appareils fixes Processus Production 07-03-2012 1
F8-2b. Fiche appareil Processus Production 07-03-2012 1
F8-3a. Fiche de vie Processus Production 07-03-2012 1
Ebouillanteuse
F8-3b. Fiche de vie Pièces à Processus Production 07-03-2012 1
main
F8-3c. Fiche de vie Tour sus et Processus Production 07-03-2012 1
maillet
1. Généralités
2. Déclaration de la direction
L'entière satisfaction du client constitue pour notre laboratoire, l'objectif essentiel. Il convient de
comprendre ses besoins présents et futurs et de s'efforcer d'aller au-devant de ses attentes.
La direction s’engage donc à apporter tout son appui ainsi que les ressources humaines et matérielles
nécessaires à cette politique.
Par ailleurs, l’ensemble du personnel est invité à s'impliquer dans la démarche qualité afin d'assurer
la réussite de la politique engagée et obtenir la certification ISO 9001 en 2012.
Isabelle ROUVRE
Progression
Commercial
Amélioration
Production
R.matériel
Critères
Direction
Docteur,
Dans le cadre de notre Démarche Qualité et à la suite de votre commande, pourriez-vous nous aider
à améliorer la qualité de nos prestations, en prenant quelques instants pour exprimer votre niveau
de satisfaction.
Nous nous engageons à mettre en place un plan d’actions correspondant et vous rendre compte de
l’ensemble des questionnaires. L’équipe du laboratoire vous en remercie par avance.
ACCEUIL TELEPHONIQUE
Vos suggestions :
CONTACT
Vos suggestions :
Vos suggestions :
SERVICES EXPEDITION
Vos suggestions :
SERVICE EMBALLAGE
Vos suggestions :
DELAIS DE LIVRAISON
Vos suggestions :
MOULAGES
Vos suggestions :
APPAREILS FIXES
Fiabilité
Vos suggestions :
APPAREILS FONCTIONNELS
Qualité
Fiabilité
Vos suggestions :
ELASTODONTIE
Qualité
Fiabilité
Vos suggestions :
THERMOFORMAGE
Qualité
Fiabilité
Vos suggestions :
OUI NON
Est-t-il important pour vous que le laboratoire soit certifié ISO 9001(système de management de la
qualité) ?
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
Eléments du référentiel NA C R NC
4. Système de management de la Qualité
1. Exigences générales
2. Exigences relatives à la documentation
Eléments du référentiel NA C R NC
5. Responsabilité de la Direction
1. Engagement de la direction
2. Ecoute client
3. Politique Qualité
4. Planification
5. Responsabilité, autorité et communication
6. Revue de direction
Eléments du référentiel NA C R NC
6. Management des Ressources
1. Mise à disposition des ressources
2. Ressources humaines
3. Infrastructures x
4. Environnement de travail
Eléments du référentiel NA C R NC
7. Réalisation du produit
1. Planification de la réalisation du produit
2. Processus relatifs aux clients
3. Conception et développement SO
4. Achats
5. Production et préparation du service
6. Maîtrise des équipements de surveillance et de mesure X
Eléments du référentiel NA C R NC
8. Mesure, analyse et amélioration
1. Généralités
2. Surveillance de mesurage
3. Maîtrise du produit non conforme
4. Analyse des données
5. Amélioration
Eléments du référentiel NA C R NC
Rappel des Processus
Conclusion et Recommandations
Dans le cadre de notre deuxième année de cycle ingénieur à l’ISTIA en Qualité et Sûreté
de Fonctionnement, nous avons effectué notre projet industriel de 15 journées, réparties entre
Novembre 2011 et Avril 2012, au sein du Laboratoire ROUVRE. Cette entreprise de 13
personnes fabrique des prothèses dentaires pour les orthodontistes, à Nantes.
Depuis quelques années, la Direction s’est lancée dans un projet de Certification ISO
9001, avec l’aide d’un Consultant. Malgré une bonne volonté, des contretemps sont venus
ralentir ce projet. C’est donc dans ce contexte que nous sommes arrivés au sein de cette
équipe. Notre mission consistait donc en l’implantation d’un Système de Management de la
Qualité basé sur le référentiel ISO 9001 en améliorant les outils et procédures déjà instaurés et
en apportant nos idées comme des indicateurs, des outils informatiques (bases de données),
etc.