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Bibliographie indicative
✓ François ANOUKAHA, Abdoullah CISSE, N’diaw DIOUF, Josette N’guebou TOUKAM, Paul-Gérard
POUGUE, Moussa SAMB, Sociétés commerciales et G.I.E, collection Droit uniforme africain, éditions
Bruylant, 2002 ;
✓ Ehi Marc BEIRA, Droit commercial : Droit commercial général et Droit des sociétés commerciales,
Abidjan, éd. ABC, 2015,468 P ;
✓ LAMY, Sociétés commerciales, édition LAMY, 2011 ;
✓ Guillaume N’GUETTA, Droit des sociétés commerciales, support de cours 2019-2020 ;
✓ Georges RIPERT et René ROBLOT par Louis VOGEL, Traité de droit commercial, Tome 1-Volume 1,
Paris, éd. LGDJ, 18ème édition, 1998, 905 P.
I- CONTRÔLE DE CONNAISSANCES.
Dans le cadre d’un projet de création de société commerciale qui sera dénommée
ZINSOU-TECH, les futurs associés ne sont en mesure de faire que les apports suivants
:
BRICOLEUR, âgé de 33 ans, ingénieur Informaticien qualifié, ses compétences
techniques ; DONNE-CREDIT, 54 ans, sa créance de 20 millions de francs CFA,
constatée dans un titre, contre l'État ;
BOURGEOIS, 53 ans, l’usufruit, évalué à 30 millions de francs CFA, d'un appartement
dont il a la pleine propriété ;
BENI, le fils de DONNE-CREDIT, âgé de 15 ans, la somme de 10 millions de francs
CFA héritée de son grand père.
Les futurs associés, connaissant votre qualité de juriste chevronné, vous soumettent les
préoccupations suivantes :
1) Quelle est la nature des apports proposés ?
2) Quelle est la forme de société qu’ils ne peuvent créer considérant la nature des
apports proposés ?
3) Quel serait le montant du capital social ?
4) Olivier estime qu’en cas de refus des autres, il pourrait créer seul une société.