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République algérienne démocratique et populaire

Université mouloud Mammeri Tizi-Ouzou


Faculté de la science humaine &sociale
Département d’anthropologie
Spécialité : Anthropologie

*Thèmes*
L’expérience de L’immigration
clandestine racontée par
quatre jeunes de la région de
Tizi-Ouzou

Rapport de stage

Réalisé par : encadré par :


- MOKHTARI Tarek. Mme .ADOURI
- SALAH Hakim.

année d’étude : 2020/2021


Tout d’abord, nous remercions le bon DIEUX de nous avoir donné
le courage, la volonté, la force et la santé durant toutes ces années
d’études et pour l’accomplissement de ce modeste travail.

Nous exprimons, les plus chaleureux et vifs remerciement et plus


profonde gratitude envers nos familles, notre source de motivation,
d’ambition et qui ont toujours été là pour nous, sans eux nous ne
serrions sans doute pas ce que nous sommes aujourd’hui.

Ensuite, nous tenons à exprimer nos chaleureux remerciements et


profonde gratitude envers notre encadreur Mme. ADOURI Malika,
pour avoir dirigé ce travail, pour ses conseils précieux et ses
grandes compétences scientifiques qui ont été bénéfiques ainsi que
ses remarques toujours constructives pour nous et surtout pour son
soutien tout au long de ce travail.
Introduction générale
I. chapitre 01 :
I-1- la problématique
I-2- technique de recherche
I-3- récit de vie
I-4- pré enquête
I-5- le déroulement de l’enquête
II. chapitre 02 :
II -1- qui sont ces jeunes
II -2- quelle sont leurs motivations
II -3- réseaux de solidarité
II -4- le départ
II -5- l’arrivé a la destination
II -6- le retour
Conclusion générale
INTRODUCTION :

Ces dernières années l’immigration clandestine (HARRAGA) un phénomène qui


touche plusieurs pays du sud.
Selon les statistiques de jeunes qui ont quitté l’Algérie entre 24 et 40 ans. Si ce
phénomène est très médiatisé et posé un débat politique, il y a par contre très peu d’étude qui
nous renseigne sur ce qui pousse plusieurs jeunes à quitter leurs pays et comment ils ont vécu
cette expériences.
C’est ce que nous proposons de faire dans ce travail à travers des parcours de quatre
jeunes de la région de Tizi-Ouzou qui ont tenté cette expérience.
Ce rapport contient deux chapitres, dans le premier nous allons revenir sur notre
méthodologie et sur le déroulement dans nos enquêté. Dans le seconde nous allons les
parcours et l’expérience de quatre jeunes interviewés.
CHAPITRE I : MÉTHODOLOGIE de recherche

Introduction :
Dans ce chapitre nous allons revenir sur notre méthodologie. Nous allons présenter notre
problématique, le déroulement de notre enquête et les difficultés que nous avons rencontré.

I-1 PROBLEMATIQUE :

Cette étude explore les questions de l’immigration clandestine à travers l’analyse de


parcours de quatre jeunes de la région de Tizi-Ouzou qui ont eu cette expérience.
En effet l’immigration des algériens et en Kabylie n’est pas un phénomène récent. Les
travaux de ABDELMALEK SAYAD ont montré les étapes et la modalité de cette
immigration dans la période colonial jusqu’aux années 1980. Ce pendant, ces dernières
années nous assistons à des transformations de ces modalités entre l’apparition de
l’immigration clandestine. Qu’on désigne généralement en Algérie par la (HARRAGA).
Dans cette étude nous souhaitons analyser le parcours de quatre jeunes de Tizi-Ouzou
qui ont eu cette expérience. Notre question principale est la suivant :
Qui sont ces jeunes ?
Comment ils ont vécus leurs expériences de l’immigration clandestine ?
I-2 Technique de recherche :

On a utilisé la technique d’interview qui nous a permis a recueillir des informations plus riche
et clair, nous avons réussi à établir un guide d’entretien en utilisant l’entretien semi directif
car c’est la technique la plus pratique qui consiste des questions ouvertes et des questions
fermées à fin que les enquêté puissent parler librement avec leurs propres expressions. On a
interrogé 4 jeunes qui ont tenté d’immigrer illégalement en analysant leurs données plus
profondément, cette technique est pertinente pour le sujet de notre étude dans le but de
développer la compréhension des causes réelles de chaque cas étudié.

I-3. Récit de vie :

Nous nous sommes intéressés par des vies de 4 personnes qui ont vécu cette aventure
d’immigrations clandestines (HARRAGA). Ces jeunes sont de la région de Tizi-Ouzou, leur
âge varie entre 24 - 40 ans, leurs situations se diffère de chaque cas a un autre. Nous
constatons qu’après l’étude de ces cas qu’il n’y a pas uniquement les chômeurs qui sont
touchés par ce phénomène mais aussi les jeunes issus des familles riches. Leurs raisons de
quitter le pays dépends de chaque cas a l’autre, comme y a ceux qui veulent sauver leurs
familles de la pauvreté, y en a aussi ceux qui vivent d’une situation financière raisonnable et
d’une rentabilité suffisante, mais en vrai leurs but c’est le même, c’est toujours de chercher
une vie bien meilleur et un mode de vie amélioré.

I-4. Pré enquête :

La collecte des informations peur s’effectuer à l’aide de plusieurs technique et qui nous a
aider à comprendre mieux le phénomène qu’on a étudié.
Pour obtenir des informations sur ce sujet qui a toucher tellement nos jeunes, on a choisi
d’utiliser la technique de l’entretien semi directif, nos question sont préparées dans un guide
d’entretien qui nous ont permet de récolter des informations à travers une discussion avec
chaque cas.
I-5. Profile des enquêté :

- Cas 01 :
Salim qui est le plus jeune de ses frère âgé de 25 ans et qui viens de la région de BOGHNI.

- Cas 02 :
Hocine qui viens de TIGZRIT est un jeune homme qui n’a que 24 ans, il n’a pas de frères ni
sœur, qui vit qu’avec ses parents.

- Cas 03 :
Karim âgé de 40 ans qui viens de la région de MAATKAS, il vit avec sa maman, son père est
décédé.

- Cas 04 :
Yacine est un jeune de MAATKAS, âgé de 26 ans qui a échoué ses études au lycée.

I-6. Le déroulement de l’enquête :

Nous avons lancé notre enquête qui s’est déroulée au sein de la région de Tizi-Ouzou
du début jusqu’à la fin, on se donnait des rendez vous un peut partout dans des lieux calme
pour que personne les dérange et qu’ils nous racontent plus précisément tout les actes durant
leurs aventure. Notre pré enquête a débuté le (19 mai jusqu’au 20 août) de la même année.
L’intérêt de la près recherche et de traiter une nouvelle dimension du sujet en s’appuyant sur
d’autres travaux et lecture qui parle sur notre thème comme ABDELMALEK SAYAD a
définit « l’immigré à travers ses mauvaises conditions de travail et d’habitat fait
l’apprentissage des institutions du pays d’accueil. » Et aussi comme a dis PAN
BOUYOUCAS : « Quiconque a la malheur d’immigré une fois - une seule restera toujours
métèque toute sa vie, et étranger partout même dans son pays d’origine. C’est notre
malédictions à nos immigrants.»
Conclusion :

Après avoir précisé notre méthodologie, nous passons de le chapitre suivant à l’analyse des
parcours et de l’expérience de la HARRAGA telle qu’elle nous a été raconté par nos enquêtés.
CHAPITRE II: HARRAGA parcours et expérience de quatre jeunes de
Tizi-Ouzou.
Introduction :
Ce chapitre sera consacré à l’analyse de l’expérience de quatre jeunes de Tizi-Ouzou qui ont
tenté l’immigration clandestine. Nous allons voir qui sont ces jeunes, quelles sont leurs
motivations, comment ils ont vécu leurs voyages et le retour après avoir été expulsés.

II -1. Qui sont ces jeunes ?

Cas numéro 1 : Salim est un jeune de 25 ans qui habite à BOGHNI, il est le plus jeune de ses
frères qui vivaient en France, il habite dans un appartement avec ces parents et il a une petite
boutique au centre ville de BOGHNI.

Cas numéro 2 : Hocine est un jeune de 24 ans et il habite à TIGZIRT, il est le fils unique de
ses parents, après son échec d’obtenir son baccalauréat il a donc décidé d’abandonner ses
études et rejoindre les services militaire. Mais malheureusement après avoir eu sa carte il n’a
pas trouvé du travail.

Cas numéro 3 : Karim est un jeune homme de 40 ans de MAATKAS, il est célibataire et il
travail dans une cafétéria.

Cas numéro 4 : Yacine est un jeune homme âgé de 26 ans de MAATKAS qui vivait dans une
famille moyenne, Il a arrêté ses études, et il a fait une formation de peinture.

Les profiles de ces jeunes montre que l’immigration clandestine ne touche pas
uniquement des jeunes issus de familles matériellement diminué ni des chômeurs comme le
cas numéro2 ( Hocine ) Elle touche aussi des jeunes qui travaillent comme le cas numéro 1
(Salim)
II -2 – Quelles sont leurs motivations :

Les jeunes que nous avons interviewés mettent en avant plusieurs motivations
- la quête d’une vie meilleure :

Cas numéro 1 : Salim a décidé d’aller d’une manière irréversible, il a pris les mesures
nécessaires pour le faire légalement à la Turquie, puis à la Grèce et puis à la France.
Il nous a déclaré qu’il voulait partir pour un espoir d’une vie meilleure, et pour chercher un
meilleur avenir sur tout quand il voit ses frères ont régularisé leurs situations et qu’ils vivaient
une vie de luxe.

Cas numéro 2 : L’idée de l’immigration à commencer lorsqu’il a vu ses proches et voisins


sont migré et ils ont réalisé leurs ambitions et améliorer même leurs vie quotidienne. Selon
son expérience la vie n’existe pas « nous vivons comme des bêtes, nous mangeons et nous
buvons, la civilisation n’existe pas.»
Il a près la décision de s’en aller car la pauvreté est trop présente et qu’il supportait plus de ne
pas pouvoir nourrir ça famille, donc il a décidé de s’en aller la ou il vivait à TIGZIRT.
- aider sa famille :
Cas numéro 3 : c'est sa situation qui est difficile, il y’a que lui et ses frères et sa maman, son
père est décédé ya longtemps donc il veut à tout prix aider sa famille et au même temps
fondre une autre petite famille et avoir une vie meilleure, hélas que son salaire n’est
pas satisfaisant.

Cas numéro 4 : Yacine depuis le début son but c'est de quitter ce pays malgré il a tout mais il
veut avoir une vie meilleure, il trouve que la société algérienne n'est pas compatible pour
vivre comme il veut et que dans ce pays y'a pas d'espoirs ni de l'avenir et aussi pour sauver sa
famille.
II -3. Réseaux de solidarité :

Chaque cas dépend de l’autre sur la manière d’avoir ramassé l’argent pour effectuer cette
aventure
3.1 : Le soutien des proches :

Cas numéro 1 : Salim a été soutenu par ses parents car ils croyaient qu’il a allais juste passer
des vacances en Turquie. Il a collecté l’argent dans le cadre de son travail au bureau tabac
pour un coût d’environs 20 millions (coût de voyage et d’hébergement en Turquie) et ses
parents lui ont rajouté une petite somme d’environ 10 millions.
3.2 : Vendre tous :

Cas numéro 2 : Pour ce qui est cout de la mission,: Hocine a collecter son argent en vendant
tout ce qu’il avait et même son Smartphone, son micro ordinateur et il a travailler un mois
sans arrêts dans un chantier, et pour compléter le coût du voyage en Italie il a dû voler l’or de
sa mère.
3.3 : travailler et économiser pour partir :

Cas numéro 3 : Il travail déjà dans une cafétéria donc il garde toujours un peu d'argent de
côté et le reste c'est pour sa famille puisque c'est l'aîné de la maison et c'est lui qui bosse pour
sa famille.

Cas numéro 4 : Yacine a pris cette décision tout seul et discrètement pour qu'aucun de sa
famille le sache, tout d'abord Yacine quand il a commencé a travaillé tout son argent le
gaspille pas dans n'importe quoi, du coût l'occasion est venue, il avait un ami qui a une ligne
pour le faire sortir avec une somme de 70 million de Mostaganem.
II-4. Le départ :

Après avoir ramassé l’argent, ces jeunes ne pensent qu’au départ et à l’arrivée de leurs
destinations.

- Démarche légale :

Cas numéro 1 : Salim à payer son billet à 350 euro, il a fais ses adieux pour ses parents qui
pensaient qu’il allait juste passer des vacances.
Apres 3 heures du temps de vol d’un avion pour le trajet Alger-Istanbul, il a en fin let les
pieds dans un pays étranger.
- Prendre la barque :
Cas numéro 2 : Hocine a décidé d’immigrer à bord d’un bateau moteur à vedette, Il a refusé
de nous dire le verdict secret et dangereux de la mission, Quand à la gravité du voyage, il s'en
fiche tout particulièrement qui préfèrerait mourir par noyade plutôt que de vivre dans de telles
conditions. Après 4 heures du temps pour le trajet TIGZIRT - Italie, Il a en fin met les pieds
dans un pays européen.

Cas numéro 3 : En 2010 il a décidé de faire un visa touristique et ne plus revenir dans le pays
jusqu'à ce qu’il réussi a avoir des papiers même si ça va prendre du temps mais c’était sa
décision même si sa maman était contre et aussi ses frères mais c'était dans le but de réussir
alors ils l'ont lui accorder son visa et le jour du départ est arrivé en laissant tout derrière lui, il
est parti en pensant seulement à la réussite.

Cas numéro 4 : Yacine a pris son argent il a informé sa famille qu'il aille travailler au Sahara.
il leurs a fais ces adieu, Yacine sors et prends la route vers Mostaganem il a rester la bas 2
jours puis ils ont démarré leur aventure en Espagne la marine algérienne les a poursuivi mais
ils ont réussi a l'échappée.
II -5. L’arrivé à la destination :

5.1 – S’installer chez un proche.


Cas numéro 1 : Après avoir met les pieds sur Istanbul, Salim a près un Taxi pour réserver un
hôtel au milieu de la ville, il s’est reposer tout la nuit, au lever du jour il a commencé à visiter
toute la ville,
Il a rencontré son ami marocain qu’il connaissait aux réseaux sociaux et un groupe de jeune
avec un réseau spécialisé chargé de la mission de transit à Istanbul...
Il ne voulait pas perdre du temps et commencer le trajet au plus vite possible, il leurs a
expliquer ça situation et il était prêt à payer en double juste pour mettre les pieds à la Grèce au
plus vite possible.

Cas numéro 2 : En arrivant en Italie, l’un de ses proches a réussi à le localiser, il s’est installé
chez lui quelque jour, il lui a fait viser toute l’Italie.
Au début il a trop adoré le pays et il pensait continuer le reste de ça vie là-bas, mais
malheureusement il a trouvé des difficultés de langage et de mode de vie, il a donc décidé de
quitter le territoire et rejoindre la France pour recommencer à zéro, il a décidé d’embarquer à
bord d’un train …
Cas numéro 3 : En arrivant en France il s'est installé chez un ami et il a passé quelque jour
là-bas chez lui, après que son séjour ou sa période légale de rester là-bas est expirer il n’a
toujours pas enté dans son pays en laissant tous derrière lui et en pensant qu’il trouvera une
vie meilleure mais les choses ont mal tourné et la réalité était différente des rêve. au début il a
toujours rester chez son ami mais après quelque jours il y’a eu des problèmes entre eux et il
est sorti de chez son ami et depuis ce jour la galère et la souffrance ont commencer et il se
retrouve au milieu de nulle part , dans un pays étranger, il connais personne il passe ses jours
dans la rue ou dans des jardins ou même dans des lieu abandonnés loin de la police et
personne n’accepte de l’emboucher dans un boulot puisque c’est un sans papier .il a toujours
pas perdu espoir mais le jour du malchance arrive , il a décider d’embarquer a bord d’un train
pour aller en Espagne.
5.2 – faire appel à des réseaux de transitions.
Cas numéro 4 : Yacine malgré tout a réussi a échappé de la marine algérienne et la mer
agitée, il est arrivé en fin en Espagne mais les choses ont mal tourné, la police Espagnole les a
attrapé et les ont escorté dans le poste de police, ils ont resté 15 jours dans la prison a fin de
les renvoyer dans leurs pays.

II-6. Le retour :

Le retour est généralement mal vécu par tous nos enquêtés.

Cas numéro 1 : Salim a été informé au levé du jour qu’il allait commencer le trajet à minuit,
il été content toute la journée, il a préparé ses valises, quand l’heure est venu son ami
marocain lui a demandé de laisser son passeport chez lui. Ils ont commencé le trajet, au milieu
de la forêt il a été agressé par les passeurs de frontière, ils l’ont frappé et ils l’ont tout enlevé,
il a du revenir à la ville en perdant du sang dans tout son corps.
Il n’avait plus de téléphone ni vêtement ni d’argent, heureusement qu’il a rencontré un bon
vivant algérien qu’il l’a aidé de revenir en Algérie sans passeport. Salim a donc décidé de
prendre soin de lui et construire un avenir dans son propre pays et ses frères l’ont aidé pour
améliorer sa boutique.
Cas numéro 2 : à la gare d’Italie pour aller En France, un policier lui a demandé ses papiers,
donc il a tenté de courir et sans aucun doute il a été entouré par une dizaine de fonctionnaire et
ils l’ont rattrapé et l’ont emmené au poste de police. Sûrement Hocine regrette d’avoir tenté
de courir parce qu’ils l’ont accusé d’un terroriste, et l’ont interdit de mettre ses pieds encore
une fois non-seulement en Italie mais tout les pays européens
Cas numéro 3 : A la gare du train en décidant d'aller en Espagne les fonctionnaires l’ont
attrapé et ils l’ont remis a la police puis ils l’ont garder quelque jours chez eux et ils l’ont
renvoyé ici et avec aucun droit de voyager une autre fois . et voila c’était une expérience très
dur pour lui il a regretter d’avoir tous laisser derrière lui sans aucun intérêt et même les gens
ce temps la avaient un regard bizarre sur lui en disant comment il a le courage de laisser sa
famille et d’autre se moque de lui comme si c’est un lâche mais lui son but c’était d’aider sa
famille mais les choses se sont passé différemment. Après quelque jours il a trouvé un travail
mieux que le premier et maintenant il s’est marié y’a 5 ans et il a 2 enfants. Donc faut juste
croire en dieu et personne ne sait ou le bonheur l’attendait ou quand les bonnes choses vont se
passer faut juste être patient et ne pas faire n’importe quel choix et regretter au final.
Cas numéro 4 : Yacine l'ont renvoyé dans son pays et dans son visage en voit les marques de
tristesse et malgré les gens disent comment il peut continuer a vivre en voyant qu'il est arrivé
au territoire espagnol mais il est revenu, Yacine n'a pas écouter ce que les gens disent mais
dans sa tête malgré il a échoué il veut toujours réessayer une nouvelle aventure jusqu'à il
réussira.

Conclusion :

Ce chapitre a montré que l’immigration clandestine concerne de jeunes issus de milieu


différents. Le retour est très mal vécu considéré comme un échec.
Conclusion générale :
L'immigration clandestine n'est pas un phénomène nouveau mais qui existe depuis très
longtemps.
Après notre étude qu'on a fait et les enquêter qu'on a interviewé on a observé qu'ils ont
tous le même but et qu’ils pensent jamais a leur vie mais toujours a leur rêve pour le réaliser,
dans les enquêtes qu'on a pu faire on constate que ce n’est pas juste les pauvres qui essaient de
sortir mais aussi ceux qui ont déjà une vie stable. Au final, chaque année le nombre des
migrants se triple malheureusement nos jeunes ne veulent pas comprendre que ce n’est pas
quelque chose qui les mènent à une vie meilleure, mais a confortées de grand problème
comme la violence, le racisme et même la violation de leurs droits donc avant de faire ce pas
faut bien réfléchir à ne pas gâcher sa vie, car après tous c'est un grand sacrifice et c'est un
choix entre la vie et la mort.
Liste de bibliographie :

- ABDELMALEK SAYAD, L’Immigration algérienne en France, avec Alain


Gilette (Entente, 1976 ; 2e éd. revue, 1984).

- ABDELMALEK SAYAD, l'Immigration ou les paradoxes de l’altérité (Ed.


Universitaires / DeBoeck, 1991 ; réédition sous le titre Le Paradoxe de
l’altérité 1. Raison d’agir, 2006).

- Pan BOUYOUCAS, la bataille d'Amérique, 1976.

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