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INTRODUCTION ……………………………………………....2
CONCLUSION ………………………………………………… 9
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INTRODUCTION
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à investir l’augmentation des dépenses publiques améliore la croissance, du
moins jusqu’à un certain point.
Hypothèse 2 : l’Etat taxe le revenu de l’économie à un taux tel que les recettes
publiques sont déterminées par :
Si l’on considère qu’une part du revenu est captée par l’Etat alors l’agent
représentatif ne dispose que d’une part pour pouvoir investir et consommer.
Ainsi l’équation dynamique de l’accumulation du capital est donnée par :
L’investissement par tête est donc la part du revenu net d’impôt non affecté à la
consommation. Le problème d’optimisation conduit au résultat suivant :
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2. L’équilibre centralisé
Le problème est qu’il faut déterminer la productivité marginale du capital pour
connaître le taux de croissance de l’économie. Dans un premier temps nous
allons supposer que l’agent représentatif détermine la productivité marginale du
capital de façon à décider du taux d’imposition que devrait pratiquer l’Etat.
L’agent représentatif comprend bien que s’il augmente le capital pour un niveau
de dépense publique il va augmenter la production et donc le bien être.
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Une augmentation de la taille de l’Etat a deux effets :
- Un effet négatif plus d’impôt réduit l’accumulation du capital ;
- Un effet positif, l’augmentation des dépenses publiques rend le capital privé
plus productif.
Ainsi l’agent représentatif aimerait que l’Etat fixe un taux d’imposition de façon
à maximiser le taux de croissance de l’économie. Pour trouver ce taux
d’imposition optimal il suffit de résoudre le problème suivant :
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valeur α, l’agent représentatif aimerait voir le taux d’imposition augmenter de
façon à rendre son capital privé plus productif. En revanche, si le taux
d’imposition est supérieur à cette valeur α, il serait plus efficace en terme de
production que le secteur privé augmente son capital plutôt que le secteur
public.
On peut facilement comprendre le concept d’élasticité de production du
3. L’équilibre décentralisé
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important si les agents privés investissaient plus. En effet, il y aurait
plus de capital mais aussi plus d’impôt payés donc plus de dépenses
publiques donc encore plus de production. La question qui se pose est
alors de savoir comment l’Etat peut inciter les agents privés à investir
plus ?
Une première solution consisterait à ce que l’Etat gère lui-même
l’investissement de façon centralisée. Cela reviendrait à avoir une
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politique complètement centralisée sans propriété privée (5) En revanche l’Etat
peut inciter fiscalement les agents privées à investir :
- L’Etat peut changer sa fiscalité. Par exemple plutôt que d’adopter un impôt
proportionnel au revenu de l’économie. L’Etat pourrait choisir un impôt
forfaitaire. Si l’impôt forfaitaire est trop faible les agents vont beaucoup investir
mais les dépenses publiques seront faibles. En revanche si l’impôt forfaitaire est
trop élevé, il y aura peu d’investissement donc peu d’investissement et peu de
production donc peu de dépense publique. On comprend bien qu’il existe un
niveau d’impôt forfaitaire optimal.
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II. LES LIMITES DU MODELE
Toute théorie à des points forts et des points faibles, nous allons citer quelques
insuffisances du modèle Barro :
CONCLUSION
Les modèles de croissance endogène sont en quelque sorte une réplique aux
critiques portées sur l’élaboration des modèles dits exogène (ici représenté par le
modèle de Solow). Ces modèles tentent de générer des taux de croissance
soutenus déterminés entièrement par les paramètres structurels des modèles.
Dans le modèle qui nous avons exposé, Barro fait introduire un secteur
gouvernemental qui finance ses dépenses par l’imposition d’une taxation
moyenne sur le revenu. Il considère les dépenses publiques comme des inputs de
production nécessaires au secteur privé. La fourniture des biens publics
augmente la productivité du capital privé et incite à investir. L’augmentation de
ces dépenses améliore la croissance, mais jusqu’à un certain point selon le
modèle.
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BIBLIOGRAPHIE
Paris 2000.
2004.
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