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1
Introduction
Les appareils disposés doivent être manipulés avec le plus grand soin
la séance du T.P.
Relevé des mesures
Il est conseillé de :
- considérer les intervalles dans lesquels peuvent varier les
grandeurs de réglage
- dresser un tableau de mesures dans lequel figureront les
résultats de mesure.
- répétées les mesures un certain nombre de fois afin de limiter au
maximum les erreurs commises sur ces mesures .
Résultats
1°) Le choix de la longueur prise pour unité sur chacun des axes sera fait de manière
logique et avec bon sens.
2°) On Portera alors sur le graphique les points représentatifs des diverses mesures sans
inscrire le long des axes les nombres qui caractérisent ces mesures.
3°) Les points représentatifs ainsi obtenus sur le graphique seront entourés d'un petit
rectangle d’incertitude dont les dimensions horizontales et verticales seront prises respectivement
égales aux erreurs commises sur les grandeurs dont on porte les valeurs sur les axes.
4°) On procédera ensuite au tracé de la courbe représentative en s'attachant d'abord à lui donner
une forme continue (ne pas joindre les points en ligne brisée. Cette courbe devrait passer dans les rectangles
d'erreurs.
L’ensemble des manipulations proposées est étudié à ce que les étudiants tirent
profit de différents concepts de la thermodynamique.
1°) Le point (0,0) est un point de la courbe 2°) Le point (0,0) n'a pparteint pas à la courbe
exple : V = RI
V (V) Y
p2
p2
p1
p1
p = (p 1 + p 2 ) b = b1 + b2
2 2
²p = |p1 - p2| b1 ²b = | b 1 - b 2 |
2 2
b2
I ( mA) X
Planification des travaux pratiques de la thermodynamique
Travail pratique
1: Capacité Calorifique des Métaux
Travail pratique
2: L’équation d’Etat des Gaz Parfaits
Travail pratique
3: Pompe à chaleur
14
,
15
TP1: Capacité Calorifique des Métaux
Objectifs :
Déterminer la capacité calorifique du calorimètre.
Déterminer la chaleur massique de l’Aluminium et Laiton.
Principes des mesures calorimétriques : Les principes qui régissent la calorimétrie reposent en fait sur le premier
principe de la thermodynamique : principe de la conservation de l’énergie pour tout système isolé. Alors, dans un
calorimètre : La quantité de chaleur perdue par le milieu chaud est gagnée par le milieu froid.
La capacité calorifique C : d’une substance est la grandeur physique qui détermine la quantité de chaleur Q nécessaire
pour faire varier sa température d’un degré .
Quand un objet est mis en contact thermique avec un autre objet plus chaud, de l’énergie est transférée de l’objet le plus
chaud à l’objet le plus froid. Il en résulte que la température de l’objet le plus froid va s’élever d’une certaine quantité T.
Cette variation de température est proportionnelle à la quantité de chaleur reçue (ou cédée) par la formule :
Q = C . ΔT
Remarque importante : La capacité calorifique d'un système en J. K-1 correspond à celle du contenu du système c'est à dire
qu'elle correspond au contenu et au contenant du système. En particulier, dans le cas d'un calorimètre, la capacité calorifique du
calorimètre est la capacité calorifique des liquides contenus dans le calorimètre et celle de l'enceinte calorimétrique elle-même.
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TP1: Capacité Calorifique des Métaux
Afin de déterminer la capacité calorifique du calorimètre C, nous allons travailler au moyen d’un calorimètre
n’échangeant ni énergie ni matière avec le milieu extérieur (système « isolé »).
𝜮Q = 0
En mélangeant de l’eau chaude à de l’eau froide, la quantité de chaleur Q perdue par l’eau chaude a été entièrement
transférée à l’eau froide contenue dans le calorimètre et aux parois du calorimètre lui-même.
Alors : Qeau chaude+ Qeau froide + Qcalorimètre = 0
𝑪 𝑸
c=
𝒎 = 𝒎.ΔT
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TP1: Capacité Calorifique des Métaux
Détermination de la capacité calorifique du calorimètre
Manipulations et mesures : Partie 1
Procédure :
1. S’assurer que le calorimètre est bien propre, à défaut, le rincer avec de l’eau.
2. Verser 150g d’eau dans le calorimètre et mesurer la température ambiante
θo de l’eau.
3.Dans un bécher mesurer 200g d’eau chaude, en utilisant le thermomètre,
mesurer sa température θ1 .
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TP1: Capacité Calorifique des Métaux
Détermination de la capacité calorifique du calorimètre :
Manipulations et mesures : Partie 1
Vidéo :
Détermination de la capacité calorifique du calorimètre
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TP1: Capacité Calorifique des Métaux
Détermination de la capacité calorifique du calorimètre :
Exploitation des résultats :
Compléter le tableau suivant :
t(min) 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
(°C) 56 55,8 55,6 55,3 55,2 55 54,9 54,7 54,5 54,4
1. Introduire dans le calorimètre une masse d'eau froide Meau = 400 g, prise au robinet. Après on attend l'équilibre thermique en agitant et
on fait mesurer la température θo =?
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TP1: Capacité Calorifique des Métaux
Détermination de la chaleur massique du métal Al et Cu-Zn:
Vidéo
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TP1: Capacité Calorifique des Métaux
Détermination de la chaleur massique du métal Al et Cu-Zn:
Manipulations et mesures : Partie 2 Exploitation des mesures :
Compléter le tableau suivant :
t(min) 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
(°C) Al 28 27,9 27,6 27,5 27,4 27,2 27 26,8 26,7 26,7
(°C) Cu-Zn 23,5 23,3 23,1 22,9 22,6 22,2 22 21,7 21,6 21,6
On donne : la chaleur massique de l’eau 𝒄𝒆𝒂𝒖= 4,187 J/(g.K) , Al: o(Al) = 22°C , Cu-Zn: o = 19°C .
s= 86°C s= 82°C
23
,
24
TP2: L’équation d’Etat des Gaz Parfaits
Objectifs :
Pour une quantité constante d’un gaz (l’air), étudier la corrélation entre :
Le volume et la pression à température constante (loi de Boyle).
Le volume et la température à pression constante (loi de Gay-Lussac).
La pression et la température à volume constant (loi de Charles).
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TP2: L’équation d’Etat des Gaz Parfaits
Dispositif servant à l’étude des propriétés thermodynamiques des gaz parfaits.
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TP2: L’équation d’Etat des Gaz Parfaits
Loi de Boyle Mariotte
Robert Boyle a établi une relation empirique entre la pression et le volume d’un gaz, connue sous le nom de la loi de Boyle :
"A température constante, le volume occupé par une masse donnée d’un gaz est inversement proportionnel à sa pression".
𝑲
En notation mathématique : V = où k est une constante de proportionnalité pour une température donnée.
𝑷
La pression P d’un gaz confiné est généralement mesurée par le moyen d’un
manomètre. Dans le cas d’un manomètre à tube ouvert , celle-ci est la somme de la
pression atmosphérique Pa et de la pression due à la différence de hauteur des deux
niveaux du mercure Δh. avec ρ la densité du mercure et g l’accélération de la pesanteur.
P = Pa + ΔP = Pa + ρ . g .Δh
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où d est le diamètre du tube contenant le gaz à étudier.
TP2: L’équation d’Etat des Gaz Parfaits
Loi de Charles
Jaques Charles énonça les résultats d’une série d’expériences connue sous le nom de la loi de Charles : "A volume
constant, la pression exercée par une masse donnée d’un gaz est proportionnelle à sa température absolue".
En notation mathématique:
P =K’.T
P = Pa + Δ P = Pa + ρ . g . Δh
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TP2: L’équation d’Etat des Gaz Parfaits
Loi de Guy-Lussac
Gay-Lussac, en utilisant une différente approche expérimentale que celle de Charles, énonça la loi qui porte son nom (loi de
Gay-Lussac) : "A pression constante, le volume d’une masse donnée d’un gaz est proportionnel à sa température absolue« :
V = k’’.T
où k’’ est une constante de proportionnalité pour
une pression donnée. Le volume V est défini par
l’équation :
𝒅 𝟐
V = V1 + Vr = Π. . L + Vr
𝟐
29
TP2: L’équation d’Etat des Gaz Parfaits
Tâche 1 : Vérification de la loi de Boyle.
Procédure
?? ) cm .
3. Faire déplacer le réservoir mobile vers le haut pour régler la
différence entre les deux niveaux du mercure Δh= 50 mm , puis
noter la hauteur de la colonne d’air L. V
Vidéo
31
TP2: L’équation d’Etat des Gaz Parfaits
Exploitation des résultats
Tableau 1:
L(mm) h (mm) V(ml) P(kPa) 1/P (kPa−𝟏)
134 0
126 50
117 100
110 150
104 200
97 250
•En s’aidant des équations ci-dessous , calculer les pressions P ainsi que les volumes V correspondants
aux différents ∆𝒉 et L mesurés.
𝒅 𝟐 𝟏𝟏,𝟒 𝒎𝒎 𝟐
1) 𝑽 = 𝑽𝟏 + 𝑽𝑹 = 𝝅 . 𝑳 + 𝑽𝑹= 𝝅 . 𝑳 + 𝟏,𝟎𝟏𝒎𝒍
𝟐 𝟐
= Pente 1
Avant de trouver la valeur
de R il fait déterminer la
valeur de n
33
TP2: L’équation d’Etat des Gaz Parfaits
Exploitation des résultats
Le calcul de n :
34
TP2: L’équation d’Etat des Gaz Parfaits
Vérification des lois de Charles et de Gay-Lussac
Il est judicieux pour la deuxième partie de l’expérience de déterminer parallèlement la dépendance en température
de la pression et du volume. Par conséquent, dans chaque cas, régler le thermostat sur la température désirée et
attendre que le tube d’essai soit à la même température.
Procédure
1. Régler la température du thermostat sur 25°C et attendre jusqu’à
ce que le thermomètre vous indique la même valeur.
2. Enlever le bouchon de protection du réservoir mobile, puis
déterminer le volume V0 correspondant à la pression P = Pa en
faisant déplacer le réservoir mobile jusqu’à ce que les deux
niveaux du mercure soient égaux, ∆h = 0.
3. Marquer ce niveau et noter, en cette position, la hauteur L de la
colonne d’air.
4. Incrémenter la valeur du thermostat de 5 et attendre jusqu’à ce que
le thermomètre vous indique la même valeur.
23
TP2: L’équation d’Etat des Gaz Parfaits
Vérification des lois de Charles et de Gay-Lussac
Procédure ( suite)
36
TP2: L’équation d’Etat des Gaz Parfaits
Tâche 2 et 3 : Manipulation
Vidéo
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TP2: L’équation d’Etat des Gaz Parfaits
Exploitation des résultats
Tableau 2:
T(K) L(mm) h (mm) V(ml) P(kPa)
298,15 134 0
303,15 137 10
308,15 141 19
313,15 143 35
318,15 147 45
= Pente 2
Vidéo
= Pente 3
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Compte rendu
1- Titre
2- Objectif
3- Calcul Théorique
4- Appareillage
5- Principe expérimental
6- Mesures
7- Calcule d’incertitude
8- Présentation graphique
9- Conclusions
, TP3 : Pompe à chaleur
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TP3: EtudeDES
TRACAGE d’une pompe à chaleur
INCERTITUDES
Objectifs :
Revenir sur les fondements théoriques du fonctionnement d’une pompe à chaleur.
Identifier les divers constituants d’une pompe à chaleur.
Traçage d’un cycle de transformation dans le diagramme de Mollier
Réaliser des mesures permettant d’accéder aux valeurs des efficacités théoriques et globales des divers dispositifs.
Tf Qf 29
TP3: Etude
TRACAGE d’une pompe à chaleur
DES INCERTITUDES
Approche plus détaillée :
On reprend la photographie suivante afin de mieux percevoir les différentes étapes du cycle effectué par le fluide de
la pompe à chaleur.
•1 est le compresseur qui comprime le fluide alors à l’état gaz. On notera P la puissance fournie au fluide.
Cette puissance provient de la puissance électrique qui sera mesurée avec un wattmètre.
•2 est le condenseur. En effet, le fluide a été comprimé. Sa température est supérieure à la température Tc(t) de la
source chaude constituée par l’eau mise dans un seau. Le fluide cède de l’énergie à l’eau de façon isobare en
passant de l’état gaz à l’état liquide.
Objectifs :
Revenir sur les fondements théoriques du fonctionnement d’une pompe à chaleur.
Identifier les divers constituants d’une pompe à chaleur ou d’un réfrigérateur.
Traçage d’un cycle de transformation dans le diagramme de Mollier
Réaliser des mesures permettant d’accéder aux valeurs des efficacités théoriques et globales des divers dispositifs.
Fonctionnement théorique : Une pompe à chaleur est une machine thermique dans laquelle le fluide est subit d’une transformation
cyclique.
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TP3: Etude d’une pompe à chaleur
Titre en vapeur : Dans la zone d’équilibre liquide-vapeur apparaissent des courbes isotitres (en noir ici, et le titre en
vapeur est ici noté x ). La frontière avec la zone de vapeur sèche est l’isotitre x =1 , tandis que le lieu du liquide est l’isotitre
x = 0 . Un état diphasé est défini par sa pression (ou la température du changement d’état) et la valeur de x
34
TP3: Etude d’une pompe à chaleur
Isentropiques : Les isentropiques sont des courbes croissantes (en bleu ici). Une évolution adiabatique
réversible est facilement représentée sur ce diagramme.
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TP3: Etude d’une pompe à chaleur
Exemple d’application : On étudie l’exemple d’une machine frigorifique
réfrigérée. En pratique, c’est l’atmosphère de la pièce où se trouve la machine qui joue le rôle de thermostat. Dans l’état
3 , le fluide est liquide à la pression p2 .
Dans le détendeur, le fluide subit une détente isenthalpique : on parle de détente de Joule-Kelvin. Sur le diagramme, on suit
donc entre 3 et 4 une courbe verticale h3=h4.
L’état 4 atteint a même pression p1 que l’état 1 . On note x4= 0, 46 le taux de vapeur correspondant.
49
TP3: Etude d’une pompe à chaleur
Application : Exemple d’une machine frigorifique
Dans l’évaporateur, l’évolution 4 - 1 qui termine le cycle est isobare. Il s’agit de la vaporisation du fluide jusqu’à
revenir à l’état initial 1 . Au cours de ce changement d’état isobare et isotherme, un transfert thermique a lieu de la
source froide, l’enceinte réfrigérée, vers le fluide. C’est la phase utile au cours de laquelle est extraite de l’énergie
thermique visant à maintenir l’enceinte à une température inférieure,
50
TP3: EtudeDES
TRACAGE d’une pompe à chaleur
INCERTITUDES
Q f = h1 - h3
Qc = h3 - h2
W = h2 - h1
h3 h1 h2
Les trois valeurs de l’enthalpie spécifique, h1 avant compression, h2 après compression et h3 avant l’évaporation,
permettent de déterminer le coefficient de performance maximal pouvant atteint avec le fluide utilisé :
ℎ3 − ℎ2 −𝑄𝑐
𝜀 = Soit 𝜀 =
ℎ2 − ℎ1 𝑊
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TP3: Etude d’une pompe à chaleur
Expérimentation :
Verser une quantité d’eau (5 litres) dans les réservoirs d’eau de sorte que l’échangeur de chaleur est complétement immergé.
Soit doit être pris pour garantir que l’eau sur le côté du condenseur n’est pas plus froide que celui du côté de l’évaporateur
Mesurer toutes les pressions et les températures avant la mise en marche de la pompe à chaleur (t=0min)
Faire fonctionner la pompe à chaleur pendant 20 minutes, en relevant chaque deux minutes les six paramètres suivant :
Ph(bar)
Tce
Tcs
Pb(bar)
Tee
Tes
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TP3: Etude d’une pompe à chaleur
Expérimentation :
t(min) 0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20
5,7 8 8,6 9,2 9,7 10,1 11 11,4 11,9 12,2 12,7
Ph(bar)
Condenseur 23 31 34 36 37 38 40 42,5 44 45 46
Tce
24 32 36 37 38 39 41,5 43,5 45 46 48,5
Tcs
3,6 2,8 2,6 2,5 2,3 2,1 2 1,7 1,5 1,1 1
Pb(bar)
Évaporateur
Tracer sur un seul papier millimétré la variation des 4 températures (Tce, Tcs, Tee, Tes) en fonction du temps
Tracer le diagramme de Mollier dans le cas stationnaire à t = 10min
Déterminer les enthalpies h1, h2 et h3.
Calculer les quantités de chaleur massique Qf reçoit de la source froide et Qc cédée à la source chaude et le travail
fourni par le compresseur W.
Déterminer le coefficient de performance maximal de la pompe à chaleur
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Compte-rendu
Le compte-rendu devrait être original et contenir au moins une introduction, une description de la
procédure suivie comportant les valeurs exactes des quantités mesurées, une partie dédiée aux
résultats et à leur analyse ainsi qu’une brève conclusion.