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Campus de Montréal – Veuillez référer à votre centre étudiant pour connaître le numéro de local du cours.
Certificat en droit
https://fep.umontreal.ca/programmes/certificats/droit/
Jouissance et exercice des droits civils. Droits de la personnalité. État et capacité des personnes physiques.
Mariage, filiation, obligation alimentaire, autorité parentale, séparation de corps et divorce.
Objectifs du cours
Objectifs généraux
Le cours est principalement axé sur l'apprentissage des connaissances juridiques fondamentales reliées aux
personnes et à la famille. Il a pour but général de développer la capacité de l'étudiant(e) à qualifier les situations,
à sélectionner les règles juridiques pertinentes et, ensuite, de les interpréter correctement.
En somme, le cours vise à développer chez l’étudiant(e) les habiletés à analyser le droit applicable (loi,
jurisprudence et doctrine). Les exercices l'initieront à l'application des théories et au règlement de situations
concrètes.
Objectifs spécifiques
A l’issue du cours, les étudiants seront en mesure d’analyser les textes législatifs en fonction de leur genèse
historique et de la dynamique sociale dans laquelle ils s'inscrivent.
Ils auront également intégré certains éléments de réflexion critique en matière de politiques législatives et
d'intervention publique dans le domaine du droit des personnes et de la famille.
L'échéancier (pages 3 et 4) révèle les différents thèmes abordés à chaque séance pendant le trimestre. Le plan
de cours détaillé, pour sa part, expose la matière enseignée.
Elle doit d'abord lire les articles du Code civil du Québec, la jurisprudence et les pages pertinentes du
volume obligatoire. (Note : les articles du C.c.Q. et les pages à lire, pour chacune des séances, sont clairement
identifiés au calendrier (voir infra), ainsi dans le plan de cours détaillé. La jurisprudence citée dans ce dernier
se trouve déjà déposée sur StudiUM).
Ce travail préalable permettra à chaque personne de se familiariser avec les notions de base.
En plus, chaque personne doit répondre aux problèmes conçus pour illustrer la matière. Ces exercices ont
pour objectif de vérifier sa compréhension des notions de base, sa capacité de qualifier des situations concrètes,
puis de repérer et d'appliquer les dispositions appropriées. Les éléments de solutions sont décrits dans les
enregistrements audios.
Note : Au besoin, les personnes peuvent écouter les enregistrements (audio seulement) sur StudiUM
pour parfaire leurs notes de cours.
2. Le cours : Les périodes de cours ont pour objectif de vérifier et d'approfondir les connaissances acquises à
l'occasion des lectures préparatoires.
Les deux premières heures de cours sont généralement consacrées à l'exposé des sujets à l'étude et à des
sessions de questions-réponses. La participation des étudiant(e)s sera d'autant plus active et enrichissante que
les lectures préparatoires auront été effectuées avec soin.
La troisième heure de cours est, autant que possible, consacrée à la résolution de cas pratiques (développement
d'habiletés spécifiques) et de discussion sur l’application de la matière. Ces problèmes ont pour objectif de
vérifier la compréhension par les étudiant(e)s des notions juridiques de base, leur capacité de qualifier des
situations concrètes, ainsi que de repérer et d'appliquer les dispositions appropriées et ce, à la lumière des
décisions judiciaires pertinentes. Ils leur fournissent l'occasion d'exprimer leur point de vue sur des éléments
pertinents.
Matériel requis
OUVRAGES OBLIGATOIRES
Code civil du Québec et Loi sur le divorce (préférence est accordée à la version mise en marché par les Éditions
Yvon Blais à l’exclusion des Code civil annotés qui comportent des commentaires). Les personnes
n’auront pas le droit de se servir, en période d’examens, d’une version annotée du Code civil (i.e. avec
commentaires !). (Note : La Loi sur le divorce se trouve déjà en annexe de votre Code civil. Vous n’êtes donc pas obligé
d’acheter le volume intitulé Loi sur le divorce annotée !)
[Remarque : Ces lois doivent être à jour (2021-2022). Du reste, la jurisprudence citée dans le plan de cours se trouve
sur StudiUM].
OUVRAGES FACULTATIFS
CASTELLI, Mireille D. et Dominique GOUBAU, Le droit de la famille au Québec, 5è édition, Québec, Les Presses de
l'Université Laval, 2005, 625 p.
COLLECTION DE DROIT, Personnes, famille et successions, vol. 3 et 4, Cowansville, Les Éditions Yvon Blais Inc. (il s'agit
de la version la plus récente du volume rédigé à l'intention des personnes inscrites à l'École du Barreau du Québec]
Note : Les douze volumes de la Collection de droit sont accessibles dans leur intégralité, pour consultation gratuite en
ligne, sur le site : – La Référence – (de l’éditeur Yvon Blais), puis en cliquant ensuite sur « Doctrine ». Vous aurez ainsi
accès à chacun des volumes de la Collection, par titre et par chapitre (mais il vous faudra d’abord avoir téléchargé « Proxy »
dans votre ordinateur. Pour plus de détails sur ce processus, allez sur le site de la Bibliothèque de droit de l’U. de M. Vous
y trouverez les étapes à suivre)
Activités pédagogiques /
Dates Éléments de contenu Lectures
Évaluations des apprentissages
Cours 2 : Le nom, le domicile et - Voir la section « Plan de cours Articles 50 - 102 C.c.Q.
2
l’absence d’une personne détaillé » et faire l’écoute des
17/01/2022 segments audio
physique
Cours 6: Les conditions de - Voir le Plan de cours détaillé et Articles 365 - 379 C.c.Q.
7
faire l’écoute des segments audio
21/02/2022 fond et de forme du
mariage
8 Semaine de relâche
28/02/2022
15
18/04/2022 Congé - Lundi de Pâques
Examen intratrimestriel Résolution des problèmes d’ordre Les examens sont évalués selon les 40 %
pratique et théorique afin d’apprécier critères suivants :
EN LIGNE la compréhension et la maîtrise de la
matière vue dans les cours 1 à 5 - l’adéquation et la précision des
Date : 14 février 2022 (inclusivement). réponses
Durée : Trois (3) heures - la clarté de l'exposé
19h00 à 22h - la logique du raisonnement
- le bienfondé des justifications
Matériel autorisé :
Code civil du Québec non annoté.
Toute documentation écrite.
La navigation sur internet permise durant
l’examen se limite à StudiUM et à « La
référence » (Sous Base de données –
Bibliothèque de la Faculté de droit).
Examen final Résolution des problèmes d’ordre Les examens sont évalués selon les 60 %
pratique et théorique afin d’apprécier critères suivants :
EN LIGNE la compréhension et la maîtrise de la
matière vue dans les cours 1 à 12 - l’adéquation et la précision des
Date : 25 avril 2022 (examen récapitulatif) réponses
Durée : Trois (3) heures - la clarté de l'exposé
19h00 à 22h - la logique du raisonnement
- le bienfondé des justifications
Matériel autorisé :
Code civil du Québec non annoté.
La Loi sur le divorce
Toute documentation écrite.
La navigation sur internet permise durant
l’examen se limite à StudiUM et à La
référence (Sous Base de données –
Bibliothèque de la Faculté de droit).
L'examen intratrimestriel compte pour 40% de la note finale. Il a une durée de TROIS heures. La matière
couvre les cours 1 à 5 (inclusivement).
À noter que l’examen intratrimestriel se fera en ligne, et non en salle, le lundi 14 février, de 19 heures à 22
heures. Les modalités techniques seront envoyées à une date ultérieure.
DRT1224G-A – Personnes physiques et famille. Certificat en droit et microprogramme en droit. 5
Plan de cours, Hiver 2022. Faculté de l’éducation permanente – Université de Montréal [√ Hiver 2022]
© Mario Provost
L'examen final vaut 60% de la note finale. Il a une durée de TROIS (3) heures. Il s’agit d’un examen
récapitulatif qui porte sur l’ensemble des sujets traités au cours (cours 1 à 13). Notez que les sujets traités
dans les Annexes 1 et 2 ne figurent pas à l’examen final !
Tout comme l’examen intra, l’examen final se fera en ligne, et non en salle, le lundi 25 avril, de 19 heures à
22 heures. Les modalités techniques seront envoyées à une date ultérieure.
PRENDRE NOTE QUE : vous êtes responsable de votre équipement technique et de votre environnement de
travail à distance. Les problèmes techniques provenant de vos propres appareils ne peuvent justifier un
droit de reprise.
Pour justifier une impossibilité de répondre aux tests en raison d'un problème technique émanant de StudiUM,
vous devrez avoir avisé immédiatement votre chargé de cours et le secrétariat à l'adresse suivante :
drt-secr@fep.umontreal.ca.
Sur réception de vos informations, nous procèderons aux vérifications d’usage. Vos tentatives de connexion et
l'existence d'un réel problème technique seront vérifiées et validées auprès du service technique de StudiUM.
Sur cette base, l'article 9.8 du règlement des études du 1er cycle pourrait s'appliquer. Nous communiquerons
avec vous, dans les meilleurs délais.
: Toute absence à l’un ou l’autre examen doit être dûment autorisée par la FEP (voir procédure à
suivre à la page 7). L’examen final d’un étudiant qui n’a pas pu se présenter à son examen intra mais qui a
obtenu une autorisation d’absence de la FEP compte pour 100% de la note finale. Dans le cas d’une absence
autorisée à l’examen final, un examen différé est organisé par la Faculté durant la période prévue à cet effet.
Dans les deux cas, une absence non autorisée conduit à l’attribution de la note « 0 » à l’évaluation.
Les examens sont STRICTEMENT individuels. Le plagiat à l’U de M est sanctionné par le Règlement
disciplinaire sur la fraude et le plagiat concernant les étudiants.
Veuillez noter, par ailleurs, que le dépôt de matériel pédagogique sur les sites de partage tel que StuDocu ou
Course Hero peut donner lieu à l’application du Règlement disciplinaire sur le plagiat ou la fraude concernant
les étudiants de 1er cycle et vous exposer à des sanctions.
Nous vous rappelons que tout document, quel que soit sa nature (texte, audio etc…), déposé sur StudiUM est
assujetti à l’engagement de chaque étudiant à respecter la propriété intellectuelle et le droit à l’image.
Toute fraude ou plagiat pourrait, par ailleurs, être rapporté aux ordres professionnels le cas échéant.
L’étudiant doit motiver, par écrit, toute absence à une évaluation ou à un cours faisant l’objet d’une
évaluation continue dès qu’il est en mesure de constater qu’il ne pourra être présent à une évaluation et
fournir les pièces justificatives. Dans les cas de force majeure, il doit le faire le plus rapidement possible
par téléphone ou courriel et fournir les pièces justificatives dans les sept (7) jours suivant l’absence.
Le doyen ou l’autorité compétente détermine si le motif est acceptable en conformité des règles,
politiques et normes applicables à l’Université.
Les pièces justificatives doivent être dûment datées et signées. Le cas échéant, le certificat médical doit
préciser les activités auxquelles l’étudiant n’est pas en mesure de participer en raison de son état de
Absence à un examen santé, la date et la durée de l’absence, il doit également permettre l’identification du médecin. (Article
9.9)
Si vous n’êtes pas en mesure de vous soumettre à une évaluation à la date prévue, vous devez remplir
le formulaire CHE_Absence_évaluation disponible dans le Centre étudiant, en indiquant le motif pour
lequel vous ne pouvez pas faire votre examen. Votre faculté communiquera avec vous sous peu à ce
sujet.
Si vous avez des questions pour l’absence à un examen, vous pouvez contacter la technicienne en
coordination de bureau (TCTB) de votre programme à l’adresse suivante :
drt-secr@fep.umontreal.ca.
Les pénalités de retard sont applicables à toutes les évaluations prévues dans ce cours.
Les travaux remis en retard sans motif valable seront pénalisés de 10% le premier jour et de 5% chacun
des quatre jours suivants. Après cinq jours de retard sans motif valable, la note de zéro sera attribuée.
Si vous n’êtes pas en mesure de vous soumettre à une évaluation à la date prévue, vous devez remplir
Retard dans la remise le formulaire CHE_Délai_remise_travail disponible dans le Centre étudiant, en indiquant le motif pour
des travaux lequel vous ne pouvez pas rendre votre travail. Votre faculté communiquera avec vous sous peu à ce
sujet.
Si vous avez des questions pour la remise en retard d’un travail, vous pouvez contacter la technicienne
en coordination de bureau (TCTB) de votre programme à l’adresse suivante :
drt-secr@fep.umontreal.ca.
Communication des Les notes préliminaires seront déposées dans StudiUM. La note officielle paraîtra dans le centre
résultats étudiant.
Barème de notation:
Points
Lettre Points Application concrète Qualificatifs
(note en %)
Objectifs dépassés
Le travail fourni est de qualité exceptionnelle. Dans son
89,5 - 100 A+ 4,3
ensemble, le travail dépasse les critères attendus de
rendement. Excellente intégration des notions vues en classe
Excellent
84,5 – 89,4 A 4,0 Objectifs tout à fait atteints
Le travail fourni est excellent, tous les critères attendus de
79,5 – 84,4 A- 3,7 rendement ont été respectés. Très bonne intégration des
notions vues en classe.
Attention ! En cas de différence entre les dates inscrites au plan de cours et celles publiées dans le Centre étudiant,
ces dernières ont préséance.
Évaluation de l’enseignement
Accordez à l’évaluation tout le sérieux qu’elle mérite. Vos commentaires contribuent à améliorer le déroulement du
cours et la qualité de la formation.
La période d’évaluation de l’enseignement se déroule de la 11e à la 13e semaine du trimestre. Pour accéder au
système en ligne, cliquez sur le lien suivant : umontreal.ca/evaluez
Références bibliographiques
BARREAU DU QUÉBEC, Service de la formation continue, La protection des personnes vulnérables (2020), vol. 469,
Montréal, Éditions Yvon Blais inc., 2020 (en ligne);
BERNHEIM, Emmanuelle, La garde en établissement et autorisation de soins : quel droit pour quelle société ? Cowansville,
Les Éditions Yvon Blais inc., 2011;
BUREAU, Marie-France, Le droit de la filiation entre ciel et terre : étude du discours juridique québécois, Cowansville, Les
Éditions Yvon Blais inc., 2009;
BURMAN, Danielle et Jean PINEAU, Le « patrimoine familial » (projet de loi 146), Montréal, Les Éditions Thémis inc., 1991;
CENTRE DE RECHERCHE EN DROIT PRIVÉ ET COMPARÉ DU QUÉBEC, Dictionnaire de droit privé de la famille et
lexiques bilingues, Cowansville, Les Éditions Yvon Blais inc., 1999;
CHAMBERLAND, Luc, Le nouveau Code de procédure civile commenté, Cowansville, Les Éditions Yvon Blais inc., 2014;
DELEURY, Édith et Dominique GOUBAU, Le droit des personnes physiques, 6è éd., Montréal, Éditions Yvon Blais inc.,
2019;
DRAPEAU, Murielle, Le statut légal des conjoints de fait au Québec, Brossard, Les Publications CCH, 2013;
FERRON PARAYRE, Audrey, Donner un consentement éclairé à un soin : réalité ou fiction?, Montréal, Les Éditions Yvon
Blais inc., 2021;
FILION, Nicole, « Pleins feux sur les mesures phares introduites dans le cadre de la nouvelle réforme de la protection
juridique au Québec », dans Barreau du Québec, Service de la formation continue, La protection des personnes
vulnérables (2021), volume 488, Montréal, Éditions Yvon Blais, 2021 (en ligne);
JARRY Jocelyne, Guide sur le partage de la société d’acquêts, 3e éd., Montréal, LexisNexis, 2019;
JARRY, Jocelyne, Les conjoints de fait au Québec : vers un encadrement légal, Cowansville, Les Éditions Yvon Blais inc.,
2008;
KOURI, Robert P., « Le consentement aux soins : aperçu général et quelques questions controversées », (2011) 2 C.P.
du N. 1-25;
KOURI, Robert P. et Suzanne PHILIPS-NOOTENS, L'intégrité de la personne et le consentement aux soins, 3è éd.,
Cowansville, Les Éditions Yvon Blais inc., 2012;
LAFLAMME, Lucie, Robert P. KOURI et Suzanne PHILIPS-NOOTENS, Le mandat donné en prévision de l’inaptitude, De
l’expression de la volonté à sa mise en oeuvre, Cowansville, Les Éditions Yvon Blais, 2008;
LECKEY, Robert, « Religion and Same-Sex Marriage », dans Safa BEN SAD, David KOUSSENS et Benjamin
PRUD’HOMME, La religion en droit de la famille – Le religieux comme variable de prise de décision dans un droit familial
laïcisé, Montréal, Les Éditions Thémis, 2020, 11-26;
LEMAY, Sylvie, La minorité et la tutelle (art. 153 à 255 C.c.Q.), Collection « Commentaires sur le Code civil du Québec »
(DCQ), Cowansville, Les Éditions Yvon Blais, 2007;
LEFEBVRE, Brigitte, Les régimes matrimoniaux : contrat de mariage, séparation de biens, société d‘acquêts, Cowansville,
Les Éditions Yvon Blais inc., 2011;
MORIN, Christine (sous la direction de), Droit des aînés, Montréal, Éditions Yvon Blais, 2020;
PINEAU, Jean et Marie PRATTE, La famille, Montréal, Les Éditions Thémis inc., 2006;
PROVOST, Mario, Droit de la protection de la jeunesse, 2è éd., Montréal, LexisNexis Canada inc., 2019;
SENÉCAL, Jean-Pierre, Le partage du patrimoine familial et les autres réformes du projet de loi 146, Montréal, Les Éditions
Wilson et Lafleur Ltée, 1989;
TÉTRAULT, Michel, Droit de la famille, 4è édition, volume 1, Le mariage, l’union civile et les conjoints de fait : Droits,
obligations et conséquences de la rupture, Cowansville, Les Éditions Yvon Blais inc., 2010;
TÉTRAULT, Michel, Droit de la famille, 4è édition, volume 2, L’obligation alimentaire, Cowansville, Les Éditions Yvon Blais
inc., 2011;
TÉTRAULT, Michel, Droit de la famille, 4è édition, volume 3, La filiation, l’enfant et le litige familial, Cowansville, Les Éditions
Yvon Blais inc., 2020;
TÉTRAULT, Michel, Droit de la famille, 4è édition, volume 4, La procédure, la preuve et la déontologie, Cowansville, Les
Éditions Yvon Blais inc., 2010;
TÉTRAULT, Michel, La rédaction des conventions en matière familiale, Cowansville, Les Éditions Yvon Blais inc., 2007.
De nombreuses activités et ressources sont offertes à l’Université de Montréal pour faire de votre vie étudiante une
expérience enrichissante et agréable. La plupart d’entre elles sont gratuites. Explorez les liens ci-dessous pour en savoir
plus.
Rappelons que l’usage de tout document déposé sur StudiUM pour chaque cours est assujetti à l’engagement de chaque
étudiant à respecter la propriété intellectuelle et le droit à l’image.
Il est interdit de faire une captation audio ou vidéo du cours, en tout ou en partie, sans le consentement
écrit de la chargée de cours ou du chargé de cours. Le non-respect de cette règle peut mener à des sanctions
disciplinaires en vertu de l’Article 3 du Règlement disciplinaire concernant les étudiants.
StudiUM
Une plateforme numérique d’apprentissage du cours sera mise à disposition à partir du réseau interne de l’Université,
StudiUM. Les étudiants auront accès illimité au site durant toute la session, et ce depuis le réseau interne de l’Université
comme depuis leurs propres connexions Internet.
Le chargé de cours assurera un suivi constant du contenu du site, ce qui permettra notamment aux étudiants de recevoir
régulièrement des informations diverses concernant le cours, recevoir des documents en ligne, être tenus au courant des
conférences, se renseigner sur les consignes du travail de session, etc.
Pour avoir accès au site, l’étudiant doit être dûment inscrit à l’Université et être détenteur d’un UNIP, ce qui lui donnera
accès à son portail UdeM.
Vous êtes responsable de votre équipement technique et de votre environnement de travail à distance. Les problèmes
techniques provenant de vos propres appareils ne peuvent justifier un droit de reprise.
Pour du soutien technique, vous pouvez contacter l’équipe de soutien StudiUM en consultant le lien suivant:
https://studium.umontreal.ca/ ou en appelant au 514-343-6111 poste 44944.
Pour justifier une impossibilité de répondre aux tests en raison d'un problème technique émanant de StudiUM, vous devrez
avoir avisé immédiatement votre chargé de cours et le secrétariat à l'adresse suivante : drt-secr@fep.umontreal.ca
Pour toute aide technique concernant des outils institutionnels autres que StudiUM
Les facultés ont la responsabilité de mettre en place les mesures d’accommodement aux examens de leurs cours pour
les étudiants inscrits au service de Soutien aux étudiants en situation de handicap (SESH). Vous devez tout d’abord vous
inscrire au service de Soutien aux étudiants en situation de handicap (SESH). Un conseiller évaluera vos besoins.
Dans les deux premières semaines de cours, il est fortement recommandé d’informer les chargés de cours et de leur
remettre la lettre des mesures d’accommodement émise par le SESH.
Pour demander des mesures d’accommodement aux examens, vous devez remplir le formulaire en ligne sous
l’onglet de la Faculté de l’éducation permanente sur le site suivant : http://www.bsesh.umontreal.ca/accommodement/.
Attention, pour être mis en place, un accommodement doit être demandé avant la date limite :
Pour les examens en ligne uniquement, veuillez faire parvenir votre demande avec votre lettre de mesures
d’accommodement émise par le BSESH au chargé de cours à l’adresse : mario.provost@umontreal.ca
LES PERS0NNES
Langlois c. Loisirs Scirocco inc., 2012 QCCQ 5722 (C.Q., Ch. civ.)
- si enfant mineur (+ ou – 14 ans) et selon que les soins sont requis ou non
par son état de santé : (voir aussi art. 395 C.p.c.)
- Corbeil c. Ladouceur (Boutique Enigma), 2012 QCCQ
402 (C.Q., Petites créances) (le perçage ou le tatouage
d’un enfant de moins de 14 ans requiert le consentement
préalable du titulaire de l’autorité parentale)
- A.C. c. Manitoba (Directeur des services à l’enfant
et à la famille, [2009] 2 R.C.S. 181 ;
- C.H.U. –Ste-Justine c. M.B., 2013 QCCS 2583
COURS 2 :
Section 3 - La personne en droit privé québécois (art. 50 à 83 C.c.Q., art. 403 C.p.c.]
(voir : COLLECTION DE DROIT, «L’identification de la personne physique»
chapitre II du titre 1)
I Les conditions
II La durée
- Threlfall c. Carleton University, 2019 CSC 50
III Les effets
IV Procédure : jugement déclaratif de décès (art. 92 à 96, 129 et 133 C.c.Q. ;
- Royer (Re), 2006 QCCS 4695, J.E. 2006-1597 (C.S.)
- Frères de l’instruction chrétienne et Dupont, [2006] R.L. 523
(C.S.)
- Renda (Affaire de), 2013 QCCS 100
- Ashodian (Succession de) c. Directeur de l’état civil, 2015
QCCS 6141
- Auclair (Re), 2016 QCCS 2065
- D.C.R. c. J.R., 2019 QCCS 282
- Re Terken, 2019 QCCS 578
- Mercier et Gouillart, 2019 QCCS 3504
V Le retour (art. 97 à 101 C.c.Q.)
COURS 3 :
________________________
- Mario PROVOST, «L’autorité parentale» dans Droit de la famille québécois, vol. 2, section «L'Enfant», chapitre VI,
LexisNexis Canada inc., Montréal, paragraphes ¶50-750 - ¶50-791 (mise à jour continue) [voir uniquement la rubrique
intitulée «Le consentement aux soins», au paragraphe ¶50-780] ;
- Mario PROVOST, «Le nom, le changement de nom et le changement de la mention du sexe» dans Droit de la famille
québécois, vol. 2, section «L'Enfant», chapitre IV, LexisNexis Canada inc ., Montréal, paragraphes ¶50-600 - ¶50-680
(mise à jour continue)
- Édith DELEURY et Dominique GOUBAU, Le droit des personnes physiques, Cowansville, 3è éd., Les
Éditions Yvon Blais Inc., 2002, 651 p. ;
- Jean-Sébastien SAUVÉ, « Les oublié-e-s de catégorisation du sexe aux fins de l’état civil : regard sur la
situation juridique des personnes intersexes et trans* », dans Les oubliés du Code civil du Québec,
Montréal, Les Éditions Thémis, 2015, p. 165-191.
PROBLÈMES : COURS 1 à 3
1. Même avant sa naissance, un enfant peut hériter de son père. (Faites les nuances qui s’imposent)
2. En raison de la protection générale que lui accorde le Code civil du Québec, il est défendu au mineur
d'aliéner une partie de son corps. (Faites les nuances qui s’imposent)
3. S'il y a une urgence, on pourra exiger d'un individu qu'il donne du sang. (Faites les nuances qui
s’imposent)
4. En tout état de cause, un médecin peut prélever un organe sur son patient décédé dans le but de faire
une greffe. (Faites les nuances qui s’imposent)
5. La preuve de l'état civil peut se faire par témoins ou papiers de famille. (Faites les nuances qui
s’imposent)
6. L'acte de décès fait preuve du moment du décès. (Faites les nuances qui s’imposent)
7. Le jugement déclaratif de décès ne peut être demandé que dans les cas où le décès est survenu au
Québec. (Faites les nuances qui s’imposent)
8. Le conjoint de l'absent peut se remarier après trois ans. (Faites les nuances qui s’imposent)
9. Le tuteur à l'absent ayant pour rôle de protéger les biens de l'absent, doit représenter l'absent dans une
succession où ce dernier serait appelé. (Faites les nuances qui s’imposent)
10. On peut changer de domicile à volonté. (Faites les nuances qui s’imposent)
E. Le conseil de tutelle (art. 222 à 239 C.c.Q. ; art. 44, 312, 405 C.p.c.)
J.L. et Québec (Curateur public), 2016 QCCS 3472
Succession de M.G., 2017 QCCS 944
F. Les mesures de surveillance de la tutelle (art. 240 à 249 C.c.Q.)
G. La fin de la tutelle (art. 255 C.c.Q.)
Note aux étudiants : J’ai ajouté à la fin des segments audio, figurant au cours 4
sur StudiUM, un enregistrement audio se rapportant aux modifications apportées à
la tutelle au mineur par le Projet de loi 18. Celui-ci, bien que sanctionné, ne sera pas
en vigueur avant le mois de juin 2022 !
En conséquence, votre examen intratrimestriel ne portera que sur les articles
actuellement en vigueur (art. 256 à 297 C.c.Q.) – et non les nouveaux.
Le mandat de protection, i.e. procuration en prévision d’inaptitude: art. 2166 C.c.Q. ; art. 44,
391 à 393, 394 et 404 C.p.c.
Note : Le mandat doit être « homologué » afin de vérifier la validité du mandat, l’inaptitude du
mandant et la capacité du mandataire – incluant l’absence de conflit d’intérêts.
________________________
Il s’agit d’une version particulière du contrat nommé de « mandat » (art. 2130 C.c.Q.).
Toute personne majeure et apte peut désigner un mandataire (de son choix) pour veiller à la
protection de sa personne et de ses biens advenant une éventuelle inaptitude.
III L'ouverture d’une tutelle (art. 268 à 280 C.c.Q.; art. 44, 302 à 305, 312 à 320, 336, 394, 395, 404 et
406 C.p.c.)
CHU de Québec c. X, 2014 QCCS 506 (demande d’ouverture
d’une tutelle au majeur avant l’âge de la majorité)
________________________
Lectures obligatoires
- Mario PROVOST, « La minorité, la tutelle et l'émancipation », dans Droit de la famille québécois, vol. 2, section « L'Enfant
», chapitre VII, LexisNexis Canada inc., Montréal, paragraphes ¶51-000 - ¶51-290 (mise à jour continue).
- Katherine CHAMPAGNE, « L’avènement des directives médicales anticipées : le testament biologique et le mandat de
protection sont-ils toujours utiles ? », (2016) 118 R. du N. 391-436 ;
- Édith DELEURY et Dominique GOUBAU, Le droit des personnes physiques, 6è éd., Montréal, Éditions Yvon Blais Inc.,
2019, 1146 p. ;
- Sophie ESTIENNE, « Une réforme législative offre une protection accrue aux personnes vulnérables », dans Le Blogue
du CRL, 8 mars 2021 (en ligne) ;
- Nicole FILION, « Pleins feux sur les mesures phares introduites dans le cadre de la nouvelle réforme de la protection
juridique au Québec » dans BARREAU DU QUÉBEC, Service de la formation continue, La protection des personnes
vulnérables (2021), vol. 488, Montréal, Éditions Yvon Blais, 2021 [en ligne];
- Dominique GOUBAU, « Analyse critique du projet de loi no. 18 de 2019 portant réforme des régimes de protection » dans
BARREAU DU QUÉBEC, Service de la formation continue, La protection des personnes vulnérables (2020), vol. 469,
Montréal, Éditions Yvon Blais, 2020 [en ligne];
- Simon SAINT-ONGE et Anne SARIS, « Origine et destin des régimes de protection » dans BARREAU DU QUÉBEC,
Service de la formation continue, La protection des personnes vulnérables (2020), vol. 469, Montréal, Éditions Yvon Blais
inc., 2020 [en ligne];
PROBLÈMES : COURS 4 et 5
1. Le législateur a prévu une tutelle au mineur parce qu'il ne lui fait pas confiance à cause de son âge.
(Commentez en faisant les nuances qui s’imposent).
2. Quelle(s) différence(s) oppose(nt) la tutelle légale et la tutelle dative ? (Commentez en faisant les nuances qui s’imposent)
3. Le tuteur est toujours un titulaire de l'autorité parentale. (Commentez en faisant les nuances qui
s’imposent)
4. On sait qu'un parent peut maintenant désigner un tuteur à son enfant par testament. Est-ce que cela oblige le futur
tuteur, le tribunal ou d'autres personnes ? (Commentez en faisant les nuances qui s’imposent)
5. Le mineur émancipé est considéré comme une personne majeure à tous égards. (Commentez en faisant les nuances
qui s’imposent)
6. Toute personne (morale ou physique) peut devenir tuteur. (Commentez en faisant les nuances qui s’imposent)
7. L'enfant mineur doit-il être représenté par tuteur en rapport avec tous les actes qu'il pose ? (Commentez en faisant les
nuances qui s’imposent)
A) L'existence du consentement
a) Interprétation générale
Droit de la famille – 091897, 2009 QCCS 3388
b) Problèmes spécifiques
- le mariage de la personne placée sous un régime de
protection :
Droit de la famille – 072125, [2007] R.D.F. 858 (C.S.)
- le mariage simulé :
(mariages d’immigration - annulation accordée ou refusée, selon le cas)
Droit de la famille - 12245, 2012 QCCS 488
Droit de la famille - 171523, 2017 QCCS 2885
Droit de la famille - 171523, 2017 QCCS 2885
Droit de la famille - 172537, 2017 QCCS 4922
Droit de la famille - 182170, 2018 QCCS 4359
Droit de la famille - 20692, 2020 QCCS 1594
c) Le dol
Droit de la famille - 181063, 2018 QCCS 2074
Droit de la famille - 19879, 2019 QCCS 1902
Droit de la famille - 191235, 2019 QCCS 2742
Droit de la famille - 201961, 2020 QCCS 4205
Droit de la famille - 211013, 2021 QCCS 2327
Section 1 - Les conditions de forme antérieures au mariage (art. 368 à 373 C.c.Q.)
I La publication
Houle c. D.E.C., 2014 QCCS 658
Al-Salem c. Procureure générale du Québec (Directeur de
l’état civil), 2019 QCCS 1287
A) La forme (art. 368, 369 et 371 C.c.Q.)
B) La possibilité d'obtenir une dispense (art. 370 C.c.Q.)
C) Le but de la publication : susciter des oppositions (art. 372 C.c.Q.)
(La procédure des oppositions : art. 458 C.p.c.)
II Les devoirs du célébrant (art. 373, al, 1 C.c.Q.)
III L’autorisation du tribunal (si enfant mineur) (art. 373, al, 1 et 2 C.c.Q.)
(nullité relative)
[En principe, un vice de consentement = nullité relative ; mais il s’agira d’une nullité
«absolue » lorsque l’ordre public sera en cause : Droit de la famille – 121000, 2012 QCCS
1936 ; Pineau et Pratte, p. 117-118 (la détermination de ce qui correspond à l’«ordre public»
relève de la discrétion judiciaire, qui examine les valeurs sociétales fondamentales)]. La
jurisprudence paraît parfois contradictoire à savoir ce qui constitue ou non une situation
qui heurte les valeurs sociétales fondamentales (i.e. l’ordre public) : Droit de la famille –
132680, 2013 QCCS 4751 ; Droit de la famille – 132738, 2013 QCCS 4850 ; Droit de la famille
- 151064, 2015 QCCS 2101 (la capacité de contracter mariage est une question d’ordre
public)]
A. Les deux époux étaient de bonne foi (art. 382, 384 à 390 C.c.Q.)
Droit de la famille - 192615, 2019 QCCS 5514
C. Un seul des époux était de bonne foi (art. 384 à 390 C.c.Q.)
Droit de la famille - 142307, 2014 QCCS 4421
(donation dans un contrat de mariage)
L’UNION DE FAIT
Affaire «Lola» :
Voir aussi : société en participation (art. 2188, al. 1, 2250 à 2266 C.c.Q.), plus la législation à caractère
social, ex. Loi sur l’aide sociale, Loi sur l’assurance automobile du Québec, Loi sur les accidents du travail
et maladie professionnelle, et le reste.
On peut aussi consulter l’arrêt Association de médiation familiale du Québec c. Bouvier, 2021 CSC 54
pour ce qui est de la confidentialité du processus de médiation entre anciens conjoints de fait (ex. sur la
garde et les aliments des enfants, puis de leurs droits respectifs dans l’immeuble qui leur servait de
résidence)
___________________
Lectures obligatoires
- CASTELLI, Mireille D.- et Dominique GOUBAU, Le droit de la famille au Québec, 5è édition, Québec, Les Presses de
l'Université Laval, 2005, p. 1 – 89, 511 - 526 (ci-après «CASTELLI et GOUBAU») ;
- AL-DABBAGH, Harith, « Terre et ciel dans le droit québécois du mariage, Commentaire sur le jugement Droit de la famille
- 16244 », (2016) 75 R. du B. 65 – 93 ;
- BELZILE, Violaine, « Enrichissement injustifié et action de in rem verso entre conjoints de fait – Comme si l’amour allait
durer toujours », dans Développements récents en droit familial (2011), Service de la formation permanente, Barreau du
Québec, Cowansville, Éditions Yvon Blais, 2011 ;
- DRAPEAU, Murielle, « L’union de fait ou le concubinage » dans Droit de la famille québécois, vol. 1, section « L'union de
fait », LexisNexis Canada inc., Montréal, par. ¶17-000 (mise à jour continue) ;
- ROY, Alain et Michel MORIN, « La célébration du mariage doit respecter les prescriptions du Code civil du Québec, qu’elle
revête ou non un caractère religieux », (2016) 46 R.D.U.S. 183 - 203.
PROBLÈME : COURS 6 et 7
Georges et Béatrice ont une fille nommée Karine. Le soir de son dix-septième anniversaire, à l'insu de ses parents, Karine
se rend dans une discothèque du centre-ville de Montréal. Elle y rencontre Luc, un barman âgé de 36 ans. C'est le coup
de foudre ! Dès le lendemain, Karine annonce à sa famille qu'elle les quitte afin d’emménager avec Luc dans son condo.
Elle rompt par la suite tout contact avec ses parents.
Plusieurs mois après, Karine et Luc se prennent mutuellement pour époux au cours d'une cérémonie privée présidée par
un notaire en exercice. Notons qu'avant le mariage celui-ci avait exigé que Karine lui fournisse un consentement écrit signé
par l'un de ses parents car elle était encore mineure (à ce moment, elle n’avait que 17 ans et 10 mois). Voilà pourquoi
Karine a imité la signature de son père dans le document remis au notaire. Ce dernier, notons-le, n’avait pas vérifié qu’un
tribunal ait préalablement autorisé le mariage.
À peine deux semaines suivant la célébration nuptiale, Karine se rend compte qu'elle n'aurait jamais dû épouser Luc. Elle
téléphone le même jour à ses parents pour leur apprendre son mariage et leur demande conseil. Ses parents lui offrent de
rentrer au foyer familial, à condition toutefois qu'elle laisse Luc et demande l'annulation du mariage. Craignant des
représailles possibles de la part d’un tribunal étant donné son imitation de signature, Karine refuse d'intenter elle-même
l'action en dissolution de mariage.
Le père de Karine vous consulte aujourd'hui. Il désire présenter personnellement une demande en annulation du mariage
de sa fille Karine.
Questions :
1) Compte tenu de la formulation actuelle des dispositions du Code civil en la matière, Georges possède-t-il l’intérêt voulu
pour demander l’annulation du mariage de Karine ? Pourquoi ? (Motivez en faisant les nuances qui s’imposent)
COURS 8 - LES EFFETS DU MARIAGE ET DE L'UNION CIVILE : LES DROITS ET DEVOIRS DES
CONJOINTS ET LA PROTECTION DE LA RÉSIDENCE FAMILIALE
Chapitre 1 : Les droits et les devoirs obligatoires des époux (art. 391 et 392 C.c.Q.)
I Le devoir de respect
II L'obligation de fidélité
III Les devoirs de secours et d'assistance
IV Le devoir de cohabitation
1) Le principe
2) Cas spécifiques
A. La résidence principale
B. La résidence de la famille
____________________
Lectures obligatoires
La convention de non-assujettissement
Droit de la famille – 121265, 2012 QCCS 2396
Droit de la famille – 182206, 2018 QCCS 4425
Chapitre 1 : La constitution du patrimoine familial (art. 414 C.c.Q.)
A. Les biens susceptibles de faire partie du patrimoine familial (art. 415 al. 1 et 2 C.c.Q.)
Droit de la famille – 133302, 2013 QCCS 5847
Yared c. Karam, 2019 CSC 62
(les résidences familiales détenues en fiducie ne sont pas, par principe,
exclues de la composition du patrimoine familial en raison du libellé de l’art.
415 : « les droits (…) qui confèrent l’usage »)
C. Les biens exclus en valeur (i.e. les «déductions» de l'art. 418 C.c.Q.)
H. Partage du Régime des rentes et d'un régime de retraite (art. 425 et 426 C.c.Q.)
___________________
Lectures obligatoires
- COLLECTION DE DROIT, Le partage et certains recours en cas de litige conjugal (chapitre X du titre 2);
- Règlement de la Cour supérieure du Québec en matière familiale, art. 27 et 28 (voir le Code de procédure civile) ;
- Danielle BURMAN et Jean PINEAU, Le «patrimoine familial» (projet de loi 146), Montréal, Les Éditions Thémis Inc., 1991,
195 p. (voir les pages 112 -133 pour des exemples de moins-value et de remploi) ;
Note : L’art. 462.5 C.C.Q. (1980) auquel les auteurs réfèrent dans leur ouvrage est maintenant devenu l’art. 418 C.c.Q.
(1991)) ;
- Christian LABONTÉ (mise à jour par Christiane LALONDE), «Le patrimoine familial», dans Canada inc., Droit de la famille
québécois, vol. 3, section «L'Enfant», chapitre XIV, Montréal, paragraphes ¶95-000 – ¶97-950, 300 p. ;
- Jean-Pierre SENÉCAL, Le partage du patrimoine familial et les autres réformes du projet de loi 146,
Montréal, Wilson et Lafleur Ltée, 1989, 223 p.
PROBLÈME : COURS 9
Après deux semaines de mariage, Marie-Louise se rend compte qu'elle n'aurait jamais dû épouser Napoléon. En effet,
ce dernier lui avoue que son premier mariage à Joséphine n'était pas dissout au moment où il l'épousait. Elle désire faire
annuler son mariage mais craint perdre ses droits au partage du patrimoine familial en raison de cette annulation.
QUESTIONS :
Question B)
Le condominium que Napoléon hérita de sa mère avant le mariage et dont la valeur s'élève à 280 000 $
(cet immeuble est grevé d'une hypothèque de 30 000 $) ;
Le chalet de Saint-Sauveur (où le couple passa leur voyage de noces) acheté par l'époux le lendemain du
mariage, au montant de 120 000 $;
Le régime de retraite de Napoléon, évalué à 80 000 $ au jour du mariage (il y a deux semaines) ;
1) Parmi les biens énumérés ci-dessus, lesquels entreraient dans le partage du patrimoine familial, le cas échéant ?
2) Advenant le droit à un tel partage, quelle serait normalement la part de Marie-Louise ? Motivez en faisant les nuances
qui s’imposent.
La prestation compensatoire ne doit pas avoir comme objectif de rééquilibrer les actifs des
parties (Droit de la famille – 133302, 2013 QCCS 5847)
I Le moment de la demande
II L'enrichissement
Droit de la famille – 132735, 2013 QCCS 4837
Droit de la famille – 20438, 2020 QCCS 985
III L'appauvrissement
Droit de la famille – 132514, 2013 QCCS 4466
I La détermination du montant
Montreuil c. Jasmin (Succession de), 2011 QCCS 1032
A. Le moment du paiement
B. Le mode de paiement
Sous peine de nullité absolu, le contrat de mariage doit être notarié (art. 440 C.c.Q.)
Droit de la famille – 182316, 2018 QCCS 4749
(le contrat de mariage religieux n’est pas un contrat de mariage
au sens de l’art. 440 C.c.Q. mais, en l’espèce, il fut qualifié de donation
entre vifs)
____________________
Lectures obligatoires
Sous-section 1 : L'attribution
Sous-section 2 : Les attributs : droits et obligations des parents (art. 599 C.c.Q.)
I La garde et la surveillance
II L'obligation de nourrir et d'entretenir
III L'obligation d'éducation et les études universitaires
B. Le lien de parenté (art. 585, 587.1 à 587.3 C.c.Q. ; art. 443 à 448 C.p.c. ; voir aussi
l’art. 521.7 C.c.Q. qui accorderait un statut à l’allié en matière, par exemple, de
convocation de parents et d’amis)
Droit de la famille – 111511, 2011 QCCS 2631
(père réclamant une pension à sa fille)
____________________
Lectures obligatoires
- Règlement de la Cour supérieure du Québec en matière familiale, art. 22 à 26 (voir le Code de procédure civile) ;
- COLLECTION DE DROIT, « L'obligation alimentaire » (chapitre IV) et « La perception des pensions alimentaires »
(chapitre V) du titre 2 ;
- Murielle DRAPEAU, « Le programme québécois de soutien aux enfants », Bulletin CCH juriste, juin 2012 ;
- Mario PROVOST, « L’interprétation judiciaire du premier alinéa de l’art. 595 C.c.Q. : là où nous en sommes maintenant
», dans Droit de la famille québécois, Bulletin électronique, mai 2016, Montréal, LexisNexis ;
- Mario PROVOST, « L’enfant mineur et l’obligation alimentaire », dans Droit de la famille québécois, vol. 2, section «
L'Enfant », chapitre III.1, LexisNexis Canada inc., Montréal, paragraphe ¶50-492 (mise à jour continue) ;
- Mario PROVOST, « L’enfant majeur et l’obligation alimentaire », dans Droit de la famille québécois, vol. 2, section «
L'Enfant », chapitre III.2, LexisNexis Canada inc., Montréal, paragraphe ¶50-493 (mise à jour continue) ;
- Mario PROVOST, « L'autorité parentale », dans Droit de la famille québécois, vol. 2, section « L'Enfant », chapitre V,
LexisNexis Canada inc., Montréal, paragraphes ¶50-750 - ¶50-791 (mise à jour continue) ;
- Mario PROVOST, « La déchéance de l'autorité parentale », dans Droit de la famille québécois, vol. 2, section «
L'Enfant », chapitre VI, LexisNexis Canada inc., Montréal, paragraphes ¶50-825 - ¶50-945 (mise à jour continue) ;
- Mario PROVOST, « La garde en contexte de protection de la jeunesse », dans Droit de la famille québécois, vol. 2, section
« L'Enfant », chapitre VIII.5, LexisNexis Canada inc., Montréal, paragraphes ¶51-480 - ¶51-498 (mise à jour continue) ;
- Mario PROVOST, Droit de la protection de la jeunesse, 2è éd., Montréal, LexisNexis Canada inc., 2019;
- Mario PROVOST, « L'accès à l'enfant par ses grands-parents et les tiers », dans Droit de la famille québécois, vol. 2,
section « L'Enfant », chapitre X, LexisNexis Canada inc., Montréal, paragraphes ¶51-625 - ¶51-650 (mise à jour continue)
;
- Johanne CLOUET, « Le statut juridique du beau-parent en droit civil québécois : perspectives législatives et
jurisprudentielles », dans Les oubliés du Code civil du Québec, Montréal, Les Éditions Thémis, 2015, p. 51-64.
Art. 2(1) :
Section 1 – La compétence à entendre une action en divorce (art. 3(1), (2) et (3) L.D.)
I Le tribunal de la province où l’un des époux a résidé habituellement au moins l’année précédant
l’introduction de l’action en divorce (art. 3(1) L.D.)
II Lorsque les instances sont introduites devant deux tribunaux (de provinces différentes) à des dates
différentes (art. 3(2) L.D.)
III Lorsque les instances sont introduites devant deux tribunaux (de provinces différentes) à la même date
(art. 3(3) et 23(2 L.D.)
Section 2 – La compétence dans le cas d’une action en mesures accessoires (art. 4(1), (2) et (3) L.D.)
OU
b) Le tribunal dont la compétence est reconnue par les deux ex-époux (art. 4(1)b) L.D.)
II Lorsque les instances sont introduites devant deux tribunaux (de provinces différentes) à des dates
différentes (art. 4(2) L.D.)
III Lorsque les instances sont introduites devant deux tribunaux (de provinces différentes) à la même date
(art. 4(3) et 23(2) L.D.)
Section 3 – La compétence dans le cas d’une action en modification (art. 5(1), (2) et (3) L.D.)
OU
b) Le tribunal dont la compétence est reconnue par les deux ex-époux (art. 5(1)b) L.D.)
II Lorsque les instances sont introduites devant deux tribunaux (de provinces différentes) à des dates
différentes (art. 5(2) L.D.)
III Lorsque les instances sont introduites devant deux tribunaux (de provinces différentes) à la même date
(art. 5(3) et 23(2) L.D.)
I Le tribunal saisi d’une demande d’ordonnance parentale (art. 16.1 L.D.) dans le cadre d’une action en
divorce ou d’une action en mesures accessoires peut renvoyer l’affaire au tribunal d’une autre province
lorsque l’enfant à charge concerné réside habituellement dans cette autre province (art. 6(1) L.D.)
Droit de la famille – 192149, 2019 QCCS 4521 (Note : La « résidence habituelle » n’étant pas
définie dans la Loi, cette notion repose sur une question de fait; elle doit recevoir une
interprétation large et libérale à partir de faits requérant une certaine permanence et des liens
durables : paragraphes 49 et 50 du jugement)
II La même règle s’applique lorsqu’il s’agit d’une demande d’ordonnance modificative d’une ordonnance
parentale (art. 6(2) L.D.)
III La compétence exclusive du tribunal à qui l’affaire en renvoyée (art. 6(4) L.D.)
Section 5 – La compétence dans le cas d’une demande d’ordonnance de contact (art. 6.1 L.D.)
I La compétence du tribunal d’une province déjà saisi d’une demande d’ordonnance parentale (art. 6.1(1)
L.D.)
II La compétence du tribunal où l’enfant a sa résidence habituelle lorsqu’aucun tribunal n’est saisi d’une
action en modification d’une ordonnance parentale, sauf s’il paraît opportun de renvoyer l’affaire au
tribunal d’une autre province (art. 6.1(2) L.D.)
III L’absence de compétence lorsque l’enfant n’est pas visé par une ordonnance parentale (art. 6.1(3) L.D.)
OU
OU
c) que le tribunal de la province où se trouve l’enfant serait mieux à même de décider de l’affaire
III Lorsque deux actions sont introduites devant deux tribunaux (de provinces différentes) à la même date,
il incombe à la Cour fédérale de trancher la question de compétence en vertu du présent article et selon
la Loi sur la preuve au Canada (art. 6.2(3) et 23(2) L.D.)
Section 7 – La compétence du tribunal lorsque l’enfant réside habituellement ailleurs qu’au Canada
(art. 6.3 L.D.)
I La tribunal de la province qui aurait eu compétence de rendre une ordonnance parentale, une ordonnance
de contact (ou une ordonnance modificative de l’une ou l’autre de celles-ci en vertu des articles 3 à 5) n’a
pas compétence pour la rendre lorsque, habituellement, l’enfant réside ailleurs qu’au Canada.
Cependant, il pourrait la rendre en raison de circonstances exceptionnelles ET si l’enfant est présent
dans la province (art. 6.3(1) L.D.)
Section 1 – Les parties à une instance (art. 7.1 à 7.6 L.D.) - La notion de « partie »
Droit de la famille – 18492, 2018 QCCS 1033
(rejet de la demande d’intervention agressive d’une enfant au dossier de divorce de ses parents
quant au sujet de la garde partagée)
II Le devoir de s’assurer qu’il n’y a pas de possibilités de réconciliation (art. 10(1) à (3) L.D.)
III Le devoir de protéger les tentatives de réconciliation (art. 10(4) et (5) L.D.)
Chapitre 5 : Les fins de non-recevoir (art. 11 L.D.) (c.-à-d. les causes de refus d’entendre le procès)
La Cour suprême du Canada insiste sur l’intégrité dans la négociation des ententes intégrées aux
ordonnances rendues en application de la Loi sur le divorce
Par ailleurs, l'article 448 C.p.c. oblige le tribunal à motiver sa décision s'il accorde des aliments aux
enfants selon une valeur différente de celle exigible selon les barèmes fixés par les Lignes
directrices fédérales (ou même le Règlement provincial). Suivant cette même disposition, les
parties ne peuvent non plus diminuer par convention le montant de la pension alimentaire des
enfants fixée en vertu des barèmes sans préciser les motifs de cet écart. Celles-ci sont d'ordre
public. Par conséquent, le tribunal n’est pas lié par une convention qui ne pourvoit pas
suffisamment aux besoins alimentaires des enfants, cette dernière étant donc inopposable aux
enfants
III Dommages moraux et punitifs au conjoint pour violence familiale pendant le mariage
Droit de la famille – 21964, 2021 QCCS 2172
Chapitre 8 : La modification, l’annulation ou la suspension des ordonnances (art. 17(1) à (11) L.D.)
Section 1 – L'ordonnance modificative d’une ordonnance alimentaire, d’une ordonnance parentale ou d’une
ordonnance de contacts (art. 17(1)à (2.2) L.D.)
Section 3 – La modification d’une ordonnance alimentaire au profit d'un enfant (art. 17(4), (6.1) à (6.6) L.D.)
Colucci c. Colucci, 2021 1 CSC 24
Section 4 – La modification d’une ordonnance alimentaire au profit d'un époux (art. 17(4.1), (7) et (10) L.D.)
Miglin c. Miglin, [2003] 1 R.C.S. 303
Droit de la famille – 132380, 2013 QCCA 1504
Section 5 – La modification d’une ordonnance parentale ou d’une ordonnance de contacts (art. 17(5) à (5.3)
L.D.)
I La réception la transmission des demandes d’États désignés (art. 19(1) à (16) L.D.)
II La reconnaissance de décisions d’un État désigné (art. 19.1 L.D.
Section 1 – La suppression des obstacles au remariage religieux (art. 2(4), 21.1(2) à (6) L.D.)
Brucker c. Markovitz, [2007] 3 R.C.S. 607
Droit de la famille – 15343, 2015 QCCS 771
Droit de la famille – 151954, 2015 QCCS 3717
S.P. c. Conseil de la communauté juive de Montréal, 2021 QCCS 1713
Section 2 – La reconnaissance des divorces étrangers (art. 22 L.D.; art. 3155 à 3163, 3167 C.c.Q.)
Section 2 - Les règles de procédure (art. 25(2) L.D.; art. 517 C.c.Q.; art. 72, 409 à 431, 443 à 450, 453 à 457
C.p.c.; règles 18 à 21 et Formulaire I du Règlement de la Cour supérieure du Québec en matière
familiale)
Chapitre 13 : La fixation du montant des aliments par le service provincial des aliments pour enfants (art.
25.01 à 25.1(7) L.D.)
Lectures obligatoires
- Loi sur le divorce, art. 1 à 17 (pour fin d’examen final, écoutez seulement les segments audio # 114 à # 142);
(Inutile de m’écrire à ce sujet – le tout est suffisamment clair, il me semble !)
- Mario PROVOST, « La garde », dans Droit de la famille québécois, vol. 2, section « L'Enfant », chapitre VIII, LexisNexis
Canada inc., Montréal, paragraphes ¶51-300 - ¶51-440 (mise à jour continue) ;
- Mario PROVOST, « La garde partagée », dans Droit de la famille québécois, vol. 2, section « L'Enfant », chapitre VIII.1,
LexisNexis Canada inc., Montréal, paragraphes ¶51-300 - ¶51-440 (mise à jour continue) ;
- Mario PROVOST, « Les facteurs d’attribution de la garde », dans Droit de la famille québécois, vol. 2, section « L'Enfant
», chapitre VIII.2, LexisNexis Canada inc., Montréal, paragraphes ¶51-300 - ¶51-440 (mise à jour continue) ;
- Mario PROVOST, « La garde réclamée par de tierces personnes », dans Droit de la famille québécois, vol. 2, section «
L'Enfant », chapitre VIII.3, LexisNexis Canada inc., Montréal, paragraphes ¶51-444 - ¶51-465 (mise à jour continue) ;
- Mario PROVOST, « La modification et l’appel d’une ordonnance de garde », dans Droit de la famille québécois, vol. 2,
section « L'Enfant », chapitre VIII.4, LexisNexis Canada inc ., Montréal, Brossard, paragraphes ¶51-469 - ¶51-475 (mise
à jour continue) ;
- Mario PROVOST, « Le droit d'accès », dans Droit de la famille québécois, vol. 2, section « L'Enfant », chapitre IX,
LexisNexis Canada inc., Montréal, paragraphes ¶51-500 - ¶51-615 (mise à jour continue) ;
- Mario PROVOST, « L'enlèvement international et interprovincial d'enfants », dans Droit de la famille québécois, vol. 2,
section « L'Enfant », chapitre X.1, LexisNexis Canada inc ., Montréal, paragraphes ¶51-700 - ¶51-815 (mise à jour
continue) ;
- Mario PROVOST, « La procédure relative à l'obtention de la garde et de l'accès », dans Droit de la famille québécois, vol.
2, section « L'Enfant », chapitre XI, LexisNexis Canada inc ., Montréal, paragraphes ¶52-300 - ¶52-540 (mise à jour
continue).
I Les présomptions
A. La séparation de fait
I Les conditions
II Le rôle du juge
Section 1 : La demande
I Le demandeur
II Le tribunal compétent
I La preuve
Section 4 : Le jugement
A. La séparation de biens
D. Les donations
E. La prestation compensatoire
F. La pension alimentaire
____________________
Lectures
1) Les éléments
2) La constance
B. La contestation d'état
Chapitre 2 : La filiation adoptive (art. 543 à 584.1 C.c.Q.; art. 71, 71.3, 71.3.4 à 71.3.16 L.P.J.)
A. L'adopté (majeur ou mineur: art. 544, 545 C.c.Q.; art. 437 et 441 C.p.c.)
B. L'adoptant
IV La déclaration d'admissibilité à l'adoption (art. 559 à 562 C.c.Q. ; art. 435 C.p.c.)
A. L'émission de l'ordonnance
I La nouvelle filiation
Lectures
- Mario PROVOST, « La filiation par le sang », dans Droit de la famille québécois, vol. 2, section
« L'Enfant », chapitre I, LexisNexis Canada inc., LexisNexis Canada inc., Montréal, paragraphes ¶50-000 - ¶50-185 (mise
à jour continue) ;
- Mario PROVOST, « La procréation assistée », dans Droit de la famille québécois, vol. 2, section
« L'Enfant », chapitre I.1, LexisNexis Canada inc., Montréal, paragraphes ¶50-200 - ¶50-260 (mise à jour - continue) ;
- Mario PROVOST, « L'adoption », dans Droit de la famille québécois, vol. 2, section « L'Enfant », chapitre II, LexisNexis
Canada inc., Montréal, paragraphes ¶50-270 - ¶50-395 (mise à jour continue) ;
- Mario PROVOST, « L'adoption internationale », dans Droit de la famille québécois, vol. 2, section
« L'Enfant », chapitre II.1, LexisNexis Canada inc., Montréal, paragraphes ¶50-396 - ¶50-435 (mise à jour continue).