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De l’origine radicale de toute chose – Leibniz

Dieu « unité dominante » => a créé, façonne et régit le monde => supérieur + au-delà du monde => cause
des choses
 On ne peut jamais remonter à la raison complète de l’existence d’un tel monde et pourquoi il existe
ainsi
 Chose éternelle : pas de cause à l’existence MAIS une raison OR le monde est éternel DONC la
raison du monde est au-delà de celui-ci (extérieure) donc DIEU car
 Raison du monde : un Être suprême car on ne peut l’expliquer que par quelque chose qui existe
 Une seule cause car toutes les choses sont liées entre elles
« Essence tend par elle-même à l’existence » , page 43 => « exigence de l’exitance » , page 43 du fait de
l’essence

Raison d’un monde ainsi : réalité ou le plus de choses/essences possibles cohabites sans contradiction
Terrain de construction : l’espace et le temps

Déterminisme dans l’existence selon le maximum => dans un mélange de liquides hétérogènes, un liquide
prendra toujours une forme sphérique (la plus grande capacité) (contre-argument  : l’économie des bulles
de savons dans la nature  ???)

Le possible l’emporte sur le néant donc le possible rend l’essence possible et donc l’existence possible

Essences + vérités éternelles : existent dans le monde des idées (=>Dieu) CAR les vérités éternelles doivent
bien exister quelque part (sinon ne seraient que des fictions) => soit dans le monde des idées
Le monde est régi par la vérité des lois éternelles, géométriques et métaphysique du point de vue général
comme à la plus petite échelle

Le monde est parfait :


 physiquement car renvoie à une réalité ou le plus de choses possibles cohabite parfaitement (sans
contradictions)
 Moralement car la configuration des esprits renvoie à la perfection physique

Les injustices :
 De prime abord : loin de l’idée de perfection
 Leibnitz : on ne pas l’affirmer (il s’agit d’une interprétation) car ces injustices se construisent sur un
temps bien trop long pour que l’on puisse en comprendre les tenants et les aboutissants réel sur
l’espace de l’éternité
=> Métaphore de la toile recouverte : on recouvre une toile à l’exception d’une toute petite partie
(= l’injustice qui nous apparait à notre échelle) => la petite partie non recouverte ressemble à
aucune forme de perfection MAIS si on révèle l’entièreté de la toile (= l’éternité) => la perfection
apparait
Ex : l’existence de choses acres, aigres, et mauvaises au goût permette l’existences de saveurs
délicieuses =>l’altérité permet la prise de conscience donc l’existence
MAIS ne veut pas dire que le malheur humain n’existe pas car il dépend de chacun de prend de soin de
l’harmonie universelle

Les malheurs mènent toujours un bonheur à un instant + malheurs = maux provisoires car étape vers la
perfection dans l’univers (ex : la graine jetée dans la terre a souffert avant de donner porter ses fruits)
 « On recule pour mieux sauter », page 50

«  Rien n’est plus vrai dans l’univers que le bonheur  », page 50


On n’est pas encore arrivé à cette perfection car l’infini du continu (le temps) est divisible à l’infini donc on
ne peut marcher que vers le progrès

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