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Le monologue intérieur

Mme de Lafayette, La princesse de Clèves


Au XVIIe, Louis XIV règne sur la France en tant que monarque absolu. En ces temps
l’image de la cour c’est dégradé, ce qui engendre la création d’un principe religieux : le jansénisme
basé sur la vertu et la vie dans l’austérité. La princesse de Clèves est un roman qui fait partie du
mouvement littéraire de la préciosité. Madame de Lafayette organise des salons pour diffuser cette
idée, ce nouveau principe Lequel ? Expliquez ce qu’est la préciosité.. Lafayette est une femme du
monde qui fait partie de la noblesse. Elle est cultivée, intelligente et d’une beauté remarquable. Son
œuvre est publiée de manière anonyme car c’est une disgrâce pour une femme. La princesse de
Clèves est une histoire d’amour interdite entre mademoiselle de Chartres et monsieur de Nemours.
En effet la princesse est mariée avec le prince de Clèves avec qui elle ne partage pas de vertu.
Tandis qu’elle tombe amoureuse du duc de Nemours. Dans cet extrait, nous sommes face à la
réflexion et aux sentiments qu’éprouve madame de Clèves pour monsieur de Nemours. Retour à la
ligne + alinéa Dans un premier temps on s’intéressera à la remise en question à Mme de Clèves.
Dans un second temps on abordera, la jalousie et la raison de madame de Clèves. De le ligne
1(quand) à 7(amant) madame de Clèves se trouve seule face à elle même. Elle se trouve dans une
culpabilité et un malheur important. De la ligne 8(Mais) à 14(une autre), la princesse exprime un
sentiment de jalousie, de sensibilité. De la ligne 14 Quoique) à 20 (durable) elle voit l’amour
comme quelque chose de dangereux. De la ligne 20 (Elle) à 25 (l’amour) on a tout un questionnent
de la part de madame de Clèves. De la ligne 25 ( Je suis ) à 28 ( Nemours) on comprend que la
princesse veut fuir et est a bout de tout.

Tout d’abord on s’intéresse à la remise en question de madame de Clèves . En effet la


princesse de Clèves s’interroge au sujet de la réaction qu’elle devrait avoir face la tromperie dont
elle avait été victime par monsieur de Nemours. Elle se demande par exemple si elle devait en
souffrir, être contente pour lui, si elle devais lui répondre ou lui faire la même chose. « Qu’en veux-
je faire? Veux-je la souffrir? Veux-je y répondre?»l.21/22 sont des phrases interrogatives écrites à la
première personne qui nous font penser que nous sommes dans la tête de madame de Clèves.

Pour continuer on se penche sur sa jalousie et sa raison. Au delà de sa culpabilité d’en aimait
un autre, la princesse de Clèves ne supporte peu le sentiment de la jalousie « ce qu’elle pouvait
moins supporter » l.8 l’adjectif numéral adverbe moins appuie sur cette idée. Elle ressasse le passé
en se rappelant dans quel état elle était hier nuit, suite à la lecture de la lettre. « souvenir de l’état où
elle avait passer la nuit » l.9 le plus que parfait et le verbe souvenir exprime l’antériorité. Elle
éprouve quelque chose de fort et de douloureux, ce qui lui brise le cœur. « les cuissantes douleurs »
l.9,10 hyperbole l’adjectif exprime la force de sa peine, de sa tristesse. Sa passion lui fait faire des
conclusions à la hâte, ce qui lui fait très mal, elle s’imagine le pire. « la pensée que monsieur de
Nemours aimait ailleurs » l.10 le nom féminin exprime ce qu’elle s’imagine vis à vis du Duc.peu
convaincant comme argument

Malgré l’attachement qu’elle portait à son mari, la princesse était ouverte et se comporter de
manière chaleureuse en vers monsieur de Nemours. « elle ne l’en trouvait pas plus mal » l.2,3 la
négation de la phrase montre que malgré ses obligations elle n’arrivait pas a lutter face à ses
sentiments et sa passion. Elle se sentait confuse de se comporter ainsi avec son amant. «  elle était
honteuse » l’adjectif nous montre le coté confus et déshonorant qu’elle fait d’elle même. Elle se
sentait coupable d’éprouver de l’amour pour le duc de Nemours car son mari l’estimait beaucoup et
il ne méritait pas cela. « trompait le mari du monde qui méritait le moins d’être trompé » l.6,7 on a
l’intervention du chiasme dans la phrase on à l’inversion de deux groupes de mot « trompait » et
« être trompé ».Ce n’est pas un chiasme mais un polyptote (variation d’un même mot)
L’introduction est globalement très bien hormis l’absence d’explication pour la préciosité. 4,5

Je ne sais pas vrament quand commence le premier paragraphe. L’ensemble des arguments est
plutôt bon mais souvent compliqué alors qu’il y a tellement plus simple à mettre en avant. De fait, il
vous manque des arguments. 3 +2

9,5/15

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