Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Janvier 2016
1
SOMMAIRE
SOMMAIRE .................................................................................................................................................... 2
1. FICHE SYNTHETIQUE DU PROJET .................................................................................................. 3
2. PRESENTATION DE L’ACTIVITE ET DEFINITIONS ........................................................................ 4
3. SITUATION NATIONALE ..................................................................................................................... 5
3.1. FILIERE CEREALES EN TUNISIE ........................................................................................................................ 5
3.2. LA TRANSFORMATION DES CEREALES EN TUNISIE ............................................................................................... 5
3.3. L’ACTIVITE BOULANGERIE ............................................................................................................................. 7
3.4. LA FORMATION DANS LES METIERS DE TRANSFORMATION DES CEREALES EN TUNISIE................................................. 9
3.5. LE CADRE REGLEMENTAIRE ET INCITATIF .......................................................................................................... 9
4. SITUATION INTERNATIONALE ET PERSPECTIVES D’EXPORTATION ................................... 12
4.1. FORMATION DANS LES METIERS DE BOULANGERIE EN FRANCE............................................................................ 12
4.2. FORMATION DANS LES METIERS DE BOULANGERIE AU MAROC ........................................................................... 13
4.3. SITUATION EN SICILE ET SYNERGIES POTENTIELLES ........................................................................................... 13
4.4. PERSPECTIVES D’EXPORTATION .................................................................................................................... 13
5. PROCESS ET RESSOURCES .......................................................................................................... 15
5.1. COMPOSANTE DU PROJET ET EQUIPEMENTS REQUIS ......................................................................................... 15
5.2. RESSOURCES HUMAINES............................................................................................................................. 16
6. INVESTISSEMENT ET RENTABILITE PREVISIONNELLE ........................................................... 18
6.1. INVESTISSEMENT ET SCHEMA DE FINANCEMENT .............................................................................................. 18
6.2. PREVISIONS D’ACTIVITE .............................................................................................................................. 19
6.3. PREVISIONS DE CHARGES ............................................................................................................................ 19
6.4. RENTABILITE PREVISIONNELLE...................................................................................................................... 20
7. FACTEURS CLEFS DE SUCCES ..................................................................................................... 21
8. ANNEXES ............................................................................................................................................ 22
8.1. ADRESSES UTILES ...................................................................................................................................... 22
8.2. AVANTAGES LIES AU DEVELOPPEMENT REGIONAL ............................................................................................ 23
8.3. AVANTAGES ACCORDES AUX NOUVEAUX PROMOTEURS ET PME......................................................................... 26
8.4. RENTABILITE PREVISIONNELLE...................................................................................................................... 27
8.5. CAHIER DES CHARGES D’UN CENTRE PRIVE DE FORMATION PROFESSIONNELLE ....................................................... 28
2
1. FICHE SYNTHETIQUE DU PROJET
CA en régime de croisière
522 mDT
(2020)
TRI : 20%
Rentabilité VAN : 236 mDT
Retour sur Investissement : 8 ans
3
2. PRESENTATION DE L’ACTIVITE ET DEFINITIONS
Un centre de formation dans les métiers de boulangerie et transformation des
céréales obéit aux mêmes exigences standards des centres de formations
professionnelles requises par la réglementation en vigueur et repris dans le cahier
des charges unifié pour la création de structures privées de formation professionnelle
(Annexe 2). Le centre doit être doté d’une autonomie de gestion, d’un espace
suffisant à l’exercice des activités, des équipements nécessaires, de formateurs
qualifiés (permanents et vacataires). Il doit obéir à l’organisation prévue par le cahier
des charges en matière de formation dispensée (cours théoriques de connaissances
générales, de connaissances techniques et technologiques, de législation sociale et
sécurité professionnelle ainsi que de travaux et stages professionnels pratiques).
Les locaux aménagés doivent contenir, au moins, des salles de cours, un local
administratif indépendant, des laboratoires et/ou ateliers complètement équipés ainsi
que des locaux communs destinés aux préposés. Le centre délivre des diplômes
conformément à la nomenclature des secteurs et spécialités fixée par la
réglementation en vigueur (Annexe 3). La durée de la formation et les conditions
d’accès demeurent également soumis à la même réglementation. L’homologation,
par le ministère de la formation professionnelle et de l’emploi, est soumise à une
demande préalable (Annexe 4) et à un contrôle des services concernés de la tutelle.
4
3. SITUATION NATIONALE
Le secteur des céréales revêt une dimension sociale et a un impact direct sur le
pouvoir d’achat d’une bonne partie de la population. La céréaliculture génère en
moyenne l’équivalent de 2,5 millions de journées de travail par an ce qui correspond
à 9% des journées du travail offertes par le secteur agricole.
La production céréalière est essentiellement localisée dans le nord du pays. Pour les
trois dernières campagnes, la production du Nord avoisine les 15,8 millions de
quintaux sur environ 880000 ha ce qui représente 81% de la production totale et
65% de la superficie céréalière du pays. Le nombre d’exploitants céréaliers est de
240000 dont 104000 situés dans le Nord du pays, soit 43% du total. La superficie
moyenne par exploitant céréalier dans cette zone est autour de 8 ha alors que la
moyenne nationale est d’environ 6 ha.
5
INVESTISSEMENTS DE LA FILIERE TRANSFORMATION DES CEREALES (Unité 1000 DT)
40000
35000
30000
25000
20000
15000
10000
5000
0
2008 2009 2010 2011 2012
6
800
700
600
500
Farine boulangère
400
Farine pâtissière
300 Semoule
200
100
0
2008 2009 2010 2011 2012
Source : Monographie du secteur IAA- APII-2014
Une étude récente publiée par l’Institut Nationale de la Consommation (INC) montre
que le Tunisien consomme en moyenne 84 baguettes et 119 grands pains par an.
Cette même étude fait état d’un gaspillage de pain atteignant 100 Millions de Dinars
7
par an suite à un retour systématique entre 700 000 et 800 000 pains par jour
(chiffres relevant d’une étude réalisée sur l’année 2013).
Selon la monographie du secteur des IAA, réalisée par l’APII, la production de pain a
évolué entre 2008 et 2012 de la façon suivante :
PRODUCTION DE PAIN (Unité 1000 T) :
2013
2012
2011
2010
2009
2008
2007
2006
2008 2009 2010 2011 2012
Source : Monographie du secteur IAA- APII-2014
D’ailleurs, l’un des axes stratégiques préconisés par cette étude réside en
l’amélioration de la qualité du pain produit et la réutilisation du pain retourné. Cet
aspect ne fait pas, pour le moment, partie de la pratique industrielle des boulangeries
qui se contentent de la commercialisation du pain frais.
8
3.4. La formation dans les métiers de transformation des céréales en Tunisie
Les principales directives énoncées par ce cahier des charges et les textes de loi y
reliés fixent les conditions « minimales » nécessaires pour la création d’une structure
privée de formation et surtout :
Les conditions matérielles de formation : les programmes théoriques et
pratiques et leur conformité aux orientations générales du système éducatif
national, les équipements nécessaires à la pratique de la spécialité et la
qualité des formateurs/éducateurs chargés de l’enseignement théorique et
pratique.
Les conditions d’hygiène, de santé et de sécurité à mettre en place pour
assurer le déroulement des formations dans des conditions conformes aux
dispositions légales en la matière.
Les divers textes relatifs aux incitations accordées aux promoteurs des
structures privées de formations au titre du code d’incitation aux
investissements et au titre des autres incitations particulières.
Les divers outils de financement des actions de formation contractées par les
entreprises au profit de leurs employés.
9
- Loi 93-10 du 17/02/1993 portant loi d’orientation de la formation
professionnelle telle que modifiée et complétée par la loi 2001-15 du
30/01/2001.
- Décret 93-982 du 30/05/1993 relatif à la relation entre l’administration et ses
usagers.
- Décret 93-2124 du 25/10/1993 fixant la composition, l’organisation et le
fonctionnement de la commission consultative de la formation professionnelle
privée.
- Décret 94-1397 du 20/06/1994 fixant la classification nationale des emplois
ainsi que les conditions d’homologation des certificats et diplômes de la
formation professionnelle initiale et continue.
- Décret 98-1383 du 30/06/1998 fixant la composition et les modalités de
fonctionnement du conseil supérieur de la formation professionnelle et de
l’emploi et des commissions qui en relèvent.
- Arrêté du ministre de la formation professionnelle et de l’emploi du 18/01/1996
portant publication du cahier des charges fixant les règles générales de
création et de fonctionnement des établissements privés de formation
professionnelle.
- Arrêté du ministre de la formation professionnelle et de l’emploi du 06/08/1996
portant publication du cahier des charges fixant les règles générales de
création et de fonctionnement des cabinets privés de formation.
- Arrêté du ministre de la formation professionnelle et de l’emploi du 18/01/1997
portant publication du cahier des charges fixant les règles générales de
création et de fonctionnement des centres intégrés de formation
- Arrêté du ministre de la formation professionnelle et de l’emploi du 20/05/1997
portant publication du guide des investisseurs et des promoteurs privés dans
le secteur de la formation professionnelle.
Cadre institutionnel
10
- Centre National de Formation des Formateurs et d’Ingénierie de Formation
CENAFFIF : Comme son nom l’indique, il s’agit de la structure publique
chargée de « produire » des formateurs qualifiés pour les structures
privées, publiques ainsi que les autres structures d’éducation nationale.
Cadre incitatif
11
4. SITUATION INTERNATIONALE ET PERSPECTIVES
D’EXPORTATION
L’institut est doté d’un laboratoire de recherche et d’essais des matériels et produits
alimentaires baptisé LEMPA. Ce laboratoire hautement équipé est devenu une
adresse incontournable pour les professionnels du métier. Il assure les analyses, les
dégustations professionnelles, les formations, les études et conseils et ce dans
divers panels. Cette expertise provient, essentiellement, d’équipements
technologiquement pointus (fournil d’essai, cabines normalisées, …) et d’un
personnel hautement qualifié d’ingénieurs et de chercheurs.
12
4.2. Formation dans les métiers de boulangerie au Maroc
Ainsi, tout le projet du centre de formation peut faire l’objet d’un partenariat direct
entre professionnels des deux régions du moment que le code d’incitation aux
investissements le permet.
Le continent Africain est le plus grand marché consommateur de pain avec une
moyenne de 300 millions de baguettes par jour. En effet, l’urbanisation accélérée du
continent et l’émergence d’une classe moyenne de plus en plus grandissante
changent les habitudes culinaires et dopent la consommation de pain. Mais, tout
comme la Tunisie, la boulangerie africaine demeure artisanale et très peu variée.
D’ailleurs, la plus grande partie des pains non classiques consommés en Afrique
provient essentiellement de la France. La faute, essentiellement, à l’absence d’une
main d’œuvre qualifiée capable de produire, localement, du pain de haute qualité et
à plusieurs variantes.
13
ouvrir les portes d’opportunités intéressantes dans le secteur de la boulangerie-
pâtisserie sur un continent fortement consommateur de pain.
Des pays comme l’Algérie (39 Millions d’habitants), le Sénégal (14 Millions
d’habitants), le Nigeria (181 Millions d’habitants) ou encore la RD Congo (80 Millions
d’habitants) peuvent constituer des niches pour le « recrutement » d’apprentis dans
les métiers de la boulangerie.
14
5. PROCESS ET RESSOURCES
Le centre de formation privé doit répondre aux exigences du cahier des charges
(conditions minimales) en termes de moyens. La structure doit être établie dans un
local aménagé réparti en 4 blocs essentiels :
- Salles de cours : aménagées et équipées en mobilier et autre matériel
nécessaire pour le déroulement des cours théoriques dans les règles de
l’art.
- Laboratoires et/ou ateliers : espaces séparés aménagés et équipés pour le
déroulement des travaux pratiques obligatoires pour toute formation métier
- Locaux communs aux stagiaires : blocs sanitaires et espaces de détente,
salles de lecture et Internet pour travailler les dossiers de recherche,
bibliothèques, …
- Administration : locaux administratifs où doivent siéger la direction et le
conseil pédagogique ainsi qu’un espace aménagé pour les formateurs.
Tous les cours théoriques dispensés doivent faire l’objet de supports (livres,
documents, CD, …)
En plus des supports théoriques, la formation doit reposer sur un aspect pratique ce
qui sous-entend l’existence, dans le centre, d’équipements dédiés. Pour le métier de
boulangerie, les équipements nécessaires dépendront de la nature des formations à
dispenser (allant de la simple fabrication « normalisée » du pain à la recherche
d’innovations dans le métier) et de la capacité d’accueil du centre lui-même.
Sur cet aspect, il n’y a pas de norme contraignante en Tunisie mais la nature et le
nombre d’équipements disponibles peuvent limiter la capacité d’accueil du centre et
sa gamme de formations offertes ce qui pourra influencer sa performance financière
et d’exploitation. Il sera, donc, plus évident, de procéder à un benchmarking pour
situer les besoins à même d’en assurer la rentabilité et l’efficacité.
Ceci étant, nous dresserons ci-dessous, une liste non exhaustive des équipements
jugés nécessaires dans une structure de formation qui vise autant le marché local
qu’étranger :
15
- Chambre et armoire de fermentation contrôlée au prix indicatif de 2 500 DT
- Pétrin axe oblique au prix indicatif de 6 000 DT
- Pétrin à spirale automatique et basculant au prix estimé de 30 000 DT
- Chariot de cuisson estimé à 500 DT
- Batteur mélangeur sur pieds estimé à 6 000 DT
- Plonge Inox au prix de 2 000 DT
- Chambre froide au prix indicatif de 12 000 DT
- Etuve de température contrôlée au prix de 10 000 DT
- Façonneuse estimée à 1 500 DT
- Mixolab dont le prix varie sensiblement selon les modèles (versions) et les
composantes accessoires à y ajouter (il serait plus concis de consulter le
constructeur).
Le centre doit être dirigé par une personne dédiée à part entière. Il doit également
compter des formateurs permanents. La qualité de permanent est obligatoire pour
tout formateur qui totalise plus de 800 heures de formation par an. Les formateurs
(permanents ou vacataires) doivent avoir les profils suivants :
- Ingénieurs, maîtrisards ou diplôme équivalent
- Titulaires de BTS, de DUEL ou d’un diplôme équivalent avec une
expérience professionnelle justifiée d’au moins 3 ans
- Titulaires de BTP, du Bac ou d’un diplôme équivalent avec une expérience
professionnelle justifiée d’au moins 6 ans
- Titulaires du CAP ou d’un diplôme équivalent avec une expérience
professionnelle justifiée de 10 ans.
Les éléments théoriques de la formation ne peuvent être dispensés que par les 2
premières catégories de formateurs.
16
Il n’y a pas de normes strictes quant au nombre de formateurs permanents mais une
opération de calcul simple peut permettre d’en déterminer l’effectif. Il s’agit de
délimiter le nombre d’heures/an pour chaque cours ou rubrique de la formation.
Chaque formateur qui dispense plus de 800 heure/an doit être permanent. Les
autres peuvent être des vacataires.
- 1 Directeur
- 8 formateurs entre permanents et vacataires
- 1 Secrétaire
- 1 Surveillant général-trésorier
- 2 Femmes de ménage
- 1 gardien
17
6. INVESTISSEMENT ET RENTABILITE PREVISIONNELLE
L’unité pourrait être située sur un terrain d’environ 1200 m² dont 850 couverts (la
formule de location est la plus préconisée mais la formule de construction peut,
également, être étudiée). L’investissement global est estimé à environ 600 mDT
réparti ainsi :
Total 600
Le schéma de financement est le suivant :
Capital 200
Crédit moyen terme 350
Crédit court terme 50
Total 600
18
6.2. Prévisions d’activité
Charge % CA
Achats consommés 5%
Personnel 40%
19
6.4. Rentabilité prévisionnelle
- TRI : 20%
- VAN (taux d’actualisation de 10%) : 236 mDT
- Retour sur investissement : 8 ans
20
7. FACTEURS CLEFS DE SUCCES
La réussite de ce projet nécessite la conjugaison de certains facteurs clefs dont
notamment :
21
8. ANNEXES
Organismes en Tunisie
Fournisseurs d’équipements
22
8.2. Avantages liés au développement régional
a) Domaine d'application
Les incitations s’appliquent aux investissements réalisés par les entreprises établies dans les zones de
développement régional en fonction des activités définies par décret, et ce, dans les secteurs de
l’industrie*, de l’artisanat ainsi que dans certaines activités de services*.
* Avantages Il s'agit d'avantages fiscaux et financiers additionnels accordés aux entreprises industrielles,
artisanales et à certaines activités de services.
b) Avantages Fiscaux
Exonération de l'impôt sur les sociétés (IS) et de l'impôt sur le revenu des personnes physiques (IRPP)
pendant les 10 premières années et abattement de 50% de ces revenus ou bénéfices durant les 10 années
suivantes.
Déduction totale des revenus ou bénéfices réinvestis dans la souscription du capital initial ou à son
augmentation y compris les bénéfices réinvestis au sein de la société elle-même.
Exonération de la contribution au FOPROLOS (Fonds de Promotion de Logement pour les Salariés) pendant
les 5 premières années d'exercice.
c) Avantages Financiers
((Décret n°94-539 du 10 Mars 1994 tel que modifié par le décret n°99-486 du 1er Mars 1999 - Jort n°20 du
9 Mars 1999 - décret n° 2002-1363 du 11 juin 2002 - Jort n°49 du 14 Juin 2002)
Premier groupe:
Prime de 8% de l'investissement global, fonds de roulement inclu avec un plafond de 500.000 DT.
Deuxième groupe :
Prime de 15% de l'investissement global, fonds de roulement inclu avec un plafond de 1 000 000 DT.
Les projets implantés dans les zones de développement régional prioritaire bénéficient de :
Pour le premier groupe la prise en charge par l'État d'une quote-part de cette contribution pendant les
cinq premières années à partir de la date d'entrée en activité effective fixée comme suit :
23
Quatrième année 40%
Cinquième année 20%
Pour le deuxième groupe la prise en charge par l'État de cette contribution pendant les cinq premières
années à partir de la date d'entrée en activité effective
Pour les zones d'encouragement au développement régional prioritaires la prise en charge par
l'État de cette contribution pour une période de 5 ans à partir de la date d'entrée en activité effective du
projet renouvelable une seule fois durant une période additionnelle de 5 ans.
24
La délégation de Sedjnane du gouvernorat de Bizerte,
Les délégations de Nefza et de Amdoun du gouvernorat de Béja,
Les délégations de Siliana Nord, de Siliana Sud, de Bou Rouis, de Bargou, de Makthar, d'Er-Rouhia et de
Kesra du gouvernorat de Siliana,
Les délégations de Jendouba, de Jendouba Nord, de Bou Salem, de Tabarka, de Ain Draham, de Fernana,
de Ghardimaou, de Oued Meliz et de Balta Bou Aouane du gouvernorat de Jendouba,
Les délégations de Kef Ouest, de Kef Est, de Nebeur, de Sakiet Sidi Youssef, de Tajerouine, de Kalaât
Senan, de Kalaât Khasba, de Djerissa, d'El Ksour, de Dahmani et d'Es-Sers du gouvernorat du Kef,
La délégation de Kerkennah du gouvernorat de Sfax,
Les délégations de Oueslatia et d'El Alâa du gouvernorat de Kairouan,
Les délégations de Kasserine Nord, de Kasserine Sud, d'Ezzouhour, de Hassi El Frid, de Sbeitla, de Sbiba,
de Djedeliane, d'El Ayoun, de Thala, de Hidra, de Foussana, de Feriana et de Mejel Bel Abbés du
gouvernorat de Kasserine,
Les délégations de Bir El Hafey, de Sidi Ali Ben Aoûn, de Menzel Bouzaïenne, de Jilma, de Cebalet Ouled
Asker, de Meknassy et de Souk Jedid du gouvernorat de Sidi Bouzid,
Les délégations d'El Hamma, de Menzel El Habib, de Nouvelle Matmata et de Matmata du gouvernorat de
Gabès,
La délégation de Béni Khedeche du gouvernorat de Médenine,
Les délégations de Tataouine Nord, de Tatatouine Sud, de Bir Lahmar, de Smar, de Ghomrassen, de
Dhehiba et de Remada du gouvernorat de Tataouine,
Les délégations de Gafsa Nord, de Gafsa Sud, de Sidi Aich, d'El Ksar, d'Oum El Araies, de Redeyef, de
Metlaoui, de Mdhila, d'El Guetar, de Belkhir et de Sned du gouvernorat de Gafsa,
Les délégations de Tozeur, de Degach, de Tameghza, de Nefta et de Hazoua du gouvernorat de Tozeur,
Les délégations de Kébili Sud, de Kébili Nord, de Souk El Ahad, de Douz Nord, de Douz Sud et d'El Faouar
du gouvernorat de Kébili.
25
8.3. Avantages accordés aux nouveaux promoteurs et PME
Participation au
Nouveaux promoteurs PME
capital:
Sur les ressources
Minimum 10% du capital minimum
30% du capital minimum pour
propres des SICAR pour la 1ère tranche
la 1ère tranche d'investissement
d'investissement jusqu'à 2 MDT.
jusqu'à 2 MDT.
Minimum 20% du capital
10% du capital minimum pour
additionnel pour la tranche >2
la tranche >2 MDT.
MDT.
Prise en charge de la
cotisation patronale au Durant les cinq premières années
régime légal de la d'activité effective.
sécurité sociale (CNSS)
Nouveau : possibilité de reporter le
Dans le cadre du
paiement de leurs cotisations au
développement régional.
titre de la sécurité sociale pendant
deux années, le paiement de ces
cotisations est effectué sur 36
tranches mensuelles.
26
8.4. Rentabilité prévisionnelle
27
8.5. Cahier des charges d’un centre privé de formation professionnelle
28
29
30
31
32
33
34
35
36
37
38
39
40
41