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Bonjour ;
Suite à la demande d'éclaircissement de l'un des concurrents, merci de trouver ci-après
Questions/Réponses à prendre en considération dans l’établissement de votre offre aux
solutions de base.
Par ailleurs, il est à rappeler que conformément à l’article 1.18 du RGC les soumissionnaires
peuvent proposer des solutions variantes.
Question n°1 :
L'article 3.1.6.1 du Document N° 4-1-b - CPS-T 1 PTP sur le dégrillage fin précise des vannes
murales manuelles pour l'isolation amont/aval, alors que l’article 3.1.6.1.1 exige une fois des
vannes motorisées puis des vannes manuelles. Veuillez nous confirmer les types de vannes
exigées pour l'isolation des chenaux de dégrillage fin.
Réponse n°1 :
Les vannes amont/aval des dégrilleurs fin sont prévues d'être manuelles.
Question n°2 :
Pour le dessablage / Déshuilage, au niveau de l'article 3.1.6.3 du Document N° 4-1-b - CPS-T 1
PTP, veuillez nous confirmer un des cas suivants pour le système d'aération :
Système d'aération composé de turbines, comme mentionné en article 3.1.6.3.2.
Système d'aération composé de surpresseur d'air + diffuseurs, comme mentionné en
article 3.1.6.3.3.
Le système d'aération est laissé au choix de l’entreprise entre turbines ou surpresseur.
Réponse n°2 :
Le système d’aération est composé de surpresseur d’air + diffuseurs.
Question n°3 :
L'article 3.1.6 du Document N° 4-1-b - CPS-T 1 PTP demande de prévoir une couverture
supérieure de l'ensemble des ouvrages et équipements de prétraitement pour protéger les
installations des intempéries et des UV, et que la zone doit rester ouverte sur les 4 côtés ; alors
qu’en article 3.1.6.3.1, il est stipulé « Les ouvrages de dessablage-déshuilage sont inclus dans
un bâtiment ventilé et dont l'air extrait est désodorisé ou couverts au plan d’eau et l'air du ciel
gazeux est ventilé et l'air vicié désodorisé » Veuillez nous clarifier la solution à retenir pour les
installations de prétraitement.
Réponse n°3 :
Prévoir une couverture supérieure de l'ensemble des ouvrages et équipements de
prétraitement pour protéger les installations des intempéries et des UV, et que la zone doit
rester ouverte sur les 4 côtés comme précisé par l'article 3.1.6 du Document N° 4-1-b - CPS-T
1 PTP.
De plus, les ouvrages de dessablage-déshuilage doivent être couverts au plan d’eau et l'air du
ciel gazeux est ventilé et l'air vicié désodorisé.
Question n°4 :
L'article 3.1.6.4.2 du Document N° 4-1-b - CPS-T 1 PTP précise un nombre de pompes à sable
de 2+1 secours automatique, alors qu’il est exigé 3 ouvrages de dessablage/déshuilage.
Veuillez nous confirmer le maintien du nombre de pompes de 2+1 secours.
Réponse n°4 :
Les pompes sont d’un nombre de : 1 par ouvrage de dessablage/déshuilage + 1 secours.
Question n°5 :
Veuillez nous confirmer la nécessité de couvrir et désodoriser le réacteur biologique de
traitement des graisses, dont le fonctionnement est identique aux réacteurs biologiques aérés.
Réponse n°5 :
La couverture et la désodorisation du réacteur biologique de traitement des graisses ne sont
pas prévues. La solution d'aération à prévoir doit être sécuritaire, le système d'aération pour
ce poste est à prévoir en 1+1 au minimum.
Question n°6 :
Veuillez nous confirmer le temps de séjour exigé pour la décantation primaire de 0,5 h.
Réponse n°6 :
Le temps de séjour pour la décantation primaire est de 0,5 heure conformément au CPS-T.
Question n°7 :
Pour le calcul des pertes d’alcalinité, veuillez nous communiquer l’alcalinité des eaux brutes à
considérer pour le dimensionnement.
Réponse n°7 :
Veuillez adopter les valeurs usuelles communément utilisées pour la conception des stations
d’épuration. A titre indicatif, les valeurs mesurées sont comme suit :
L'alcalinité des eaux brutes arrivant à la SPRET Port sur la période 2021 -2022 : (40 -
49) degrés français.
L'alcalinité des eaux brutes STEP Boukhalef sur la période 2020 -2022 : (37 - 58) degrés
français.
Question n°8 :
L'article 3.1.12 du Document N° 4-1-b - CPS-T 1 PTP sur la clarification parle de clarificateur à
raclage au fond et de ponts suceurs, veuillez nous clarifier sur le type de clarification retenue.
Réponse n°8 :
L’extraction des boues à retenir au niveau des clarificateurs est par raclage.
Question n°9 :
Veuillez nous confirmer que l'autonomie de stockage de l’hypochlorite de sodium est de 15
jours comme précisé dans l'article 3.1.15 du Document N° 4-1-b - CPS-T 1 PTP.
Réponse n°9 :
L’autonomie de stockage de l’hypochlorite de sodium est de 15 jours.
Question n°10 :
Pour la variante 2, veuillez nous confirmer la possibilité de prévoir un épaississement statique
commun des boues mixtes primaires et secondaires.
Réponse n°10 :
L’épaississement des boues primaires et secondaires doit être fait d’une façon séparée
conformément au CPS.
Question n°11 :
Veuillez nous confirmer la nécessité de prévoir une injection de lait de chaux au niveau du
stockage tampon des boues digérées avant déshydratation.
Réponse n°11 :
L’injection de lait de chaux est à prévoir conformément au CPS.
Question n°12 :
Veuillez nous confirmer que l'autonomie de stockage du polymère pour la déshydratation est
de 15 jours comme précisé dans l'article 3.2.8 du Document N° 4-1-b - CPS-T 1 PTP.
Réponse n°12 :
L’autonomie de stockage du polymère est de 15 jours conformément au CPS.
Question n°13 :
L'article 3.2.9 du Document N° 4-1-b - CPS-T 1 PTP précise une autonomie de 30 jours et de 15
jours pour la chaux. Veuillez nous confirmer l'autonomie à retenir.
Réponse n°13 :
L’autonomie de stockage de la chaux à retenir est de 15 jours par silos (il est prévu deux silos).
Question n°14 :
L'article 3.2.9 du Document N° 4-1-b - CPS-T 1 PTP précise l’utilisation de chaux vive et de chaux
éteinte. Veuillez nous confirmer le type de chaux à retenir.
Réponse n°14 :
Le type de la chaux (vive ou éteinte) est laissée au choix de l’entreprise et de son expérience.
Question n°15 :
Veuillez nous confirmer la nécessité de prévoir un filtre à nettoyage automatique en aval du
refoulement d'eau industrielle, sachant que l'alimentation du réseau d’eau industrielle se fait
par une eau déjà filtrée au niveau des filtres à sable.
Réponse n°15 :
Le filtre à nettoyage automatique en aval du groupe d’eau industrielle est à retenir
conformément au CPS.
Question n°16 :
L'article 3.1.3 du CGS précise une exigence sur les coliformes fécaux de < 1000 UFC/100 ml en
sortie du traitement secondaire. Vu que ceci n'est pas faisable en sortie de cette étape de
traitement, veuillez nous confirmer l'absence de cette exigence à ce stade.
Réponse n°16 :
La garantie pour les coliformes fécaux est à retenir uniquement pour la sortie du traitement
tertiaire.
Par ailleurs, il est à rappeler que l’injection de chlore est à prévoir même en cas de by-pass du
traitement tertiaire.
Question n°17 :
Au niveau de l'article 3 du cahier des essais, épreuves et réception, il est exigé une période de
trois mois calendaires consécutifs pour les essais de performance. Vu que cette période est
inutilement longue pour la vérification des performances de la STEP et que ces essais sont
généralement effectués sur une période de 7 jours comme d’ailleurs stipulé dans le fascicule
81, veuillez nous confirmer que les essais de performances seront effectivement réalisés sur
une durée de 7 jours consécutifs.
Réponse n°17 :
La période des essais de performance est de trois mois calendaires consécutifs conformément
au CPS.
Il est à rappeler que le délai d’exécution du marché est de Vingt-quatre (24) mois y compris le
délai de trois (3) mois pour la réalisation des essais industriels.
Question n°18 :
Nous confirmer si le soumissionnaire doit présenter des offres pour les deux variantes ou bien
il est possible de choisir à répondre à une seule variante.
Réponse n°18 : Tenant compte d'une éventuelle utilisation de l'énergie, voire une économie
d'énergie au niveau de la station, Il faut présenter les 2 variantes.
Réponse à la demande d’éclaircissement N°3
Dans le cadre de l’appel d’offres cité en objet et suite à la demande d’éclaircissement de l'un
des concurrents veuillez trouver ci-après questions/réponses à prendre en considération lors
de votre future soumission :
Question 1 :
Veuillez nous communiquer les coordonnées (XYZ) du point constituant la limite amont des
prestations à fournir. Une arrivée des eaux brutes à une profondeur d'environ 7 m, comme
indiqué à l'article 2.9 du PTP, n'est pas suffisante (7 m par rapport à TN ou par rapport à la
plateforme de 9,5 NGM et pour quel point planimétrique).
Réponse 1 :
La profondeur d’arrivée des eaux brutes avant relevage est d’environ 8 mètres par rapport au
TN actuel. Cette valeur est donnée à titre indicatif et susceptible d’être changée à la baisse ou
à la hausse lors des études d’exécution, le soumissionnaire est invité à prendre compte de ces
variations.
Concernant les coordonnées, nous ne pouvons pas vous les communiquer et comme précisé
lors de la séance d’information du 08/05/2023, le site du projet est susceptible d’être décalé
légèrement lors de la phase de réalisation des travaux.
Question 2 :
Veuillez nous communiquer les coordonnées (XYZ) du point constituant la limite aval des
prestations à fournir. La conduite menant vers l'Oued et l'ouvrage de rejet dans Oued sont-ils
inclus dans le présent marché ? En quel cas, merci de nous préciser explicitement
l'emplacement dudit point de rejet (XYZ) à considérer pour le dimensionnement hydraulique
des ouvrages.
Réponse 2 :
La réalisation de la conduite et l’ouvrage de rejet dans l’Oued font partie des prestations du
présent concours, l’entrepreneur doit faire son étude pour définir le point de rejet convenable
lors de la phase d’exécution et doit tenir compte dans son offre financière des éventuels aléas.
Question 3 :
Veuillez nous confirmer la capacité unitaire de 1400 m3/h pour les 4 dégrilleurs fin.
Réponse 3 :
La capacité unitaire des dégrilleurs est de 1 200 m3/h pour les 4 dégrilleurs. 3 en
fonctionnement et 1 en secours.
Question 4 :
Veuillez nous confirmer la possibilité de prévoir des filtres à sable à lavage continue avec un
écoulement ascendant au lieu des filtres à sable conventionnels à lavage discontinu avec
écoulement descendant, et ceci suite aux nombreux avantages que présente le premier type
surtout en terme d'exploitation.
Réponse 4 :
Les filtres à sables à lavage continu avec un écoulement ascendant peuvent être proposés.
Question 1 :
Prière de nous clarifier le point relatif à la capacité de la STEP en termes de débit journalier, il
est précisé au niveau des documents du marché que la STEP sera dimensionnée pour un débit
moyen annuel de 36 923m3/j et également, il est précisé que la STEP à une capacité de 48
000m3/j.
Réponse 1 :
Le débit moyen annuel est de 36 923 m3/j et le débit de pointe journalier est de 48 000 m3/j.
Le dimensionnement de la STEP doit se baser sur les données présentées au niveau de l'article
3.1. du PTP.
Question 2 :
ll est précisé que la conduite d’alimentation de la future STEP est située à 7m de profondeur,
le cahier de charge ne prévoit pas de relevage qu'après dégrillage grossier. Veuillez nous
confirmer cette configuration.
Réponse 2 :
Le pompage est prévu en aval du dégrillage grossier. Il est à rappeler que la profondeur est
donnée à titre indicatif comme clarifiée par notre réponse à la demande d’éclaircissement
n°3.
Question 3 :
Prière de nous préciser la vitesse d'approche minimale dans les canaux de dégrillage grossier
ainsi que la donnée à renseigner pour la vitesse de passage à grille colmatée (à 30% ou 50%).
Réponse 3 :
Veuillez vous conformer aux spécifications du document de Prescriptions Techniques
Particulières (PTP) :
La vitesse d’approche sera au minimum de 0,3 m/s. Préciser la vitesse à travers la grille à 0%,
30% et 50% de colmatage.
L’entreprise doit justifier son dimensionnement par des normes reconnues et présenter au
minimum toutes les données demandées au PTP.
Question 4 :
Le chapitre 3.1.6 stipule que le local du prétraitement doit rester ouvert sur les 4 côtés pour
faciliter les interventions et la ventilation naturelle. Ce local doit être fermé et désodorisé. Nous
vous prions de de nous confirmer la configuration à retenir.
Réponse 4 :
Nous confirmons que les ouvrages sont couverts et désodorisés et que le local prétraitement
va rester ouvert des 4 côtés.
Question 5 :
Prière de nous confirmer le nombre de dégrilleurs fins. Sur le plan d'implantation qui est
donnée à titre indicatif, il est clair qu'il s’agit de 3 dégrilleurs (2+1) alors qu’au niveau du CPS,
04 dégrilleurs sont prévus dont 01 de secours.
Réponse 5 :
Question 6 :
Prière de préciser la donnée à renseigner. Vitesse grilles et perte de charge à 30% ou à 50% de
colmatage ?
Réponse 6 :
Préciser la vitesse à travers la grille à 0%, 30% et 50% de colmatage. Par ailleurs, l’entreprise
doit justifier son dimensionnement par des normes reconnues et présenter au minimum
toutes les données demandées au PTP.
Question 7 :
Prière de confirmer que les dégrilleurs fins sont à chaîne équipée de grille droite et non pas un
tamis (3.1.6.1.3).
Réponse 7 :
Question 8 :
Prière de confirmer que les ouvrages de dessablage-déshuilage sont conçus pour fonctionner
en parallèle (33% du débit par file).
Réponse 8 :
Les ouvrages de dessablage-déshuilage sont conçus en trois files parallèles pour le débit de
pointe 3400 m3/h confortement au CPS.
Question 9 :
Prière de nous clarifier la configuration retenue pour le stockage des boues. Au niveau du
chapitre 3.2.10, la zone de stockage à prévoir est d’une autonomie de 30 jours, alimentée par
des vis, et dans le même chapitre, on exige 04 bennes de 12m3 (dont le volume est assez faible
pour stocker la totalité des boues).
Réponse 9 :
Il est à prévoir une aire de stockage de 30 jours ainsi que la fourniture de 4 bennes de 12 m3
pour le transport des boues.
Question 10 :
Nous vous prions de nous clarifier pour quelle variante est le budget annoncé. Aussi, prière de
nous clarifier comment les offres, base et variante, seront évaluées financièrement et
classées.
Réponse 10 :
Le classement des offres sera effectué par la Commission des appels d'offres conformément
au RPC et le choix de la variante à retenir demeure à l'appréciation de la Commission des
appels d'offres.
Question 11 :
Prière de nous préciser les prix unitaires qui vont servir pour l'établissement du bilan
prévisionnel d'exploitation. En effet, puisqu'il n’y a pas d'offres à formuler pour une
exploitation de la STEP, il serait plus judiciable de fixer les prix unitaires afin d’avoir une base
de comparaison correcte entre les différents bilans prévisionnels d'exploitation des différents
soumissionnaires.
Réponse 11 :
Question 12 :
Prière de préciser la puissance de court-circuit du réseau de distribution 20 KV alimentant les
postes de livraison de la STEP.
Réponse 12 :
Question 13 :
Prière de préciser si les deux transformateurs de puissance de chaque poste de livraison sont
en position Normal/Secours.
Réponse 13 :
La conception faite de l'alimentation HTA est que les deux transformateurs du poste de
livraison 1 secouent les deux transformateurs du poste de livraison 2.
Question 14 :
Prière de préciser si le matériel de chemin des câbles doit être en INOX 304 ou INOX 316.
Réponse 14 :
Question 15 :
Prière de confirmer si un poste de commande local peut intégrer la commande de plusieurs
équipements situés dans le même ouvrage ou local technique.
Réponse 15 :
Le poste de commande local doit être installé prêt de l'équipement et non dans un local. Le
regroupement de certains postes de commandes dans un même endroit peut être soumis à
l'avis d'Amendis lors de l'approbation des plans.
Question 16 :
Prière de confirmer si le commutateur de sélection des modes de fonctionnement et le bouton
d'arrêt d'urgence peuvent être intégrés au niveau de la face avant du poste de commande
locale.
Réponse 16 :
Réponse 1 :
Le bassin tampon doit alimenter le dégrillage fin.
D'une manière générale, prévoir toujours une vidange gravitaire vers l'amont de la station de
relevage des eaux brutes (bassin tampon, dessableur/déshuileur, décanteurs, bassin
biologique....).
Question 2 :
Veuillez nous confirmer la nécessité de prévoir un bâtiment confiné pour le déssableur
déshuileur puisque pour un ouvrage longitudinal équipé de pont roulant il n'est pas possible de
le couvrir et extraire l'air vicié uniquement au niveau du ciel gazeux.
Réponse 2 :
Le dessableur déshuileur doit être confiné et désodorisé. Les ouvrages sont à couvrir ou à
insérer dans un local selon la solution des soumissionnaires.
Question 3 :
Veuillez nous confirmer l'autonomie de stockage de 15 j en conditions nominales pour la source
de carbone, surtout que le besoin en ce réactif n’est que temporaire.
Réponse 3 :
Nous confirmons une autonomie de stockage de 15 jours pour tous les réactifs, le maintien de
la teneur en matière active doit être respecter selon les préconisations du fabricant.
Question 4 :
Pour l'unité de traitement du biogaz, et vu que les types de procédés sont variables allant d’un
simple traitement par charbon actif (faible investissement mais coût important en
exploitation) à des traitements biologiques (plus important en investissement mais coût
minime en exploitation), veuillez nous préciser le type de traitement à considérer pour le
biogaz.
Réponse 4 :
Le traitement de biogaz doit être biologique.
Question 5 :
Pour les conduites eau et boues en partie enterrée, il est exigé la fonte comme matériaux. Vu
la conjoncture actuelle qui limite la disponibilité et les délais de livraison de ce type de
conduites, veuillez nous confirmer que les matériaux en PVC, PRV ou PEHD sont également
autorisés.
Réponse 5 :
Nous confirmons la possibilité d’utilisation des matériaux suivant pour les conduites eau et
boues en partie enterrée :
Conduites gravitaires
Conduites sous
pression ou siphon
Question 6 :
Vu la proximité du site par rapport à oued Mharhar et vu sa topographie potentiellement
favorable aux risques d'inondation, nous vous prions de nous communiquer la côte des plus
hautes eaux du site pour en tenir compte dans les calculs de la stabilité des ouvrages contre la
flottaison et le soulèvement.
Réponse 6 :
Il est à rappeler que le calage de la plateforme de la STEP sera à la côte 9.5m NGM, ce qui
permettra la protection de la future STEP contre les inondations occasionnelles.
Conformément aux recommandations du LPEE, il y a lieu de prévoir une surélévation des
ouvrages pour pallier aux problèmes de soulèvement hydraulique (Voir la note de LPEE
jointe).
Question 7 :
Nous vous prions de nous préciser si la côte d'aménagement du site qui est autour de 9.5
mNGM concernera uniquement l'emprise des ouvrages projetés ou elle sera généralisée sur
toute la parcelle y compris les zones d'extension.
Réponse 7 :
Pour une question d’optimisation du coût du projet, les déblais excédentaires seront réutilisés
pour le chargement de la plateforme de la zone d’extension future.
Question 8 :
Veuillez nous confirmer l'autorisation d'exécuter des travaux de drainage et de protection
contre les inondations du site même si ces travaux doivent se prolonger vers des exutoires
situés en dehors de la limite parcellaire prescrite par AMENDIS.
Réponse 8 :
Si ces travaux de drainage et de protection contre les inondations du site doivent se prolonger
vers des exutoires situés en dehors de la limite parcellaire prescrite par AMENDIS, et
conformément à l’article 1.4 du CPS-T GC, AMENDIS assure les autorisations auprès des
organismes concernés. L’entreprise titulaire produira les documents requis pour ces
autorisations.
Question 9 :
Le rapport géotechnique précise que le sol présente une très faible portance ne dépassant pas
les 0.6 bars. Compte tenu de la taille des ouvrages à réaliser, cette contrainte risque d’être
largement dépassée d’où le recours à des fondations profondes type pieux, colonnes
ballastées, injection rigide, barrette, .… etc non recommandées par le rapport géotechnique
du DCE. Prière de nous éclaircir sur ce point.
Réponse 9 :
Conformément à l’article 1.3 du CPS-T GC, le soumissionnaire doit prévoir dans son offre le
mode des fondations adéquates (superficielles, profondes ou spéciales nécessaires en
fonction de la nature du sous-sol) en fonction des études géotechniques complémentaires G3
ou autres qu’il établira dans le cadre des études d'exécution.
A titre indicatif, veuillez trouver ci-joint la note de précision technique de LPEE sur votre
question.
Réponse à la demande d’éclaircissement n°6
Question 1 :
Suivant l’article N°3.1.11 « Chenaux d’oxydation » du CPS-T1, il est indiqué que la
concentration des boues dans le réacteur doit être comprise entre 3 et 3,5 kg/m°. Il est précisé
également que le taux de recyclage des boues doit être de 75 %. Aussi, au niveau de l’article
N°3.1.12 « Clarification » du CPS -T1, Il est indiqué que l'indice de boue pour la variante 2 doit
être considéré comme 170 ml/g.
Selon les paramètres donnés du DWA A 131, veuillez noter qu'une concentration de boues
entre 3 et 3,5 g/l ne peut pas être atteinte à un indice de boues de 170 ml/g et avec un taux de
recyclage de 75 %.
Sur ce, nous vous prions de bien vouloir nous confirmer que le taux de recyclage des boues peut
être augmenté.
Réponse 1 :
Pour le dimensionnement, le taux de recyclage est de 75 à 100 %.
Question 2 :
Suivant l’article N°3.1.11.1 « Equipement de production d’air process » et N°3.1.11.2 «
Raquettes de diffusion » du CPS-T1, Il est mentionné que l'efficacité du transfert d'oxygène est
limitée à un maximum de 5,5%/m.
Nous vous prions de bien vouloir nous confirmer que le rendement > 5,5 %/m ne peut pas être
utilisé à des fins de conception d'aération.
Réponse 2 :
La moyenne de l’efficacité du transfert d’oxygène est 5,5 %/m à 7,0 %/m.
Question 3 :
Suivant l’article N°3.2.3 « Epaississement des boues secondaires » du CPS-T1, Il est indiqué
qu'avant la digestion anaérobie, les boues secondaires doivent être épaissies, séparément des
boues primaires et dans un épaississeur gravitaire.
Veuillez noter que les boues secondaires sont très difficiles à épaissir par elles-mêmes et que
la siccité après épaississement dans un épaississeur gravitaire n'est généralement comprise
qu'entre 2 % et 2,5 %. Ce n'est pas un paramètre avantageux pour la conception et le
fonctionnement des digesteurs anaérobies (la siccité désirée dans le digesteur est d'environ 5
%).
La meilleure méthode actuelle en matière d'ingénierie est l'épaississement mécanique avant
la digestion.
Sur ce, nous vous prions de bien vouloir nous confirmer que les boues secondaires peuvent
également être épaissies mécaniquement.
Réponse 3 :
Veuillez vous conformer au CPS-T qui prévoit un épaississement statique.
Par ailleurs, vous pouvez présenter en variante votre solution en adoptant l’épaississement
mécanique pour les boues secondaires.
Question 1 :
Suivant l’article N°3.2.10 du CPS - T1, il est indiqué que les boues déshydratées doivent
être stockées pendant 30 jours. De plus, les boues doivent être amenées sur les
installations de stockage par une vis rotative inclinée. De plus, l'entreprise doit fournir
4 bennes de stockage des boues de capacité unitaire de 12 m3.
Cette spécification n'est pas claire. La quantité de boues déshydratées/chaulées
produites dépasse largement 4 bennes de stockage de 12 m3 chacune (48 m3). En effet,
un nombre d'environ 200 bennes de stockage serait nécessaire pour 30 jours de
stockage. De plus, il n'est pas clair si les boues doivent être stockées dans les bennes ou
sur une zone ouverte. Si c’est sur une zone ouverte, il n'est pas possible de transporter
les boues avec une vis sans fin rotative. Cela nécessiterait des chargeurs frontaux.
Prière de bien vouloir clarifier ce point.
Réponse 1 :
Il est à prévoir une aire de stockage de 30 jours ainsi que la fourniture de 4 bennes de
12 m3 pour des raisons d'exploitation.
L’aire de stockage doit être alimentée par vis de reprise des boues déshydratées, le
matériel roulant d’exploitation (chargeurs frontaux ou autre) ne fait pas partie du
présent appel d’offres.
Question 2 :
Suivant l’article N° 3.1.12 du CPS - T1, il est spécifié que les boues de retour doivent être
pompées à la fois vers l'entrée du bassin aéré ET vers la zone de contact. Merci de
clarifier car il n'y a pas de zone de contact spécifiée.
Prière de bien vouloir nous confirmer que les boues de retour doivent être pompées vers
l'entrée du bassin aéré OU vers la zone de contact, si une telle zone de contact est
prévue par l'entreprise.
Réponse 2 :
Une zone de contact par bassin est à prévoir. Pour la recirculation, il est prévu une
recirculation vers la zone de contact ET une recirculation vers le bassin d’aération, et
ce conformément au CPS.
Question 3 :
Suivant l’article « Débitmètre » page 75/97 du CPS-T1, il est précisé que des
débitmètres électromagnétiques doivent être utilisés pour toutes les mesures de débit.
Merci de noter qu'il est défavorable pour plusieurs situations hydrauliques d'utiliser des
débitmètres électromagnétiques pour tous les postes.
Nous vous prions de bien vouloir nous confirmer que d'autres débitmètres peuvent
également être utilisés (par exemple débitmètre à ultrasons).
Réponse 3 :
Les débits doivent être mesurés par un débitmètre électromagnétique conformément
au CPS.
Toute autre solution de mesure de débit peut être proposée par l’entreprise en
solution variante.
Question 4 :
Au niveau de l’éclaircissement N°2, réponse N°1, vous avez indiqué que la profondeur
d'arrivée des eaux brutes avant relevage est d'environ 8 mètres par rapport au TN
actuel. Cependant, vous mentionnez qu'il n'est pas clair à quelle profondeur la conduite
arrive et cela peut changer. De plus, les plates-formes doivent être fixées au minimum
à 9,50 m, pour éviter les inondations selon l'appel d'offres.
De plus, les structures enterrées doivent être sécurisées contre les forces d'appui
causées par les inondations. Vous déclarez en outre que le site du projet n'est pas clair
et que le site ainsi que la profondeur de la conduite d’arrivée peuvent changer.
Veuillez noter qu'étant donné l'énorme complexité structurelle et mécanique de ces
travaux de prise d'eau (dégrilleur et station de pompage, qui devraient être situés à
plus de 9 m sous le niveau du sol), en particulier en cas de risque d'inondation, il est
impossible d'établir des prix réalistes si les conditions précises de la prise d'eau ne sont
pas communiquées. Par conséquent, nous vous prions de bien vouloir revoir la situation
d'entrée et de clarifier les conditions pour ces travaux d'entrée.
Réponse 4 :
La profondeur d'arrivée des eaux brutes avant relevage est d'environ 8 mètres par
rapport au TN actuel avant rehaussement de terrain.
L’incertitude de la profondeur pourra avoir un impact seulement sur le coût de la
station de relevage et non pas sur le projet entier.
Par ailleurs, le site du projet est susceptible d’être décalé légèrement.
Le soumissionnaire doit en tenir compte dans son offre et aucune réclamation ne peut
être acceptée au moment de la réalisation du projet.
Aussi au niveau de l’éclaircissement N°1, réponse N°5, vous avez déjà confirmé que le
traitement des graisses ne doit pas être recouvert et ne doit pas être désodorisé.
Prière de bien vouloir nous confirmer que les bassins suivants ne doivent pas non plus être
couverts et que l'air ne doit pas être traité, car ils ne sont pas inclus dans les spécifications :
- Bassins de décantation primaires (pour la variante 2)
Réponse 21 :
Nous confirmons que le traitement des graisses ainsi que le traitement primaire dans la
variante 2 ne sont pas concernés par la désodorisation.
Réponse 1 :
Nous vous confirmons que seule la zone des ouvrages projetés dans le cadre de ce projet sera
concernée par le rehaussement jusqu’à la côte 9.5 m NGM et que la zone de l’extension future
sera remblayée par les déblais excédentaires.
Question 2 :
Selon la précision technique de LPEE joint à l’éclaircissement n°5 du 30 mai 2023, il a été
recommandé ce qui suit :
«
Concernant le paramètre de compressibilité, ii y a lieu de prévoir un pré chargement
avec des drains ou si le temps du projet ne le permet pas, prévoir un traitement par
colonnes ballastées d'environ 10 à 15 mètres et dimensionné dans le cadre d'une
mission G3.
Les ouvrages profonds tel la bâche, seront fondés sur des pieux, également dans le
cadre d'une mission G3. »
Nous vous prions de nous confirmer que la solution de traitement de sol par des drains et
chargement n’est pas envisageable au moment de l’exécution du marché, vu que cette solution
nécessitera un temps important pour le traitement du sol pouvant atteindre quelques mois (6
mois minimum). Et que cette durée n’est pas prise en compte dans le délai exigé de réalisation
du projet.
Réponse 2 :
● Les ouvrages profonds tel la bâche, seront fondés sur des pieux, également dans
le cadre d'une mission G3. »
Nous tenons à vous informer qu'aucun délai supplémentaire ne sera accordé. Il est impératif
que vous vous engagiez à exécuter les prestations dans les délais convenus du marché,
indépendamment des conclusions de la mission G3. Le soumissionnaire doit en tenir compte
dans son offre et aucune réclamation ne peut être acceptée au moment de la réalisation du
projet.
Question 3 :
Dans l’article n°3.1.11.1 Équipements de production d’air process il est exigé des surpresseurs
à vis. Nous vous prions de nous confirmer ce choix.
Réponse 3 :
Question :
Faisant suite à l'éclaircissement N°9 réponse N°20, vous avez mentionné que la cote de calage
de la plateforme serait de 9,5 m NGM. Cependant, selon le plan coté fourni avec les documents
de rappel d'offres, la cote du terrain actuel se situe entre 6,5 m NGM et 7,5 m NGM. Par
conséquent, il sera nécessaire de remplir la totalité de la plateforme avec une substitution de
2,5 m à 3 m.
Prière de bien vouloir nous confirmer ces informations.
Réponse :
Nous confirmons que la cote minimale de calage de la plateforme est de 9,5 m NGM. La zone
construite de la parcelle doit être protégée contre la crue centennale conformément au CPS.
Le Titulaire du Marché aura à remblayer la zone qui sera réservée à l'extension de la STEP dans
la limite des déblais excédentaires sélectionnées.
Réponse à la demande d’éclaircissement N°13
Question :
Selon le Règlement Général des Concours, l’offre financière doit comprendre : a. L’Acte
d’Engagement dûment rempli et signé par le concurrent ou son représentant habilité.
b. Le bordereau des Prix Unitaires (BPU)
c. Le Détail Quantitatif Estimatif (DQE)
d. La Convention liant les membres du groupement
Or, dans le dossier de consultation nous trouvons les deux documents suivants : a.
Bordereau de prix global b. Décomposition du montant global forfaitaire Prière de confirmer
que le bordereau des Prix Unitaires (BPU) correspond au bordereau de prix global et le Détail
Quantitatif Estimatif correspond à la décomposition du Montant Global
Réponse :
Question :
Selon la réponse à l’éclaircissement n°12 il est demandé de fournir dans l’offre financière la
pièce suivante : e. Le calcul des OPEX sur 20 ans d'exploitation (comme signalé au niveau de
l'article 1 du RPC) Or, dans le dossier de consultation nous trouvons le document bilan
prévisionnel d’exploitation qui devra être fourni chiffré en se basant sur les prix unitaires
indiqué au niveau de la réponse 11 de l’éclaircissement n°3 du 18 mai 2023.
Nous vous prions de nous confirmer que le document e. Le calcul des OPEX sur 20 ans
d'exploitation devra être établi selon le modèle du document bilan prévisionnel
d’exploitation. Et que ce dernier n’est pas exigé chiffré au niveau de l’offre technique.
Réponse :
" Nous confirmons que le document "e: Le calcul des OPEX sur 20 ans d'exploitation" fait
partie de l'offre financière et qui devra être établi selon le modèle du document bilan
prévisionnel d’exploitation fourni dans le dossier de concours. Ce bilan ne doit comprendre
que le détail quantitatif au niveau de l’offre technique"
Salutations