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Sur le marché du ciment, il existe actuellement trois grands acteurs mais la menace
peut provenir de la part des nouveaux entrants. Holcim, dont la capacité de
production est de 4,5 millions de tonnes de ciment, est sans doute la société qui
profite le mieux de la croissance que connait le secteur, son chiffre d’affaires
progresserait en moyenne de 9%. De son côté, Lafarge, leader du secteur avec
également une capacité de 4,5 millions de tonnes de ciment, prévoit un chiffre
d’affaires qui progresserait en moyenne de 8 %. De tous les cimentiers, c’est
«Ciments du Maroc» qui profite le moins de la croissance du secteur avec 3,8
millions de tonnes. La qualité et les emballages des produits offerts différent d’un
acteur à l’autres.(…) Par ailleurs, l’arrivée éventuelle de nouveaux entrants rendrait
le marché du ciment plus concurrentiel ce qui aura certainement des impacts
économiques et financiers sur les opérateurs historiques et sur les prix du ciment qui
sont élevés suite à la hausse de la demande des agents économiques, en particulier
de la part des groupes de promotion immobilière : Alomrane , Addoha et Chaâbi Lil
Iskane.
TRAVAIL A FAIRE :
Sur le marché du ciment, il existe actuellement trois grands acteurs mais la menace
peut provenir de la part des nouveaux entrants. Holcim, dont la capacité de
production est de 4,5 millions de tonnes de ciment, est sans doute la société qui
profite le mieux de la croissance que connait le secteur, son chiffre d’affaires
progresserait en moyenne de 9%. De son côté, Lafarge, leader du secteur avec
également une capacité de 4,5 millions de tonnes de ciment, prévoit un chiffre
d’affaires qui progresserait en moyenne de 8 %. De tous les cimentiers, c’est
«Ciments du Maroc» qui profite le moins de la croissance du secteur avec 3,8
millions de tonnes. La qualité et les emballages des produits offerts différent d’un
acteur à l’autres.(…) Par ailleurs, l’arrivée éventuelle de nouveaux entrants rendrait
le marché du ciment plus concurrentiel ce qui aura certainement des impacts
économiques et financiers sur les opérateurs historiques et sur les prix du ciment qui
sont élevés suite à la hausse de la demande des agents économiques, en particulier
de la part des groupes de promotion immobilière : Alomrane , Addoha et Chaâbi Lil
Iskane.
TRAVAIL A FAIRE :
• Offre
• Demande
• Prix
• Application et
résultat
• Lecture
• Application et
résultat
• Lecture
Annexe N°1 : (document de base N°1)
• Offre
• Demande
• Prix
• Application et
résultat
• Lecture
• Application et
résultat
• Lecture
Annexe N°2 : (document de base N°2)
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• Offre
-
-
• Demande
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• Prix -
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• Offre
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• Demande
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• Prix -
Durant les cinq dernières années, la création d’emplois a sensiblement diminué par
rapport à la décennie (2000-2010) et ce, malgré le lancement d’un certain nombre de
plans sectoriels dans les domaines de l’industrie, de l’agriculture et du tourisme.
En effet, durant l’année 2015, le marché du travail n’a créé que 41 000 emplois nets.
Avec un taux de croissance économique en 2015 plus important que celui de 2014,
le taux de chômage n’a que légèrement baissé, la conversion de création de
richesse en emplois reste très faible.
En conséquence, pour une population active de 11, 8 millions de personnes en 2015,
un taux de chômage de 9,7% contre 9,9% en 2014 ne peut que susciter l’inquiétude
des jeunes de moins de 25 ans et des diplômés qui souffrent des taux de chômage
quasi stables et très élevés, soient respectivement, 20,8% et 17,3%. Donc, faire
baisser le chômage est encore loin des objectifs fixés.
Durant les cinq dernières années, la création d’emplois a sensiblement diminué par
rapport à la décennie (2000-2010) et ce, malgré le lancement d’un certain nombre de
plans sectoriels dans les domaines de l’industrie, de l’agriculture et du tourisme.
En effet, durant l’année 2015, le marché du travail n’a créé que 41 000 emplois nets.
Avec un taux de croissance économique en 2015 plus important que celui de 2014,
le taux de chômage n’a que légèrement baissé, la conversion de création de
richesse en emplois reste très faible.
En conséquence, pour une population active de 11, 8 millions de personnes en 2015,
un taux de chômage de 9,7% contre 9,9% en 2014 ne peut que susciter l’inquiétude
des jeunes de moins de 25 ans et des diplômés qui souffrent des taux de chômage
quasi stables et très élevés, soient respectivement, 20,8% et 17,3%. Donc, faire
baisser le chômage est encore loin des objectifs fixés.
DOCUMENT 2 : Le taux de chômage au Maroc reste inquiétant
Durant les cinq dernières années, la création d’emplois a sensiblement diminué par
rapport à la décennie (2000-2010) et ce, malgré le lancement d’un certain nombre de
plans sectoriels dans les domaines de l’industrie, de l’agriculture et du tourisme.
En effet, durant l’année 2015, le marché du travail n’a créé que 41 000 emplois nets.
Avec un taux de croissance économique en 2015 plus important que celui de 2014,
le taux de chômage n’a que légèrement baissé, la conversion de création de
richesse en emplois reste très faible.
En conséquence, pour une population active de 11, 8 millions de personnes en 2015,
un taux de chômage de 9,7% contre 9,9% en 2014 ne peut que susciter l’inquiétude
des jeunes de moins de 25 ans et des diplômés qui souffrent des taux de chômage
quasi stables et très élevés, soient respectivement, 20,8% et 17,3%. Donc, faire
baisser le chômage est encore loin des objectifs fixés.
Durant les cinq dernières années, la création d’emplois a sensiblement diminué par
rapport à la décennie (2000-2010) et ce, malgré le lancement d’un certain nombre de
plans sectoriels dans les domaines de l’industrie, de l’agriculture et du tourisme.
En effet, durant l’année 2015, le marché du travail n’a créé que 41 000 emplois nets.
Avec un taux de croissance économique en 2015 plus important que celui de 2014,
le taux de chômage n’a que légèrement baissé, la conversion de création de
richesse en emplois reste très faible.
En conséquence, pour une population active de 11, 8 millions de personnes en 2015,
un taux de chômage de 9,7% contre 9,9% en 2014 ne peut que susciter l’inquiétude
des jeunes de moins de 25 ans et des diplômés qui souffrent des taux de chômage
quasi stables et très élevés, soient respectivement, 20,8% et 17,3%. Donc, faire
baisser le chômage est encore loin des objectifs fixés.