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JESUS

Jésus est-il ressuscité?


Nous nous demandons tous ce qui doit nous arriver après la mort. Quand un proche meurt, nous désirons
ardemment le (ou la) revoir quand ce sera notre tour. Serons-nous glorieusement réunis avec ceux que nous
aimons, ou bien la mort est-elle la fin de tout?

Jésus a enseigné que la vie ne s’achève pas à la mort de notre corps. Il a fait cette déclaration stupéfiante : ” Je
suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort. ” Selon les témoins
oculaires les plus porches de Jésus, il démontra alors sa puissance sur la mort en se relevant des morts après
avoir été crucifié et enterré pendant trois jours. C’est cette croyance qui procure l’espérance aux Chrétiens
depuis près de 2000 ans.

Mais certains ne partagent pas cet espoir de vie après la mort. Bertrand Russell, le philosophe athée, a écrit :
” Je crois que quand je mourrai, je pourrirai et rien de mon ego ne survivra. ” [1] Il est évident que Russell n’a
pas cru les paroles de Jésus.

Les fidèles de Jésus ont écrit qu’il leur apparut vivant après sa crucifixion et son enterrement. Ils ont prétendu
non seulement l’avoir vu, mais aussi avoir mangé avec lui, l’avoir touché, et avoir passé 40 jours avec lui.

Alors, est-ce que ceci pourrait être seulement une histoire qui s’est élaborée au fil du temps, ou est-ce basé sur
une preuve solide ? La réponse à cette question est fondamentale au christianisme. Car si Jésus s’est relevé
d’entre les morts, cela confirme la validité de tout ce qu’il a dit à son propre sujet, sur la signification de la vie,
et sur notre destin après la mort.

Si Jésus s’est effectivement relevé d’entre les morts, alors lui seul possède les réponses concernant le but de la
vie et ce qui nous attend après la mort. Par contre, si le récit de la résurrection est faux, alors le christianisme
est fondé sur un mensonge. Le théologien R. C. Sproul l’exprime ainsi :

” La revendication de la résurrection est vitale au christianisme. Si Christ a été relevé des morts par Dieu, alors
Il possède les qualifications et le titre qu’aucun autre chef religieux ne possède. Bouddha est mort. Mohammed
est mort. Moïse est mort. Confucius est mort. Mais, selon le…christianisme, Christ est vivant. ” [2]

De nombreux sceptiques ont tenté de réfuter la résurrection. Josh McDowell était l’un de ces sceptiques, ayant
consacré plus de sept cents heures d’étude sur les preuves de la résurrection. McDowell a déclaré ce qui suit
sur l’importance de la résurrection :

” J’en ai conclus que la résurrection de Jésus Christ est le canular le plus méchant, vicieux, cruel jamais imposé
au cœur de l’homme, OU BIEN c’est le fait le plus fantastique de toute l’histoire. ” [3]

Alors, la résurrection de Jésus est-elle un fait fantastique ou un mythe vicieux ? Pour le découvrir, nous devons
examiner les preuves historiques et en tirer nos propres conclusions. Voyons ce que les sceptiques qui ont fait
des recherches sur la résurrection ont eux-mêmes trouvé.

1
Les cyniques et les sceptiques

Tous ne s’entendent pas pour examiner les preuves de façon objective. Bertrand Russell reconnaît que son
opinion sur Jésus ” ne se préoccupe pas ” des faits historiques.[4] L’historien Joseph Campbell a déclaré
calmement à son audience de la chaîne de télévision PBS, et sans citer de preuve, que la résurrection de Jésus
n’était pas un événement factuel.[5] D’autres intellectuels, tels que John Dominic Crossan du Jesus Seminar,
sont d’accord avec lui.[6] Aucun de ces sceptiques ne présente la moindre preuve pour défendre leur point de
vue.

Les vrais sceptiques, contrairement aux cyniques, s’intéressent aux preuves. Dans un éditorial du magazine
Skeptic, intitulé ” Qu’est-ce qu’un sceptique ? “, la définition suivante est donnée : Le scepticisme est…
l’application de la raison à toute idée—aucune vache sacrée n’est admise. En d’autres mots… les sceptiques ne
s’engagent pas dans une enquête avec l’esprit fermé à la possibilité qu’un phénomène puisse être réel ou
qu’une revendication puisse être correcte. Quand nous disons que nous sommes ” sceptiques “, nous voulons
dire que nous avons besoin de voir des preuves convaincantes avant de croire. ” [7]

A la différence de Russell et Crossan, beaucoup de vrais sceptiques ont examiné les preuves de la résurrection
de Jésus. Dans cet article, nous entendrons l’opinion de certains d’entre eux et nous verrons comment ils ont
analysé les preuves de ce qui est peut-être la question la plus importante de l’histoire du genre humain : Jésus
est-il vraiment ressuscité des morts ?

Il prophétise à son propre sujet

En avance de sa mort, Jésus dit à ses disciples qu’il allait être trahi, arrêté et crucifié, et qu’il reviendrait à la
vie trois jours plus tard. C’était un drôle de plan ! Que se cachait-il là-derrière ? Jésus n’était pas un artiste de
spectacle qui se produisait sur demande devant le monde ; mais plutôt, il promettait que sa mort et sa
résurrection prouveraient au monde (si leur esprit et leur cœur étaient réceptifs) qu’il était en fait le Messie.

Wilbur Smith, un étudiant de la Bible, a fait la remarque suivante sur Jésus : Quand il a déclaré qu’il se
relèverait lui-même d’entre les morts, le troisième jour après sa crucifixion, il dit quelque chose que seul un
fou aurait osé avancer en s’attendant toujours à la fidélité de quiconque parmi ses disciples—à moins qu’il ne
fût certain de se relever. Aucun fondateur d’une religion du monde connue par l’homme n’a jamais osé
déclarer une chose pareille. ” [8]

En d’autres mots, puisque Jésus avait clairement expliqué à ses disciples qu’il se relèverait après sa mort, son
échec à le faire l’aurait exposé comme un menteur. Mais nous nous devançons. Comment Jésus est-il mort
avant de se relever (s’il l’a fait) ?

Une mort atroce et ensuite. . . ?

Vous savez à quoi les dernières heures de la vie terrestre de Jésus ont ressemblé si vous avez regardé le film du
guerrier de route/Brave Heart (Cœur vaillant), Mel Gibson. Si vous avez raté des passages de La passion de
Christ parce que vous vous cachiez les yeux (il aurait été plus simple de tourner le film avec un filtre rouge sur
la caméra), consultez les dernières pages des Évangiles dans votre Nouveau Testament pour voir ce que vous
avez raté.

Comme Jésus l’avait prédit, il fut trahi par l’un de ses disciples, Judas Iscariote, et il fut arrêté. Lors d’un faux
procès auquel présidait le gouverneur romain, Ponce Pilate, il fut accusé de trahison et condamné à mourir sur
une croix en bois. Avant d’être cloué sur la croix, Jésus fut brutalement battu au moyen d’un chat à neuf
2
queues romain, un fouet à neuf lanières dont les extrémités étaient nouées avec des morceaux d’os et de métal
qui accrochaient la chair pour la déchirer. Il reçut des coups de poing répétés, des coups de pied et on lui
cracha dessus.

Ensuite, à l’aide de maillets, les bourreaux romains enfoncèrent les gros clous de fer forgé dans les poignets et
les pieds de Jésus. Finalement, ils plantèrent la croix dans un trou au sol entre deux autres croix sur lesquelles
étaient cloués des bandits.

Jésus pendit de cette croix pendant environ six heures. Puis, à trois heures de l’après-midi—c’est-à-dire à
l’instant même où l’agneau de Pâque était sacrifié en offrande expiatoire des péchés (il y a un peu de
symbolisme ici, non ?)—Jésus s’écria (en araméen) : ” Tout est accompli “, puis il mourut. Soudain, le ciel
devint sombre et un tremblement de terre secoua la terre. [9]

Pilate voulait vérifier que Jésus était mort avant de d’autoriser la mise en tombe de son corps crucifié. Donc un
garde romain plongea une lance dans le côté de Jésus. Le mélange de sang et d’eau qui s’échappa fut une
indication nette que Jésus était mort. Le corps de Jésus fut alors descendu de la croix et placé dans la tombe de
Joseph d’Arimathée. Les gardes romains scellèrent alors la tombe et y postèrent une garde de 24 heures.

Pendant ce temps, les disciples de Jésus étaient en état de choc. Dr. J. P. Moreland explique à quel point ils
étaient frappés et confus après la mort de Jésus sur la croix.

Ils ne croyaient plus fermement que Jésus avait été envoyé par Dieu. Ils avaient appris, par ailleurs, que Dieu
ne permettrait pas que son Messie souffre la mort. Alors ils se dispersèrent. Le Mouvement Jésus en arrivait
pratiquement à une fin brutale. ” [10]

Tout espoir s’était évanoui. Rome et les chefs juifs avaient gagné—ou, du moins, c’est ce qu’il semblait.

uelque chose se produisit

Mais ce n’était pas la fin. Le Mouvement Jésus ne disparut pas (à l’évidence) et, en fait, le christianisme existe
aujourd’hui comme la plus grande religion du monde. Donc, nous devons savoir ce qui s’est produit après que
le corps de Jésus a été descendu de la croix et placé dans la tombe.

Dans un article du New York Times, Peter Steinfels cite les événements stupéfiants qui eurent lieu trois jours
après la mort de Jésus : ” Peu après l’exécution de Jésus, ses fidèles furent soudain galvanisés d’un groupe
déconcerté et tremblant en ceux dont le message concernant un Jésus vivant et un royaume approchant, prêché
au risque de leur vie, parvint à changer un empire. Quelque chose s’était produit. … Mais quoi exactement? ”
[11] C’est la question à laquelle nous devons répondre par un examen des faits.

Il n’existe que cinq explications plausibles pour la résurrection supposée de Jésus, telle qu’elle est présentée
dans le Nouveau Testament :

1. Jésus n’est pas vraiment mort sur la croix.


2. La ” résurrection ” était un complot.
3. Les disciples hallucinaient.
4. Le récit est une légende.
5. Cela s’est vraiment produit.

Considérons chacune de ces options et voyons laquelle correspond le mieux aux faits.
3
Jésus était-il mort?

” Marley était mort, pour commencer. Là-dessus, pas l’ombre d’un doute. ” C’est ainsi que Charles Dickens
entame son conte Un chant de Noël, car l’auteur veut que personne ne se méprenne sur le caractère surnaturel
de ce qu’il va se passer. De la même manière, avant de jouer le rôle des Experts CSI et de recueillir les preuves
d’une résurrection, nous devons premièrement déterminer qu’il y a bien eu un cadavre. Après tout, on voit
occasionnellement un article de journal racontant comment un ” cadavre ” quelconque dans une morgue s’est
mis à bouger et s’est rétabli. Est-ce qu’un cas du même type pourrait s’être produit avec Jésus ?

Certains ont avancé que Jésus aurait survécu la crucifixion et serait revenu à lui-même dans l’air frais et
humide de la tombe – ” Eh bien, pendant combien de temps j’ai été dans les pommes ? ” Mais cette hypothèse
ne semble pas correspondre à l’évidence médicale. Un article figurant dans le Journal of the American Medical
Association (Journal de l’Association médicale américaine) explique pourquoi cette hypothèse du soi-disant
” comma ” n’est pas défendable :

Il est clair que le plus gros de la preuve historique et médicale indique que Jésus était mort. …La lance,
enfoncée entre ses côtes droites, perfora probablement, non seulement le poumon droit, mais aussi le péricarde
et le cœur et, par conséquent, garantit sa mort. ” [12]

Mais le scepticisme de ce verdict pourrait bien être fondé, car cette affaire date d’il y a 2000 ans. Nous devons,
au moins, nous procurer une seconde opinion.

Nous allons trouver cette autre opinion dans les rapports des historiens non-chrétiens de l’époque à laquelle
Jésus a vécu. Trois de ces historiens mentionnent la mort de Jésus.

 Lucien (env.120 à après 180 A.D.) a fait allusion à Jésus comme un sophiste (philosophe) crucifié.[13]
 Josèphe (env.37 à env.100 A.D.) a écrit : ” En ce temps-là paraît Jésus, un homme sage ; c’était un faiseur de
prodiges […]. Et quand Pilate, sur la dénonciation des premiers parmi nous le condamna à la croix, ceux qui
l’avaient aimé précédemment ne cessèrent pas. ” [14]
 Tacite (env. 56 à env.120 A.D.) a écrit : ” Le nom de Chrétiens leur vient du nom de Christ, qui fut condamné
sous le règne de Tibère, par le procureur Ponce Pilate. ” [15]

C’est un peu comme si nous allions à la bibliothèque nationale et que nous découvrions qu’un matin de
printemps au premier siècle, le Jerusalem Post avait publié en première page un article disant que Jésus était
crucifié et mort. Ce n’est pas mal pour un travail de détective, et c’est plutôt concluant.

En réalité, il n’existe aucun rapport historique, émanant de Chrétiens, Romains ni Juifs, contredisant soit la
mort de Jésus, soit sa mise en tombe. Même Crossan, un sceptique de la résurrection, reconnaît que Jésus a
véritablement vécu et est mort. ” Le fait qu’il a été crucifié est aussi certain que tout autre fait historique peut
l’être. “[16] A la lumière de telle preuve, il semble que nous ayons de bonnes raisons de rejeter la première de
nos cinq options. Jésus était clairement mort, ” pas l’ombre d’un doute “.

La question de la tombe vide

Aucun historien sérieux ne doute vraiment que Jésus était mort lorsqu’il a été descendu de la croix. Toutefois,
bon nombre ont questionné la manière dont le corps de Jésus a disparu de la tombe. Le journaliste anglais, Dr.
Frank Morison, a d’abord pensé que la résurrection était un mythe ou une tromperie, et il a commencé une
étude en vue d’écrire un livre la réfutant.[17] Le livre devint célèbre, mais pour des raisons autres que son
intention première, comme nous allons le voir.
4
Morison commença par tenter de résoudre le cas de la tombe vide. La tombe appartenait à un membre du
Conseil du Sanhédrin, Joseph d’Arimathée. En Israël, en ce temps-là, faire partie du Conseil était équivalent à
être une rock star d’aujourd’hui. Tout chacun savait qui faisait partie du Conseil. Joseph doit avoir été une
vraie personne. Autrement, les chefs juifs auraient exposé l’histoire comme un faux dans leurs efforts de
réfuter la résurrection. Par ailleurs, la tombe de Joseph aurait été située dans un lieu connu et facile à identifier,
de sorte que toute idée de Jésus ” perdu dans le cimetière ” aurait été éliminée.

Morison se demanda pourquoi les ennemis de Jésus auraient permis au ” mythe de la tombe vide ” de persister
s’il n’était pas vrai. La découverte du corps de Jésus aurait mis fin instantanément à tout le complot.

Et ce qui est connu historiquement des ennemis de Jésus, c’est qu’ils accusèrent les disciples d’avoir volé le
corps, une accusation clairement basée sur une conviction partagée que la tombe était vide.

Dr. Paul L. Maier, un professeur d’histoire antique à l’université de Western Michigan, a aussi déclaré : Si
toute la preuve est soigneusement et objectivement évaluée, il est vraiment justifiable … de conclure que la
tombe dans laquelle Jésus fut placé était en fait vide au matin de la première Pâque. Et aucune trace de preuve
n’a encore été découverte … qui puisse réfuter cela. ” [18]

Les chefs juifs étaient stupéfaits, et accusèrent les disciples d’avoir dérobé le corps de Jésus. Mais les Romains
avaient affecté une garde de 24 heures à la tombe, avec un détachement de gardes bien entraînés (entre 4 et 12
soldats). Morison demande : Comment ces professionnels ont-ils pu laisser vandaliser le corps de Jésus ? “

Il aurait été impossible à qui que ce soit d’échapper à l’attention des gardes romains et d’avoir déplacé une
pierre de deux tonnes. Et pourtant, la pierre était déplacée et le corps de Jésus était manquant.

Si le corps de Jésus avait pu se trouver quelque part, ses ennemis auraient rapidement exposé la résurrection
comme un mensonge. Tom Anderson, ancien président de la California Trial Lawyers Association
(Association californienne des avocats plaidants), résume l’essentiel de cet argument : Avec un événement
recevant une telle publicité, ne pensez-vous pas qu’il eût été raisonnable qu’un historien, un témoin oculaire ou
un antagoniste ait noté pour les temps à venir qu’il avait vu le corps de Jésus ? …Le silence de l’histoire est
assourdissant quant au témoignage contre la résurrection. ” [19]

Alors, faute de preuve, et avec une tombe connue vide de toute évidence, Morison considéra solide la preuve
que le corps de Jésus avait en quelque sorte disparu de la tombe.

Vandalisme de tombe?

Comme Morison poursuivit son enquête, il commença à examiner les motifs des fidèles de Jésus. Peut-être que
la supposée résurrection était en fait un corps dérobé. Mais alors, si c’était le cas, comment justifier toutes les
apparitions documentées de Jésus ? L’historien Paul Johnson, dans History of the Jews (L’histoire des Juifs), a
écrit : Ce qui comptait, ce n’était pas les circonstances de sa mort, mais le fait qu’un groupe sans cesse plus
grand de gens croyaient tout à fait et obstinément qu’il était ressuscité. ” [20]

La tombe était bien vide. Mais ce n’était pas la simple absence d’un corps qui pourrait avoir galvanisé les
fidèles de Jésus (notamment s’ils étaient ceux qui l’avait volé). Quelque chose d’extraordinaire devait avoir eu
lieu, car les fidèles de Jésus cessèrent d’avoir du chagrin, cessèrent de se cacher, et commencèrent à proclamer
audacieusement qu’ils avaient vu Jésus vivant.

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Chacun des témoignages oculaires rapporte que Jésus apparut soudain en chair et en os à ses fidèles, aux
femmes d’abord. Morison se demanda pourquoi des comploteurs auraient donné un rôle prépondérant à des
femmes dans leur histoire. Au premier siècle, les femmes n’avaient pratiquement aucun droit, aucune
personne, aucun état. Si le complot devait réussir, Morison raisonna, les conspirateurs auraient mis en avant
des hommes, non pas des femmes, comme étant les premiers à voir Jésus vivant. Pourtant, nous entendons que
des femmes le touchèrent, parlèrent avec lui, et furent les premières à trouver la tombe vide.

Plus tard, selon les récits des témoins, tous les disciples ont vu Jésus en plus de dix occasions distinctes. Ils
écrivirent qu’il leur montra ses mains et ses pieds et leur dit de le toucher. Et ils dirent qu’il mangea avec eux
et, plus tard, apparut vivant à plus de 500 fidèles dans un cas.

John Warwick Montgomery, un érudit du droit, a déclaré : En 56 A.D., l’apôtre Paul a écrit que plus de 500
personnes avaient vu le Jésus ressuscité et que la plupart d’entre elles étaient encore vivantes (1 Corinthiens
15, 6 et suivants). Cela dépasse les limites de la crédibilité, que les premiers Chrétiens aient pu fabriquer une
histoire semblable, puis la prêcher au milieu de ceux qui auraient facilement pu la réfuter en produisant
simplement le corps de Jésus. ” [21]

Les érudits de la Bible, Geisler et Turek sont d’accord :

” Si la résurrection n’avait pas eu lieu, pourquoi l’apôtre Paul aurait-il donné une telle liste de supposés
témoins ? Il aurait immédiatement perdu toute crédibilité auprès de ses lecteurs corinthiens en mentant aussi
effrontément. ” [22]

Pierre expliqua à une foule à Césarée pourquoi lui-même et les autres disciples étaient si convaincus que Jésus
était vivant.

Nous sommes témoins de tout ce qu’il a fait dans le pays des Juifs et à Jérusalem. Ils l’ont tué, en le pendant au
bois. Dieu l’a ressuscité le troisième jour, et il a permis qu’il apparût […] à nous qui avons mangé et bu avec
lui, après qu’il fut ressuscité des morts. ” (Actes 10, 39 à 41)

Michael Green, un érudit britannique de la Bible fait remarquer : ” Les apparitions de Jésus sont aussi bien
authentifiées que toute autre chose de l’antiquité…Il ne peut y avoir aucun doute rationnel qu’elles ont eu
lieu. ” [23]

Cohérent jusqu’au bout

Comme si les rapports des témoins oculaires étaient insuffisants pour provoquer le scepticisme de Morison, le
comportement des disciples le laissa également perplexe. Le fait historique, qui a fait trébucher aussi bien les
historiens que les psychologues et les sceptiques, est que ces onze anciens lâches s’exposèrent soudain
volontairement à souffrir l’humiliation, la torture et la mort. Tous les disciples de Jésus, à l’exception d’un
seul, moururent en martyres. Est-ce qu’ils se seraient engagés de la sorte pour un mensonge, sachant qu’ils
avaient eux-mêmes dérobé le corps de Jésus ?

Les martyres islamiques du 11 septembre ont prouvé que certains sont d’accord de mourir pour une fausse
cause en laquelle ils croient. Pourtant, c’est de la folie de se prêter volontairement au martyre pour un
mensonge évident. Comme l’a écrit Paul Little :

Les hommes sont d’accord de mourir pour ce qu’ils croient être vrai, bien que cela puisse en réalité être faux.
Ils ne meurent pas, toutefois, pour ce qu’ils savent être un mensonge. “[24]
6
Les disciples de Jésus se sont comportés d’une manière cohérente avec une conviction profonde que leur chef
était vivant.

Personne n’a clairement expliqué pourquoi les disciples auraient voulu mourir pour un mensonge évident.
Mais, même s’ils avaient tous comploté de mentir sur la résurrection de Jésus, comment auraient-ils pu
prolonger ce complot pendant des décennies sans que l’un d’eux au moins ne vende la mèche pour de l’argent
ou un titre ? Moreland écrit :

Ceux qui mentent en perspective d’un gain personnel ne restent pas longtemps unis, notamment quand les
difficultés dépassent les avantages. “

L’ancien ” homme à la hache ” du gouvernement de Nixon, Chuck Colson, impliqué dans le scandale de
Watergate, fit remarquer combien plusieurs personnes éprouvèrent des difficultés à soutenir le mensonge
pendant une période de temps prolongée.

“Je sais que la résurrection est un fait, et Watergate me l’a prouvé. Comment ? Parce que 12 hommes
témoignèrent qu’ils avaient vu Jésus relevé des morts, et ensuite proclamèrent cette vérité pendant 40 ans, sans
jamais la renier une seule fois. Chacun à son tour fut battu, torturé, lapidé et jeté en prison. Ils n’auraient pas pu
endurer cela si ce n’était pas vrai. Watergate impliqua 12 des hommes les plus puissants du monde—et ils
furent incapables de soutenir un mensonge pendant trois semaines. Vous me dites que 12 apôtres furent
capables de soutenir un mensonge pendant 40 ans ? Absolument impossible. ” [25]

Quelque chose a dû se produire, qui a tout changé dans la vie de ces hommes et de ces femmes. Morison a
reconnu :

Quiconque aborde ce problème doit tôt ou tard faire face à un fait sans explication… Ce fait est… qu’une
conviction profonde touche ce petit groupe de gens—un changement qui témoigne du fait que Jésus s’est
relevé de la tombe. ” [26]

Les disciples étaient-ils victimes d’une hallucination ?

Des gens croient toujours qu’ils voient un Elvis gras, aux cheveux gris, entrer furtivement chez Dunkin Donuts
(chaîne de pâtisserie américaine). Et puis il y a ceux qui croient qu’ils ont passé la nuit dernière avec des
extraterrestres, dans leur vaisseau, comme l’objet d’essais innommables. Quelquefois, certaines gens peuvent
” voir ” les choses qu’ils veulent voir, des choses qui n’existent pas vraiment. Et c’est pourquoi certains ont
prétendu que les disciples étaient si désespérés de la crucifixion que leur désir de revoir Jésus vivant aurait
provoqué une hallucination de masse. Est-ce plausible ?

Le psychologue Gary Collins, ancien président de l’American Association of Christian Counselors


(Association américaine des conseillers chrétiens), a été questionné sur la possibilité que des hallucinations
aient motivé le changement de comportement radical des disciples. Collins fit la remarque suivante :

Les hallucinations sont des phénomènes individuels. De par la nature-même des hallucinations, une seule
personne à la fois ne peut en voir une. Ce n’est pas quelque chose qui peut être vu par un groupe de gens. ”
[27]

L’hallucination n’est pas même une possibilité, selon le psychologue Thomas J. Thorburn :

7
Il est absolument inconcevable que… cinq cents personnes, d’une clarté d’esprit moyenne… puisse faire
l’expérience de toutes sortes d’impressions sensorielles—visuelle, auditoire, tactile—et que toutes ces…
expériences reposent entièrement sur… une hallucination. ” [28]

Par ailleurs, dans la psychologie des hallucinations, la personne a besoin de se trouver dans une certaine
disposition d’esprit qui lui fait souhaiter de voir la personne au point que son esprit la fabrique. Deux chefs
importants de la première église, Jacques et Paul, ont tous les deux rencontré un Jésus ressuscité, sans
qu’aucun des deux ne s’attende à en avoir le plaisir, ni ne l’espère. L’apôtre Paul, en fait, menait les premières
persécutions des Chrétiens, et sa conversion reste inexplicable en dehors de son propre témoignage que Jésus
lui est apparu, ressuscité.

Du mensonge à la légende

Certains sceptiques sans conviction attribuent l’histoire de la résurrection à une légende qui commença avec
une ou deux personnes mentant ou pensant qu’elles avaient vu le Jésus ressuscité. Au fil du temps, la légende
aurait grandi et aurait été embellie en se transmettant. Selon cette théorie, la résurrection de Jésus est
comparable à la table ronde arthurienne, à l’incapacité du petit Georgie Washington de dire un mensonge, et à
la promesse que la Sécurité sociale deviendra solvable à temps pour satisfaire nos besoins.

Mais cette théorie contient trois problèmes importants.

1. Les légendes se développent rarement alors qu’il existe plusieurs témoins oculaires pour les démentir. Un
historien de la Rome et de l’Athènes antiques, A. N. Sherwin-White, a posé l’argument que les nouvelles de la
résurrection se sont répandues trop tôt et trop vite pour que celle-ci puisse avoir été une légende.[29]
2. Les légendes se développent par tradition orale et ne s’accompagnent pas de documents historiques
contemporains vérifiables. Pourtant, les Évangiles furent écrits en l’espace des trois décennies suivant la
résurrection.[30]
3. La théorie de la légende n’explique pas bien le fait de la tombe vide, ni la conviction historiquement vérifiée des
apôtres selon laquelle Jésus était vivant.[31]

Jésus est-il pertinent à notre époque ?


Beaucoup de gens s’imaginent que Jésus Christ s’attend à ce que nous devenions religieux. Ils pensent que
Jésus est venu pour supprimer tout plaisir de la vie, et pour nous imposer des règles impossibles à suivre. Ils
veulent bien l’appeler ” grand homme ” du passé, mais ils prétendent qu’il n’est pas pertinent à leur vie
d’aujourd’hui.

Josh McDowell était un étudiant universitaire qui pensait que Jésus n’était qu’un autre chef religieux ayant
dicté une quantité de règles invivables. Il croyait qu’il n’avait rien à faire de Jésus dans sa vie.

Puis un jour, alors qu’il déjeunait à la cafétéria de l’université, McDowell se trouva assis à côté d’une jeune
étudiante pleine de vie, avec un sourire radieux. McDowell fut intrigué et lui demanda ce qui la rendait si
heureuse. Sa réponse immédiate fut : Jésus Christ !

Jésus Christ ? McDowell s’hérissa, et lui lança cette réponse :

Oh, pour l’amour de Dieu, ne me dites pas ces bêtises ! J’en ai par-dessus la tête de la religion ; j’en ai par-
dessus la tête de l’église ; j’en ai par-dessus la tête de la Bible. Ne me parlez pas de cette sottise de religion.
8
Mais la jeune étudiante, impassible, l’informa calmement :

Monsieur, je n’ai pas dit religion, j’ai dit Jésus Christ.

McDowell était choqué. Il n’avait jamais vu Jésus autrement qu’un personnage religieux, et il ne voulait rien
avoir à faire avec l’hypocrisie de la religion. Et cependant, voilà, cette joyeuse femme chrétienne parlait de
Jésus comme de quelqu’un qui donnait un sens à sa vie.

Christ a répondu à toutes les questions fondamentales sur notre existence. A un moment ou à un autre, nous
questionnons tous la signification de la vie. Ne vous est-il pas arrivé de contempler les étoiles lors d’une nuit
particulièrement sombre, et de vous demander qui les avait placées là-haut ? Ou bien, avez-vous déjà regardé
un coucher de soleil en vous posant les plus grandes questions de la vie :

 Qui suis-je ?
 Pourquoi suis-je ici ?
 Que va-t-il m’arriver quand je mourrai ?

Et, bien que d’autres philosophes et chefs religieux aient proposé leurs propres réponses sur la signification de
la vie, seul Jésus Christ a prouvé ses revendications en se relevant d’entre les morts. Les sceptiques tels que
McDowell, qui ont d’abord ri de la résurrection de Jésus, ont découvert qu’il existe des preuves convaincantes
qu’elle a véritablement eu lieu.

Jésus donne un véritable sens à la vie. Il dit que la vie, c’est bien davantage que de gagner de l’argent,
s’amuser, avoir du succès, puis finir au cimetière. Et malgré tout, beaucoup de gens essaient quand même de
découvrir un sens à leur vie dans la célébrité et le succès, même parmi les plus grandes superstars…

Madonna s’efforça d’apporter une réponse à la question :

Pendant bien des années, j’ai pensé que la célébrité, la fortune et l’adulation du public m’apporteraient le
bonheur. Mais un jour, vous vous réveillez et vous réalisez que ce n’est pas cela… Je sens qu’il y a toujours
quelque chose qui manque… Je voulais savoir ce que c’est que le vrai bonheur qui dure, et comment je pouvais
l’atteindre. [1]

D’autres ont abandonné la recherche du bonheur. Kurt Cobain, le chanteur principal de Nirvana, le groupe
grunge de Seattle, a désespéré de la vie à l’âge de 27 ans et a commis le suicide. Le caricaturiste de l’Ère du
Jazz, Ralph Barton, a aussi trouvé que la vie n’avait pas de sens et il a laissé la lettre de suicide suivante :

J’ai eu peu de difficultés, beaucoup d’amis, de grands succès ; je suis passé d’un mariage à l’autre, et d’une
maison à l’autre ; j’ai visité les pays du monde, mais je n’en peux plus d’avoir à inventer des moyens de
remplir les 24 heures de chaque jour. [2]

Pascal, le grand philosophe français, était convaincu que ce vide intérieur que nous ressentons ne pouvait être
comblé que par Dieu. Il écrivit : Il y a, dans le cœur de l’homme, un vide à la grandeur de Dieu que rien ni
personne à part Dieu ne saurait combler. [3] Si Pascal avait raison, alors nous nous attendrions à ce que, non
seulement, Jésus réponde à la question sur notre identité et le but de cette vie, mais aussi qu’il nous donne
l’espoir de la vie après la mort.

La vie peut-elle avoir du sens sans Dieu ? Pas selon l’athée, Bertrand Russell, qui écrit : A moins de présumer
qu’un dieu existe, la question du sens de la vie n’a aucun sens. [4]
9
En fin de compte, Russell se résigne à ” pourrir ” dans la tombe. Dans son livre, Pourquoi je ne suis pas
chrétien, Russell rejette tout ce que Jésus a dit concernant le sens de la vie, y compris sa promesse de vie
éternelle.

Mais si Jésus a réellement vaincu la mort, comme ses témoins oculaires le prétendent (Voir Jésus est-il
ressuscité des morts ? ), alors lui-seul serait à même de nous dire quelle est le sens de la vie, et de répondre à la
question ” Où est-ce que je vais ? ” Pour comprendre comment les paroles, la vie et la mort de Jésus peuvent
déterminer notre identité, donner du sens à notre vie, et procurer de l’espoir pour l’avenir, nous devons
comprendre ce qu’il a dit à propos de Dieu, de nous, et de lui-même.

Que dit Jésus au sujet de Dieu?


Dieu est relationnel

Beaucoup de gens voient Dieu comme une force plutôt qu’une personne que nous pouvons connaître et
apprécier. Le Dieu dont Jésus parle n’est pas comme la force impersonnelle de La Guerre des Étoiles, dont la
bonté peut se mesurer en tension électrique. Il n’est pas non plus une espèce de croque-mitaine dans le ciel
prenant plaisir à rendre notre vie misérable.

Au contraire, Dieu est relationnel, tout comme nous et même bien plus. Il pense, Il entend. Il communique dans
une langue que nous pouvons comprendre. Jésus nous a dit et nous a montré à quoi Dieu ressemble. D’après
Jésus, Dieu connaît chacun d’entre nous d’une manière intime et personnelle, et Il pense à nous
continuellement.

Dieu est amour

Et Jésus nous a dit que Dieu est amour. Jésus a démontré l’amour de Dieu partout où il est allé, en guérissant
les malades et en aidant les malheureux et les pauvres.

L’amour de Dieu est radicalement différent du nôtre dans le fait qu’il ne varie pas selon l’attrait ou la
performance. Il est totalement sacrificiel et dénué d’égoïsme. Jésus a comparé l’amour de Dieu à l’amour d’un
père parfait. Un bon père veut ce qu’il y a de mieux pour ses enfants ; il se sacrifie pour eux et il pourvoit pour
eux. Mais aussi, pour leur bien, il les discipline.

Jésus illustre l’amour de Dieu avec l’histoire d’un fils rebelle qui avait rejeté les conseils de son père sur la vie
et sur ce qui comptait. Arrogant et rempli de sa propre volonté, le fils voulait cesser de travailler et vivre ” la
grande vie “. Plutôt que d’attendre jusqu’à ce que son père soit disposé à lui remettre sa part d’héritage, il
commença à insister que son père la lui donne prématurément.

Dans l’histoire de Jésus, le père accède au désir de son fils. Mais les choses tournent mal pour le fils. Après
avoir gaspillé son argent sur des plaisirs personnels, le fils rebelle doit se mettre au travail dans un élevage de
porcs. Bientôt, il devient si affamé que même la nourriture des cochons lui paraît bonne. Découragé et incertain
que son père le reçoive, il fait son baluchon et prend quand même le chemin du retour chez son père.

Jésus nous dit que non seulement son père l’accueille chez lui, mais en fait, il court à son devant pour
l’embrasser. Puis le père devient complètement radical dans son amour et il prépare un banquet extravagant
pour fêter le retour de son fils.

10
Il est intéressant de noter que, bien que le père aime tellement son fils, il ne court pas après lui. Il laisse le fils
qu’il aime faire l’expérience de la peine et souffrir les conséquences de son choix rebelle. De la même manière,
l’Écriture nous enseigne que l’amour de Dieu ne fait jamais de compromis sur ce qui est bon pour nous. Son
amour permet que nous fassions l’expérience de la souffrance, en conséquence de nos propres mauvais choix.

Jésus a aussi enseigné que Dieu ne fait jamais de compromis sur l’intégrité de son caractère. Le caractère, c’est
qui nous sommes tout au fond de nous-même. C’est notre essence et la source dont procède toutes nos pensées
et actions. Alors, à quoi Dieu ressemble-t-il—au plus profond de lui-même ?

Dieu est saint

A travers l’Écriture (environ 600 fois), Dieu est qualifié de ” saint “. Saint signifie que le caractère de Dieu est
moralement pur et absolument parfait. Sans aucun défaut. Cela signifie qu’Il n’a jamais eu une pensée impure
ou incohérente par rapport à son excellence morale.

Par ailleurs, la sainteté de Dieu signifie qu’Il ne peut pas se trouver en présence du mal. Puisque le mal est
l’opposé de sa nature, Il le hait. C’est pour lui comme de la pollution.

Mais si Dieu est saint et qu’Il déteste le mal, alors pourquoi ne nous a-t-Il pas créés avec le même caractère ?
Pourquoi y a-t-il des pédophiles, des meurtriers, des violeurs et des pervers ? Et pourquoi sommes-nous sans
cesse en conflit avec nos propres choix moraux ? Ceci nous amène à la section suivante de notre quête. Qu’est-
ce que Jésus a dit à notre sujet ?

Qu’est-ce que Jésus a dit à notre sujet ?


Créés pour une relation avec Dieu

Si vous lisiez le Nouveau Testament, vous découvririez que Jésus parlait sans cesse de notre immense valeur
aux yeux de Dieu et nous disait que Dieu nous a créés pour être ses enfants.

En d’autres mots, avant la création de l’univers, Dieu avait déjà planifié de nous adopter dans sa famille. Non
seulement cela, mais Il a prévu pour nous un héritage extraordinaire qui nous appartient si nous le souhaitons.
Comme le père l’avait à cœur, dans le récit raconté par Jésus, Dieu veut nous faire cadeau d’un héritage de
bénédictions inimaginables et de privilèges royaux. A ses yeux, nous avons une valeur très particulière.

La liberté du choix

Dans le film Et l’homme créa la femme, des hommes faibles, menteurs, avides de gain et meurtriers ont inventé
des robots soumis et obéissants pour remplacer leurs femmes libérées qu’ils considéraient comme des menaces.
Bien que ces hommes aiment supposément leurs femmes, ils les remplacent par des jouets afin de les forcer à
obéir.

Dieu pourrait nous avoir faits selon ce modèle — des personnes robotiques (iPersonnes) câblées pour l’aimer
et lui obéir, avec une adoration programmée comme un écran de veille. Mais alors, notre amour forcé n’aurait
pas de sens. Dieu voulait que nous l’aimions par choix. Dans une vraie relation, nous voulons que quelqu’un
nous aime pour qui nous sommes, non pas par obligation – nous préférons une âme sœur plutôt qu’une mariée
commandée sur catalogue. Søren Kierkegaard a résumé le dilemme dans l’histoire suivante.

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Mais pour rendre l’amour partagé possible, Dieu créa les êtres humains avec une capacité spéciale : la libre
volonté.

La rébellion contre les lois morales de Dieu

C.S. Lewis fit la déduction que, bien que nous soyons programmés intérieurement avec le désir de connaître
Dieu, nous nous révoltons contre cela dès notre naissance.[7] Lewis chercha aussi à comprendre ses propres
raisons, ce qui l’amena à découvrir qu’il connaissait instinctivement la différence entre le bien et le mal.

Lewis se demanda d’où venait ce sens du bien et du mal. Nous faisons tous l’expérience de ce sens du bien et
du mal quand nous lisons qu’Hitler a tué six millions de Juifs, ou qu’un héros a sacrifié sa vie pour quelqu’un
d’autre. Nous savons instinctivement que c’est mal de mentir et de tricher. Cette compréhension que nous
sommes programmés avec une loi morale à l’intérieur de nous a amené l’ancien athée à en déduire qu’il devait
exister un “Législateur” moral.

En fait, selon Jésus et l’Écriture, Dieu nous a donné une loi morale à suivre. Et non seulement nous nous
sommes détournés de la relation avec lui, mais nous avons également violé les lois morales établies par Dieu.
La plupart d’entre nous connaissent certains des Dix Commandements :

Tu ne mentiras pas, tu ne voleras pas, tu ne tueras pas, tu ne commettras pas l’adultère, etc. Jésus les a résumés
en disant que nous devrions aimer Dieu de tout notre cœur et notre voisin comme nous-même. Par conséquent,
le péché n’est pas la seule faute que nous commettons lorsque nous violons la loi, nous omettons aussi de faire
ce qui est bien.

Dieu a créé l’univers avec des lois gouvernant tout ce qu’il contient. Elles sont inviolables et inchangeables.
Quand Einstein dériva la formule E=MC2, il découvrit le mystère de l’énergie nucléaire. Réunissez les bons
ingrédients dans des conditions précises et une puissance immense s’en dégage. L’Écriture nous dit que la loi
morale de Dieu n’est pas moins applicable puisqu’elle émane de son caractère même.

Depuis le tout premier homme et la toute première femme, nous avons désobéi aux lois de Dieu, bien qu’elles
soient pour notre bien. Et nous avons omis de faire le bien. Nous avons hérité cet état du premier homme,
Adam. La Bible appelle cela la désobéissance, le péché, ce qui signifie “rater la cible”, comme un archer qui
manquerait la cible visée. Ainsi, nos péchés ont brisé la relation avec nous que Dieu avait prévue. Pour
continuer avec l’exemple de l’archer, nous avons raté la cible de l’objet pour lequel nous avons été créés.

Le péché provoque la séparation dans toutes les relations : la race humaine s’est séparée de son environnement
(aliénation), les gens se sont séparés d’eux-mêmes (culpabilité et honte), les gens se sont séparés des autres
(guerre, meurtre), et les gens se sont séparés de Dieu (mort spirituelle). Comme les maillons d’une chaîne,
lorsque le premier maillon a cassé entre Dieu et l’humanité, tous les autres maillons se sont désassemblés.

Et nous sommes brisés. Comme le rappeur Kayne West le déclame : Et je ne pense pas qu’il y ait quoi que ce
soit que je puisse faire pour réparer mes fautes…Je veux parler à Dieu, mais j’ai peur parce que cela fait si
longtemps qu’on ne s’est pas parlé… Les paroles de West parlent de la séparation due au péché dans notre
vie. Et selon la Bible, cette séparation est bien plus importante que les simples paroles d’une chanson de rap.
Elle a des conséquences fatales.

12
Notre péché nous a séparés de l’amour de Dieu

Notre rébellion (péché) a érigé un mur de séparation entre Dieu et nous (voir Ésaïe 59, 2). Dans l’Écriture, la
séparation signifie la mort. Et la mort spirituelle signifie que nous sommes totalement séparés de la lumière et
de la vie de Dieu.

Mais attendez-voir un petit moment ! Pourriez-vous dire. Dieu ne savait-il pas tout cela avant de nous créer ?

Comment n’a-t-il pas vu que son plan était voué à l’échec ? Bien sûr, un Dieu omniscient aurait réalisé que
nous allions nous révolter et pécher. En fait, c’est notre échec qui rend son plan si ahurissant ! Ceci nous
amène à la raison pour laquelle Dieu est venu sur terre sous forme humaine. Et, encore plus incroyable—la
raison extraordinaire de sa mort.

Qu’est-ce que Jésus a dit sur lui-même ?

La solution parfaite de Dieu

Pendant ses trois ans de ministère public, Jésus nous a enseigné comment vivre et a accompli de nombreux
miracles, y compris ressusciter des morts. Mais il a déclaré que sa première mission était de nous sauver de nos
péchés.

Jésus a proclamé être le Messie promis qui se chargerait de toute notre iniquité. Le prophète Ésaïe écrivit 700
ans plus tôt sur le Messie, nous donnant plusieurs indications de son identité. Mais l’élément le plus difficile à
saisir, c’est que le Messie devait être à la fois homme et Dieu !

Car un enfant nous est né, un fils nous est donné. On l’appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père
éternel, Prince de la paix. (Ésaïe 9, 6)

L’auteur Ray Stedman écrit sur le Messie promis par Dieu : Depuis le tout début de l’Ancien Testament, il y a
un sentiment d’espérance et d’attente, comme le bruit de pas qui se rapprochent : Quelqu’un vient ! …Cette
espérance s’intensifie dans les écrits prophétiques, comme un prophète après l’autre indique encore un autre
indice alléchant : quelqu’un vient ! [8]

Les prophètes anciens ont prédit que le Messie deviendrait l’offrande parfaite de Dieu pour le péché, afin de
satisfaire sa justice. Cet homme parfait serait qualifié pour mourir à notre place. (És. 53, 6)

Selon les auteurs du Nouveau Testament, la qualification de Jésus pour mourir à notre place, c’était qu’il avait
vécu une vie moralement parfaite et qu’il n’était donc pas exposé au jugement du péché.

C’est une chose difficile que de comprendre comment la mort de Jésus a payé la dette de nos péchés. Peut-être
une analogie judiciaire pourrait-elle clarifier comment Jésus a résolu le dilemme de la justice et de l’amour
parfaits de Dieu.

Supposez que vous entriez dans une salle de tribunal, coupable de meurtre (vous avez des problèmes graves).
En vous approchant du juge, vous réalisez qu’il s’agit de votre père. Sachant qu’il vous aime, vous commencez
immédiatement à l’implorer Papa, libère-moi !

Ce à quoi il répond : Je t’aime, mon fils, mais je suis juge. Je ne peux pas simplement de libérer.

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Il est déchiré. À la fin, il frappe du marteau et vous déclare coupable. La justice ne doit pas être corrompue, au
moins pas par un juge. Mais, parce qu’il vous aime, il se lève de son siège, ôte sa toge et offre de subir la peine
à votre place. Et, en fait, il prend votre place sur la chaise électrique.

C’est l’image peinte par le Nouveau Testament. Dieu est descendu pour s’insérer dans l’histoire de l’humanité,
en la personne de Jésus Christ, et il est allé à la chaise électrique (lire : la croix) à notre place, pour nous. Jésus
n’est pas un tiers bouc émissaire qui se charge de nos péchés, mais en fait, il est Dieu-même. En quelques
mots, Dieu avait deux choix : juger le péché en nous ou en subir lui-même la punition. En Christ, Il fit ce
dernier choix.

Bien que Bono de U2 ne prétende pas être théologien, il explique cependant exactement la raison de la mort de
Jésus : La raison de la mort de Christ, c’est qu’il a pris sur lui-même les péchés du monde, de sorte que nous ne
récoltions pas ce que nous avions semé, et que notre nature pécheresse ne récolte pas la mort incontournable.
C’est là la raison. Cela devrait nous rendre humbles. Ce ne sont pas nos bonnes œuvres qui nous permettent
d’entrer par les portails du ciel. [9]

Et Jésus a dit très clairement qu’il était lui seul capable de nous amener à Dieu :

Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. (Jean 14, 6)

Cependant beaucoup de gens prétendent que la revendication de Jésus, comme étant le seul chemin vers Dieu,
est trop étroite et qu’il y a beaucoup d’autres chemins menant à Dieu. Ceux qui croient que toutes les religions
sont la même chose nient le problème du péché. Ils refusent de prendre au sérieux les paroles de Christ. Ils
disent que l’amour de Dieu nous recevra tous, peu importe ce que nous avons fait.

Ils raisonnent que, tandis qu’Hitler mérite peut-être un jugement, ils vivent, ainsi que d’autres, une vie
décente. Cela revient à dire que Dieu note selon une courbe, et tous ceux qui obtiennent un D ou mieux
entreront. Mais ceci pose un dilemme.

Comme nous l’avons vu, le péché est l’opposé absolu du caractère saint de Dieu. Ainsi, nous avons offensé
celui qui nous a créés, et qui nous a tant aimés qu’il a sacrifié son propre Fils pour nous. Dans un sens, notre
rébellion en revient à lui cracher au visage. Ni les bonnes œuvres, ni la relation, ni la méditation, ni le carma ne
peuvent payer la dette accumulée par nos péchés.

D’après le théologien R. C. Sproul, seul Jésus peut satisfaire cette dette. Il écrit : Moïse pouvait être le
médiateur de la loi ; Mohammed pouvait brandir l’épée ; Bouddha pouvait donnait un conseil personnel ;
Confucius pouvait offrir des proverbes de sagesse ; mais aucun de ces hommes n’était qualifié pour offrir
l’expiation des péchés du monde. Seul Christ est digne de notre dévouement et de notre service sans fin. [10]

Un cadeau non mérité

Le terme biblique décrivant le pardon gratuit de Dieu à travers la mort sacrificielle de Jésus est la grâce.
Tandis que la miséricorde nous sauve de ce que nous méritons, la grâce de Dieu nous donne ce que nous
n’avons pas mérité. Revoyons un peu comment Christ a accompli pour nous ce que nous ne pouvions pas
accomplir pour nous-mêmes :

 Dieu nous aime et nous a créés pour avoir une relation avec Lui. [11]
 La liberté nous a été donnée d’accepter ou de rejeter cette relation. [12]
 Notre péché et notre rébellion contre Dieu et ses lois ont érigé un mur de séparation entre Lui et nous. [13]
14
 Bien que nous méritions le jugement éternel, Dieu a payé la totalité de notre dette par la mort de Jésus à notre
place, rendant possible la vie éternelle avec Lui. [14]

Maintenant, nous avons une image du plan de Dieu s’accomplissant à travers les siècles. Mais il manque
encore un ingrédient. Selon Jésus et les auteurs du Nouveau Testament, chacun d’entre nous doit répondre
individuellement au don gratuit que Jésus nous offre. Il ne nous force pas à le prendre.

Vous choisissez la fin

Nous faisons continuellement des choix—ce que nous portons, ce que nous mangeons, notre carrière, mariage,
partenaire, etc. C’est la même chose dans notre relation avec Dieu.

La voix à l’autre bout de la communication lui conseilla de ne pas évacuer. J’attendrais jusqu’à ce que
d’autres informations soient disponibles.

Notre choix conscient vis-à-vis de Jésus est infiniment plus grave que celui des victimes mal informées du 11
septembre. L’éternité est en jeu. Nous pouvons choisir l’une de trois différentes réponses. Nous pouvons
l’ignorer. Nous pouvons le rejeter. Ou, nous pouvons l’accepter.

La raison pour laquelle beaucoup de gens vivent leur vie en ignorant Dieu, c’est qu’ils sont trop préoccupés par
leurs propres affaires. C’était le cas de Chuck Colson. A l’âge de 39 ans, Colson occupait le bureau contigu à
celui du président des Etats-Unis. Il était le “dur de dur” de la Maison Blanche sous Nixon, “l’homme à la
hache” capable de prendre les décisions difficiles. Néanmoins, en 1972, le scandale de Watergate ruina sa
réputation et son monde tomba dans le chaos. Il écrivit plus tard :

Je ne pensais qu’à moi-même. J’avais fait ceci et cela, j’avais accompli, j’avais réussi et je n’avais donné à
Dieu aucun crédit, ne l’avais jamais remercié pour aucun de ses cadeaux. Je n’avais jamais pensé à quoi que ce
soit étant ‘infiniment supérieur’ à moi-même, ou si j’avais eu, à l’occasion, une pensée sur la puissance sans
limite de Dieu, je n’en avais pas fait la relation par rapport à ma vie. [17]

Beaucoup peuvent s’identifier à Colson. C’est facile de se laisser emporter par le courant rapide de la vie et de
n’avoir que peu ou pas de temps pour Dieu. Toutefois, choisir d’ignorer l’offre gracieuse du pardon de Dieu est
équivalent à un rejet volontaire, pour ce qui est des terribles conséquences. Notre dette de péché resterait
toujours insatisfaite.

En ce qui concerne le rejet du pardon complet de Christ, les gens donnent toutes sortes d’excuses. Beaucoup
disent qu’il n’y a pas assez de preuves, mais, comme Bertrand Russell et un nombre d’autres sceptiques, ils ne
s’y intéressent pas suffisamment pour vraiment examiner la question. D’autres refusent de regarder au-delà des
quelques Chrétiens hypocrites qu’ils connaissent, indiquant comme excuse leur comportement sans amour et
sans cohérence. Et encore d’autres rejettent Christ parce qu’ils blâment Dieu pour quelque expérience triste ou
tragique dont ils ont souffert.

Le désir de liberté morale a tenu C. S. Lewis éloigné de Dieu pendant la plupart de ses années d’études
universitaires. Après que sa quête de la vérité l’amena à Dieu, Lewis expliqua comment l’acceptation de Christ
implique plus qu’un simple accord intellectuel avec les faits. Il écrit :

L’homme déchu n’est pas simplement une créature imparfaite qui a besoin de s’améliorer : c’est un rebelle qui
doit rendre ses armes. Laisser tomber ses armes, se rendre, demander pardon, réaliser que vous avez fait fausse

15
route et s’apprêter à recommencer la vie depuis le début…C’est ce que les Chrétiens appellent la repentance.
[18]

La repentance est un mot qui signifie un demi-tour radical en pensée. C’est ce qui arriva à l’ancien ” homme à
la hache ” de Nixon. Après que l’affaire Watergate fût exposée, Colson commença à penser différemment à la
vie. Conscient de son propre manque de sens, il commença à lire Les Fondements du christianisme, un ouvrage
de C.S. Lewis qu’un ami lui avait donné. Fidèle à sa formation d’avocat, Colson prit un bloc-notes jaune et
commença à griffonner les arguments de Lewis. Colson se rappelle :

Je savais que mon heure était arrivée… Fallait-il que j’accepte sans réserve Jésus Christ comme le Seigneur de
ma vie ? C’était comme un portail devant moi. Il ne m’était pas possible de le contourner. Je devais entrer, ou
je devais rester dehors. Un ‘peut-être’ ou ‘j’ai besoin de davantage de temps’ n’aurait été qu’un subterfuge
pour me tromper moi-même.

Après un combat intérieur, cet ancien assistant du président des Etats-Unis réalisa finalement que Jésus Christ
méritait son allégeance totale. Il écrivit : Et donc, tôt un vendredi matin, alors que j’étais seul, assis en train de
contempler la mer que j’aime, des paroles que je n’étais pas certain de pouvoir comprendre ni prononcer
sortirent naturellement de ma bouche : ‘Seigneur Jésus, je crois en toi. Je t’accepte. S’il te plait, viens dans ma
vie. Je te la consacre.’ [19]

Colson découvrit que ses questions :

Qui suis-je ? Pourquoi est-ce que j’existe ? et Où est-ce que je vais ? reçurent toutes leurs réponses dans
une relation personnelle avec Jésus Christ. L’apôtre Paul écrit : Et dans le Christ, Dieu nous a donné notre
part au salut en nous choisissant d’avance selon son projet. “(Ephésiens 1, 11, La Bible Parole de Vie)

Quand nous entretenons une relation personnelle avec Jésus Christ, il comble notre vide intérieur, nous remplit
de sa paix, et satisfait notre besoin d’avoir une raison de vivre et un espoir. Et nous n’avons plus besoin de
recourir à des engouements temporaires pour notre épanouissement. Quand Il vient à l’intérieur de nous, il
satisfait aussi nos désirs et nos besoins les plus profonds d’un amour et d’une sécurité vrais et durables.

Et la chose la plus incroyable, c’est que Dieu lui-même est venu sous la forme d’un homme pour payer toute
notre dette. Par conséquent, nous ne sommes plus exposés à la rétribution de nos péchés. Paul expose
clairement cela aux Colossiens à qui il écrit :

Vous, qui étiez autrefois étrangers et ennemis par vos pensées et par vos mauvaises œuvres, il vous a
maintenant réconciliés par sa mort dans le corps de sa chair, pour vous faire paraître devant lui saints,
irrépréhensibles et sans reproche. (Colossiens 1, 21 et 22 Bible Louis Segond, 1910).

Ainsi, Dieu a fait pour nous ce que nous étions incapables d’accomplir pour nous-mêmes. Nous sommes
délivrés de nos péchés par la mort sacrificielle de Jésus. C’est comme un criminel responsable de meurtres en
masse, qui apparaîtrait devant le juge et recevrait un pardon absolu. Il ne mérite pas le pardon, et nous ne le
méritons pas non plus. La vie éternelle nous est offerte comme un cadeau de Dieu, absolument gratuit—et pour
tous ceux qui veulent bien l’accepter. Car bien que le pardon nous soit offert, c’est à notre choix de l’accepter
ou non. Ce choix nous appartient.

Est-ce que vous êtes à ce point dans votre vie où vous aimeriez accepter l’offre gratuite de Dieu ?

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Peut-être, comme Madonna, Lewis et Colson, votre vie est vide. Malgré tout ce que vous avez essayé, rien n’a
satisfait le vide intérieur que vous ressentez. Dieu peut remplir ce vide et vous changer en un instant. Il vous a
créé pour que votre vie soit remplie de signification et de motivation. Jésus dit: Je suis venu afin que les brebis
aient la vie, et qu’elles soient dans l’abondance. (Jean 10, 10b)

Ou peut-être que tout va bien dans votre vie, mais vous vous sentez agité et n’arrivez pas à trouver la paix.
Vous réalisez que vous avez violé les lois de Dieu et que vous êtes séparé de son amour et de son pardon. Vous
redoutez le jugement de Dieu. Jésus dit : Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas
comme le monde donne. (Jean 14, 27 Bible Louis Segond, 1910)

Donc, que vous soyez simplement lassé d’une vie de vaines poursuites, ou que vous soyez inquiets à cause de
l’absence de paix avec votre Créateur, la réponse se trouve en Jésus Christ.

Quand vous placez votre confiance en Jésus Christ, Dieu vous pardonne tous vos péchés—passés, présents et
futurs, et il fait de vous son enfant. Et lorsque vous êtes son enfant bien-aimé, il vous donne une raison de vivre
et un sens sur terre, ainsi que la promesse de la vie éternelle avec lui.

La parole de Dieu déclare : à tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient son nom, [il] a donné le pouvoir de
devenir enfants de Dieu. (Jean 1, 12)

Le pardon des péchés, une raison de vivre, et la vie éternelle vous appartiennent sur simple demande. Vous
pouvez inviter Christ dans votre vie dès à présent, dans la foi et par la prière. La prière, c’est parler avec Dieu.
Dieu connaît votre cœur et il ne se préoccupe pas autant de la qualité de vos mots que de l’attitude de votre
cœur. Voici une suggestion de prière :

Mon Dieu, je veux te connaître personnellement et vivre avec toi pour l’éternité. Merci, Seigneur Jésus, d’être
mort sur la croix pour mes péchés. J’ouvre tout grand la porte de ma vie et je te reçois maintenant comme mon
Sauveur et mon Seigneur. Prends contrôle de ma vie et change-moi ; fais de moi le genre de personne que tu
veux que je sois.

Est-ce que cette prière exprime le souhait de votre cœur ? Si oui, dites simplement cette prière suggérée dans
votre propre langue.

Quand vous vous engagez avec Jésus Christ, il vient dans votre vie ; il devient votre guide, votre conseiller,
votre consolateur, et votre meilleur ami. Par ailleurs, il vous donne la force de surmonter les épreuves et la
tentation ; il vous délivre afin que vous puissiez vivre une vie nouvelle, remplie de sens, de motivation, et de
puissance.

Chuck Colson découvrit cette nouvelle motivation et cette puissance. Colson admet volontairement qu’avant
de devenir chrétien, il était ambitieux, orgueilleux et égoïste. Il n’avait aucun désir, ni le pouvoir d’aimer les
autres dans le besoin. Mais ses pensées et sa motivation ont subi un changement radical une fois qu’il s’est
engagé en Christ.

Qu’est-ce que Jésus fait pour vous ?

Une fois que nous comprenons le prix incroyable que Jésus a payé pour faire de nous ses enfants, notre vie ne
devrait jamais plus être la même. En tant que nouveau croyant, vous connaîtrez encore la tentation, et il
pourrait y avoir des moments de doute et d’échec. Mais il ne vous abandonnera jamais, et à mesure que vous
lui permettrez de s’impliquer dans votre vie, vous connaîtrez sa fidélité et la puissance de vivre pour lui. Si
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vous êtes prêt(e) à commencer cette nouvelle vie avec Christ, nous vous encourageons à revoir les promesses
et les principes de croissance.

La nouvelle vie en Christ

Si vous avez pris la décision de recevoir Jésus Christ comme votre Sauveur et Seigneur personnel, vous êtes
son enfant pour toute l’éternité. Comme son enfant, vous recevez un héritage qui comprend ces promesses
merveilleuses :

1. Jésus vient dans votre vie et ne vous quitte plus jamais.


2. Jésus pardonne tous vos péchés.
3. Jésus vous donne la vie éternelle avec lui.
4. Jésus entend vos prières et vous répond.
5. Jésus vous donne le pouvoir de lui obéir.

Recevoir l’amour inconditionnel de Jésus

Jésus promet de vous habiter et d’être votre ami et votre Seigneur pour toujours.2 Son amour ne se base pas sur
votre bonté ni vos sentiments. Les fortes émotions que vous pourriez ressentir maintenant ne seront pas
toujours là, mais Jésus, lui, sera toujours là.

Samantha Tidball, une monitrice pour les jeunes, raconte que durant son adolescence, elle sortait avec un
nombre de gars et régulièrement s’ennuyait après seulement quelques semaines de fréquentation. Elle réalisa
qu’elle atteignait un sommet émotionnel dû au phénomène de conquête – un sommet où nul ne pouvait
demeurer longtemps. Et elle explique que la même chose se produisit lorsqu’elle commença sa relation avec
Dieu. Quand l’enthousiasme initial se dissipa, elle se sentit vide à l’intérieur et elle continua à chercher de
l’attention par ailleurs. Elle savait que Dieu l’aimait, mais elle ne sentait pas toujours son amour.

Voici ce qu’elle a écrit dans un blog :

J’ai appris que je ne peux pas forcer un sentiment. Mais je peux réfléchir sur ce que je sais et faire confiance à
Dieu, qu’il m’aime vraiment. Je dois me fier à Jésus, qu’il dit vraiment la vérité, comme dans 1 Jean 4, 9 à
10 : ” L’amour de Dieu a été manifesté envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde,
afin que nous vivions par lui. Et cet amour consiste, non point en ce que nous avons aimé Dieu, mais en ce
qu’il nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés. ” Si Jésus est mort pour
vous et moi, alors qu’est-ce que cela veut dire sur notre propre valeur ? Jésus dit : ” Il n’y a pas de plus grand
amour que de donner sa vie pour ses amis. ” (Jean 15, 13). Apparemment, Dieu nous aime assez pour mourir
pour nous ; il n’y a pas de plus grande manifestation d’amour.

Dieu nous aime tels que nous sommes. Une meilleure vie ou des pensées plus profondes ne le feront jamais
nous aimer plus qu’il ne nous aime déjà. Tidball dit : ” Il ne faut pas confondre l’amour de Dieu avec l’amour
que vous recevez des gens. L’amour des gens est souvent fonction de votre performance et s’affaiblit avec vos
fautes. Ce n’est pas le cas avec l’amour de Dieu. Il nous aime exactement comme nous sommes.

Faites compter votre vie pour lui

A mesure que vous réfléchirez à ce que Jésus a fait pour vous, vous voudrez que votre vie compte pour lui.
L’apôtre Paul l’exprima de cette façon : ” L’amour de Christ nous pousse parce que nous sommes convaincus

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qu’un seul est mort pour tous, et donc que tous sont morts. Et il est mort pour tous, afin que ceux qui vivent ne
vivent plus pour eux-mêmes, mais pour lui qui est mort pour eux et qui est ressuscité. “

Une fois que vous commencez votre aventure avec Christ, il commence à vous transformer en la personne qu’il
a planifié que vous deveniez. Mais ne vous attendez pas à des résultats instantanés ; la vie chrétienne est plus
comparable à un marathon qu’à un sprint. Les meilleurs coureurs passent toujours des heures à s’entraîner.

L’entraînement à la vie chrétienne comprend cinq domaines fondamentaux :

1. Passer du temps dans la parole de Dieu.


2. Passer du temps avec lui en prière.
3. Apprendre à lui obéir par la foi.
4. L’adorer avec les autres.
5. Parler à autrui de son amour et de sa grâce.

Nous vous encourageons à télécharger la ressource gratuite intitulée qui vous aidera à comprendre comment
exercer et appliquer ces domaines essentiels à la croissance chrétienne.

Les évangiles gnostiques:


Racontent-ils la vraie histoire de Jésus ?

Existe-t-il des écrits secrets sur Jésus ?

En 1945, une découverte eut lieu en Haute Égypte, près de la ville de Nag Hammadi. Cinquante-deux copies
des anciens écrits appelés ” évangiles gnostiques ” furent découvertes sous la forme de 13 codex (livres
manuscrits) de papyrus reliés en cuir. Elles étaient rédigées en copte et appartenaient à la bibliothèque d’un
monastère. Quelques érudits gnostiques sont allés jusqu’à affirmer que ces écrits récemment découverts sont
l’histoire authentique de Jésus, plutôt que le Nouveau Testament. Mais est-ce que leur foi en ces documents
correspond à la preuve historique ? Examinons-les de plus près pour voir si nous pouvons distinguer la vérité
de la fiction.

Les ” savants ” secrets

Les évangiles gnostiques sont attribués à un groupe connu sous le nom de (surprise !) Gnostiques. Leur nom
provient du mot grec gnosis, signifiant ” connaissance “. Ces gens pensaient qu’ils possédaient un savoir secret
et particulier, dissimulé aux gens ordinaires. A mesure que le christianisme s’est répandu, les Gnostiques ont
mélangé certaines doctrines et divers éléments du christianisme avec leurs propres croyances, transformant
ainsi le gnosticisme en un christianisme déguisé. Peut-être ont-ils fait cela dans le but de recruter de plus
grands nombres et de faire de Jésus la figure de proue de leur cause. Cependant, pour que leur système de
pensée puisse se fusionner avec le christianisme, il leur fallait réinventer Jésus en le dépeçant à la fois de son
humanité et de sa divinité absolue.

Dans son livre, The Oxford History of Christianity [L’histoire Oxford du christianisme], John McManners écrit
sur le mélange effectué par les Gnostiques des croyances chrétiennes et mythiques : ” Le gnosticisme était (et
est toujours) une théosophie composée de nombreux ingrédients. L’occultisme et le mysticisme oriental ont été
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fusionnés à l’astrologie et la magie. Ils ont recueilli des phrases de Jésus, recomposées pour coïncider à leur
propre interprétation (comme dans l’évangile de Thomas), et ont offert à leurs adhérents une forme de
christianisme alternative ou rivale. “[1]

Les premiers critiques

Une petite infection de cette philosophie se répandait déjà au premier siècle, seulement quelques décennies
après la mort de Jésus. Les apôtres, dans leur enseignement et leurs écrits, se sont donné beaucoup de peine
pour condamner ces croyances comme opposées à la vérité de Jésus dont ils étaient les témoins oculaires.
Voyez, par exemple, ce que l’apôtre Jean écrivit vers la fin du premier siècle :

” Qui est menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? Celui-là est l’antéchrist, qui nie le Père et le
Fils. ” (1 Jean 2, 22)

Conformément à l’enseignement des apôtres, les chefs de l’église primitive condamnèrent à l’unanimité les
gnostiques comme un culte. Irénée, l’un des pères de l’église, écrivant 140 ans avant le Concile de Nicée,
confirma que les gnostiques étaient condamnés par l’église comme hérétiques. Il rejeta également leurs
” évangiles “.

Toutefois, faisant référence aux quatre évangiles du Nouveau Testament, il dit :

” Il n’est pas possible que les évangiles soit plus nombreux ou moins nombreux qu’ils ne le sont en fait.” [2]
Origène, le théologien chrétien, écrit ceci au début du troisième siècle, plus de cent ans avant Nicée :

Je connais un certain évangile intitulé ” L’évangile selon Thomas ” et un ” Évangile selon Matthias “, ainsi que
beaucoup d’autres que nous avons lus—sans quoi nous risquions d’être considérés ignorants à cause de ceux
qui s’imaginent posséder certaines connaissances parce qu’ils les ont lus. Néanmoins, parmi tous ceux-là, nous
avons seulement approuvé ce que l’église a reconnu, c’est-à-dire que seuls quatre évangiles devraient être
acceptés.[3]

Des auteurs mystérieux

Quand il s’agit des évangiles gnostiques, pratiquement chaque livre porte le nom d’un personnage du Nouveau
Testament :

L’évangile selon Philippe, L’évangile selon Pierre, L’évangile selon Marie, L’évangile selon Judas, et ainsi de
suite. Mais ont-ils même été écrits par leurs auteurs prétendus ? Examinons cette question. Les évangiles
gnostiques datent d’environ 110 à 300 ans après Christ, et aucun érudit de bonne réputation ne croit que
quelconque d’entre eux n’ait été rédigé par la personne dont il porte le nom. Dans la collection Nag Hammadi
très fournie de James M. Robinson, nous apprenons que les évangiles gnostiques furent écrits par ” des auteurs
essentiellement anonymes et sans relation les uns avec les autres “.[4]

Norman Geisler, un analyste du Nouveau Testament, écrit :

Les écrits gnostiques n’ont pas été écrits par les apôtres, mais par des hommes du second siècle (et plus tard)
qui se réclamaient de l’autorité apostolique afin de promouvoir leurs propres enseignements. De nos jours, cela
s’appelle fraude et contrefaçon. “[5]

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Mystère ou histoire

Les écrits gnostiques ne sont pas des récits historiques de la vie de Jésus, mais plutôt des paroles
essentiellement ésotériques, voilées de mystère et omettant les détails historiques tels que les noms, lieux et
événements. Ces écrits font fortement contraste aux évangiles du Nouveau Testament qui sont remplis
d’innombrables faits historiques sur la vie, le ministère et les paroles de Jésus. Qui seriez-vous le plus
susceptible de croire—quelqu’un qui dirait :

Dis donc, j’ai quelques faits secrets qui m’ont été mystérieusement révélés “, ou bien quelqu’un disant : ” J’ai
étudié les preuves et l’histoire et en voici le résultat pour que vous puissiez vous former une opinion ” ?

Avec cette question à l’esprit, considérez les deux déclarations suivantes, la première extraite de l’évangile
gnostique de Thomas (env. 110 à 150 A.D.) et la seconde de l’Évangile de Luc du Nouveau Testament (env. 55
à 70 A.D.)

 Voici les paroles secrètes que le Jésus vivant à dites et que Judas Thomas ” Le Jumeau ” a consignées par écrit.
[6]
 Plusieurs ayant entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous, suivant ce
que nous ont transmis ceux qui ont été des témoins oculaires dès le commencement et sont devenus des
ministres de la parole, il m’a aussi semblé bon, après avoir fait des recherches exactes sur toutes ces choses
depuis leur origine, de te les exposer par écrit d’une manière suivie […] afin que tu reconnaisses la certitude des
enseignements que tu as reçus. (Luc 1, 1 à 4, Bible Louis Segond, 1910)

Trouvez-vous l’approche franche et ouverte de Luc engageante ? Et trouvez-vous que le fait qu’elle a été
rédigée plus près des événements d’origine est un argument favorable quant à sa fiabilité ? Dans ce cas, c’est
aussi ce que la première église a pensé. Et la plupart des érudits s’accordent avec l’opinion de la première
église, que le Nouveau Testament est l’histoire authentique de Jésus. Raymond Brown, un étudiant du
Nouveau Testament, a dit des évangiles gnostiques : ” Nous n’apprenons pas un seul nouveau fait vérifiable
sur le ministère du Jésus historique, et seulement quelques nouvelles paroles qui pourraient lui être
attribuées. “[7] De la sorte, bien que les écrits gnostiques aient impressionné certains intellectuels, leur époque
tardive et leurs auteurs douteux ne peuvent se comparer au Nouveau Testament. Un tel contraste entre le
Nouveau Testament et les écrits gnostiques est dévastateur pour ceux qui promeuvent les théories de
complot. ” Il n’existe aucun élément de la littérature antique du monde qui jouisse d’une richesse de solide
attestation textuelle équivalente à celle du Nouveau Testament. “[8]

Jésus est-il vraiment ressuscité des morts ?

La plus grande question de notre temps est ” Qui est le véritable Jésus Christ ? ” Était-il simplement un homme
d’exception, ou était-il Dieu dans la chair, ainsi que Paul, Jean et ses autres disciples l’ont cru ?

Les témoins de Jésus Christ ont, en fait, parlé et agi comme s’ils étaient convaincus de sa résurrection après sa
crucifixion. S’ils ont eu tort, alors le christianisme est basé sur un mensonge. Mais s’ils ont eu raison, un tel
miracle soutiendrait tout ce que Jésus a dit sur Dieu, sur lui-même, et sur nous.

Mais doit-on accepter la résurrection de Jésus Christ seulement par la foi, ou y a-t-il de solides preuves
historiques en sa faveur ? Plusieurs, parmi les sceptiques, ont entamé des enquêtes sur les traces historiques
dans le but d’en prouver la fausseté. Qu’ont-ils découvert ?
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Cliquer ici pour voir la preuve de la revendication la plus fantastique de tous les temps—la résurrection de
Jésus Christ !

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Y a-t-il vraiment eu un complot de Vinci ?

” Le sourire de Mona Lisa ” examine la plus grande théorie de complot mondiale sur Jésus Christ. Jésus et
Marie-Madeleine étaient mariés ? Est-ce que Constantin a ordonné la destruction des vraies archives sur Jésus
Christ, en le réinventant comme le Dieu que les Chrétiens adorent aujourd’hui ?

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Jésus a-t-il parlé de ce qu’il nous arrive après la mort ?

Si Jésus est véritablement ressuscité des morts, alors il doit savoir ce qu’il se trouve de l’autre côté. Qu’a dit
Jésus sur la signification de la vie et sur notre avenir ? Y a-t-il une quantité de chemins qui mènent à Dieu ou
Jésus a-t-il déclaré qu’il est le seul chemin ? Lire les réponses étonnantes dans ” Pourquoi Jésus ? ”

Cliquer ici pour lire : ” Pourquoi Jésus? ” et pour découvrir ce que Jésus a dit sur la vie après la mort.

Jésus peut-il donner du sens à la vie ?

” Pourquoi Jésus ? ” examine la question de savoir si Jésus est ou non pertinent aujourd’hui. Jésus peut-il
apporter une réponse aux grandes questions de la vie : ” Qui suis-je ? “, ” Pourquoi suis-je ici ? ” Et ” Où vais-
je ? “. Les cathédrales mortes et les crucifix ont amené certains à croire qu’il n’en est pas capable, et que Jésus
nous abandonne au milieu du combat dans un monde hors contrôle. Mais Jésus a fait des déclarations sur la vie
et notre raison d’être ici sur la terre qui doivent être étudiées avant de le rejeter comme indifférent ou
impuissant. Cet article expose le mystère de la raison pour laquelle Jésus est venu sur la terre.

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