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Acte I

« La Faveur du Ménestrel » Ce fut pourtant pour l'Ombre une excellente nouvelle


Car l’œuf de Dragon peut s’avérer mortel
C'est en cité de Phlan que nous somme trouvés Le Ménestrel inquiet fut ainsi rassurée
Chez Freona l'Halfeline et ses cinq filles dévouées Le Culte du Dragon avait était déjoué.
L'Auberge de la Théière avait des chambres d'hôtes
Dans cette maison prospère nous sommes devenus potes.

Alors Rys la belle est venue nous trouver


Une sombre silhouette voulait nous rencontrer
Une offre de mission valant une ritournelle
Un Oeuf de Dragon pour les Ménestrels

On nous confia alors comme mode de paiement


Une bourse de cuir rempli de faux diamants
Une broche d'argent qu'il faudrait épinglé
Si nous voulions vraiment honorer le marché

C'est dans un entrepôt d'un quartier isolé


Que l’œuf de dragon devait être échangé
Mais il y avait bien sur un Comité d'Accueil
Une bande de truands qui nous tenait à l’œil

Nous nous sommes présenté à une elfe bornée


Accompagnée d'une troupe de plusieurs bras armés
Mais au moment rêver ou nous allions conclure
Les truands sont entrée, quelle bande de raclures

Le combat fut rapide tous semblaient étonnés


L'elfe s'est vite tiré par un passage secret
Nous laissant soudainement en plein affrontement
Avec ses hommes armés et quelques délinquants

Heureusement pour nous, nous étions très nombreux


Les Sept Mercenaires n'ont jamais froid aux yeux
Et le combat pris fin aussi subitement
Qu'il avait commencée laissant des mares de sang.

Nous étions victorieux et la Broche épinglé


Nous avions même livré les Diamant frelatés
Mais l’œuf de Dragon en notre possession
Était aussi un faux quelle désillusion!
Acte II
« Le Zentharim en Prime »

C'est au moment béni du petit déjeuné Nous tentons une approche, discrète de vigueur Dans le groupe affaibli des fermiers kidnappés,
Qu'une des fille Halfeline est venue nous chercher Mais les gobelins sont la et font preuve de rigueur Un homme se présente, que je ne puis nommer
Bryse la coquette revenait du marché Derrière des meurtrières ils nous ont canardé Membre Du Réseau Noir il nous dit enquêter
Avec des emplette mais surtout paniqué L'approche sera brutale, le barbare a chargé! Un Dragon Noirs serait dans ces grotte enterré.

Dans la rue de derrière elle venait de croisé Derrière leurs embrasures les archers sont planqués Des centaines de gobelins vivent dans ce repaire
Une jeune fermière transportant un bébé Il sera difficile de les en déloger Il serait difficile d'y retrouver le Vers
La frêle femme blême semblait terrorisée Mais les traits anarchiques de Draco toujours touchent Nous quittons donc l'endroit le plus rapidement
Son mari à la ferme avait été enlevée Nos ennemis sont tous tués et s'effondre comme des mouches. Tout en mettant le feu à tout le bâtiment!

Leur maison plus à l'Est ou Aldred travaillait Nous faisons notre entrée, enfonçant toutes les lignes Aldred retrouve sa femme, sa famille est sauvée
Avait subis l'attaque de gobelins affamés que mettent devant nous les défenses gobelines Nous retournons en ville pour être récompensé
Tous le foyer en vain tenta de s’échapper Le Saurien a très faim il est comme au buffet Le Culte du Dragon semble en ces lieux œuvré
Cette femme y parvint seule avec le nouveau née Loups , worgs et gobelins, il va tout dévorer! Des Artefact Dragons ont été retrouvés…

Les Poings Noires de Phlan étaient trop occuper Nous poussons plus avant la grande exploration
Pour gérer cette affaire d'une ferme isolée Et faisons même deux groupes pour faire diversion
Ils nous offrirent de l'or pour aller promptement La musique résonnant dans le couloirs de gauche
Enterrer tous les corps, aider les survivants. Les gobelins se radinent, le guerrier les embroche

"Ce n'est pas cher payé mais nous irons quand même Oui mais voila cette fois les gobelins sont nombreux,
Défendre les loqueteux et tous les gens qui s'aiment" Par deux fois Palantir se fait couper en deux
Ces mots ne sont pas de moi, je n’ fais que les chanter Par deux fois Minotaure se relève de plus bel!
Un minotaure parfois a de méchantes pensées. La mort le rejette, il est comme immortel

Arrivé en charrette nous trouvons tous de suite La bonne diversion a pourtant fonctionné
Des traces de combat, le début d'une piste Vaeli le serpent s'était bien faufiler
Que nous suivons séant, remontant les collines Il surprend un Gobelours qui était attablé
Arrivant vaillamment à la caverne gobeline Le blessant gravement, il faudra l'achever

Un mage se trouve devant, parlant à un gobelin Le Barbare alors charge, la tête roule au sol
"Tu dira à Goran que j'le remercie bien, Un peu déçu peut être de n'avoir jouer son rôle
Ces Artefact Dragon si tu dois en trouver Mais des gobelins non loin n'attendaient plus que lui
je m'ferai un plaisir de te les racheter" Il fit tourner sa hache et le sang rejaillit!

A peine eu t il finit sa grande discussion La victoire est à nous, mais il faut nous presser
Qu'il invoqua un sort de téléportation! Car l'un d'eux s'est enfuis, l'alerte est donnée
Un mage très puissant à ne pas en douter Trouvant les prisonnier passablement blessés,
Une chance pour nous qu'il ne soit pas resté! Nous quittons vite ces lieux de gobelins infestés!
Acte III
« Une émeraude enclavée »

L'auberge de la Théière est à n'en pas douter Le danger était la, tenue dans un flacon
Un gentils pied à terre ou l'on peut festoyer Une lueur bleutée d'une Dent de Dragon
Blereth au Châle bleu, fille de Fréona Le globe en éclatant lançât le second acte
Au sourire langoureux y distribuait ses plats Une malédiction venait de l’artefact

Pourtant ce lieu de paix allait être le théâtre Mais l'Aura pousse les gens à vouloir tous nous tuer
D'une pièce effrayante se jouant en trois actes Et passe à d'autre gens s'il sont neutralisés
De l'Enclave d’Émeraude l'alerte était venue C'est une épidémie bientôt trois hommes blêmissent
Un péril qui rôde se cache à notre insu Les lueurs de Dragons s'étendent, les envahissent

Burelka la druidesse, peau verte est affolée "Madame Freona envoyer moi séant
Nous voyons sa détresse elle venait nous chercher Ce bocal qui est la , c'est un bon isolant"
Le danger vient sûrement de l'un de nos convives Pointant du doigt le bar sans une hésitation
Il nous faudra vraiment être sur le qui-vive Le Barde demanda le pot de cornichon

L'auberge est pleine ce soir, des gens viennent de partout On attrapa la Dent et sans geste brutal
C'est un sacré foutoir, faut pas manquer son coup On la plongea dedans, tout au fond du bocal
Le plan est impeccable, il faut nous diviser Mais l'Aura voyageuse refusé de l'y suivre
Chacun prenant une table, le Loup sera piégé! Il fallait tout comprendre si nous voulions survivre

Ici sont les halfelins trois fêtards attablés Ce n'est pas un hasard si l'homme fut touché
De la bonne cuisine ils viennent déguster Et cette elfe hagarde, elle fut comme désignée
La ce sont des rôdeurs, elfes de la foret Une raison évidente semblait enfin paraître
Un arc au bois de cœur ne saurait nous tromper Ils mangeaient la Sale-fleure, ça vise les fées peut être?

Mais l'auberge est très grande, et même divisé L'un de nous justement y était affilié
Nos forces à l'amende se sont vite retrouvées Le pot de condiment lui fut vite donné
Surtout que vers la scène semble se dirigé L’Éclair alors sauta tentant de posséder
Un humble Ménestrel qui se met à chanter Celui qui dans le pot tenait la dent cachée

La musique l’entraîne, emportant dans les airs C'est la Dent du Dragon qui pris ainsi l’éclair
Toute sont attention mais il fini par faire Cette Malédiction allait enfin se taire
Une démonstration de son œil avisé Nous avions réussi à la remettre en boite
Un nain et un humain sont en train de dealer La ville était sauvée, la fin du troisième acte.

A cette table unique il va aller jouer


Avec sa musique va même les charmer
Mais l'homme maladroit va déchaîner la foudre
En laissant éclater sa verrerie le fourbe!
Acte IV
« Le Poing et le Gantelet »

Il y a des ripailles épiques au demeurant Mais quand l’ombre est partout on sent la tyrannie Le premier pas pour nous fut de montrer vraiment
Qui semblent des batailles lorsque l’ont est servant Des obélisques géant semblent en avoir acquis Qui se cachait derrière ce noir déguisement
Les héroïnes émergent alors sans préavis Il y a je le sens, ici la marque de Baine On parla de son père nous ayant engagé
La belle se déchaîne elle se nomme Whitlee Son Temple n’est pas loin on en ressent sa haine Et de ce que sa fille amère n’aurait pas du cacher

Si vous voulez un plat ne cherchez pas plus loin Une cage suspendu, au milieu nous attend Tout allé s’arranger quel soulagement
Ses bras en sont chargés et se mangent très bien Comme de bien entendu Vilona est dedans Nous allions nous aider nous étions du même camp
La Théière vois en elle une douce fille aimante Mais la magie ainsi nous rempli de terreur La sortie n’est pas loin et le père sera heureux
L’artiste voit en elle une muse puissante Est que nous n’aurions pas commis une belle erreur ? Mais on entend au lointain, des voix les malheureux…

Mais le combat fut la bien vite interrompu Alors un Vers surgis, énorme et bien dégueu Quand nous en sommes allé nous les avons laissé
Un gnome se pointa malheureux et confus Il se jette sur nous mais un réflexe heureux Avec des sanguinaires, des gens très bien armé
Sa fille Vilona venait de disparaître Permet de repousser l’infâme créature Et c’est que bien plus tard quand nous nous sommes revu
Il tapait sur le Poing maudissant tous ces traîtres Un murmure dissonant l’envoyant dans le mur Qu’ils nous on raconté tous ce qu’ils avaient vue

La noirceur parfois en sons sein envahie Elle s’y est réfugié nous assurant le temps Des gens armés au Poing sont passé à l’attaque
Tombe plus bas encor et redevient ennemi De libérer la gnome et nous enfuir séant Mais le Dragon cristallin les attendais en pack
Nous allions la sauver cela allait de soit Mais l’enfant semble perdu, elle est comme possédée Son souffle foudroya en ligne les premiers
Il allait nous payer, c’était un très bon choix ! La tache est trop ardu il nous faut l’assommer Tandis que le Barbare et sa hache chargeaient

Trouver l’endroit honnis ou ils l’ont enfermé Alors la bête revient et saute sur l’un de nous La magie et les pièges font aussi bon ménage
Sera je vous l’assure une formalité Elle semble avoir grand faim, nous sommes à son goût Et je crains que ce siège s’acheva en carnage
Il est souvent facile de faire des méchancetés La hache tourne et vrille, les entailles sont profondes Nous n’iront pas plus loin car tout est achevé
Surtout lorsque l’ont crois en sont impunité Et le sorcier l’achève avec un pas de l’ombre. Une fille chez son père s’en est bien retourné

Oui mais voila un fait lorsqu’on est intouchable La fille est avec nous et nous prenons la fuite
C’est qu’on se montre aussi très souvent lamentable Mais une femme intervient elle suivait la même piste
L’entrée des catacombes était à peine gardées Nous prenant pour l’ennemi elle nous menace séant
Pourquoi chercher des plombes suffisait d’y aller. Je vous laisserai la vie si vous rendez l’enfant !

Les geôles étaient bien pleines, sans même être jugé Dans son dos est une ombre dont on connaît le nom
Le Poing pouvait sans peine tous les enfermer Il s’était bien caché durant toute la mission
Coupable ou innocent au fond quelle importance Il s’approche alors d’elle prêt à la dézinguer
Tant qu’on peut torturer et nourrir les démences Le barde n’est pas d’accord, il faut vite tout calmer

C’est de noir vêtu que l’on s’est infiltrer Cela nécessita quelques explications
Un peu de comédie j’allais pouvoir jouer Elle portait le Gantelet avec conviction
Mais vraiment au final on ne croisa personne La gnome était des leurs elle était du même Ordre
Les salles étaient sombre et voir même monotones Trouver une fin heureuse devrait être dans mes cordes
Acte V
« Ni vivant ni mort, le Chant pour Kelemvor »

Ce n’est pas tous les jours que l’on entend l’appel Notre guide demi elfe nous fait faire la visite Après cet interlude quelque peu reposante
D’un suivant au secours du repos éternel Décrivant les usages, au respect nous invite Nous repartons sous terre l’atmosphère est pesante
Yovir de Kelemvor avait donc demandé Certain on en effet un très grand appétit Un monstre très enervé y est sûrement caché
Une troupe en renfort qu’il récompenserait Des richesses sommeils, elles suscitent des envies Il nous faut explorer si nous voulons trouver

C’est là à Yalingan, un immense cimeterre Heureusement pour nous la raison eu gain d’cause Je passerai les fresques, caveaux et mausolées
Que nous trouvions Drolo, au pied d’une large pierre Et aux profanations aucun de nous s’expose La Tombe de Sedrair aux richesses enterrées
Tombale était la plaque qui était apposée Le père Drolo, sérieux, nous avait bien prévenue Trône d’ivoire, opale, Couronne et cornalines
Le nom d’Eldan Morngruth y était même gravé On n’devait rien touché sinon panpan culcul Le peuple n’a nul besoin de ces « fourches caudines »

J’y retrouvais Draco le Halflin écailleux Nous enfonçant plus loin nous tombons sur des goules Nous finissons enfin par retrouver les traces
Accompagnée d’une fille à l’air mystérieux Le combat fait vite rage, et bien qu’on les dépouille d’une créature étrange qui n’est pas à sa place
Elle se nommait Merielle mais n’était pas plus belle On sent bien que l’endroit est très loin d’être sûre D’insignifiant kobolds semblent passer ici
Que la Comtesse d’Oryonne qui se tenait prés d’elle On prend un escalier, il se casse la figure ! Sûrement les serviteurs d’un danger plus honni

Un autre minotaure se joignait à la troupe Descendant d’un niveau sans pour autant s’faire mal Et c’est chemin faisant que nous somme tombé
Palantir me manquait, il admirerait sa croupe C’est un tas de zombie, une troupe cannibale ; Sur une bande de zombie en train de roupiller
Alexia avait même une carrure similaire Qui nous saute dessus, voulant notre cerveau Un kobold était la assoupi à son tour
Ces deux là enfanteraient des rejetons populaire Certain n’ont rien a craindre, la j’en fais un peu trop Avec discrétion, Merielle en fit le tour

Mais la troupe réunie n’était pas au complet Nous les tuons séant, mais certains se relève C’est ainsi que pris fin notre grande exploration
Sans un certain Silver que le Dieu Heaum guidait Retenez bien ceci, ce peut être mortel Ce qui nous attendait était pire qu’un démon
Portant la Lightbringer il était bienvenue Un zombie mème sans tête peut tenter de vous tuer Une épreuve de Thay, allions nous l’affronter ?
Un règne de terreur serai bien combattu Le mieux pour l’achever est un éclat de pureté. Je pense que malgré tout, nous aurions due filer

Le prêtre nous informa qu’un danger subsistait Des pleures nous alarment après ce dur combat Un combat eu bien lieu, laissant à Kelemvor
Dans ce lieu ou les âmes sont sensées reposées De derrière une porte, trois hommes sont en émois l’âme de sa suivante, Cassit trouva la mort
Certain de ses amis avaient même disparue Du comité d’accueil ils font sûrement partis Nous en sortions vivant le tout sans héroïsme
Des morts vivants rodaient, mais rien n’était exclue Venue faire des emplettes, ils se croient tout permis ! Il faut savoir faire preuve parfois de réalisme

L’une des sœur, Bethel, avait été mangée Au dessus de leur tête, un ciel nuageux Dans cette rencontre finale nous avions pu trouver
Mais pas complètement, il restait sa moitiés Une fausse à ciel ouvert, un endroit dangereux Quelques informations expliquant les décès
Cassit de Kelemvor en bas nous guiderait C’est au Puits du Soleil que nous sommes arrivée Yovir saurait maintenant à quoi bien s’en tenir
C’est dans les Catacombes qu’on se retrouverait Les pilleurs de tombeaux seront donc prisonniers. Le Culte du Dragon et Thay vont donc s’unir

C’est certes un peu macabre, mais c’est une chose à voir Les yeux de Kelemvor en effet sont partout
Nous explorons les tombes, admirant ce bel art Il suffit pour l’appeler d’envoyer un hiboux
Que Kelemvor dispense pour honorer les mort Le père Drolo arrive venant ainsi chercher
Habillant les squelettes, mettant en scène les corps Les voleurs imbécile, de pauvres pied nickelés
Acte VI Quelque chose de terrible l’avait fait détaler Voilà donc le moyen de coupé court à tout
« Pas de lézards pour le Dragon noir » Les fermes, chose horrible, s’étaient faites incendiées Il suffirait d’un rien pour enrayer les roues
Le résultat est la, se sera donc à pied D’une si belle mécanique, par des moyens furtif
L’Auberge du Croisement, ou j’aime parfois chanter Pour le gnome à la nage, qu’il faudra continuer Il faut nous approcher, libérer les captifs
Est un endroit charmant, ou Romsal le guerrier
Le doute est bien présent à ne pas en douter A l’aide de roseaux nous parvenons enfin
Après milles aventures y a trouvé retraite
Certains êtres malveillants n’y sont pas étranger A traverser des eaux noire comme du boudin
C’est avec droiture qu’il y propose des quêtes
On ne peut pas toujours déplacer des montagnes C’est bien trois clans sauriens qui partagent cette île
On a parfois besoin de quelques pyromanes… Nous ne somme bien que cinq, ce ne sera pas facile
L’endroit est fréquenté, par toute sorte de gens
D’une Comtesse fatale, au Dragon flamboyant
La nuit arrive enfin, nous trouvons un refuge Des indices pourtant marquent une dissension
Du vieux Gnome fatigué à l’Elfe mystérieuse
Sur les ruines d’un vieux quais nous sauvant du déluge Un lézard très brutal fait son apparition
Qui semble intéressé, certain diraient douteuse
Mais les tambours résonnent la chasse semble donnée Détruisant les hommages et totems draconique
Des hommes lézards sont la , nous sommes attaqués Il nous aidera peut être à finir cette chronique
Des gens ont disparus, on les a kidnappés
le gnome « Oreille Crochu » s’est même fait emporté
Alors nous attaquons choisissant au hasard
Le vieillard court sur patte veut sauver son amis Je passerai ici les attaques macabres,
Une tribu ennemie et soudain le lézard
Le duo sociopathe semble se joindre à lui Les lianes épouvantables qui aspirent les âmes
Nous devance d’une écaille créant la diversion
La Comtesse d’Oryonne est une pure terreur
Qui sème la pagaille, et nous en profiterons
Le servant du Dragon rejoint alors la bande Ces combats sont horribles et confinent à l’horreur
Lumiadur est son nom, Bahamut le mande La Griffes des Marais avait surgis des eaux
La blafarde elfe aussi de la lame sait jouer
Dans les Marais voisins on entend des tambours Revendiquant l’arrêt d’un terrible complot
Mais ce n’est jamais noble, elle aime à égorger
Peut être y a t il un lien, lorsqu’un enfant accours Il voulait le pouvoir, sur les tribus régner
Les sauriens cannibales combattant bestialement
Le cadeau au Dragon il voulait massacrer
Eux aussi feront les frais de son acharnement
Les siens ont disparus, sa ferme est attaquée
C’est de l’aide en ses lieux qu’il est venue chercher Nous n’avions plus le choix, il fallait donc agir
Lumiadur quand à lui aime souffler l’acide
Nous décidons alors de le suivre promptement La Comtesse eu la joie de tous les occire
Les reptiles ont senti l’haleine Drakeid
Le Marais est non loin de la ferme des parents Une énorme boule de feu explosa dans le noir
Servant de la lumière c’est un drôle de mélange
Réduisant en tas d’cendres bon nombre d’hommes lézards
Ses écailles noircies pourraient donner le change
Sa barge est attaché à un ponton voisin
Pour se rendre sur place c’est le meilleur moyen Le souffle du Drakeid acheva le travaille
Panatix, gnome subtil a fait preuve d’artifice
« Je conduirai la barge » dit alors le Dragon L’acide termina de faire fondre les écailles
Certain préféreraient le voir en sacrifice
Nous montons tous à bord de cette embarcation Ce ne fut pas si bref mais nous avions vaincus
Son art est incertain et il manque de rigueur
Il nous restait maintenant les deux autres tribus
D’un arbre de Noël il est l’invocateur !
Le voyage n’est pas long et se passe sans encombre
Pourtant le bord est morne, il y règne comme une ombre Leurs chefs justement arrivèrent sur les lieux
Par la suite nous tomberont sur une barge chargée
Sauver ces pauvres gens ne semble guère donner De notre affrontement avec l’air belliqueux
D’ halflins d’hommes et de nains, se sont des prisonniers
De la motivation à tous les passagers Nous nous fîmes passer pour les fils du Dragon
Des hommes lézard l’escortent, ils sont vaincu séant
La peau du Drakeid nous donnait même raison !
Nous rêvions de cohorte, mais se sont des marchands
Il n’y a pas de hasard, trois fermes sont regroupées
Une bande d’homme lézard semble les avoir pillées On organisa alors le Duel fratricide
Nous les avons sauvés mais ne peuvent nous aidés,
Personne n’est retrouvé, il ne reste que griffures Obligeant les lézard à commettre l’homicide
A combattre l’ennemie, ils veulent juste filer
Balafres ensanglantées qui marquent tous les murs Un seul survivant pourrait même dirigé
Ils nous donnent pourtant de quoi comprendre la scène
L’entièreté des clans c’était sa destiné !
Les sauriens ont parlés d’un être qui les malmène
La piste est assez claire, c’est bien vers le marais
Et c’est de cette façon que nous avons gagné
Que les sauriens emportent leurs nouveaux prisonniers Il s’agirait en fait d’une compétition
Nous pouvions tranquillement sauver les prisonniers
Nous repartons alors vers notre embarcation Trois tribus s’affronteraient pour servir un Dragon
Les clans prirent la fuite craignant pour leur avenir
Mais l’enfant s’est enfuit nous laissant comme des cons Le clan qui offrirait le plus de prisonniers
Le Dragon Noire voudra, tous les anéantir.
Par le grand Dragon noir seront récompensé

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