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Henodus.com
Nous remercions
remercions les divers capacitaires qui ont participés à
son ossature.
ossature.
Avec la
la participation
participation de l’ex trame de Philippe Savarin
(anciennement Centre de Formation en Terrariophilie).
La loi autorise à présent les préfectures de statuer sur les deux demandes
simultanément dans un même dossier.
N’hésitez pas à mettre des photos, des croquis pour accompagner vos dires.
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Demandeur : Nom Prénom
Etablissement : Adresse
DOSSIER
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Nom Prénom
Adresse
75... Paris
Paris,
Monsieur,
Ma demande est établie dans un but de mise en conformité avec les dispositions du Code de
l’environnement.
Je certifie sur l’honneur l’exactitude des informations que j’apporte dans ce dossier.
Le xx xxxx 200x
Nom Prénom
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Préambule
Acquisition des Connaissances
[Expliquez ici d’où vient votre passion pour les tortues, ce qui vous a conduit à devenir
éleveur et à déposer une demande de certificat de capacité pour ceux-ci (photos
également si vous avez.]
[Expliquez ici, en détail, comment vous avez acquis les connaissances sur les reptiles que
vous souhaitez faire valoir aujourd’hui : lectures, rencontres d’éleveurs, participation à
des réunions techniques organisées par des associations d’éleveurs, visite de parcs,
expositions, etc.).
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Curriculum vitae
Nom Prénom 00.00.00.00.00
adresse Email : Dupont@Wanadoo.fr
75000 Paris Age, Mariée ou Célibataire / Nbre d’enfants
Herpétologique
Participation associative
2007
2007 – Association
Association xxx : Membre
1999 – Rencontre
Engagement internet
2007
2007 – Administrateur ou Modérateur : http://
2006
200 6 – Création du site : http://
2005
2005 – Autres : http://
Stages et expérience
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Bibliothèque
[Dressez ici une liste détaillée des ouvrages que vous avez effectivement lus sur les
reptiles et sujets connexes. ouvrages vétérinaires, magazines auxquels vous êtes abonné,
etc.]
Périodiques
Périodiques :
– Reptilmag – Edition Animalia Editions - Guide de l’élevage des animaux insolites.
– Autres – .....
Thèses
Thèses :
– Etude de xxxxx par le Dr Jxxx Bxxx
– Autres – .....
Professionnel
Profession : XXXXX
adresse – 75000 Paris
Diplôme
2005
2005 – D.U.T – Discipline
2005 – B.A.C – Discipline
2005 - B.E.P. – Discipline
2005 - C.A.P. – Discipline
2005 – Autres - ( Page 62 – Annexe 3 : Attestation si diplôme relevant du ministère de l’agriculture)
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Sommaire
Page
Etc.....
I – Situation géographique
1 – Plan cadastral Annexe 4 ------------------------------------------------------------------------------------ 50
2 – Plan de masse et pièce d’élevage------------------------------------------------------------------------------ 32
Entretien et soins 41
Conduite d’élevage 47
I – Reproduction --------------------------------------------------------------------------------- 47
1 – Gestation ------------------------------------------------------------------------------------------- 47
2 – La ponte ------------------------------------------------------------------------------------------- 48
3 – L’incubation ------------------------------------------------------------------------------------------- 48
4 – Les nouveaux nés ------------------------------------------------------------------------------------------- 49
II – Résultats d’élevage des trois dernières années ------------------------------------------- 50
III – Politique générale et fonctionnement de l’établissement ------------------------------ 51
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Législation 52
Annexes 56
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Information sur les espèces qui fait l’objet de la demande
I – Espèces demandées
Demande pour les espèces du genre : Xxxxx ssp, espèces soumises en France à
réglementation de détention.
Ordre :
Famille :
Genre : Xxxx ssp
Nom Nom
scientifique vernaculaire Statut de protection
E A 12/09/1996
FR Réglementé 22/07/1993
CITES II 01/07/1975
Autres UE A 12/09/1996
FR Réglementé 22/07/1993
CITES II 01/07/1975
Autres UE A 12/09/1996
FR Réglementé 22/07/1993
CITES II 01/07/1975
UE A 12/09/1996
FR Réglementé 22/07/1993
CITES II 01/07/1975
UE A 12/09/1996
FR Réglementé 22/07/1993
CITES I 16/02/1995
UE A 01/06/1997
FR Réglementé 22/07/1993
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II – Espèces hébergées
Adulte Sub.
Nom Mâle Mâle Sexe
scientifique Nom vernaculaire Femelle Femelle Non défini observations
NC : Né en captivité
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III – Acquisition et provenance des animaux
Issus de capture
Avantages
Renouvellement des souches génétiques
Possibilité d’obtenir des sujets de ces animaux nés en captivité
Inconvénients :
- Impact sur l’herpétofaune
- Etat sanitaire des animaux : Parasites, maladies => zoonoses + risque de contagion
sur les animaux déjà présents et maintenus sains
- Animaux en mauvaise condition
- Stress, anorexie, maladies, mortalité
- Incitation au trafic des animaux
Naissance en captivité
Avantages :
- Pas ou moins d’impact sur l’herpétofaune
- Bon état sanitaire des animaux : Réduction des parasites
Moins de maladies => zoonoses + risque de contagion sur les animaux déjà présents
et maintenus sains écarté mais rester vigilant pas d’animaux en mauvaise condition
pas de stress, anorexie, maladies, mortalité
- Réduction du trafic
- Sélection génétique des animaux pour obtenir de nouvelles formes (patron et
couleurs)
- Meilleure prolificité des animaux et facilité de reproduction
- Atténuation de l’agressivité des jeunes NC par rapport aux parents
Inconvénients :
La règle de la sélection naturelle est faussée puisque tous les animaux sont aidés même
ceux qui n’auraient pas survécus dans la nature. Affaiblissement des souches.
Importateurs :
Les principales personnes en rapport avec les importateurs sont les professionnels. Les
particuliers n’y ont pas ou peu accès
Magasins :
Depuis quelques années, les professionnels de la vente s’orientent vers des animaux nés
en captivité. Néanmoins, ils doivent continuer de s’approvisionner chez des importateurs
afin de faire face à des obligations économiques. N’oublions pas que c’est grâce à ces
magasins que des espèces peu courantes en captivité sont rendues disponibles.
Eleveurs professionnels
Ces éleveurs proposent des animaux nés en captivité avec tous les avantages que cela
comporte. Ils peuvent aussi proposer des animaux acclimatés issus soit de capture, soit
d’autres éleveurs.
Eleveurs amateurs
Ils présentent les mêmes avantages que les éleveurs professionnels mais travaillent à plus
petite échelle.
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Tableau des espèces détenues
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IV – Information sur la biologie des espèces
Classe reptilia
Sous-
Sous-ordre : Amphichelydia (espèce éteinte)
Sous-
Sous-ordre
ordre : Cryptodire
• Famille : Dermatemyidae
• Famille : Sinemydidae
• Famille : Chelydridae
• Famille : Kinosternidae
• Famille : Plastysternidae
• Famille : Emydidae
• Famille : Testudinidae
• Famille : Ptychogastridae
• Famille : Dermatemydidae
• Famille : Kinosternidae
• Famille : Carettochelyidae
• Famille : Trionychidae
• Famille : Cheloniidae Tortues de Mer (7 espèces)
• Famille : Toxochelydae
• Famille : Protostegidae
• Famille : Desmatocheyidae
• Famille : Dermochelyidae Tortue luth (1 espèce)
Sous-
ous-ordre : Pleurodire
• Famille : Pelomedusidae
• Famille : Chelidae
• Famille : Eusarkiidae
Pleurodire Cryptodire
Photos – Julien
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2 – Testudo [Genre] : (exemple)
[Il vous faudra faire autant de chapitre que de genre ou famille en fonction des similitudes
de biotopes de vie des animaux.]
[Ecrivez ici un résumé de vos connaissances sur les besoins et mœurs in-natura des
espèces détenues ou souhaitées dans le futur, afin de prouver que vous êtes parfaitement
renseigné sur l’entretien de ces espèces]
Les Testudo sont des reptiles et donc des animaux ectothermes dont la température
corporelle varie en fonction de la température de son milieu de vie. Ce sont des animaux
diurnes et herbivores.
Le soleil, outre la chaleur, par ses ultraviolets, apporte la vitamine D3, indispensable à la
calcification des reptiles. La synthétisation de la vitamine D3 permet l’assimilation et la
transformation du calcium.
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Le nom des écailles
Dimorphisme sexuel
En règle générale, la différence entre mâle et femelle se fait entre cinq et huit ans selon les
espèces.
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2.3 – Les fiches espèces
Ordre : TESTUDINES
Famille : TESTUDINIDAE
Genre : Testudo ssp
Description
Description
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Répartition
Italie côte ouest (Sicile, Sardaigne), Espagne (Baléares, région des Albères),
France (massif des Maures), Corse.
Biotope
Garrigue, maquis, sous-bois, collines escarpées.
Maintenance
La Testudo hermanni peut être élevé à l’extérieur de la sortie à l’entrée de
l’hibernation si elle bénéficie d’une maintenance adéquate dans le nord. Elle
hiberne de la mi-mars à mi-novembre. C’est une espèce aisée à maintenir.
Reproduction
L’âge de reproduction des Hermanni est de 12 ans environ pour les mâles et de
14/15 ans pour les femelles. En captivité, les animaux peuvent parfois se
reproduire plus tôt.
Biotope du Var
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Description des installations
I – Situation géographique
[Si vous habitez en maison, à partir de votre cadastre, faites une vue détaillée des limites
de votre propriété avec le tracé des installations en précisant les espèces. Si des
installations se trouvent dans votre maison (ou appartement), faites un plan de votre
appartement avec le partage de toutes les pièces. Préciser dans la pièce d’élevage,
l’endroit où sont les installations (parc, terrarium, etc...) en précisant les espèces devant y
vivre.]
La pièce d’élevage :
Indiquer sous forme de plan l’emplacement de la pièce dans la maison et celui des terrariums dans la
pièce. Indiquer sur ce plan quels animaux occupent les terrariums.
Pour les venimeux particulièrement, indiquez le protocole d’accès à la pièce, les choses que vous
faites ou ne faites pas en y entrant, après y être entré et lorsque vous en sortez. Se fermer à
l’intérieur peut éviter les entrées intempestives de la part d’un tiers. Porte vitrée pour voir ce qui se
passe à l’intérieur quand on est à l’extérieur. Utiliser un système de fermeture automatique de la
porte.
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II – Description des installations de ‘genre ou espèce’
1 – Installations intérieures :
Surveillance poids/taille.
La sécurité :
Les moyens utilisés pour sécuriser les terrariums vis à vis :
Des intrusions (ouverture par une personne non autorisée : enfants ou autre)
Des évasions (épaisseur du verre, serrures, blocage par fil de fer…)
Que faites-vous en cas de bris d’une glace ?
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2 – Installations extérieurs
Des intrusions (ouverture par une personne non autorisée : enfants ou autre)
Des évasions (serrures, blocage par fil de fer…)
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Points importants à surveiller :
Surveillance poids/taille.
La sécurité :
Les moyens utilisés pour sécuriser les installations vis à vis :
Des intrusions (ouverture par une personne non autorisée, les prédateurs)
Des évasions (serrures, blocage par fil de fer…)
Que faites-vous en cas de bris d’une glace ?
3 – Description
Description du matériel utilisé :
Crochets
Dans quels cas : manipulation ou contention ?
Pour quels types de reptiles ?
Avantages ?
Inconvénients ?
Bâtons
Dans quels cas : manipulation ou contention ?
Pour quels types de reptiles ?
Avantages ?
Inconvénients ?
Fourches
Dans quels cas : manipulation ou contention ?
Pour quels types de reptiles ?
Avantages ?
Inconvénients ?
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Pinces
Dans quels cas : manipulation ou contention ?
Pour quels types de reptiles ?
Avantages ?
Inconvénients ?
Gants
Dans quels cas : manipulation ou contention ?
Pour quels types de reptiles ?
Avantages ?
Inconvénients ?
Sacs
Boîtes
Conteneur ou caisses
Automobiles
Pinces longues
Pinces moyennes
Pinces courtes (brucelles)
Pots distributeurs de grillons ou autres insectes...
4 – Les projets :
[Faites une liste de vos projets : Fabrication de nouveaux terras, enclos extérieurs,
aménagement intérieurs de la pièce d’élevage : isolation murs, peinture, etc....]
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Entretien et soins
I – L’alimentation et l’eau
Les différentes proies sont données vivantes, tuées fraîchement ou décongelées. Rats, souris,
lapins, hamster, cobaye, volaille, poisson, insectes, gastéropodes
Différents
Différents types d’aliments
Les légumes
Les plantes
Les fruits
Les graines
Les abats,
Etc....
Elevage personnel
Avantages
Inconvénients
Conditions de maintenance
Les cages ou boites
La nourriture
Fréquence de nettoyage
Destination du surplus
Elevage extérieur
Avantages
Inconvénients
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Fréquence des repas en fonction du type d’animaux et de leur âge
Ophidiens
Le contact avec les animaux doit être évité lors du nourrissage. Il est donc impératif de
distribuer les proies à l’aide d’une pince et non pas à la main. Cette précaution évitera que
l’animal n’associe la main du soigneur à la proie. Elle évitera aussi que les animaux munis de
fossettes thermoréceptrices ne fassent ce même type d’erreur si la main se trouve être plus
chaude que la proie.
S’il y a contact entre le soigneur et les proies, ce dernier doit au plus vite se laver les mains
afin de retirer toute odeur de proie dont il se serait imprégné. Cela lui évitera d’être pris pour
une proie par les animaux qu’il souhaite nourrir.
Les rongeurs devront être dans la mesure du possible donnés morts. Si cela n’est pas possible
du fait du refus de l’animal à se nourrir de proies inactives, les proies données vivantes ne
devront en aucun cas être laissées dans le terrarium sans surveillance. Un rongeur affamé
aura vite fait de passer du rôle de victime à celui de prédateur. Si la proie déposée sous
surveillance dans le terrarium n’est pas consommée dans les 15 minutes qui suivent, il
deviendra alors inutile d’attendre plus longtemps et elle devra être retirée.
Les proies et aliments distribués doivent provenir de fournisseurs ou d’élevage sûrs. Les
rongeurs et oiseaux « sauvages » ne seront pas offerts afin d’éviter toute transmission de
maladies ou parasites.
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II – Politique en matière de santé des animaux
II
Les animaux sont parqués séparément en fonction des risques de contamination de gêne endémique à
une espèce. Un animal malade ou récemment apporté est placé en quarantaine (parc ou terra en
fonction de la pathologie).
1 – Le suivi
Pour chaque animal, j’ai établi une fiche de suivi sanitaire. Les animaux sont pesés,
mesurés régulièrement et observés ( Page 67 – Annexe 5).
Avantages liés au suivi des animaux par la prise de notes relatives aux prises de
nourriture, mue, croissance, pathologies éventuelles etc. seront évoqués.
Puçage :
2 – L’hygiène
- Les pas qui servent à la distribution de nourriture et les abreuvoirs sont désinfecter à
l’eau de javel une fois par semaine.
- L’eau est renouvelée tous les jours.
- Les excréments ainsi que les restes de nourriture sont ramassés tous les deux jours et
jetés dans les déchets ‘verts’ (préciser les heures de ramassage de la ville). Les
cadavres sont portés chez le vétérinaire pour incinération.
- Les médicaments usagés sont portés chez le pharmacien.
- Les terrariums et accessoires sont désinfectés à l’eau de javel et à l’eau froide en
laissant agir 5 minutes.
- Je porte des gants latex à usage unique quand un animal est en quarantaine
d’observation.
- Les déchets sont jetés dans une poubelle spécifique. Pour éviter tout problème, il est
interdit de boire, de fumer ou de manger pendant les opérations de nettoyage.
- Les mains sont nettoyées avec de l’Aseptimain Gel, désinfectant sans rinçage entre
chaque manipulation.
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3 – Les maladies courantes
Diarrhée
Causes : Mauvaise alimentation, infections bactériennes, fongiques et de parasites.
Symptômes : Faiblesse, manque d'appétit, poids faible.
Traitements : Bains quotidiens, nourriture variée, suffisamment d'exercice. Faire faire une
coproscopie afin de vérifier si il y a présence de parasites internes. S'il n'y a pas
d'amélioration, consulter le vétérinaire.
Constipation
Causes : Absorption d’un corps étranger, manque d'exercice.
Symptômes : Paralysie des pattes arrières.
Traitements : Bains quotidiens, nourriture variée, suffisamment d'exercice. Faire faire une
coproscopie afin de vérifier si il y a présence de parasites internes. S'il n'y a pas
d'amélioration au bout de trois jours, consulter le vétérinaire.
Mycoses
Causes : Humidité trop importante.
Symptômes : Petits points blancs. Décollement des écailles, émiettement.
Traitements : Utilisation d’une pommade antifongique (Mycolog, Panalog) ou spray (Négérol) dans
le cas de mycose sèche (points blancs). Si les écailles se décollent, consulter un
vétérinaire.
Parasites internes
Causes : Stresse, animaux récemment importés.
Symptômes : Selon l'agent: diarrhée, amaigrissement, faiblesse, étranglement et vomissement de
la nourriture absorbée.
Traitements :
- Panacur contre les vers :2,5% buvable : 2 ml/kg à 15 jours d’intervalle.
- Profender chat contre les vers : 1 goutte sur la peau pour 50g à 15 jours d’intervalle.
- Flagyl contre les protozoaires : 125g buvable : 2 ml/kg à 3 jours d’intervalle.
Problèmes ophtalmiques
Causes : Surtout chez les Testudo graeca, dus à un manque en vitamine A, à la sortie
d’hibernation due au substrat trop sec ou infection bactérienne.
Symptômes : Gonflement des paupières, collées, l'animal perd la vue.
Traitements : Nettoyer l’oeil avec du Dacryosérum et application d’une pommade ophtalmique
(Ophtalon). S’il n’y a pas d’amélioration au bout de 48h, consulter un vétérinaire.
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Trouble carentiel
Causes : Manque en vitamines et en sels minéraux.
Symptômes : Selon le manque: ramollissement et déformation de la carapace, gonflement de la
paupière, changement du squelette, faiblesse, manque d'appétit.
Traitements : Corriger l’alimentation. Consulter un vétérinaire.
Blessures superficielles
Causes : Accouplements violents, chutes, etc...
Symptômes : Peau éraflée, léger saignement, petits éclats de carapace.
Traitements : Désinfecter à la bétadine jaune ou au chlorexidine. Protéger la plaie à l’aide d’une
compresse de gaze stérile afin d’éviter que les mouches ne pondent dedans. Les
blessures importantes (morsure de chiens par exemple) seront traitées par le
vétérinaire.
Autres : etc....
Petit matériel
Sondes :
- Sonde sexage (+ gel)
- Aide au gavage
- Mini perceuses/meuleuses sur batterie avec vitesse réglable, ou lime à ongles pour le
bec des tortues. Une pince à couper (uniquement pour les griffes).
- Seringues hypodermiques
- Sondes pour gavage
- Seringues pour gavage
- Spéculum : Pour l’administration de médicaments per os et maintien de la gueule
ouverte sans traumatisme
- Loupes
- Gants jetables
L’animal malade est placé en terrarium de quarantaine ( Page 18 – Equipement). L’animal reçoit un
bain d’eau tiède afin de permettre l’évacuation des matières fécales et l’hydrater. Pendant le
traitement, le terrarium et les accessoires seront tenus propres : déjections enlevées de suite et
nettoyage complet à la Javel toutes les semaines. L’animal sera manipulé avec des gants à usage
unique.
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Conduite d’élevage
I – Reproduction
[En fonction des espèces pour lesquels vous demandez le CDC, expliquer le
fonctionnement de la reproduction]
- Espèces ovipares,
- Espèces ovovivipares,
- Sexage des reproducteurs,
- La période de repos,
- Maturité des reproducteurs,
- L’accouplement,
- Etc...Fonctionnement générales des adultes en reproduction...
1 – Gestation
La gravidité peut engendrer chez certaines femelles une légère agressivité. Lors de cette
période, les femelles ont un besoin supplémentaire en calcium.
Etc.....
La ponte est précédée de signes avant-coureurs. La femelle tourne sur des hypothétiques
lieux de ponte avant de creuser le véritable nid. Elle se conduit comme un mâle et mime
l’accouplement sur d’autres congénères. Elles pondent le plus souvent en fin de matinée
ou fin de soirée.
Le parc doit être aménagé de zones de ponte (terre molle ensoleillée). Les buttes
ensoleillées et plantées de lavande les attirent.
Dans les régions nord, les oeufs sont alors récoltées. Après 3 jours, les oeufs ne devront
plus être retournés (mort embryonnaire ou malformations) et placer dans l’incubateur
dans leur position initiale dans le nid. Si tel est le cas, les oeufs peuvent être marqués
d’une croix au crayon.
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3 – L’incubation (exemple : les Testudo)
Les oeufs sont transférés dans un incubateur électrique spécial reptile. Il est néanmoins
possible d’utiliser d’autres méthode d’incubation :
- Méthode du bain marie
- La couveuse électrique à poussin (attention de ne pas retourner les oeufs)
- La couveuse faite soi même à avec un réfrigérateur.
- In-natura (Le sexe est laissé au hasard).
Il peut arriver en cours d’incubation que certains œufs s’avèrent inféconds. L’œuf prend
alors un aspect ratatiné et sa couleur vire au jaunâtre puis au marron. Ces œufs doivent
être éliminés pour éviter que des développements bactériens ne contaminent les autres
œufs.
- Faire tremper 5mn la vermiculite, puis l'égoutter 5mn dans une passette.
- Remplir les boîtes ou le l’incubateur et enterrer à moitié les oeufs.
- Ne pas fermer, ni couvrir les boîtes car trop de condensation.
- Idem pour l'incubateur, laisser le couvercle entrouvert (jour et nuit) de un centimètre
sinon l'hygrométrie sature.
A 15/20 jours d'incubation, il y a un signe, les oeufs féconds deviennent plus blancs.
A 50 jours d'incubation, il faut vaporiser d'eau les oeufs pour favoriser l'éclosion. Avec
cette méthode, l’éclosion a lieu 60 à 70 jours plus tard. Sur 13 oeufs de Testudo boettgeri
incubés, 12 ont éclos.
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But et principe de fonctionnement d’un incubateur :
Réfrigérateurs recyclés
Description – avantages - inconvénients
Boites polystyrène
Description – avantages - inconvénients
Boites en plexiglas
Description – avantages - inconvénients
Aquariums
Description – avantages - inconvénients
Glacières
Description – avantages – inconvénients
Congélateurs et réfrigérateurs
Description – avantages – inconvénients
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4 – Premiers soins aux nouveaux nés (exemple : les Testudo)
Les nouveaux nés sont baignés puis placés dans un parc extérieur aménagé ( Page 33 –
Installations extérieur) avec une aire de verdure plus importante pour apporter l’hygrométrie
nécessaire à leur croissance.
Ils mesurent 3 à 4cm pour un poids de 5/11 grammes. Pour chacun est établi une fiche
de suivi ( Page 67 – Annexe 5). L’entrée en hibernation se fait en même temps que les
adultes (mi-novembre).
Dans les heures qui suivent la naissance, certains nouveaux nés mangent des petits
morceaux de coquilles. Ils mangent comme les adultes les 2/3 jours suivants.
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II – Résultats d’élevage des trois dernières années
2003
2004
2005
1 - Entretien
Les constructions et autres bricolages nécessaires d’entretien sont secondés par Mr XX en cas de
besoin.
Mon élevage est à caractère non professionnel, je ne tiens donc pas de livres de compte.
La pratique de l’élevage entraîne des frais non négligeables dont l’éleveur ne soupçonne pas toujours
l’importance, et n’en évalue pas précisément les charges.
- Les frais alimentaire : Nourriture de base, les graines de plantation, le calcium, l’eau (50 euros)
- Les frais d’entretien : Paillis de pin, paillis de lin, renouvellement des plantes (100 euros)
- Le matériel : Abris, clôtures à entretenir (100 euros)
- Produit d’entretien (40 euros).
- Dépenses indirectes (eau, électricité, etc...) (aucune idée de coût!)
- Cotisations à différentes associations (50 euros)
- Abonnement à diverses revues, livres ou magazines (100 euros).
Et ponctuellement :
- Le vétérinaire : puçage (10 euros par animal dont le plastron est supérieur à 10 cm)
- La présentation du certificat de capacité
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3 - Orientation et but de l’élevage
Ayant privilégié l’espace, et mis toutes mes femelles Testudo ensemble, je cède prochainement trois
Testudo hermanni qui peuvent s’hybrider avec le seul mâle Testudo boettgeri.de l’enclos.
La reproduction n’est pas un objectif prioritaire et la quantité d’animaux détenus n’est pas destinée à
augmenter de façon significative. Je souhaite élever et reproduire principalement des Testudo boettgeri
et Testudo ibera.
Les nouveaux nés cédés seront accompagnés d’un bon de cession/certificat de naissance ( Page 92 –
Annexe 7) qui sera gardé en copie dans l’établissement.
L’élevage des Testudo est avant tout une porte ouverte sur l’observation et la découverte du monde à
travers une passion : les tortues !
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Législation [exemple : Cheloniens]
La France est signataire d'une vingtaine de conventions internationales qui ont pour objet
l'environnement au sens le plus large. Ces conventions prennent en charge la sauvegarde et la
protection de régions entières (Antarctique, Caraïbes, Pacifique Sud, Méditerranée), de certains
milieux seulement (milieux humides), d'espèces bien spécifiques (baleines) ou bien encore
réglementent certaines activités (mouvements et élimination des déchets, justice en matière
d'environnement).
Dont :
Les Annexes I, II et III de la Convention sont des listes où figurent des espèces bénéficiant de
différents degrés ou types de protection face à la surexploitation.
L'Annexe I est la liste des espèces animales et végétales couvertes par la CITES dont la survie est
la plus compromise. Elles sont menacées d'extinction, aussi la CITES en interdit-elle généralement le
commerce international des spécimens. Cependant, leur commerce peut être autorisé dans des
conditions exceptionnelles – pour la recherche scientifique, par exemple. Quand c'est le cas, un
permis d'exportation (ou un certificat de réexportation) et un permis d'importation sont délivrés.
L'Annexe II est la liste des espèces qui, bien que n'étant pas nécessairement menacées
actuellement d'extinction, pourraient le devenir si le commerce de leurs spécimens n'était pas
étroitement contrôlé. Elle comprend aussi ce qu'on appelle les "espèces semblables", c'est-à-dire
celles dont les spécimens commercialisés ressemblent à ceux d'espèces inscrites pour des raisons de
conservation (voir Article II, paragraphe 2, de la Convention).
Le commerce international des spécimens des espèces inscrites à l'Annexe II peut être autorisé et
doit dans ce cas être couvert par un permis d'exportation ou un certificat de réexportation. La CITES
n'impose pas de permis d'importation pour ces espèces (bien qu'un permis soit nécessaire dans
certains pays ayant pris des mesures plus strictes que celles prévues par la Convention).
L'Annexe III est la liste des espèces inscrites à la demande d'une Partie qui en réglemente déjà le
commerce et qui a besoin de la coopération des autres Parties pour en empêcher l'exploitation
illégale ou non durable. Le commerce international des spécimens des espèces inscrites à cette
annexe n'est autorisé que sur présentation des permis ou certificats appropriés.
En ratifiant cette convention en mai 1978, la France s'est engagée à prendre les mesures
appropriées en vue de la mise en application des dispositions de la convention. Cette convention a
été actuellement ratifiée par plus de 160 pays. En France, la délivrance des permis d'importation et
d'exportation pour ces espèces listées à la convention CITES relève des services de la DIREN de
votre lieu d'habitation depuis le 1er janvier 2001.
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TESTUDINES
I II III
L’annexe 1 CITES interdit la possession des espèces citées (sauf naissance en captivité ou que
l’animal a été importé avant l’entrée en vigueur de la convention). L’annexe A du CEE338/97 à
modifié le classement de certaines espèces de la Cites. De nouvelles espèces non concernées par
l’annexe I de la Cites ont été ajoutées à l’annexe A du règlement CE. Mesure de protection plus
stricte.
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Mais :
Art.7 (CE) : A l'exception de l'application de l'art.8, les spécimens d'espèces inscrites à l'annexe A
qui sont nés et élevés en captivité ou reproduits artificiellement sont traités conformément aux
dispositions applicables aux spécimens des espèces inscrites à l'annexe B.
TESTUDINES
A B C
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Les textes français : Le premier texte de loi est paru en 1791: Protection de l'animal considéré en
tant que propriété d'autrui (mais considéré comme un objet !)...
Plus d'actualité celui sur la protection de la faune et de la flore : le 10 juillet 1976 76-629
(JO du 13.07.1976) code rural abrogé par plusieurs textes parus en 1989 et 2000.
La protection des espèces animales et végétales sauvages en France est basée sur la loi du 10 juillet
1976 relative à la protection de la nature et en particulier sur ses articles 3, 4 et 5 et le décret
d'application n° 77-1295 du 25 novembre 1977. Elle vise à préserver les espèces animales non
domestiques ou végétales non cultivées lorsqu'un intérêt scientifique particulier ou les nécessités de
la préservation du patrimoine biologique national justifient leur conservation.
Elle est codifiée dans le code de l’environnement sous les articles L411-1 et L411-2 antérieurement
articles L 211-1, L 211-2 et R 211-1 à R 211-3 du Code Rural) Outre les textes de référence cités
précédemment, une série d’arrêtés interministériels (ministère de l'Environnement, ministère de
l'Agriculture, ministère de la Santé...) fixe les listes limitatives des espèces ainsi protégées et les
conditions particulières de leur protection.
Pour certaines espèces animales, dont les listes sont fixées par arrêtés, la destruction ou
l’enlèvement des œufs ou des nids, la destruction, la mutilation, la capture et la naturalisation des
spécimens peuvent être interdits. Le transport, le colportage, l’utilisation, la vente ou l’achat des
spécimens de ces espèces, qu’ils soient vivants ou morts, peuvent également être interdits.
Toutes les tortues marines : la tortue luth, la tortue caouanne, la tortue olivâtre, la tortue de
Riddley, la tortue à écailles et la tortue verte.
Parmi les reptiles et les amphibiens : la cistude d’Europe, l’émyde lépreuse, la tortue d’hermann,
la tortue grecque, le lézard vert, la couleuvre d’Esculape, la vipère d’Orsini, le crapaud sonneur à
ventre jaune, le pélobate cultripède, le pélobate brun, la grenouille de Lessona, la grenouille agile, la
grenouille ibérique, la grenouille des champs, la salamandre de Lanza, le triton crêté...
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Décrets et arrêtés qui font suite à cette loi :
15 mai 1986 Arrêté ministériel (Arrêté deGuyane) fixant les mesures de protection de la faune
représentée en Guyane. Modifié par l'Arrêté du 29 juillet 2005 DEVN0540302A
et modifié par l'Arrêté du 24 juillet 2006 DEVN0650442A.
REPTILES : Chéloniens
Article 5
A l'article 3 bis de l'arrêté du 15 mai 1986 susvisé fixant sur tout ou partie du territoire national des
mesures de protection des reptiles et des amphibiens représentés dans le département de la
Guyane, sont ajoutés les alinéas ainsi rédigés :
22 juillet 1993 Arrêté ENVN9320304A fixant la liste des amphibiens et reptiles protégés sur
l'ensemble du territoire. Modifié par l’arrêté du 19 novembre 2007 DEVN0766175A.
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21 novembre 1997 Arrêté ATEN9870000A définissant deux catégories d’établissement, autres que
les établissements d’élevage, de vente et de transit des espèces de gibier dont la chasse est
autorisée, détenant des animaux d’espèces non domestiques.
Art. 3. - Sont considérées comme dangereuses les espèces dont la liste est fixée en annexe au
présent arrêté.
ANNEXE
Ordre des chéloniens : espèces dont la largeur de la bouche à l’âge adulte est supérieure ou égale à
4 centimètres, appartenant aux familles suivantes :
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10 août 2004 Arrêté fixant les conditions d'autorisation de détention d'animaux de certaines
espèces non domestiques dans les établissements d'élevage, de vente, de location, de transit ou de
présentation au public d'animaux d'espèces non domestiques.
L'Annexe 2 : Espèces dont la détention ne peut être autorisée, avec obligation de marquage ou
non, qu’au sein d’un établissement d’élevage ou de présentation au public d’animaux d’espèces non
domestiques autorisé conformément aux articles L 413-3 du code de l’environnement à détenir des
animaux de l’espèce considérée.
TESTUDINES
I II
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19 novembre 2007 Arrêté DEVN0766175A fixant les listes des amphibiens et des reptiles protégés
sur l'ensemble du territoire et les modalités de leur protection. Qui a abrogé l’arrêté ENVN9320304A
du 22 juillet 1993
III. - Sont interdits, sur tout le territoire national et en tout temps, la détention, le transport, la
naturalisation, le colportage, la mise en vente, la vente ou l'achat, l'utilisation, commerciale ou non,
des spécimens prélevés :
REPTILES : Chéloniens
Emydés :
Cistude d'Europe (Emys orbicularis) (Linné, 1758).
Emyde lépreuse (Mauremys leprosa) (Schweigger, 1812).
Testudinidés :
Tortue d'Hermann (Testudo hermanni) (Gmelin, 1789) ;
Tortue grecque (Testudo graeca) (Linné, 1758).
Article 8
Par dérogation aux dispositions de l'article 7, ne sont pas soumis à autorisation, sur tout le territoire
national, le colportage, la mise en vente, la vente, l'achat, le prêt avec contrepartie, l'échange ou
l'utilisation à des fins commerciales :
― des spécimens nés et élevés en captivité des espèces d'amphibiens et de reptiles exemptées de
certificat par le règlement de la Commission portant modalités d'application du règlement (CE) n°
338/97 susvisé.
Article 9
Sont exemptés d'autorisation les déplacements des spécimens vivants des espèces citées au présent
arrêté et figurant à l'annexe A du règlement (CE) n° 338/97 susvisé qui proviennent d'un élevage
dont le cheptel reproducteur a été constitué conformément aux réglementations en vigueur au
moment de l'acquisition des animaux de ce cheptel et qui est conduit de manière à produire, de
façon sûre, une descendance de deuxième génération en milieu contrôlé.
L'autorisation prend la forme des documents délivrés pour l'application du règlement (CE) n° 338/97
susvisé.
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