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B) Les campagnes et les villes

1) Le poids du monde rural

3/4 pop rural ≠ 2/3 de la pop All


nuance car ville = 2000 habitants aggloméré
ne possède pas les attributs d’une ville
mais services > au village : poste, gendarmerie, notaire (société des héritages), marché
campagne→garde leur habitants
exode rural: mouvement qui voie la pop rural diminué au profit des villes
« exode » fuir une campagne pour une ville moderne (rejet)
1850 : 25m de la pop
1860 : Début de déclin
Accentuation 1880
impression « d’age d’or » pour les paysans
1/2 actif sont paysan (travail relatif à la terre)
c’est aussi une manière de vivre, des pratiques, une sociabilité
société communautaire (entraide, champs ouvert)
1872 : 18,5m vie de la terre
2 400 000 exploitations qui ont entre 1 et 10 hectares
soit le propriétaire à exploite sa terre ≠ contrat « fermage » quelqu’un d’autre travail la terre du
propriétaire
→métayage : type de bail rural dans lequel un propriétaire, le bailleur, confie à un métayer le soin
de cultiver une terre en échange d'une partie de la récolte
1/3 de propriétaire, 2/3 de métayer
1/3 de la terre n’est pas cultivé : les plantes non cultivé fixe l’azote dans le sol et sont donné au
bétail
XIXème →devp machines = + de production donc + argent
→l’argent permet d’acheter de beaux vêtement pour le dimanche
on mange mieux, meilleur santé, on grandit
1850 : 16 % = - 1,57m ≠ 1870 : -10 %
différent paysans : gros paysan (coq), paysannerie aisé (propriétaire de champs, machines),
paysannerie autosuffisante + qui fait des travaux saisonniers, ouvrier agricole (ne possède pas de
terre, = 900 000), 2m de domestiques (dans une exploitation, considéré comme la famille)

2) La croissance urbaine

1870 : 30% de citadins ≠ 53 % Ang


1850 : 25 % →progression lente
mouvement irréversible
1860 : relative urbanisation →2 % croissance urbaine
citadins → - enfants que ruraux, le facteurs de croissance est l’exode rural
69 communes + 20 000 habitants
Paris écrase la hiérarchie →1 200 000 en 1851, 1 800 000 en 1872
1/3 des parisiens sont natifs
Même mouvement à Lille (150 000), Lyon (400 000)
l’industrialisation → naissance de villes (Mulhouse, ST Étienne, Roubaix)
ville métamorphosée = grand travaux
Haussmann
superficie de Paris est doublé
problème de circulation (moyen age), insalubrité
connexion entre ville ancienne et grande ville
se débarrasser de l’insécurité politique →se débarrasser des quartiers révolutionnaires, rendre
accessible le canal Richard le noir (ligne de défense révolutionnaire 1848)
constructions des Halles
abattoir déplacé à la Villette
création de grand parc (parc monceau)
Esthétisme Haussmannien
1870 : travaux toujours pas fini
Même travaux à Lyon, Marseille

Conséquence éco/social
activité plus pratiqué, migration des ateliers en banlieues,
nuance : besoin des classes pop à Paris, nécessite de la proximité des artisans pour la bourgeoisie, il
habite sous les combles ou au 1er.

C) Hiérarchie et dynamique social

1) Des élites recomposés

a) existe une noblesse (propriété foncière conservée)


sept 1793 : partages des terres, les paysans acquièrent des terres
Napoléon a ramené la noblesse à lui, la restauration la restitué
Les bourgeois ont bien ramassé les terres
1870 : 20 000 familles nobles
Bastion : 5,6ème , ouest, Normandie
impliqué dans la charité
Haut clergé : influence
Comment vivre sous un régime que l’on ne souhaite pas ?
L’armé permet de défendre le pays sans accepté le régime

b) Dvp banques, négoce, commerce maritime, pas de fiscalité→nouveaux riches


puissance considérable à l’échelle local (ex : Eugène Schmer)
Senat : ces classes rentrent en plt
les enfants reprennent l’entreprise ou haute administration →la bourgeoisie s’installe au pouvoir
Très peu d’ascenseurs social
fusion des élites (réseaux, intérêt commun), mariage entre cousins
La bourgeoisie a un hôtel particulier + château à la campagne/ station balnéaire
promenade au bois→on se montre, on se rencontre
réception
ce calme tombe en 1870

2) Les mondes ouvriers

1 600 000 patrons, 2 900 000 ouvriers →structure artisanal


bcp d’ouvrier en milieu rural : proto-industrie
main d’œuvre féminine
pas un régime salarié →relation contractuelle
Dvp de l’usine
pas encore de contrôle des comportements, pas d’horaire →on fête le saint lundi
on est payé à la pièce produite
pas de chef de production
le chef d’équipe recrute lui même→il y a noyau irremplaçable
La Commune

1) La formation de la commune

naît de l’insurrection du 18 mars 1871

a) contexte

critique de l’attitude de Trochu pendant le siège →ne prend pas les mesure éco-social nécessaire, est
lâche
pas de travail, peur d’être à la rue après le moratoire
demande la dictature de salut public→sauver la patrie en danger
élément les plus radicaux élu dans les quartier pop en novembre 1870 (Clemenceau, Delescluze)
février 1871 = élection →Benoit Malon (AIT) élu
Après les élections l’assemblé part à Versailles
Thiers veut désarmer la garde national et reprendre les canons
→les femmes de Montmartre les empêchent et on ne tire pas sur les femmes
Début de l’insurrection
l’insurrection gagne tout l’ouest parisien
le gouvernement s’enfuit →il n’y a plus d’institution
comité central de la garde national s’installe à l’hôtel de ville (lieu symbolique)

b) les institutions

élection d’une commune le 26/03 au suffrage universel →référence révolutionnaire


composé de 79 membres
proudhoniens, blanquiste, AIT, néo jacobins
9 commission
dure pendant 72 jours→compliqué d’avoir des instituions stable en si peu de temps
pas d’accord sur le comité de salut public

c) qui sont les communards

on utilise le terme de communeux


des ouvriers d’ateliers
le petit patron ne se distingue que peu de l’ouvrier
il y a des artistes (ex : Courbet)
journaliste (ex : Delescluze)
médecins et officiers souhaitant défendre la patrie (ex : Louis Rossel « je préfère être avec les
vaincus qu’avec les vainqueurs »)
pour le révolutionnaires être citoyens c’est porter les armes→les femmes réclament ce droit
Louise Michel anime le commité de vigilance des femmes de Montmartre
de nombreux étrangers dans la commune (polonais, Italien), ils défendent la démocratie, la liberté,
la souveraineté des peuples
ex : Leo Franklet = président de la commission du travail
utilisation du drapeau rouge

2) Une expérience politique d’un type nouveau

a) démocratie représentative et directe

tente la démocratie directe


les insurgés voulaient légitimer leur pouvoir par le vote
33 ouvrier, 14 employé, 5 petit patron dans l’assemblé générale de la commune
peu d’expérience politique
« La république vraie »
démocratie « vivante » = club, comité de vigilance→démocratie directe
les chefs militaires sont élus
reconstruction de pv public (poste)

b) projet et réalisation sociale

c) Dernière révolution du XIX ou première révolution socialiste

révolution 1917 s’en inspire →Les bolchevik se félicite de durer plus longtemps que la commune
Pour certain la commune est le fait de l’AIT donc de Marx
Marx salue la révolution →La guerre civil en France juin 1871
rend gloire à l’action prolétarienne
en vérité l’influence de Marx est nul car l’AIT n’est pas une orga centralisé
les collectivistes sont marginaux →la commune n’a rien nationaliser
l’idéal de la commune ; société de petit éco indépendante, démocratie des petit producteur

3) La commune vaincue

a) La stratégie versaillaise

d’autre villes on proclamées la commune : St Étienne, Toulou, Lyon


n’ont durées que quelque heures/jour
le projet fédéraliste ne peut se faire
les communards aurait pu mettre les versaillais en déroute le 18/03 car ils étaient dépassés
les versaillais partent à la conquête de Paris ouest →les barricades ne résistent pas

b) la répression

on compte 15 000 mort (chiffre établie par Michel Audin)

c) mémoire de la commune

les communards sont chargés de tout les crimes par les versaillais
ex :
les femmes ont pu exprimer leur nature profonde →hystérique
brûlé le palais des tuileries
l’hôtel de ville a brûlé (on les charge alors qu’on ne sait pas si c’est leur faute)
certain qui était hostile à la commune dénonce la répression (Hugo, Clemenceau, Gambetta)
après 1877 les rep accèdent au pouvoir→loi d’amnistie totale en juillet 1880
commune devient une référence du mouvement ouvrier →idéal de rep socialiste
mémoire par le chant →le chant des cerises devient symbole de la commune après 1892
Les marginaux de la République

Les femmes sont comme des mineurs juridiquement


elles sont sous tutelle (parentale, mari)
une femme ne se mariant pas = courage, acte politique (chez les anarchistes)

L. Richelieu chef du journal Le droit des femmes, créer l’association pour le droit des femmes
(1870) et enfin créer la ligue française pour le droit des femmes (1882)

Hubertine Auclert rompt avec L. Richelieu et créer sa propre association, prône un mode d’action
plus radical (ex : ne pas payer impôt tant qu’elle vote pas)

CPDT ce mvt reste bourgeois et minoritaire 4


classe ouvrière est loin de ces préoccupations
1890 : les femmes sont à la tête de leur organisation

républicain craigne le vote clérical des femmes

les enfermés
conditions très dure
les prisonniers ont faim
1972 : age minimal pour être incarcéré = 13 ans
on sépare les enfant des assassins, sinon adulte/enfants mélangés
développement de maison de redressement pour les garçons
les filles vont au couvant

les colonisés
il y a des députés pour les anciennes colonies
Algérie = département donc financement comme les autres
sinon les financement vers les colonies varient
1881 : code de l’indigénat
1870 : décret Crémieux
les indigènes sont des sujets non des citoyens

Les questions économiques et financières

1. la dégradation de la conjoncture économique


La rapidité des mutations affecte l’ensemble du pays. Les effets de la croissance puis
les 1er symptômes de la crise économique font tomber des structures déjà ébranlées.
Avec le déclin des villes administratives ( Aix-en-Provence, Poitiers, Rennes, Caen)
au profit des cités industrielles (Le Havre, Nancy,Roubaix-Tourcoing) la
concentration des activités productives vers le nord-est, la France du XVIII craque
vraiment dans les dernières décennies du XIX ème siècle.
2. le plan Freycinet
Proche de Gambetta et chargé du portefeuille des Travaux publics, Freycinet profite
de l’occasion pour lancer un vaste programme de travaux. Présenté dès 1878, le plan
Freycinet espère “activer le mouvement des travaux publics”, relancer l’industrie, et
développer le commerce dans un espace national mieux maîtrisé. Le projet suscite
des débats animés quant à la place des compagnies privées, dont les concessions sont
maintenues. Mais le consensus se fait sur l’objectif de désenclavement du territoire.
Le chemin de fer doit abolir les cloisonnements passés. Peu importe par conséquent
la rentabilité immédiate du plan: les lignes à construire s’étalent sur l’ensemble du
territoire et non sur les seules régions industrielles comme le préconisent les milieux
financiers inquiets devant l’ampleur des opérations. Le programme pèse sur le
budget de l'État ( + de 3 milliards de francs sont prévus afin de financer 8 000 km de
voies nouvelles Les coûts explosent et dès 1882 la dérive est flagrante 8 milliards de
dépenses.

3. l'orthodoxie financière
Les coûts explosent et dès 1882 la dérive est flagrante-> 8 milliards de dépenses.
Pour rassurer le milieu des affaires, Léon Say est rappelé aux Finances qui doit
assumer le retour de l'orthodoxie et la fin des grandes ambitions. Le plan Freycinet
est par conséquent refondu en 1883. L’Etat concède les 2 823 km de lignes qu’il
vient de mettre en services aux compagnies de chemin de fer à charge pour elle de
construire les 8 360 km restants. Les idées d’interventionnisme étatiques ont perdu la
bataille tandis que le secteur privé sort vainqueur d’une lutte qu’il a mené au prix
d’intenses lobbying mais le rail devient ensuite progressivement un service public.
Avec 24 000 km de lignes en 1881 et près de 41 000 en 1913, le chemin de fer
couvre tout le territoire national. Outre le chemin de fer, Freycinet s’occupe des
ports et de fleuves en lesquels il voit des ressources inexploitées. Là encore les
projets sont ambitieux : 1 Milliards pour les canaux, 400 millions pour les ports.
L’entreprise coloniale

1. motifs et justifications

La droite conservatrice est hostile aux aventures coloniales, selon eux, elles détournent le pays de sa
priorité (récupérer l’Alsace Lorraine) et représentent des dépenses inutiles pour les pays. Il y a aussi
des débats à l’intérieur des républicains avec notamment Clemenceau.

« Vous n’avez pas déclaré la guerre, mais vous l’avez faite ! »- Clemenceau → parvient à faire
tomber le cabinet Ferry le 9 novembre 1881 → formes de la colonisation deviennent un sujet de
division car il détourne le pays de la libération. Le traité de 1881 entre Brazza et le roi Makoko
conforte les positions françaises dans le bassin du Congo. La France renforce sa présence en
Afrique occidentale et s’aventurent de plus en plus vers l’est afin de couper le projet anglais d’une
liaison britannique du Caire au Cap

Selon Ferry, la colonisation repose sur des principes économiques et sur des intérêts et des
conceptions humanitaires. Dans son discours du 3 juillet 1885, Ferry énonce trois arguments
principaux qui défendent la colonisation :

1) l’économie « la politique coloniale est la fille de la politique industriel

2) « Il y a pour les races supérieures un droit parce qu’il y a un devoir, celui de civiliser les classes
inférieures »- Ferry = consensus raciologique / Carole Reynaud Paligot explique que
l’anthropologie raciale séduit les milieux libres- penseurs et républicains par son allure scientifique,
et en théorisant l’inégal développement des races, elle trace un cadre évolutionniste qui légitime
pleinement le « devoir de civilisation invoqué par Ferry ». Il s’agit de déraciner les « coutumes
barbares » = c’est la “mission civilisatrice” .

3) politique = si ce n’est pas la France, ce sera l’All, l’Angleterre = la France ne peut pas se tenir à
l’écart du grand partage du monde dont témoigne la conférence de Berlin de 1885 : course au
clocher impériale vient d’ouvrir en Afrique, en Océanie et en Asie

Les nationalistes s’inquiètent de la dispersion des forces militaires.

2. la formation d'un parti colonial

Un parti colonial se constitue en soutien à la colonisation en 1892 dominé par Eugène Etienne
surnommée « Notre Dame des coloniaux ». Il défend à la Chambre une politique d’expansion
dynamique ( centaine de députés opportunistes, monarchistes, radicaux, anciens boulangistes ). La
droite, notamment les nationalistes rejettent “ la passion coloniale, cette politique de dispersion et
de ruine”. Ils s’inquiètent de la dispersion des forces militaires ( Duc de Broglie, Paul de
Cassagnac ) .La droite dénonce aventure inutile, coûteuse et dangereuse dont l’argument du coût est
le plus repris

3. la politique coloniale de Jules Ferry

La France est isolée sur la scène européenne après défaite 1870 → reconstruire
défense, renforcement conscription. L'armée peut s’exercer sur le domaine colonial
dont hérite la République ( 1 M km carré/ 5 million Pop )( Martinique/ Guadeloupe =
culture canne à sucre, Réunion = société de plantation, Saint Pierre et Miquelon =
morue, Guyane/ Nouvelle-Calédonie = bagnes où sont déportés les condamnés de la
Commune, comptoirs indiens ( Pondichéry, Chandernagor) , Port de Gorée, Saint
Louis. Dès 1830, conquête de l’Algérie puis la Cochinchine et le Cambodge. Le
traité de protectorat à Madagascar poussé par le député réunionnais François de
Mahy île devient un point d’appui qui permet à la France de reconquérir une
influence perdue dans un Océan Indien tenu par les britanniques. Francis Garnier
remonte le Mékong ( 1866-68) tué devant Hanoï, Haïphong et Quy Nhon. L’ armée
est principalement engagée en Algérie – révolte en 1871 → colère Kabyle s’exprime
sous la figure de Mohamed El Mokrani → répression impitoyable. L’ Armée amplifie
prog de « mise en valeur» et convertit def Alg en colonie de peuplement. La
transition du « régime du sabre » vers un « régime civil » qui doit aboutir à la
complète assimilation des territoires algériens. Il s’agit de retrouver son élan perdu
en s’appuyant sur l’Algérie et en s’établissant sur les deux rives de la Méditerranée
et « il s’agit de réussir là où la Rome a échoué » Les arguments discours colonial
sont tels que le dynamique colonial qui est vu comme le meilleur remède à la qst
sociale/ supériorité du modèle colonial fr fondé sur la civilisation La mort du
Commandant Rivière tué en mai 1883 en Chine = Chambre vote à l’unanimité
l’envoi d’un corps expéditionnaire de 20000 hommes / traité de paix en 1884 mais
hostilités reprennent / info brouilleuse et défiance vis-à-vis de Jules Ferry =
cristallisation des camps en 1885 Par delà enjeux diplo, pol et éco, la construction
coloniale transforme les regards. Est ce par hasard si on se met à mobiliser le lexical
racial pour décrire la misère sociale des bas-fonds ? Comparaison des normaliennes
de Fontenay-aux-Roses/ indigènes d’algérie/ paysans de France → urgence des
enseignants face à des « diversités de culture et d’origine morale qui approchent des
diversités de race». Au miroir colonial se reflètent les tensions internes de la
métropole, les projets d’intégration et leurs limites.
La situation ouvrière au début XXème siècle
Congrès de la CGT de Bourge en 1904 →une demande venu de la base est adopté : lutter pour
adopter la journée de 8h→cherche à créer une obsession de cette question chez la classe ouvrière
1/05/1906 : catastrophe de courrière
1200 victimes parmi les mineurs
1er mai 1906 est durement reprimé
on fait comprendre aux ouvriers que, après les militaires avec l’affaire Dreyfus, et le clergé avec la
crise des inventaires, c’est à eux qu’on s’attaque afin de faire régner l’ordre bourgeois
Le premier flic de France réprime durement →Draveil : 6 morts (juillet 1908)
la CGT, les mouvements socialistes, l’AF (article de juillet 1908 « Bloody ») dénonce les violences
policières.
Le 3 août dans l'après-midi, à la Bourse du travail, rue du Château d'Eau, d'une fenêtre du 3 étage
descendit un drapeau noir aux plis duquel était attaché par le cou un buste de la République peint en
rouge. La même cérémonie recommença quelques instants après avec un drapeau rouge.
il y a le sentiment de révolution sociale proche
→création d’un ministère du travail en 1906, loi sur les retraites ouvrière et paysanne en 1910,
création du code du travail en 1910
Briand qualifié de « socialiste papalin »

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