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EN GEOLOGIE
par
J.P. RAGOT
lii^fLG. M
--ÛTHÈQUE
Département Laboratoires
INTRODOCTION
1ère PARTIE :
Pages
2ème PARTIE :
B / Méthodes d'étude. 14
3ème PARTIE :
A / Géologie générale 21
B / Sédimentologie 22
G / Stratigraphie "
D / Métallogénie 23
CONCLUSIONS 27
àMEXE
BIBLIOGSAPHIE
PLANCHE m INTRODUCTION
PLANCHES
9 et 10 / Planches photographiques.
_ 1 »
INTRODUCTION
organique fossile,
une ;roche.
large.
0 0
fossiles.
RATOIRES.
1ère PARTIE
ORGANIQUES FOSSILES
à asphaltoïdes»
toute matière organique susceptible d'être Tolie» De plus, les limites d'ob¬
trouve ouvert : celui des particules caibonées incluses dans un grand nom¬
bre de roches»
- 4 -
et 2).
voirs réflecteurs.
(lignine, en partictilier)
les tourbières.
- 5 -
colonnes 2 à 4) :
toute chose égale par ailleurs ; ainsi les Bogheads du rang des houilles
sons suivantes :
l'isoler.
réflecteur sur section polie (voir planche l), petrvent être mesurées
De plus, ces mesures pouvant être faites sur des fra^ents de quel¬
ORGAjaiQUES FOSSILES -
ines, lipides.
et gazeux (bitumes)»
graphitation.
- 8 _
(b) Lignification
des tissus ligneux restés intacts au stade des tourbes; les divers
teur.
(c) Hotiillification
en production.
(d) Graphitation
téristique du graphite SS (ex. 3,35 A° pour les plans 002 - voir fig. 2
planche 2),
0 o
- 10 -
1° / Propriétés électriques
le cas du charbon ceci est vrai seulement pour une teneur en Carbone de
87 ^ - (Voir fig. 1 planche 3)» Povir une teneur plus faible ou plus
conductivité .î^
teur<i : ^
f = A exp. (^ 2 k T
2° / Propriétés sorptives
Pratiquement tous les gaz petivent être fixés par le charbon en plus ou
0 0
- 12 -
cules solides :
techniques de concdatration,
une opération délicate ; on conçoit que cette opération est plus dif¬
ficile encore dans le cas des particules tendres, rendues fragiles par
réfléchie et transmise.
B / METHODES D'ETUIË
R= Wlo ,
corps isotropes :
(n + xf * ^ X
Le coefficient i'intervient'^ans la formtile que donne la
l'on a : p
^ = l(fti)
Le rappel de ces formules permet d'attirer l'attention sur
gie répond dès à présent à cette utilisation. Nous avons acquis déjà
avec la carbonification.
2^ - METHODES THERMIQUES
teneur en eau,
correction de cendre.
volatiles.
donne :
le % en carbone fixe
le f> en cendres
phite S.S,
dans une zone minéralisée des Pyrénées (Région de St Béat - Hte Garonne)
substance anthraciteuse extraite des mènes schistes dans une zone pon
tique ,
été éprouvée pour des produits graphiteux tant artificiels que naturels.
- 18 -
tométrique obtentie par transmission des R«X, (pour éviter les effets
tion de 0,93.
organique dans une roche par voie humide (Service Géochimie). Les
sont celles qui ont la plus grande portée, tant pour la diagnose que
dans le domaine :
d'absorption
purs, la mesure du rapport H/C par voie chimique» i (Cette méthode doit être
0 0
- 21 -
^hae PARTIE
A / GEOLOGIE GENERALE
résulte tant de la connaissance des séries houillères que des études expéri¬
est un problème délicat qui ne peut être considéré comme résolu. Les va¬
une indication qui peut être retenue» toutefois, dans une première phase de
(zones plus ou moins "chaudes" de cette formation) à partir des formes même
dispersées de la M.O. -
au même titre que celui qui intéresse tout constituant minéral des roches
sédimentaires.
B / SEDIMMTOLOGIE
parti .' de la M.O, des roches en vue de caractériser les milieux de dépôts;
Il faut considérer les méthodes que nous avons présentées cc»aime devant
C / STRATIGRAPHIE
pour tenter de tirer parti des- éléments figurés carbonés que nous obser¬
3VÜC lame mince polie, (voir compte rendu n° 3, en Annexe page f).
D / METALLOGENIE
des Pyrénées,
- 24 -
de kilomètres.
classiques, qui ont été faites à propos de gîtes de tjrpe "skarn". Quand ces
plus " chaude", est souvent prise dans une enveloppe de terrains complètonent
0 0
divers plans ;
quement nul). Dans ce cas un repérage des gites de type "skarn" est pos¬
d'une perturbation thermique, mais s'il s'agit d'une M.O. de type " charbon
- source de soufre
- propriétés réductrices.
ont été libérées. Dans quelle mesure sont-elles intervenues dans la mise
substances utiles ?
conjointement s
Bulletin du B. R. G. M, - '
-27-
COHCLUSIONS
charbons.
au DEPARTEMENT LABORATOIRES
P.R.
GROUPE N° de Référence Echantillon remis par Désignation mesurés en ^
cf photo 1 P1.9 1 à 20 MM. FEYS GREBER SAINFELD Charbon et bitiines solides 0,6 à 4,5
de mine
P.R.
4 à 6
2 21 à 27 + 60 M. DBSTOMBES Ordovicien et Silurien des Pyrénées
anisotropie
o
2° - Eohantlllona dont la M,0« est associée ou non à des minéralisations sulfurées
(Etude comparative)
PsR.
Groupe N» de réf. Echantillon ranis par Désignation
mesurés
5
2 25 M. DESTCMBES Silurien des Pyrénées
anisotropie
3
cf. Ph.2 28 et 29 M. VIALLEPOND Permien du bassin de St Affrique 1,3 à 1,6
Pl. 9
f/l8 ,
cf. Ph.3/4 51 à 54 M. PICOT M.O. au sein de minéralisation
P1.9 et et 79 de provenances diverses 4 à 5
Ph.4 Pl 10
19
Silurien de la région de St-Beat 5
cf. Ph.l/2 80 à 82 M. CHAMBOLLB
(Pyrénées) anisotropie
Pl. 10 114 à 116 et CHAPUT
5
21 88-89 MM. BONNICI - PICOT Minéralisations du Lagos
anisotropie
P.R.
Groupe N» de réf o Echantillon remis par Désignation
mesurés
4° - Divers
P.R.
Groupe N° de réf. Echantillon remis par Désignation
mesurés
1 - GROUPE 9 (Page d) n° 55
2 - CTtOUPE 23 (Page c) n° 91 à 93
3 - GROUPE 2 (Page b) n° 25
GROUPE 13 (Page ) n° 65 et
"groupe 19 (Page c) n° 80 à 82. 114 à 116.
5 - (mOUPE 10 (Page d) n° 56 à 58
par
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o 0
RELATION ENTRE LE DEGRE DE CARBONIFICATION, OU RANG, DES CHARBONS, LEUR COMPOSITION CHIMIQUE ET LE POUVOIR REFLECTEUR DE LA VITRINITE
RANG DES CHARBONS volati les fixe ( s/pur POUVOIR REFLECTEUR DE LA VITRINITE (s/pur PALEO-TEMPERATURES
en fonction du % Carbone
& sec) & sec)
en % en % en % en % en % dons l'hui le en 7o en %
TOURBES
60-
60 -
TENDRE
"1
%M.V. dans les charbons.
1
1 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 ,
35 - . 55 __ 10 _ 65 -
1
i
/
/
LIGNTES
70 - 70.-
DUR
25 -- 50 -- 25 -
8 - 10. . 45 -- 45 _
75 -
/ 100° C
/
FLAMBANTE
5 .- 40 .. 55 _ 80 . SO /
f
FLAMBANTE à GAZ
. 35 - . 60 _
l \
à GAZ 85 - -
u
c
0
.0
k_
1
/
0
u
3 -. 28 .. 70 _
GRASSE
DEMI -GRASSE . 19 .. 80 _
SO.
MAIGRE - 14 90
10 -- 90 I ^'^ 200° C
ANTHRACITES (S.L.) 4 95 /
^
300 C
95 /
"GRAPHITOÏDES"
H.R. en %
/
GRAPHITE 0 0 100 100 0,5 1
L
1,5
lll
2 2,5 3
1
3,5
1
4
1
4,5
1
5
1
^
1-1000
X ffEnXlTUÍ/ Planche 1
V . //IHEBTINip /
EVOUfFIOK du POUVOIR REFLECTEUR
TES MACERAUX ]£S CHABBOHS EV
FOHCTIGH JE U FROFOHISaE
\ (Grande dispersion
d'aprte M. AIPGSH
* (Sondage Gixoonrllle 1
Basein Lozxsin) 1964
IiM(rtlnite : rapporté*
à titre indicatif.
h3000
ANISOTROPIE
4000
l
B
\
1-5000 6 \
\
\
\
\
P.R» alB.
Maigre Aatfazaaite
^¿
Cxaphi- /
told* 4oo
S'aiste T. IREVELEI 1963»
Barrière de potentiel d*
Constante diélectrique
conductivité éleetriqu* Au (er)
Rang t 2 1/46 8 10 12 14 0,5 ' i ' ' i,5 2
80
* 0 y
Booill*
.90 V ^90
Anthradt*
^x>2 (indle* de réfrsotlon) /"
Gxaphltold*
100 100
fl«. 1 fiir* 2
Rang
80 t
Anthxadt* \ \ \
CrapbitoXd*
" 100
fig. 3
Roche bitvmineuse
Chloroforme
_-.., I
ASPHAI/PITE KER0(S3IE
Nature chimique
AHALTSB THEBHOuPGBIERAl£
SB DIVERSES SUBSTANCES ORGAHIQOBS FOSSII£S
k -
HODIII£ MAIGSE
% pcdda
B -
H0DIIJ2 FUHBABTB
C -
incsns
S BOSÎ.BSàJ) d'AÜTOl,
Planche 6
DE GRAPHITOIDE ET DE GEAPHITE -
d 004
Graphitoîde ettreit de
schistes Silurien
(Ech. n» 116)
Graphite de Madagascar
(Ech. n» 109)
Planche 7
d 002
d 004
I
Qrarhltolde (Ech, n» 116
prélevé dana \m* cons oloérallsés)
Anthracite (Edi. n» 65
prélevé dans une son* non nlnérallsée) .
d 101
(Anticathode de Cobalt)
Substance 002
ayanhltolde
13'»5