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2. SIMPLIFICATION DU MODELE
Dans cette partie, nous nous intéresserons en priorité à la
partie moteur de notre système. Le modèle actuel comprend un
stator bobiné composé de 6 paires d’encoche en triphasé que
nous allons chercher à simplifier par une ligne de densité
linéique de courant le long du stator simplifié.
Application numérique :
2.1. Etude théorique
- En r=0 :
Le potentiel ne peut être infini donc α1=0
- En r=∞ :
sont nuls.
Bn1=Bn2
Bn2=Bn3
Bn3=Bn4
Bn4=Bn5
Ht1=Ht2
Ht2=Ht3
Ht4-Ht3=Ks*cos(pφ)
Ht5=Ht4
On obtient 1.32*10^-3 Wb/m par simulation donc le modèle sin(𝑝𝜙) ∗ cos (2(𝜙 − 𝛼)
est juste. On linéarise ce produit afin de calculer l’intégrale :
4. CALCUL THEORIQUE DU COUPLE 1
sin(𝑝𝜙) ∗ cos(2(2𝑘 + 1)𝜙) = (sin(4𝜙 − 2𝛼) − sin (2𝛼)
Dans cette partie nous allons calculer le couple produit par 2
le moteur. On obtient donc pour le couple :
Pour cela on modélise d’abord les aimants permanents 𝑎@ V 1 1
Γ = 16𝐿𝑀𝑠𝑖𝑛(2𝛼)(R (𝑅@ − 𝑅CV W − 𝛼@ X − Y)
présents dans le moteur. 3 𝑅@ 𝑅C
Application numérique :
L=0.09m
Valeur de M :
𝐽 = 𝜇6 𝑀
Et selon la documentation technique Jr=Br=1T
Donc :
M=795 774.7 A/m
Pour alpha=pi/4 on obtient :
Γ = −7.01 𝑁. 𝑚
Figure 5 : Aimantation M dans les aimants
Via la simulation sur le logiciel on obtient :
Comme l’aimantation M change de sens de manière périodique
tous les pi/2, on peut dire que l’aimantation est un signal carré
périodique d’amplitude M sur [0;p/2] et -M sur [p/2;p].
On peut alors écrire la série de Fourier correspondant à ce signal
:
3
4𝑀 𝑠𝑖𝑛(2(2𝑘 + 1)𝜙)
𝑀. 𝑢$ = (
𝜋 2𝑘 + 1
456
Et on sait que :
Figure 6 : Couple magnétique
Donc un couple maximal qui vaut 7.5 N/m.
Ce qui est cohérent avec la théorie.
Et la force de Laplace vaut :
5. CALCUL DU FACTEUR D’HOMOTHETIE
𝑃 = Γ𝜔
Or seule la composante sur 𝜙 est utile pour calculer le couple. D’après le cahier des charges :
Donc : P=10 ch = 7355 W
dF=jdvBr, avec dv un élément de volume. A 1200tr/min = 125.7 rad/s
Et on sait que B=rot(A), donc :
Alors Γ = 58.51 𝑁. 𝑚
On souhaite alors savoir comment modifier R1 et R2 pour
obtenir cette valeur de couple.
6. CONCLUSION
Soit l le facteur d’homothétie :
A travers ce bureau d’étude nous avons étudié ce moteur à
On définit deux fonctions : l’aide de plusieurs modèles, du plus simple au plus complexe
dans le but de répondre à une problématique industrielle.
𝑅C (𝜆) = 𝜆𝑅1 et 𝑅@ (𝜆) = 𝜆𝑅2
Nous avons donc calculé le couple créé et avons comparé les
On remplace alors ces fonctions dans l’équation de G. valeurs théoriques aux valeurs trouvées via le modèle sur le
On trace G(l). logiciel FLUX.
Enfin nous avons calculé le facteur d’homothétie nécessaire
pour atteindre la valeur spécifiée par le cahier des charges.
Figure 7 : G(l)
On obtient l=2.4