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Théâtre de l’absurde (20e siècle)

Dans ce carrefour naturalo-symboliste, naît le métier de metteur en scène

Naturalisme = hyper-réalisme avec de l’observation scientifique (costume de l’époque, acteur de dos,


comme si le spectateur n’était pas là, quand il faut manger, ils mangent vraiment). Théorisé par des
romanciers comme Zola..

Symbolisme = exact envers, s’oppose au naturalisme, théorisé par des poètes, métaphysique, théâtre de
l’âme

Ubu Roi = limite du carrefour naturalo-symboliste mais aussi surréalisme. Théâtre de rupture de Ionesco. CE
sont les prémices du théâtre de l’absurde.
Jarry donne une conférence au titre de « l’inutilité du théâtre au théâtre » → prend des proportions
immenses.
Parabole de la politique.

Surréalisme qui se développe. Les règles du jeu sont perturbées. Roger Vitrac – Victor ou les enfants au
pouvoir → remise en cause du théâtre traditionnel. Pensée qu’il faut en finir avec le théâtre d’avant, les
chefs d’œuvres. Changement du rapport à l’art. Nonsense anglais. Humour lié à l’insolite, étonnant,
étrange. Théâtre de la dérision.

L’anti-théâtre va apparaître = dans les années 50, des gens écrivent des pièces en contradiction totale des
règles d’écriture et de composition du théâtre.
Eugène Ionesco (+ humoristique) – La cantatrice chauve sous-titrée anti-pièce = on rompt avec la notion de
fable, d’histoire. On bouscule les conventions de l’espace et du temps, de la signification des mots. Propos
pas très clair, on ne sait pas où il va mais il y va. Illogisme. « La crise sociale est bien meilleure avec du
sucre » (citation de la Cantatrice chauve) ou « rien ne se passe, personne ne vient, personne ne s’en va »
(En attendant Godot – Beckett / + sombre).

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