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1.01 Qui administre les affaires courantes de l’Ordre entre les séances du Bureau ?

A. Le président de l’Ordre.
B. Le Comité administratif de l’Ordre.
C. Le secrétaire de l’ordre.
D. Le Comité des finances de l’Ordre.
1.02 Dans quel cas une décision définitive touchant une sanction disciplinaire doit-elle être communiquée à
chacun des membres de l’Ordre ?
A. Dans le cas d’un acte criminel.
B. Dans le cas d’une radiation du Tableau.
C. Dans tous les cas.
D. Dans le cas d’une amende de plus de 600 $.

1.03 Un ingénieur condamné par le comité de discipline peut se voir imposé une ou plusieurs sanctions. Parmi
les sanctions énumérées ci-dessous, quelle sanction le Comité de discipline NE PEUT-IL PAS imposer ?
A. Un stage d’étude.
B. La révocation du permis.
C. Une réprimande.
D. La radiation du Tableau des membres.
1.04 Diplômée en génie de l’Université de Sherbrooke, Hélène présente une demande d’admission à l’Ordre
des ingénieurs du Québec. Son dossier d’admission est à l’étude. Elle détient un permis d’ingénieur de
l’Association des ingénieurs professionnels de l’Ontario depuis deux ans. Dans une telle situation,
comment Hélène peut-elle s’identifier au Québec ?
A. Bachelière en génie.
B. Ingénieure professionnelle.
C. Ingénieure.
D. Ingénieure stagiaire.
1.05 Lorsque l’Ordre a des raisons de croire que l’état de santé physique d’un membre est incompatible avec
l’exercice de la profession, le Bureau peut ordonner la tenue d’un examen médical. Si le rapport résultant
d’un tel examen médical conduit le Bureau à suspendre le membre qui a subi l’examen, dites devant quelle
instance ce membre peut aller en appel de cette décision du Bureau ?
A. L’Office des professions du Québec.
B. Le Tribunal des professions.
C. Le Collège des médecins.
D. La Commission des droits et libertés.
1.06 Armand demande au syndic de faire enquête sur le comportement déontologique de Pierre. Après
enquête, le syndic informe Armand qu’il a décidé de ne pas porter plainte contre Pierre. Quelle action
peut prendre Armand suite à cette décision du syndic ?
A. Demander l’avis du Comité de révision.
B. Déposer lui-même sa plainte devant le Tribunal des professions.
C. Déposer lui-même sa plainte devant le Comité des examinateurs.
D. Demander l’avis du comité d’inspection professionnelle.
1.07 Monique travaille dans l’industrie du disque où elle se fait connaître comme « ingénieure du son ». En
prenant le titre d’ingénieure sans être membre l’Ordre des ingénieurs, Monique contrevient à la Loi sur
les ingénieurs. Qui peut intenter des poursuites pénales contre Monique ?
A. Le Comité d’inspection professionnelle.
B. L’Ordre des ingénieurs.
C. Le Comité de discipline.
D. Le Tribunal des professions.
1.08 Diplômé de l’École Polytechnique en génie mécanique, Marcel a été membre de l’Ordre des ingénieurs de
1970 à 1975. Il a quitté l’Ordre pour ouvrir une bijouterie. En 1995, il demande sa réinscription au Tableau
de l’Ordre. Quelle décision l’Ordre peut-il prendre suite à cette demande ?
A. Refuser sa réinscription au Tableau parce qu’il s’est écoulé dix ans depuis qu’il a cessé d’être
membre de l’Ordre.
B. L’inscrire au Tableau et lui imposer un stage de perfectionnement qu’il devra réussir pour
conserver son droit d’exercice.
C. Refuser sa réinscription au Tableau car une telle réinscription n’est pas possible pour un ancien
membre qui n’a pas exercé la profession durant plus de cinq ans.
D. Lui imposer la réussite d’examens visant à contrôler ses connaissances en génie mécanique avant
de le réinscrire au Tableau.
1.09 L’ingénieur qui fait l’objet d’une vérification par l’un des inspecteurs du Comité d’inspection
professionnelle a certaines obligations. À quelle obligation, parmi les suivantes, l’ingénieur N’EST-IL PAS
tenu de se conformer ?
A. Être présent en personne lors de la vérification.
B. Accepter de recevoir l’inspecteur.
C. Se plier à la vérification.
D. Donner accès à ses dossiers.
1.10 Le Comité d’inspection professionnelle exerce plusieurs responsabilités. Parmi les responsabilités
suivantes, indiquez celle qu’il NE PEUT PAS exercer ?
A. Vérifier l’exercice de la profession par les ingénieurs.
B. Vérifier l’exercice de la profession par les ingénieurs stagiaires.
C. Imposer un stage de perfectionnement à un ingénieur.
D. Enquêter sur les compétences professionnelles d’un ingénieur.
1.11 Pour exercer la profession d’ingénieur au Québec, il faut détenir :
A. Permis d’ingénieur et être inscrit au Tableau de l’Ordre.
B. Baccalauréat en génie et être inscrit au Tableau de l’Ordre.
C. Baccalauréat en génie et un permis d’ingénieur.
D. Permis d’ingénieur et ne pas avoir été exempté de la cotisation.
1.12 Paul demande au syndic de faire enquête sur le comportement d’un ingénieur. Suite à son enquête, le
syndic décide qu’il n’y a pas matière à déposer une plainte devant le Comité de discipline. Il en avertit
Paul. Ce dernier décide alors de demander l’avis du Comité de révision. Quelle action N’EST PAS du ressort
de ce comité ?
A. Suggérer au syndic de compléter l’enquête déjà commencée.
B. Conclure qu’il n’y a pas lieu de porter plainte devant le Comité de discipline.
C. Suggérer au syndic de référer le dossier au Comité d’inspection professionnelle.
D. Imposer une sanction pour l’infraction qui a été commise.
1.13 Identifier l’énoncé qui est FAUX :
A. Tous les ordres professionnels sont régis par le Code des professions.
B. Tous les ordres professionnels doivent adopter un Règlement sur le Tableau des membres.
C. Le Code de déontologie des ingénieurs est un règlement.
D. Tous les ordres professionnels doivent adopter un Code de déontologie.
1.14 Certains des administrateurs du Bureau de l’Ordre sont nommés par l’Office des professions. Ces
administrations représentent le public. Parmi ces personnes, combien peuvent être membres d’un ordre
professionnel ?
A. Un.
B. Trois.
C. Deux.
D. Quatre.
1.15 Les ordres professionnels dont les membres possèdent un droit d’Exercice exclusif, comme l’Ordre des
ingénieurs du Québec, sont constitués par :
A. Une loi particulière.
B. Un arrêté en conseil.
C. Des lettres patentes.
D. Une décision du Conseil exécutif.
1.16 L’ingénieur Arthur est dûment avisé par le secrétaire du Comité d’inspection professionnelle qu’il fera
l’objet d’une vérification le 6 août 1995. À la date convenue, l’inspecteur se présente à son lieu de travail
pour effectuer la vérification. Arthur s’objecte alors fermement à sa visite et lui refuse l’accès à ses
dossiers. Suite à la conduite d’Arthur, que peut faire le comité ?
A. Suspendre le droit d’exercice d’Arthur pour avoir entravé le travail d’un inspecteur représentant
le comité.
B. Ne prendre aucune mesure contre Arthur car la loi n’impose pas aux ingénieurs de se soumettre
à l’inspection professionnelle.
C. Demander au syndic d’enquêter sur la conduite d’Arthur parce qu’il a commis une infraction au
Code des professions.
D. Recommander au Bureau de suspendre le droit d’exercice d’Arthur pour avoir entravé le travail
d’un inspecteur.
1.17 Le comité d’inspection professionnelle exerce une surveillance générale de l’exercice de la profession
conformément à un programme d’inspection qu’il détermine. Qui doit être informé de ce programme ?
A. Tous les membres de l’Ordre.
B. Seulement le Comité d’inspection professionnelle.
C. Seulement le Bureau de l’Ordre.
D. Seulement les membres inspectés.
1.18 Le Tribunal des professions est chargé d’entendre certaines causes portées en appel. Indiquez l’instance
dont les décisions peuvent être portées en appel devant ce tribunal ?
A. Le Comité des examinateurs de l’Ordre.
B. Le Comité des finances de l’Ordre.
C. Le Comité d’inspection professionnelle de l’Ordre.
D. Le Comité de discipline de l’Ordre.
1.19 Une personne détentrice d’un baccalauréat en génie est employée par la firme XYZ. Elle n’est pas membre
de l’Ordre des ingénieurs. Quelle conduite doit-elle suivre pour ne pas contrevenir à la réglementation,
lorsqu’elle travaille dans le champ d’exercice de l’ingénieur ?
A. Elle doit préparer tous les plans sous la direction immédiate d’un ingénieur.
B. Elle doit réaliser le travail et ensuite faire signer et sceller tous ses plans par un ingénieur
consultant.
C. Elle doit réaliser le travail et ensuite faire réviser tous ses plans par un ingénieur avant de les
utiliser.
D. Elle doit refuser de faire du travail dans un domaine réservé du génie tant qu’elle ne sera pas
membre de l’Ordre.
1.20 Une personne voulant exercer la profession d’ingénieur au Québec peut demander qu’on lui accorde une
autorisation spéciale. Elle peut faire une telle demande uniquement si elle est légalement habilitée à
exercer la profession d’ingénieur à l’extérieur du Québec. Une telle autorisation spéciale est accordée par
le :
A. Directeur général de l’Ordre.
B. Président de l’Ordre.
C. Syndic de l’Ordre.
D. Secrétaire de l’Ordre.
1.21 Quelle est la durée du mandat du président de l’Ordre des ingénieurs ?
A. Trois ans et le mandat n’est pas renouvelable.
B. Trois ans et le mandat est renouvelable.
C. Deux ans et le mandat est renouvelable.
D. Un an et le mandat n’est pas renouvelable.
1.22 L’Office des professions du Québec a pour fonction :
A. D’assurer le respect de la déontologie par les professionnels.
B. De désigner les membres au Tribunal des professions.
C. De choisir les membres du Conseil interprofessionnel.
D. De veiller à ce que chaque ordre assure la protection du public.
1.23 Un client insatisfait s’est prévalu de la procédure d’arbitrage et de la conciliation des comptes de l’Ordre
pour régler un différend l’opposant à un ingénieur consultant au sujet des honoraires que cet ingénieur
lui a réclamés. Après étude du dossier, le Conseil d’arbitrage de l’Ordre a statué que l’ingénieur devait
rembourser 10 000 $ à son client pour des honoraires non justifiés. De quel recours cet ingénieur peut-il
se prévaloir ?
A. Il peut porter cette décision en appel devant le Tribunal des professions.
B. Il ne dispose d’aucun recours en vertu du système professionnel car cette décision est finale et
sans appel.
C. Il peut choisir de ne pas respecter la décision car l’application de cette décision est volontaire.
D. Il peut demander la conciliation spéciale du président de l’Ordre.
1.24 L’entrepreneur Gaston utilise des plans et devis préparés par un technicien qui n’est pas sous la direction
immédiate d’un ingénieur. Ces plans, qui serviront à des travaux compris dans le champ de pratique
réservé à l’ingénieur, ne sont pas signés et scellés par un ingénieur. Quelle attitude doit avoir Gaston pour
NE PAS contrevenir à la Loi sur les ingénieurs ?
A. Aucune de ces réponses.
B. Il peut utiliser ces plans s’il s’assure qu’il y a en permanence un ingénieur sur le chantier.
C. Il peut utiliser ces plans s’il s’assure qu’un ingénieur visite régulièrement le chantier.
D. Il peut utiliser ces plans parce que l’ingénieur responsable du chantier peut les signer et les sceller.
1.25 Qui peut porter plainte devant le Comité de discipline contre un ingénieur pour une infraction qu’il aurait
pu commettre à l’une des dispositions de son Code de déontologie ?
A. Toutes ces réponses sont bonnes.
B. Un membre du public ou du client.
C. Un autre ingénieur ou le syndic de l’Ordre.
D. Un client ou le syndic de l’Ordre.
1.26 Les ordres professionnels à titre réservé obtiennent ce privilège au moyen :
A. De lettres patentes.
B. D’une résolution de l’Office des professions.
C. D’une loi particulière.
D. D’une résolution du Conseil interprofessionnel.
1.27 Arthur a été membre de l’Ordre des ingénieurs de 1983 à 1993. En 1985, Arthur obtient un contrat pour
la préparation des plans et devis d’un édifice public, en versant un pot-de-vin à la personne chargée
d’attribuer le contrat. En janvier 1994, Sylvie demande au syndic de faire enquête sur la conduite d’Arthur
lors de l’attribution de ce contrat. L’enquête démontre qu’il y a effectivement eu versement d’un pot-de-
vin. Quelle action la loi permet-elle au syndic d’entreprendre ?
A. Le syndic ne peut pas déposer une plainte devant le Comité de discipline parce qu’Arthur n’est
plus membre de l’Ordre des ingénieurs.
B. Le syndic ne peut pas déposer de plainte devant le Comité d’inspection professionnelle parce que
ce comité n’exerce un contrôle que sur les membres actifs.
C. Le syndic peut déposer une plainte devant le Comité de discipline parce qu’Arthur était membre
au moment de l’infraction.
D. Le syndic peut déposer une plainte devant le Comité d’inspection professionnelle parce que ce
comité a juridiction sur les anciens membres.
1.28 Le Conseil interprofessionnel est formé de représentants :
A. Des ordres professionnels qui sont nommés par l’Office des professions.
B. Des ordres professionnels, qui y délèguent chacun un membre.
C. Du public qui sont nommés par chaque ordre professionnel.
D. Du public qui sont nommés par l’Office des professions.
1.29 Qui préside le Comité de discipline de l’Ordre des ingénieurs ?
A. Un juge de la Cour supérieure désigné par le gouvernement.
B. Le président de l’Ordre.
C. Un avocat désigné par le gouvernement.
D. Le syndic de l’Ordre.
1.30 Lorsque suite à une enquête particulière, il est démontré qu’un ingénieur doit suivre un cours de
perfectionnement, un tel cours peut être imposé par l’Ordre. Quelle instance a le pouvoir d’imposer un
tel cours ?
A. Le Bureau.
B. Le Comité d’inspection professionnelle.
C. Le Comité de révision.
D. Le Comité des examinateurs.
2.01 Parce qu’il possède des compétences en matière de sécurité des travaux, l’ingénieur doit signaler les
travaux qu’il considère dangereux. Que doit obligatoirement faire un ingénieur avant de signaler le danger
de certains travaux ?
A. Procéder à une expertise de ces travaux à partir de calculs précis.
B. Référer le cas à l’Ordre pour que l’inspection professionnelle prenne le cas en charge.
C. Procéder à une estimation du danger à partir de calculs approximatifs.
D. Rencontrer les responsables des travaux pour recueillir toutes les données nécessaires.
2.02 En vertu de quelle obligation déontologique, un ingénieur peut-il se voir condamner, s’il use de fausses
représentations envers un client quant à l’efficacité de ses services ?
A. Disponibilité.
B. Intégrité.
C. Diligence.
D. Compétence.
2.03 Un client demande à l’ingénieur X de vérifier un travail exécuté par un autre ingénieur. Quelle conduite
l’ingénieur X doit-il suivre ?
A. Vérifier que le mandat de l’autre ingénieur est terminé et l’informer avant de pouvoir accepter le
travail.
B. Accepter le mandat, se mettre au travail pour procéder à la vérification et faire le rapport au client.
C. Refuser le mandat, parce qu’un ingénieur ne peut pas se prononcer sur les travaux qu’il n’a pas
lui-même supervisés.
D. Refuser le mandat parce qu’il n’est pas permis d’altérer l’œuvre d’un confrère sans que ce dernier
ne donne son avis.
2.04 À quelle obligation déontologique contrevient un ingénieur qui accepte un mandat qui requiert une
expertise qu’il ne possède pas ?
A. Compétence.
B. Disponibilité.
C. Intégrité.
D. Diligence.
2.05 Chaque service de génie (civil, électrique, mécanique, etc.) d’une société est composé d’ingénieurs, de
techniciens et de dessinateurs. Le chef de service est un ingénieur et l’ensemble des services est dirigé par
un ingénieur en chef. Selon les règlements, quelle est la façon correcte de procéder dans chaque service
?
A. Tous les plans et devis préparés par le service sont signés et scellés par l’ingénieur en chef
seulement.
B. Tous les plans et devis du service sont signés et scellés par le chef de service seulement, en tant
que patron.
C. Les plans et devis réalisés par le service sont signés et scellés par l’ingénieur qui les a préparés ou
qui en a surveillé la préparation par des non-ingénieurs.
D. Les plans et devis préparés par les non-ingénieurs sont signés et scellés par le chef de service; les
plans préparés par les ingénieurs sont signés et scellé par eux d’abord et ensuite par le chef de
service.
2.06 L’ingénieur a l’obligation, lorsqu’il donne une opinion relativement à l’ingénierie, de ne donner que des
opinions fondées sur des connaissances suffisantes et sur d’honnêtes convictions. L’expression
« honnêtes convictions » signifie, que pour donner cette opinion, l’ingénieur a :
A. Le respect intégral des clauses qui ont été spécifiées au contrat signé, même celles qui lui sont
défavorables.
B. Le désir de respecter rigoureusement toutes les demandes formulées par le client.
C. La certitude de prendre une décision qui n’est pas influencée par une situation de conflit
d’intérêts.
D. La certitude d’exprimer un avis qui procède d’une volonté d’améliorer le bien-être de la
collectivité.
2.07 Le concept de développement durable a été proposé par :
A. Certaines universités américaines.
B. Le congrès américain.
C. Une commission de l’ONU.
D. Les mouvements écologistes.
2.08 Les quatre valeurs fondamentales de l’Ordre sont :
A. La compétence, le sens de l’éthique, la responsabilité et l’engagement social.
B. La compétence, l’honnêteté, la responsabilité et l’engagement social.
C. La compétence, le sens de l’éthique, l’intégrité et l’engagement social.
D. La compétence, l’intégrité, la responsabilité et l’engagement social.
2.09 Si l’exécution d’un mandat requiert une expertise particulière que l’ingénieur n’a pas, ce dernier doit, pour
respecter son Code de déontologie, accepter le mandat :
A. Seulement après avoir obtenu l’autorisation de son client d’avoir recours à des experts.
B. Seulement après avoir référé le mandat à un collègue qui en prendra la responsabilité.
C. Seulement après s’être assuré des services de collègues possédant cette expertise.
D. En sachant qu’il devra avoir recours aux services de collègues possédant cette expertise.
2.10 Le premier devoir déontologique de l’ingénieur est :
A. De respecter se obligations envers la personne humaine.
B. De satisfaire les besoins du client.
C. D’appliquer les règles de l’art et les normes reconnues.
D. De s’assurer que les honoraires demandés sont justes et raisonnables.
2.11 Au cours de la réalisation d’un projet, l’entrepreneur ou le fournisseur font parvenir à l’ingénieur le
décompte des coûts par rapport aux activités accomplies pour fins de paiement progressif. L’ingénieur
vérifie et approuve la demande de paiement et la transmet au client pour approbation et paiement. Le
document de transmission doit permettre de faire le point sur le projet et en ce sens doit intégrer les
aspects décrits ci-après. Lequel de ces aspects N’EST PAS REQUIS ?
A. Un aperçu des coûts à encourir si les travaux devaient être complétés par un autre entrepreneur
ou un autre fournisseur.
B. Une comparaison des paiements recommandés par rapport au contrat et aux prévisions
budgétaires.
C. Un état à jour des directives de changements autorisés et de leur impact sur les prévisions
budgétaires.
D. Une prévision de la divergence par rapport au coût final budgété et les explications relatives aux
écarts par rapport au budget.
2.12 Vous présidez une réunion de travail. À la fin de la réunion, les participants suggèrent que vous prépariez
un compte-rendu. Que devrait comprendre le compte-rendu ?
A. La synthèse de l’information relative aux sujets étudiés, les alternatives étudiées, les solutions
retenues, les intervenants choisis et le détail de réalisation.
B. La description détaillée des discussions, la synthèse des solutions retenues, les actions à prendre
et le délai alloué pour leur réalisation.
C. La synthèse de l’information relative aux sujets étudiés, les solutions retenues, les actions à
prendre par les intervenants et le délai de réalisation alloué.
D. La description détaillée des discussions, les alternatives étudiées, les solutions retenues, et les
actions à prendre.
2.13 L’ingénieur exerce sa profession dans un environnement, un contexte, qu’il doit reconnaître, comprendre
et évaluer. Cet environnement est à la fois social, juridique, politique, économique, organisationnel,
écologique et technologique. Il influence grandement son travail et l’organisation pour laquelle l’ingénieur
travaille. Quelle est la manifestation la plus concrète de cet environnement ?
A. La présence de nombreux intervenants qui ne connaissent pas toujours très bien leurs besoins et
qui s’attendent à ce que l’ingénieur trouve une solution a tout.
B. La présence de multiples contraintes qui nuisent à la planification et à la réalisation des projets de
l’ingénieur.
C. La présence de multiples intervenants qui réagissent entre eux et influencent la réalisation des
projets de l’ingénieur.
D. L’intervention des médias d’information qui contestent les projets des ingénieurs et exigent des
consultations publiques.
2.14 Dans un service d’ingénierie qui est sous la direction administrative d’un ingénieur en chef, une équipe de
quatre ingénieurs prépare des plans qui se rapportent à des travaux constituant le champ de pratique.
Dans un tel cas, ces plans et devis doivent être signés et scellés par :
A. Le chef de service en tant qu’ingénieur responsable du projet.
B. Le chef de service et les ingénieurs qui le désirent.
C. Tous les ingénieurs ayant travaillé au projet.
D. Tous les ingénieurs ainsi que l’ingénieur en chef.
2.15 En l’absence de normes légales ou déontologiques établies, l’éthique propose que l’on :
A. Se guide sur les valeurs pour résoudre les problèmes en cause.
B. Applique les règles de l’art utilisées dans le domaine.
C. Considère que ce qui n’est pas légalement défendu est permis.
D. S’en tienne aux normes existantes et reconnues.
2.16 En cours de mandat, un ingénieur peut cesser d’agir pour le compte d’un client dans certaines situations.
Parmi les situations suivantes, quelle est celle qui NE S’APPLIQUE PAS ?
A. Le client lui demande d’agir injustement envers l’entrepreneur qui assume la responsabilité des
travaux.
B. Le client ne tient pas compte de ses avis professionnels quant à des modifications à apporter au
devis.
C. L’ingénieur constate que les coûts du projet dépassent le montant forfaitaire prévu au contrat.
D. L’ingénieur, par suite d’actes indépendants de sa volonté, se trouve en conflit d’intérêts.
2.17 Au cours des études, l’ingénieur analyse le besoin et les solutions possibles à apporter. Combien de
solutions l’ingénieur devrait-il considérer au minimum pour chaque besoin identifié ?
A. Plus de deux solutions.
B. Une seule solution.
C. Au moins deux solutions dont une sans investissement financier.
D. Deux solutions.
2.18 Lors de la conception, l’ingénieur élabore le projet en réalisant des calculs. Lorsque l’ingénieur utilise des
moyens tels que des logiciels, des appareils spécialisés ou autres, qui assume la responsabilité des erreurs
qui originent de l’utilisation de ces moyens de calculs ?
A. L’ingénieur seulement
B. Le client et l’ingénieur conjointement.
C. Le fournisseur de ces moyens de calculs.
D. L’ingénieur et le fournisseur conjointement.
2.19 Dans le cadre de la réalisation du projet, l’ingénieur planifie et organise l’exploitation de l’ouvrage et de
ses composantes et, pour le bénéfice des utilisateurs, consigne le tout dans des documents expliquant les
caractéristiques de fonctionnement et les modes d’exploitation. Les énoncés suivants décrivent certaines
caractéristiques des documents produits par l’ingénieur à cette étape. Quel énoncé NE CONSTITUE PAS
une qualité recherchée ?
A. Les documents sont préparés pour l’ensemble de l’ouvrage et, si leur complexité le justifie, pour
chaque équipement constituant l’ouvrage.
B. Les manuels de référence sont dans la langue approprié e et sont adaptés de façon à être
facilement compris et employés par les utilisateurs.
C. La détermination du contenu, du format et de la présentation des manuels de référence est une
responsabilité propre à l’ingénieur.
D. Les manuels de référence sont compatibles avec les manuels existants chez l’utilisateur de
l’ouvrage.
2.20 En quoi consiste le suivi à réaliser par l’ingénieur lors de la réception des travaux ?
A. Obtenir les manuels de référence, les rapports d’inspection et d’essais et les formules de suivi des
garanties pour le client.
B. Réviser les résultats du programme des vérifications et des essais et mettre à jour la liste des
travaux à compléter et la liste des déficiences à corriger.
C. S’assurer que les travaux sont complétés, que les déficiences sont corrigées et que l’entrepreneur
s’est acquitté de ses obligations contractuelles.
D. Vérifier que les travaux sont complétés et que les déficiences sont corrigées pour permettre
l’utilisation de l’ouvrage par le client.
2.21 En cours de réalisation d’un mandat spécifié par contrat, un ingénieur est placé, par l’action de son client,
dans une situation où son indépendance professionnelle est mise en cause. Pour respecter son Code de
déontologie¸ quelle ligne de conduite doit adopter cet ingénieur ?
A. Obliger le client à agir de manière à éliminer la situation causant le problème.
B. Cesser immédiatement d’agir pour ce client et lui remettre les dossiers sur le projet.
C. Aviser le client qu’il doit abandonner le projet en lui accordant un délai raisonnable.
D. Trouver un ingénieur qui agira comme responsable du projet et qui complétera le contrat.
2.22 Lorsqu’un ingénieur, suite à des décisions qu’il a prises ou des actes qu’il a posés, se place en conflit
d’intérêts, il doit aviser son client du conflit et :
A. Lui indiquer qu’il a trouvé un ingénieur compétent pour assurer la poursuite du mandat.
B. Lui indiquer qu’il met fin immédiatement à son mandat.
C. Lui demander s’il l’autorise à continuer son mandat.
D. Lui indiquer qu’il mettra fin au mandat dès que son client aura trouvé un ingénieur pour prendre
en main ce mandat.
2.23 Au début des projets, vous devez identifiez les informations requises pour la conception du projet. Le
processus de cueillette des informations spécifiques à un projet comporte quatre étapes :
• L’identification de la nature, de la quantité et de la qualité des informations.
• La sélection des méthodes d’obtention de ces informations.
• La planification et l’organisation de la cueillette des informations.
• La validation des informations.
Dans quel ordre ces étapes se déroulent-elles habituellement ?
A. Identification, sélection, planification et organisation, validation.
B. Elles se déroulent selon le processus que l’ingénieur établit dès le début du mandat et qui
comporte ces étapes et permet des itérations successives.
C. Identification, planification et organisation, sélection, validation.
D. Elles ne se déroulent pas toujours dans le même ordre puisque la cueillette se fait par itération
successive.
2.24 Un non-ingénieur, bien expérimenté dans le domaine, prépare les plans et devis d’un système mécanique
destiné au transport de charges lourdes pour un gros bâtiment. Pour que l’entrepreneur accepte son
travail, il demande à un ami ingénieur de signer et sceller ces documents. Quelle conduite cet ingénieur
doit-il suivre parmi les possibilités suivantes ?
A. Il peut signer et sceller les documents préparés
B. Il doit refuser de signer et sceller les documents préparés par son ami.
C. Aucune de ces réponses.
D. Il doit procéder à une vérification superficielle avant de signer et sceller les documents.
2.25 L’objectif premier de la formation continue est :
A. De suivre l’évolution des connaissances.
B. D’acquérir de nouvelles connaissances.
C. D’apprendre à apprendre.
D. D’acquérir de nouveaux savoir-faire.
2.26 Quelle instance sanctionne un acte posé par un ingénieur dans l’exercice de ses fonctions, lorsque cet acte
porte atteinte à la santé d’une personne humaine ?
A. Le Tribunal des professions.
B. Le Comité de discipline.
C. Le Comité d’inspection professionnelle.
D. Le Bureau de l’Ordre.
2.27 Dans son Code de déontologie, l’Ordre des ingénieurs a édicté des règles devant guider un membre envers
sa profession. Parmi les infractions suivantes, indiquez celle qui constitue un acte dérogatoire à la
profession.
A. Refuser de sceller des plans préparés par un autre ingénieur.
B. Verser un pot-de-vin à un entrepreneur.
C. Contribuer à l’exercice illégal du génie.
D. Refuser de recevoir un inspecteur mandaté par l’Ordre.
3.01 Un ingénieur accorde une promotion à une secrétaire. Pour ce faire, il a refusé cette promotion à une
collègue de cette dernière en invoquant que la secrétaire promus à les qualités requises pour le poste
alors que celle dont la candidature a été rejetée ne les a pas. Cette dernière dépose une plainte pour
discrimination en vertu de la protection des droits de la personne. Dans une telle cause, qui a le fardeau
de prouver le bien-fondé de cette décision ?
A. Le Tribunal
B. La candidate choisie
C. L’ingénieur.
D. La candidate refusée.
3.02 Actuellement, certains projets pour lesquels il est nécessaire d’obtenir un certificat d’autorisation sont
assujettis à une procédure préalable. Quelle est cette procédure ?
A. La délivrance d’une attestation de conformité environnementale.
B. L’évaluation des impacts sur l’environnement devant le BAPE.
C. L’obtention d’une autorisation délivrée par le ministre de l’Environnement.
D. L’analyse visant à déterminer s’il s’agit d’un projet à impacts mineurs ou majeurs.
3.03 Lucie, ingénieure, a conclu un contrat de service à forfait avec un client. Que se passe-t-il si des
modifications sont apportées aux conditions d’exécution initialement prévues, augmentant ainsi le coût
du contrat ?
A. Le prix convenu reste le même, à moins que Lucie et son client aient prévu au contrat que, dans
un tel cas, il pourrait être modifié.
B. Lucie peut réclamer seulement la portion non prévisible de l’augmentation du coût.
C. Lucie peut réclamer un montant additionnel à son client, peu importe les circonstances, à
condition de fournir des pièces justificatives.
D. Le client doit payer intégralement toute augmentation de coût, peu importe les circonstances.
3.04 Le défaut d’obtenir les permis ou autorisations nécessaires avant le début des certains travaux peut avoir
plusieurs conséquences. Lequel des énoncés suivants NE REPRÉSENTE PAS une des conséquences
possibles d’un tel défaut ?
A. Le client peut mettre fin rétroactivement au contrat de l’ingénieur.
B. L’ingénieur peut faire l’objet de poursuites pénales.
C. Le client peut être obligé de démolir l’ouvrage réalisé.
D. L’ingénieur peut avoir à payer des dommages intérêts au client.
3.05 Lequel des énoncés suivants est FAUX :
A. Les normes demeurent généralement les mêmes pour des périodes de temps très longues, afin
de ne pas créer d’incertitude dans les entreprises.
B. Les normes peuvent prévoir des spécifications techniques obligatoires auxquelles doivent
satisfaire certains matériaux ou produits.
C. Les normes peuvent prévoir certaines terminologies, conventions, signes ou symboles.
D. Les normes peuvent permettre d’obtenir des économies quant aux coûts de production et
favoriser la standardisation.
3.06 Qui doit obtenir les permis et autorisations nécessaires avant le début des travaux ?
A. L’ingénieur, compte tenu de son statut professionnel.
B. Aucune de ces réponses.
C. Le client, dans tous les cas, puisqu’il est propriétaire des lieux.
D. L’ingénieur ou le client, selon ce qui a été entendu entre eux.
3.07 Lequel des énoncés suivants est VRAI ?
A. Une personne autre qu’un client doit obtenir une autorisation de l’Ordre avant de poursuivre un
ingénieur.
B. Lorsqu’une personne autre que le client poursuit un ingénieur, les assurances sur la responsabilité
ne s’appliquent pas.
C. Une personne autre qu’un client peut poursuivre un ingénieur pour un dommage qu’elle a subi.
D. Seul un client de l’ingénieur peut poursuivre ce dernier en responsabilité civil pour un dommage
qu’il a subi.
3.08 L’obligation de loyauté de l’ingénieur salarié envers son employeur est d’une importance :
A. Plus grande que celle de la moyenne des salariés, vu ses responsabilités.
B. Égale à celle de tout autre salarié, sinon ce serait de la discrimination.
C. Variable, selon le nombre d’années à l’emploi du même employeur.
D. Inférieure à celle de la moyenne des salariés, vu son indépendance professionnelle.
3.09 L’enregistrement d’un dessin industriel est valable pour une période de :
A. 5 ans.
B. 10 ans.
C. 20 ans.
D. 15 ans.
3.10 Un brevet canadien peut être accordé pour :
A. Un nouveau logiciel d’ordinateur.
B. Une variété de plants de culture.
C. Un dessin industriel.
D. Une nouvelle machine à tricoter.
3.11 La Loi sur la qualité de l’environnement prévoit plusieurs types d’interdictions concernant une substance
pouvant contaminer l’environnement. Indiquez quelle interdiction NE FAIT PAS PARTIE de cette loi :
A. En émettre.
B. En dégager.
C. En rejeter.
D. En fabriquer.
3.12 À qui appartient la décision de faire certifier un produit manufacturier ?
A. Au manufacturier, sauf dans les cas où la sécurité du public est en jeu.
B. À l’ingénieur concepteur dans les cas où la sécurité du public est en jeu.
C. À l’Association canadienne de normalisation.
D. Au manufacturier seul, selon les besoins du marché.
3.13 Un ingénieur doit, pour un motif permis par la loi, résilier unilatéralement un contrat. Dans ces
circonstances, que doit-il faire ?
A. En aviser immédiatement l’Ordre des ingénieurs.
B. Faire tout ce qui est nécessaire pour prévenir une perte.
C. Confirmer la résiliation immédiate par écrit à son client.
D. Ne pas en faire mention à des tiers avant le règlement du litige.
3.14 La Loi sur la santé et la sécurité du travail oblige l’employeur, dans le cas d’un accident de travail entraînant
des blessures sérieuses, à :
A. Soumettre un rapport verbal dans la semaine qui suit.
B. Suspendre le salarié responsable de l’accident.
C. Informer immédiatement son assureur.
D. Laisser les lieux inchangés.
3.15 Lequel des énoncés suivants est FAUX ?
A. Un contrat oblige ceux qui concluent.
B. Un contrat peut être annulé si un tribunal le décide.
C. Un contrat peut être annulé d’un commun accord des parties.
D. Un contrat doit être signé par les parties pour être valable.
3.16 Lequel des énoncés suivants N’EST PAS un élément des règles de l’art ?
A. Les normes émanant d’associations professionnelles.
B. Les conceptions ou façons de faire généralement admises et utilisées dans le milieu.
C. Les exigences techniques du client lui-même.
D. Les normes rendues obligatoires par une loi ou un règlement.
3.17 Lors de la vente d’une entreprise, le nouvel employeur a l’obligation de :
A. Donner un préavis raisonnable à tous les employés qu’il veut congédier.
B. Respecter les contrats de travail conclus par l’ancien employeur.
C. Conserver à son emploi seulement les employés de plus de 5 ans d’ancienneté.
D. Renégocier les contrats de travail de tous les employés, même ceux à temps partiel.
3.18 Il se peut, qu’avant de réaliser un projet susceptible de contaminer l’environnement, l’ingénieur doive
s’adresser au ministère de l’Environnement pour obtenir un certificat d’autorisation. Parmi les projets
mentionnés ci-après, quel est celui où l’ingénieur N’A PAS à obtenir un tel certificat d’autorisation.
A. L’exploitation d’une entreprise industrielle.
B. L’augmentation de la production d’un bien ou d’un service.
C. L’implantation d’un procédé industriel.
D. La mise en chantier d’un projet destiné à l’habitation.
3.19 La Loi canadienne sur la protection de l’environnement traite, entre autres, de substances toxiques. Elle
impose, lors d’un rejet dans l’environnement de l’une de ces substances, des obligations au responsable
de ce rejet. Parmi les obligations énumérées ci-après, laquelle N’EST PAS une obligation imposée au
responsable par cette loi ?
A. Faire rapport de la situation à l’inspecteur désigné par le ministère de l’Environnement.
B. Tenir immédiatement des audiences publiques sur la toxicité de la substance.
C. Prendre toutes les mesures d’urgences appropriées pour prévenir une situation dangereuse.
D. S’efforcer d’avertir les membres du public auxquelles le rejet pourrait causer un préjudice.
3.20 Dans quel délai de la réception des travaux doit survenir une malfaçon de moindre importance, sur un
ouvrage immobilier, pour que la garantie légale spéciale reçoive application ?
A. 7 ans.
B. 10 ans.
C. 1 an.
D. 3 ans.
3.21 Dans le cas d’un manquement impliquant la responsabilité contractuelle de l’ingénierie, ce dernier pourra
se voir condamner à :
A. Payer une amende.
B. Suivre un stage de perfectionnement.
C. Purger une peine d’emprisonnement.
D. Payer pour les dommages subis.
3.22 Parmi les énoncés suivants, identifiez deux cas où un projet assujetti au processus d’évaluation
environnementale fédéral devra faire l’objet d’un examen public par une commission d’évaluation
environnementale.
1. Le projet est jugé sans effet néfaste sur l’environnement.
2. Les effets néfastes du projet sont jugés minimes.
3. Les effets néfastes du projet sont jugés importants.
4. Les effets néfastes du projet sont inconnus.
5. Les préoccupations du public au sujet du projet sont grandes.
A. 2 et 5.
B. 4 et 5. a verifier

C. 3 et 4.
D. 1 et 2.
3.23 L’auteur d’un livre technique possède un droit d’auteur valide pendant :
A. Toute la vie de l’auteur.
B. Toute sa vie et 50 ans après son décès.
C. 15 ans, à partir de la première publication de l’œuvre.
D. 50 ans, à partir de la conception de l’œuvre.
3.24 Le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) est un organisme gouvernemental. Sa
fonction principale est :
A. D’enquêter sur les questions relatives à la qualité de l’environnement.
B. D’imposer les sanctions prévues par la Loi sur la qualité de l’environnement.
C. De préparer les études d’impact sur l’environnement.
D. De délivrer, s’il y a lieu, les certifications d’autorisation requis.
3.25 Quelle obligation spécifique le Code de déontologie des ingénieurs impose-t-il à l’ingénieur en rapport
avec le respect de l’environnement ?
A. Demander un certificat d’autorisation au ministère de l’Environnement lorsque ce dernier est
requis.
B. Prendre les injonctions nécessaires pour empêcher qu’il y ait déversement de polluant dans
l’environnement.
C. Tenir compte des conséquences environnementales pouvant résulter de l’exécution des travaux.
D. Signer le certificat d’autorisation qu’il a obtenu du ministère de l’Environnement lorsque ce
dernier est requis.
3.26 Lorsqu’un salarié se prévaut du droit de refus accordé en vertu de la Loi sur la santé et la sécurité du
travail, indiquez ce que son employeur NE PEUT PAS faire.
A. Imposer une sanction au salarié, s’il n’y avait pas de raison de craindre un danger.
B. Rémunérer le salarié à la condition qu’il demeure sur les lieux de travail.
C. Faire exécuter le travail par un autre salarié en attendant la décision de l’inspecteur.
D. Réaffecter le salarié à d’autres tâches en attendant la décision de l’inspecteur.
3.27 Paula est associée avec Gilles dans une société d’ingénieurs. Gilles, qui s’occupe aussi de la gestion du
bureau, est poursuivi pour ne pas avoir payé un compte d’achat d’équipement, qui avait été accepté par
les deux associés. Paula peut-elle être tenue personnellement responsable du montant impayé ?
A. Peut-être, cela dépend de leur contrat de société. Un associé est responsable de tous les actes de
ses associés à moins qu’une clause contraire ne soit prévue au contrat de société.
B. Oui, car chaque associé est responsable des actes relatifs à la gestion de la société et exécutés par
un autre associé, à moins qu’il ne s’y soit opposé au préalable.
C. Non, car dans le cas de cet achat, uniquement Gilles a signé le contrat avec le fournisseur.
D. Non, car les associés sont responsables uniquement des conséquences des gestes qu’ils ont eux-
mêmes posés dans le cadre de leurs fonctions.
3.28 Jacques, ingénieur, est trouvé coupable par un tribunal de juridiction criminelle de fraude envers un de
ses clients. Quelle sanction pourrait lui être imposée par ce tribunal ?
A. Une suspension jusqu’à ce qu’il ait remboursé le client.
B. Une radiation temporaire du Tableau de l’Ordre.
C. Une radiation permanente du Tableau de l’Ordre.
D. Une amende et possiblement l’emprisonnement.
3.29 Dans le cas d’une entreprise en compagnie, l’administration ou le dirigeant de cette dernière peut être
tenu personnellement responsable dans certains cas. Parmi les énoncés suivants, lequel est FAUX ?
A. Toute décision prise par le conseil d’administration, même s’il fait inscrire sa dissidence au procès-
verbal.
B. Des salaires dus aux employés par l’entreprise et ce jusqu’à concurrence de 6 mois.
C. Des décisions constituant une violation aux lois ou règlements touchant le domaine de
l’environnement.
D. Des montants ou sommes dus par la compagnie administrée au ministère du Revenu.
3.30 Nathalie, ingénieure, a produit des plans pour un client. Il s’est révélé qu’il y avait une erreur technique
dans ces plans et cette erreur a causé une explosion endommageant l’usine du client. Cet incident entraîna
la fermeture de l’usine durant une période de 2 semaines. Le client s’interroge sur les dommages qu’il
peut réclamer et sur la preuve qu’il devra faire. Quel énoncé est VRAI ?
A. Réclamer tant pour les dommages à sa propriété que les pour les pertes de ventes subies sans
pour autant avoir à prouver la responsabilité de l’ingénieure.
B. Réclamer seulement pour les dommages à sa propriété sans avoir à prouver la responsabilité de
l’ingénieure.
C. Aucune de ces réponses.
D. Réclamer tant pour les dommages à sa propriété que pour les pertes de ventes subies mais il devra
prouver la responsabilité de l’ingénieure.
3.31 Sylvie et Carole, secrétaire à la recherche d’emploi depuis près d’un an, acceptent finalement de travailler
pour Pierre, jeune ingénieur qui vient de démarrer son propre bureau. Pierre leur offre un salaire inférieur
au salaire minimum prévu à la Loi sur les normes du travail. Elles acceptent en désespoir de cause. Deux
mois plus tard, Sylvie quitte son emploi pour de meilleurs conditions ailleurs, tout en ayant au préalable
déposé une plaine auprès de la Commission sur les Normes du travail. La Commission décide de déposer
une plainte contre Pierre devant un tribunal. Étant donné cette situation, lequel parmi les énoncés
suivants serait FAUX ?
A. Pierre devra corriger la situation illégale à l’égard de Carole s’il veut éviter une autre poursuite.
B. Le tribunal devra rejeter la cause puisque Sylvie avait accepté de travailler à un salaire inférieur à
celui prévu par la loi.
C. Pierre pourra être forcé de payer à Sylvie la différence entre son salaire et le salaire minimum,
pout toute la période travaillée.
D. Pierre pourra se voir condamner à une amende par le tribunal, pour avoir enfreint la loi.
3.32 Un ingénieur est accusé d’avoir causé un dommage, dans le cadre de son travail. En vertu de quel régime
de responsabilité, une personne autre que con cocontractant peut-elle poursuivre cet ingénieur pour
demander une compensation pour le dommage qu’elle considère avoir subi ?
A. Responsabilité civile extracontractuelle.
B. Responsabilité criminelle.
C. Responsabilité disciplinaire.
D. Responsabilité civile contractuelle.
3.33 Le client peut mettre fin à son contrat de service avec l’ingénieur :
A. En tout temps, même après le début du mandat.
B. Avant le commencement de l’ouvrage.
C. Avant la réception du premier compte d’honoraires.
D. Après en avoir avisé l’Ordre des ingénieurs.

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