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ACTIVITÉ INDIVIDUELLE 1

ETUDE COMPARATIVE DES BASES DE


DONNÉES SUR LES RAYONNEMENTS

Master en Energies RenouvelablesÉNERGIE PHOTOVOLTAÏQUE

l'universitè
européen
LAURÉAT UNIVERSITÉS INTERNATIONALES

MANUEL FERNANDEZ SANTOS


14 mars 2020
Etude comparative des bases de données sur les
Université SB
rayonnements

INDICE
ht européen
1 OBJECTIF ET INTRODUCTION DE L'EXERCICE...............................................2
2 MÉTHODOLOGIE.....................................................................................................2
3 COLLECTE DE DONNÉES......................................................................................3
4 ANALYSE COMPARATIVE....................................................................................8
5 RÉSULTATS............................................................................................................10
6 CONCLUSIONS.......................................................................................................12
7 BIBLIOGRAPHIE....................................................................................................14

Image 7. Irradiation horizontale, directe normale et diffuse globale à Los Angeles, pendant la
1 OBJECTIF ET INTRODUCTION DE L'EXERCICE...............................................2
2 MÉTHODOLOGIE.....................................................................................................2
3 COLLECTE DE DONNÉES......................................................................................3
4 ANALYSE COMPARATIVE....................................................................................8
5 RÉSULTATS............................................................................................................10
6 CONCLUSIONS.......................................................................................................12
7 BIBLIOGRAPHIE....................................................................................................14

Image 17. Écarts de mesure entre SoDa, PVGIS et NREL 13

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1 OBJECTIF ET INTRODUCTION DE L'EXERCICE.


ht européen
Le but de ce travail est de comprendre et de comparer les informations provenant de diverses
sources de données mondiales sur le rayonnement pour les villes de Madrid, Berlin, Los Angeles
et New York. Dans ce cas, une fois étudiées les différentes sources de données disponibles pour
réaliser l’activité, il a été considéré que les plus appropriées sont les suivantes :

• SoDa (Solar Radiation Database for Envaironment) : Le service SoDa est issu d'un projet

européen financé par la Commission européenne en 1999. Il a été mis en œuvre en 2003
par Mines ParisTech et géré depuis 2013 par le centre de recherche Mines ParisTech
OIE (Centre d'Observation, d'Impact, d'Energie) qui met tous ses efforts dans
l'évaluation et l'analyse des aspects spatiaux et temporels des ressources énergétiques
renouvelables et des impacts environnementaux. . des systèmes énergétiques. Dans ce
cas, la base de données choisie a été HELIOCLIM-3, qui indique toutes les composantes
du rayonnement sur un plan horizontal, fixe et incliné du 1er février 2004 au 31
décembre 2006. [1]

• PVGIS (Système d'information géographique photovoltaïque) : PVGIS est développé au


Centre de recherche de l'Union européenne sur le site du JRC à Ispra, en Italie, depuis
2001. L'objectif de PVGIS est la recherche sur l'évaluation des ressources solaires, les
études de performances photovoltaïques (PV) et la diffusion de connaissances et de
données sur l'énergie solaire, le rayonnement et les performances photovoltaïques de
2005 à 2016. Cette application a subi de nombreuses évolutions au fil des années, la
version actuelle étant PVGIS 5. [2]

• NREL (Laboratoire national des énergies renouvelables) - Cette base de données est une
collection complète en série de valeurs de données météorologiques horaires et demi-
heures et des trois mesures les plus courantes du rayonnement solaire : l'irradiation
horizontale globale, normale directe et horizontale diffuse de l'année 1998. jusqu'en
2019. Couvre les États-Unis et un sous-ensemble croissant de pays internationaux.

2 MÉTHODOLOGIE.

Comme déjà mentionné dans la section précédente, pour réaliser l'activité, les différentes sources
de données de rayonnement proposées dans l'unité d'apprentissage UA1 ont été étudiées, en
optant finalement pour les sources déjà décrites, car elles sont considérées comme les plus
appropriées en raison des caractéristiques décrites dans l'image suivante et sa facilité
d'utilisation.

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FONTAINE ACCÉDER
ESPACE PÉRIODE DE
ht européen
DONNÉES SUR LES
COUVERT TEMPS RAYONNEMENTS

Un soda Gratuit UE 2004-2006 Global, Diffus, Direct

PVGIS Gratuit États-Unis+UE 2005-2016 Global, Diffus, Direct

NREL (NSRDB) Gratuit Etats-Unis 1998-2019 Global, Diffus, Direct

Image 1. Caractéristiques des bases de données sélectionnées. Propre source.

Comme vous pouvez le voir sur l'image précédente, SoDa et PVGIS fournissent des informations
de l'Union européenne et seront donc utilisées pour étudier le rayonnement dans les villes de
Madrid et de Berlin, tandis que dans le cas de Los Angeles et de New York, les sources utilisées
seront PVGIS et NREL.

Concernant l'année choisie pour réaliser l'analyse comparative, il s'agit de 2006, car c'est l'année
la plus récente pour laquelle les trois sources disposent d'informations permettant de comparer
les données mensuelles de rayonnement global, diffus et direct. Pour réaliser l'analyse, la
procédure suivie a été la suivante :

1. Téléchargez les données des sources et transférez-les dans un fichier Excel pour pouvoir
travailler avec les données.
2. Une première comparaison est effectuée entre les pays d'un même continent en
comparant les sources de données, c'est-à-dire entre Madrid et Berlin d'une part et,
d'autre part, Los Angeles et New York.
3. Les quatre sites sont comparés, évaluant leurs qualités pour une installation
photovoltaïque.
4. Enfin, les conclusions tirées des travaux effectués sont tirées.

3 COLLECTE DE DONNÉES.

Pour télécharger les données, des coordonnées spécifiques ont été sélectionnées pour chaque
ville, décrites dans le tableau suivant :

Ville Latitude Longueur Élévation


MADRID 40,45 -3,73 652
BERLIN 52,513 13,388 43
LES ANGES 34,05 -118,26 98
NEW YORK 40,73 -73,98 11
Image 2. Coordonnées des quatre emplacements choisis. Propre source.
À partir des emplacements décrits dans le tableau précédent, les données de rayonnement solaire
pour Madrid et Berlin ont été téléchargées à partir des bases de données SoDa (Solar Radiation
Database for Envionment) et PVGIS (Photovoltaic Geographical Information System), et pour
Los Angeles et New York à partir des sources de NREL (Laboratoire national des énergies

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renouvelables) et PVGIS, obtenant les données discutées ci-dessous.
ht européen
3.1 MADRID.

Premièrement, dans le cas de Madrid, les valeurs mensuelles d'irradiation directe, diffuse et
globale sur le plan horizontal obtenues à partir de SoDa au cours de l'année 2006 sont visibles
dans l'image 3 . Comme vous pouvez le constater, le rayonnement mondial le plus élevé se
produit pendant les mois de mai, juin, juillet et août, avec un maximum en juillet de 233,20
kWh/m 2 et un minimum en novembre de 62,49 kWh/m 2 . Le rayonnement direct et diffus suit la
même tendance, avec des maximums de 179,013 kWh/m 2 et 60,47 kWh/m 2 , respectivement, et
des minimums de 40,93 kWh/m 2 et 22,76 kWh/m 2 .

Image 3. Irradiation directe, diffuse et globale sur le plan horizontal à Madrid, au cours de l'année 2006. Source : [1]

Dans l' image 4 suivante, les valeurs normales d'irradiation directe, diffuse horizontale et globale
à Madrid sont représentées selon PVGIS, où vous pouvez voir que les valeurs de rayonnement
maximales se produisent dans les mois de juin, juillet et août, et le valeurs minimales en
novembre et décembre. La valeur maximale du rayonnement global étant de 237,92 kWh/m 2 en
2
juillet, celle du rayonnement direct normal étant de 266,59 kWh/m en août et celle du
2
rayonnement diffus étant de 73,20 kWh/m au mois de mai. Alors que le rayonnement direct
normal n’est inférieur au rayonnement global qu’au mois de mai.

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Image 4. Irradiation normale directe, horizontale et diffuse globale à Madrid, courant 2006. Source : [2]

3.2 BERLIN.

Deuxièmement, pour Berlin, les valeurs d'irradiation directe, diffuse et globale sur le plan
horizontal obtenues à partir de SoDa sont représentées dans l'image 5 . Comme vous pouvez le
constater, le rayonnement mondial le plus élevé se produit pendant les mois de juin et juillet,
avec un maximum en juillet de 208,07 kWh/m 2 et un minimum en janvier de 25,45 kWh/m 2 . Le
2
rayonnement direct et diffus suit la même tendance, avec des maximums de 145,56 kWh/m et
2 2 2
70,098 kWh/m , respectivement, et des minimums de 4,35 kWh/m et 11,885 kWh/m ,
respectivement au mois de décembre.

Image 5. Irradiation directe, diffuse et globale sur le plan horizontal à Berlin, au cours de l'année 2006. Source : [1]

Dans l'image 6 , les valeurs normales d'irradiation directe, diffuse horizontale et globale à Berlin
sont représentées selon PVGIS, où l'on peut voir que les valeurs de rayonnement maximales se
produisent dans les mois de juin et juillet, et les valeurs minimales. en décembre. La valeur
2
maximale du rayonnement global étant de 207,56 kWh/m en juillet, la valeur directe normale
2 2
étant de 205,25 kWh/m en juillet et la valeur diffuse étant de 85,36 kWh/m en juin, étant
seulement le rayonnement direct normal supérieur au rayonnement global. entre les mois de
2
septembre et janvier. Alors que les minimums ont été de 15,7 kWh/m pour le rayonnement
global, 29,24 kWh/m 2 pour le rayonnement direct normal et 10,05 kWh/m 2 pour le rayonnement
diffus horizontal, tous trois au mois de décembre.

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Image 6. Irradiation normale directe, horizontale et diffuse globale à Berlin, courant 2006. Source : [2]

3.3 LES ANGES.

Troisièmement, dans le cas de Los Angeles, les valeurs du rayonnement global (GHI), du
rayonnement normal direct (DNI) et du rayonnement horizontal diffus (DHI) ont été obtenues à
partir de la base de données NREL, obtenant ainsi le graphique de l' image 7. Comme on peut le
constater, les valeurs maximales de DNI et GHI sont obtenues au cours des mois de juillet et
août, avec des valeurs de 270,75 kWh/m2 et 237,05 kWh/m2 respectivement. Alors que la valeur
maximale du DHI est obtenue au mois de mai avec 63,14 kWh/m2. En outre, on observe qu'au
cours des mois d'avril et mai, le rayonnement direct normal est inférieur à celui global.

Image 7. Irradiation horizontale, directe normale et diffuse globale à Los Angeles, en 2006. Source : [3]

De même, les valeurs de l'irradiation directe normale, diffuse horizontale et globale à Los
Angeles ont été représentées dans l'image 8 , mais à partir de la source de données PVGIS.
Obtention, comme dans l'image précédente, des valeurs maximales de rayonnement global en
2 2
juillet avec 241,15 kWh/m , rayonnement direct normal en août avec 256,44 kWh/m , le
2
rayonnement global étant plus élevé tout au long de l'année, et diffus en juin avec 58,62 kWh/m
. Alors que les valeurs minimales ont été enregistrées pour le rayonnement global en janvier avec
81,24 kWh/m 2 , le rayonnement direct en février avec 101,74 kWh/m 2 et le rayonnement diffus
en novembre avec 26,74 kWh/m 2 .

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Image 8. Irradiation horizontale, directe normale et diffuse globale à Los Angeles, en 2006. Source : [2]

3.4 NEW YORK.

Enfin, dans le cas de New York, le rayonnement global (GHI), le rayonnement normal direct
(DNI) et le rayonnement horizontal diffus (DHI) ont été extraits de la base de données NREL,
comme précédemment, obtenant le graphique de l' image 9, où l'on peut voir que la valeur
maximale de DHI et GHI est obtenue au mois de juillet, avec des valeurs de 84,86 kWh/m2 et
190,91 kWh/m2 respectivement. Alors que la valeur maximale du DNI est obtenue au mois de
mars avec 179,68 kWh/m2. De plus, on peut observer que le rayonnement direct normal est
inférieur au rayonnement global entre les mois de mai et août.

Image 9. Irradiation horizontale, directe normale et diffuse globale à New York, au cours de l'année 2006. Source : [3]

L'autre source utilisée, comme dans les autres sections, est PVGIS, où il a été possible d'obtenir
l'image 10 , où l'on peut conclure que les valeurs maximales de rayonnement global se
produisent en juillet avec 185,78 kWh/m 2 , de normale rayonnement direct en août avec 154,79
2 2
kWh/m et diffus en juin avec 91,10 kWh/m . Alors que les valeurs minimales ont été
2
enregistrées pour le rayonnement global en décembre avec 53,37 kWh/m , le rayonnement
direct en janvier avec 84,43 kWh/m 2 et le rayonnement diffus en décembre avec 21,88 kWh/m
2
. Cependant, dans ce cas, le rayonnement direct normal est inférieur au rayonnement global
entre les mois de mai et septembre, soit un mois de plus que dans les données du NREL.

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Image 10. Irradiation horizontale, directe normale et diffuse globale à New York, au cours de l'année 2006. Source : [2]

4 ANALYSE COMPARATIVE.

Pour l'analyse comparative, nous commencerons par comparer les valeurs obtenues de SoDa et
PVGIS, pour les sites de Madrid et Berlin, et par la suite, celles obtenues de NREL et PVGIS
pour les sites de Los Angeles et New York.

Dans cette première Image 11 , vous pouvez voir que les valeurs obtenues pour le GHI (radiation
horizontale globale), tant pour Madrid que pour Berlin, à partir de PVGIS et SoDa sont presque
pratiquement les mêmes, ne différant que très peu. Alors que dans le cas du DHI (rayonnement
diffus horizontal), les valeurs varient considérablement, surtout au printemps et en été, la
2
différence maximale de rayonnement diffus à Madrid étant de 12,73 kWh/m dans le mois de
mai et pour Berlin de 15,26 kWh/m 2 au mois de juin.

Image 11. Comparaison de l'irradiation diffuse globale et horizontale pour les sources PVGIS et SoDa.

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Concernant les différences entre les valeurs obtenues entre la source NREL et PVGIS, vous
ht européen
pouvez voir les variations à la fois du rayonnement horizontal global (GHI), du rayonnement
horizontal diffus (DHI) et du rayonnement normal direct (DNI) pour les emplacements de Los
Angeles et Nueva York dans les graphiques suivants.

Image 12. Comparaison de l'irradiation diffuse globale, directe normale et horizontale pour PVGIS et NREL.

Comme on peut le voir dans les graphiques précédents, les valeurs diffèrent relativement, les
valeurs obtenues pour New York étant plus similaires les unes aux autres que celles obtenues
pour Los Angeles, qui seront expliquées plus en détail ci-dessous.

Dans le cas du rayonnement global (GHI), dans le cas de New York les valeurs obtenues sont
très similaires pour les deux bases de données, tandis que dans le cas de Los Angeles elles
diffèrent davantage entre les mois de décembre et mai, Les valeurs obtenues du NREL étaient
plus élevées entre les mois de juin et mars, et celles de PVGIS étaient plus élevées entre les mois
d'avril et mai, produisant une plus grande différence au mois d'avril de 35,93 kWh/m 2 .

Concernant le rayonnement diffus (DHI), on observe que dans le cas de New York les valeurs
obtenues du NREL sont plus faibles tout au long de l'année, produisant une plus grande
différence au mois de juin de 7,54 kWh/m 2 . Alors que pour Los Angeles, les valeurs obtenues à

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partir de PVGIS sont plus élevées entre les mois de juillet et février et plus faibles entre mars et
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juillet, produisant la plus grande différence de rayonnement diffus au mois de février de 5,91
kWh/m 2 .

Enfin, en ce qui concerne le rayonnement direct normal (DNI), contrairement au rayonnement


diffus dans le cas de New York, le DNI obtenu à partir du NREL est plus élevé tout au long de
l'année, produisant la plus grande différence de rayonnement au mois de septembre, avec 18,55
2
kWh/m . De même, dans le cas de Los Angeles, les mois au cours desquels les valeurs de
rayonnement diffus NREL étaient auparavant plus élevées par rapport à PVGIS, le rayonnement
NREL normal est désormais inférieur, et pour les valeurs où le rayonnement diffus NREL était
inférieur , c'est maintenant que son rayonnement normal est plus élevé, avec la plus grande
différence entre les valeurs NREL et PVGIS au mois de février, différant de 78,9 kWh/m 2 . Ceci
est le dernier graphique où les plus grandes différences entre les rayonnements ont été obtenues.

5 RÉSULTATS.

Pour Madrid, les valeurs de rayonnement obtenues sont celles de l'image 13 , similaires entre
SODA et PVGIS, différant principalement par le rayonnement diffus comme suit :

a. Rayonnement global maximum de 237,92 kWh/m 2 en juillet, PVGIS (-4,72 kWh/m 2 ,


SoDa) et minimum de 62,60 kWh/m 2 en novembre, PVGIS (-0,11 kWh/m 2 , Soda).
2 2
b. Rayonnement diffus maximum de 73,20 kWh/m en mai, PVGIS (--12,73 kWh/m ,
SoDa) et minimum de 21,26 kWh/m 2 en décembre, PVGIS (+1,5 kWh/m 2 , SoDa).

Horizontale mondiale DIFFÉRENCE (kWh/m Diffus horizontal DIFFÉRENCE (kWh/m


2 2
MOIS PVGIS UN SODA ) PVGIS UN SODA )
JANVIER 67,23 67,68 0,45 25,55 26,65 1,10
FÉVRIER 91,07 95,65 4,58 31,87 29,16 2,71
MARS 136,11 142,81 6,70 53,08 44,49 8,59
AVRIL 172,26 178,36 6,10 62,01 52,65 9,36
PEUT 215,30 216,50 1,20 73,20 60,47 12,73
JUIN 232,56 229,73 2,83 67,44 56,89 10,55
JUILLET 237,92 233,20 4,72 61,86 56,11 5,75
AOÛT 224,31 223,39 0,92 51,59 44,37 7,22
SEPTEMBRE 159,50 154,84 4,66 51,04 45,38 5,66
OCTOBRE 100,46 98,32 2,14 38,17 37,87 0,30
NOVEMBRE 62,60 62,49 0,11 26,92 26,86 0,07
DÉCEMBRE 66,45 63,69 2,76 21,26 22,76 1,50
RÉSUMÉ 1765,77 1766,66 37,16 563,99 503,66 65,53
ÉCART DES
2,10% 11,62%
MESURES
Image 13. Comparaison du rayonnement diffus global et horizontal pour Madrid, 2006.
Pour Berlin, les valeurs de rayonnement obtenues sont celles de l'image 14 , similaires entre
SODA et PVGIS, différant principalement par le rayonnement diffus comme suit :

a. Rayonnement global maximum de 207,56 kWh/m 2 en juillet, PVGIS (+0,51 kWh/m 2 ,


SoDa) et minimum de 15,70 kWh/m 2 en novembre, PVGIS (+0,54 kWh/m 2 , Soda).
2 2
b. Rayonnement diffus maximum de 85,36 kWh/m en juin, PVGIS (--15,26 kWh/m ,

1
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SoDa) et minimum de 10,05 kWh/m 2 en décembre, PVGIS (+1,84 kWh/m 2 , SoDa).
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Horizontale mondiale Diffus horizontal 2
DIFFÉRENCE (kWh/m 2 )
MOIS PVGIS UN SODA PVGIS UN SODA DIFFÉRENCE (kWh/m)
JANVIER 25,09 25,45 0,36 12,04 14,30 2,26
FÉVRIER 26,94 34,69 7,75 18,86 22,37 3,51
MARS 63,34 62,64 0,70 43,07 36,29 6,78
AVRIL 99,32 102,31 2,99 62,57 52,68 9,89
PEUT 152,79 153,63 0,84 77,92 66,38 11,54
JUIN 174,20 178,69 4,49 85,36 70,10 15,26
JUILLET 207,56 208,07 0,51 76,80 62,52 14,28
AOÛT 121,24 117,09 4,15 72,74 61,61 11,13
SEPTEMBRE 112,93 107,13 5,80 46,30 39,32 6,98
OCTOBRE 60,65 51,26 9,39 30,33 28,54 1,79
NOVEMBRE 26,90 25,93 0,97 16,14 16,22 0,08
DÉCEMBRE 15,70 16,24 0,54 10,05 11,89 1,84
RÉSUMÉ 1086,66 1083,13 38,49 552,18 482,21 85,34
ÉCART DES MESURES 3,54% 15,46%

Image 14. Comparaison du rayonnement diffus global et horizontal pour Berlin, 2006.

Pour Los Angeles, les valeurs de rayonnement obtenues sont celles de l'image 15 , similaires
entre NREL et PVGIS, différant principalement par le rayonnement direct normal comme suit :

a. Rayonnement global maximum de 241,15 kWh/m 2 en juillet, PVGIS (-4,10 kWh/m 2 ,


NREL) et minimum de 81,24 kWh/m 2 en janvier, PVGIS (+21,59 kWh/m 2 , NREL).
2 2
b. Rayonnement diffus maximum de 58,62 kWh/m en juin, PVGIS (-+1,73 kWh/m ,
2 2
NREL) et minimum de 26,74 kWh/m en novembre, PVGIS (-0,66 kWh/m , NREL).
2 2
c. Rayonnement direct maximum de 256,44 kWh/m en août, PVGIS (+14,31 kWh/m ,
NREL) et minimum de 101,74 kWh/m 2 en février, PVGIS (+68,38 kWh/m 2 , NREL).

Horizontale mondiale DIFFÉRENCE (kWh/m Diffus horizontal DIFFÉRENCE (kWh/m Direct normal DIFFÉRENCE (kWh/m
2 2 2
MOIS PVGIS NREL ) PVGIS NREL ) PVGIS NREL )

JANVIER 81,24 102,83 21,59 30,06 24,42 5,64 115,29 183,67 68,38
FÉVRIER 88,16 121,51 33,35 35,26 29,35 5,91 101,74 180,64 78,90
MARS 144,78 151,59 6,81 49,23 50,46 1,23 155,30 171,22 15,92
AVRIL 200,03 164,10 35,93 56,01 59,49 3,48 213,80 157,38 56,42
PEUT 221,02 207,10 13,93 57,47 63,14 5,67 232,11 200,42 31,69
JUIN 217,11 218,73 1,62 58,62 60,35 1,73 222,18 226,04 3,86
JUILLET 241,15 237,05 4,10 55,46 56,06 0,59 254,46 257,40 2,94
AOÛT 221,61 225,09 3,47 44,32 40,45 3,87 256,44 270,75 14,31
SEPTEMBRE 177,56 183,37 5,81 42,61 38,00 4,61 210,62 232,45 21,83
OCTOBRE 128,66 141,98 13,32 36,02 34,87 1,15 167,39 200,48 33,09
NOVEMBRE 106,95 109,56 2,61 26,74 26,08 0,66 177,97 186,74 8,77
DÉCEMBRE 81,76 99,60 17,84 27,80 22,54 5,26 129,48 192,81 63,33
RÉSUMÉ 1910,03 1962,50 160,38 519,60 505,20 39,81 2236,78 2460,00 399,43
ÉCART DES
8,17% 7,66% 16,24%
MESURES

Image 15. Comparaison du rayonnement diffus global, direct normal et horizontal pour Los Angeles, 2006. Pour
New York,
les valeurs de rayonnement obtenues sont celles de l'image 16 , similaires entre NREL et PVGIS,
différant dans une moindre mesure qu'à Los Angeles et comme suit :

a. Rayonnement global maximum de 185,78 kWh/m 2 en juillet, PVGIS (+5,13 kWh/m 2 ,


NREL) et minimum de 53,37 kWh/m 2 en décembre, PVGIS (+0,53 kWh/m 2 , NREL).
2 2
b. Rayonnement diffus maximum de 91,10 kWh/m en juin, PVGIS (-7,54 kWh/m ,
NREL) et minimum de 21,88 kWh/m 2 en décembre, PVGIS (-1,46 kWh/m 2 , NREL).
2 2
c. Rayonnement direct maximum de 171,01 kWh/m en avril, PVGIS (+5,63 kWh/m ,
NREL) et minimum de 84,43 kWh/m 2 en janvier, PVGIS (+10,69 kWh/m 2 , NREL).

1
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Université SB
rayonnements
Horizontale mondiale DIFFÉRENCE (kWh/m
2
)
Diffus horizontal DIFFÉRENCE (kWh/m
2
)
ht européen
Direct normal DIFFÉRENCE (kWh/m
2
)
MOIS PVGIS NREL PVGIS NREL PVGIS NREL

JANVIER 55,81 57,67 1,86 25,67 23,34 2,33 84,43 95,12 10,69
FÉVRIER 86,11 88,13 2,02 31,86 31,95 0,09 120,05 126,92 6,87
MARS 137,91 141,00 3,09 49,65 44,73 4,92 162,82 179,68 16,86
AVRIL 161,51 162,48 0,97 54,91 51,05 3,86 171,01 176,64 5,63
PEUT 176,83 182,95 6,11 79,57 75,02 4,56 143,40 160,11 16,71
JUIN 162,67 164,77 2,10 91,10 83,56 7,54 103,96 116,75 12,79
JUILLET 185,78 190,91 5,13 89,17 84,86 4,32 137,22 152,37 15,15
AOÛT 166,98 169,58 2,60 65,12 59,59 5,53 154,79 168,43 13,64
SEPTEMBRE 119,41 125,49 6,08 51,35 46,76 4,59 115,68 134,23 18,55
OCTOBRE 99,35 102,10 2,75 36,76 34,19 2,57 129,16 141,84 12,68
NOVEMBRE 61,71 63,13 1,42 25,30 24,53 0,77 92,15 98,03 5,88
DÉCEMBRE 53,37 53,90 0,53 21,88 20,42 1,46 97,02 99,22 2,20
RÉSUMÉ 1467,44 1502,10 34,66 622,35 579,99 42,54 1511,69 1649,32 137,63
ÉCART DES
2,31% 6,84% 8,34%
MESURES

Image 16. Comparaison du rayonnement diffus global, direct normal et horizontal pour New York, 2006.

Si l'on étudie les écarts entre PVGIS et SoDA, c'est-à-dire dans les cas de Madrid et de Berlin, on
peut conclure que l'on obtient des valeurs très approximatives par rapport au rayonnement global,
avec un écart de 2 ou 3%, tandis que pour rayonnement diffus Un écart moyen de 15,46% a été
obtenu, dans le cas de Berlin.

Entre PVGIS et NREL, on a observé que l'écart moyen des mesures est assez faible, sauf dans le
cas du rayonnement direct normal de Los Angeles, qui présente un écart moyen des mesures de
16,24%. Dans l'image suivante, vous pouvez voir plus en détail les écarts moyens en fonction du
rayonnement mesuré et du pays (en comparant PVGIS et SoDa dans les villes de Madrid et
Berlin, et PVGIS et NREL dans les villes de Los Angeles et New York).

MADRID BERLINLOS ANGELES NEW YORK


Déviation GHI 2,10% 3,54% 8,17% 2,31%
Déviation DHI 11,62% 15,46% 7,66% 6,84%
Déviation DNI 16,24% 8,34%
Image 17. Écarts de mesure entre SoDa, PVGIS et NREL
6 CONCLUSIONS.

Une fois le travail réalisé, la principale conclusion obtenue est que, pour déterminer une
installation photovoltaïque, il est nécessaire de comparer le plus grand nombre de bases de
données possible, en raison de la variation des données d'une source à l'autre, jamais basées sur
uniquement sur une seule source de données.

Une autre conclusion importante est que lors de la réalisation d’une installation photovoltaïque, il
est nécessaire de prendre de longues séries de données et de ne pas se concentrer exclusivement
sur une année, car celles-ci varient considérablement.

Concernant la différence entre les valeurs de rayonnement diffus de SoDa et NREL par rapport à
PVGIS, cela peut être dû au fait que PVGIS fournit un rayonnement diffus à partir du rapport
entre rayonnement diffus et global, ce qui augmente probablement l'erreur de mesure.

Un autre écart important se produit dans le rayonnement direct normal entre NREL et PVGIS, il

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Etude comparative des bases de données sur les
Université SB
rayonnements
ht européen
est donc nécessaire de vérifier cette mesure avec une autre base de données, bien qu'il soit
possible qu'une erreur se soit produite lors des calculs.

Concernant le rayonnement reçu, on peut conclure que toutes les villes reçoivent suffisamment
de rayonnement pour mettre en œuvre un système photovoltaïque, Berlin étant celle où les
conditions sont les plus mauvaises. Bien qu'il soit nécessaire d'étudier d'autres caractéristiques
telles que l'environnement et les conditions microclimatiques, entre autres.

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Etude comparative des bases de données sur les
Université SB
rayonnements

7 BIBLIOGRAPHIE
ht européen

[1] "SoDa", [Dans doubler]. Disponible:http://www.soda-pro.com/web-


services/rayonnement/helioclim-3-archives-gratuitement. [Dernier accès : 13 03 2021].

[2] «PVGIS», [Da double Disponible


https://ec.europa.eu/jrc/en/PVGIS/downloads/maps . [Dernière consultation : 13 3 2021]. :
ns r].

[3] «NREL», [En ligne]. Disponible : https://nsrdb.nrel.gov/ . [Dernière consultation : 13 3


2021].

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