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Les siphons de sol, les grilles, les caniveaux et les avaloirs récupèrent
les eaux de pluie ou de ruissellement.
paramètres :
2- Le principe des réseaux d'assainissement
périurbaine ou rurale ;
desservir ;
l'implantation de la voirie ;
en milieu naturel ;
d'investissement et d'entretien) ;
2- Le principe des réseaux d'assainissement
ou projetés ;
ultérieur.
2-1 Les principes de base
❖ La méthode rationnelle
❖ La méthode superficielle
3-1-2-1 La détermination des débits
La méthode rationnelle
pluie de 8mm/h.
3-1-2-1 La détermination des débits
La méthode superficielle
La méthode superficielle a été mise au point par Caquot sur les bases de
la méthode rationnelle. Elle est formulée de la manière suivante :
Qp = K x lα x Cβ x Aϒ θ
Qc = Qp x M avec M= L
2 √A
dans laquelle :
Qp est le débit de pointe (m3/s) ; Qc le débit corrigé (m3/s)
I est la pente moyenne du bassin versant sur le développement
total du parcours de l'eau (m/m) ;
L longueur du parcours de l'eau (m)
C est le coefficient de ruissellement (0 < C < 1 ) ;
A est l’aire d'apport (ha) ;
K, α, β, ϒ sont des facteurs correctifs en fonction de différents
paramètres : intensité et durée de la pluie, temps de
concentration, etc.
3-1-2-1 La détermination des débits
La méthode superficielle
Superficie
équivalente
Aj Aj
Coefficient de
ruissellement
équivalent
C j Aj /A j C j Aj /A j
Pente
équivalente
I j Q p j / Q p j L j / (Lj / I j) 2
Allongement
équivalent L(Qpmax) / Aj Lj / Aj
EXERCICE BV2 BV1
R2 R1
R3
Qp = 1.282 C I A
R4 EX
P1= BV1//BV2
S2= P1 + BV3
3-1-2-2 La limitation des débits
admis
Dès que le bassin versant atteint une certaine
superficie, et pour ne pas surdimensionner les ouvrages
collectant les eaux pluviales lors de fortes précipitations,
il est nécessaire de limiter les débits à l'aide de dispositifs
qui procèdent de la manière suivante :
en déversant une partie des effluents directement
en milieu naturel, selon la perméabilité des sols ;
(déversoir d’orage)
en retenant une certaine quantité d'eau dans des
bassins pour n'admettre qu'un débit limité dans la
canalisation ; (bassin de rétention)
en favorisant l'infiltration lorsque le terrain est
suffisamment perméable.
La première solution (déversoir d’orage) est souvent
retenue en réseau unitaire, à condition que le degré
de dilution des éléments polluants soit satisfaisant. Elle
est constituée par des déversoirs d'orage.
La deuxième est préconisée plus particulièrement
pour les canalisations d'eaux pluviales en réseau
séparatif. Des bacs tampons ou des bassins de
rétention sont placés sur le réseau afin de stocker une
certain quantité d'eau en relation étroite avec la
surface desservie. L'étude est effectuée en prenant
pour référence une période de 10, 20, 50 ou 100 ans.
La troisième solution a pour objectif de laisser pénétrer
les eaux de pluie dans le sol dès leur réception ou en
des points régulièrement répartis. Ce résultat est
obtenu par : l'emploi de chaussées à structure
réservoir, par la réduction des surfaces
imperméabilisées (aires de stationnement
engazonnées) ou par la mise en place de tranchées
et de puits filtrants. Toutefois, ces dispositions sont
sensibles au gel et exigent un entretien régulier
correct afin de réduire les risques de colmatage.
3-2 Les eaux usées domestiques
C = 87/[1 + (ϒ/R)],
dans laquelle y est un coefficient d'écoulement dont
la valeur dépend de la rugosité des parois et de
l'effluent transporté,
4- Le dimensionnement des canalisations
V = k x R 2/3 X l 1/2