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Chap 1 : Réveil dans un coin. cherche. flash back. retrouve son amie.

brief sur le
temps. événement perturbateur (pdv externe)

Chap 2 : péripéties dans ce temps. mort.

chap 3 : réveil dans un autre temps. Comprends que il faut mourir pour changer de
temps. problème qui se pointe.

Chap 4 : problème . Fuite. moment de calme. problème qui se repointe.

Chap 5 : pétrin . hésite. suicide.

Chap 6 : se réveille avec une autre fille. Passé

Chap 7 : situation de l'autre. avec un mec.

Chap 8 : Péripéties pour se retrouver

Chap 9 : retrouvailles. quiproquo. n'importe quoi.

Chap 10 : explication. Cassade générale. bonne ambiance.

Chap 11 : mort.

Chap 12 : séparation et capture.

Chap 13 : transe

Chap 14 :

Épilogue :

=======================

Bon, dernier chapitre.

Je suis un peu à bout comme on dit, et je me rend compte que parler comme ça de
moi-même m'exaspère.

Anyways.

Dernière étape de "l'évolution", qui est passé, comme certains l'ont sans doute
deviné, par le cinéma.

oui, entre-temps je me suis faite cinéphile, et je ne m'en sens que plus seule, vu
que j'en connais pas ni dans mon entourage ni sur les réseaux.

🎶In this whole world there's nobody as lonely as she (nobody as lonely as me)🎶

Heureusement y a youtube et Durendal pour me remonter le moral de temps en temps.


Bref. comme je l'ai déjà dit ...

Tout a commencé avec Joj qui m'a ouvert des portes vers la musique la mode et le
cinéma

bon la musique et la mode.... moyen...

disons que durant cette période je m'étais un peu lâché

un peu trop même. Et les résultats .... j'ai pas trop envie d'en parler? ^^'

Mais ça m'a surtout servi de portail vers le cinéma à travers les références et les
clins d'œil qu'il y a un peu partout dans Jojo

Avant avant le cinéma et les films c'était pour moi des trucs regarder en famille
un dimanche aprèm. C'était les visiteurs, Fantômas ou du Funès en général, et Mad
Max 3 (oui, mad max 3 à 6 ans en famille c'est normal et c'est cool. D'ailleurs
c'est le meilleur de toute la franchise...

Ok. je rigolais. j'ai des goûts de chiotte, c'est pas vrai ce que je dis, c'est un
avis subjectif de merde. reposez vos flingues, voilà. )

Et bizarrement, ma curiosité a vite été refroidie par Troie, Prometheus, Percy


Jackson et Dragonball Évolution.

Disons que j'ai juste pas de chance.

Tu m'étonnes qu'après dès que je vois un mec en tenue moulante dans l'espace mon
cerveau s'éjecte.

J'ai du coup oublié la question et me suis retourné à mes animes. Et puis un jour,
j'entends parler de Die Hard et de films cultes. J'y ait jeté un petit coup d'œil
méfiant, et j'ai tellement aimé que c'est parti pour le grand plongeon dans les
années 80.

En parallèle, j'ai découvert Durendal et ses vidéos "Pourquoi J'ai Raison Et Vous
Avez Tort" démonter bien comme il faut cette bizarrerie industrielle qu'est
Prometheus

(alors comment expliquer à ceux qui savent pas... disons que le film est le
prequel d'un film d'horreur... mais que c'est tellement mal amené mal écrit et haï
par son propre réalisateur que c'est le film en soi qui fait peur, pas l'histoire)

Et puis de fil en aiguille, de films en films, j'ai peu à peu viré vers la
cinéphilie, toujours appuyé me sur les vidéos de ce youtubeur qui a fait des études
en cinéma. Et j'en ait appris pas mal.

non sans fausse modestie j'étais là pendant les projections en classe :


« - Alors ça c'est un film du réalisateur/scénariste bidule qui a aussi fait truc
et truc, deux beaux films. On le reconnaît à son étalonnage couleur .... son
cadrage en 35 mm qu'il garde en hommage aux classiques et ses fameux plans larges
panoramiques qui mettent en avant la beauté du paysage. Vous remarquerez aussi que
ses thèmes principaux sont souvent....
- Ferme la Schtroumpf à lunettes. »

Ouais, je l'ai cherché un peu. beaucoup. Mais ça a amélioré mon anglais. Avant
c'était de l'allemand prononcé avec un accent russe. je vous laisse imaginer le
carnage.

Bon niveau histoire, j'avoue, ça a pas avancé. Ça a même stagné. Et Under Masks
compte pas car c'était avant.

Mais j'ai entremps imaginé un petit concept : Le Rūh (je crois que j'en ait déjà
parlé?)

C'est une sorte de pouvoirs spéciaux qui apparaissent chez ceux qui ont assez de
conscience de soi (savoir ce que tu es, ce qui te définit, ce qui te contrôle sans
te mentir à toi-même) pour l'atteindre. Il apparaît sous la forme d'un animal qui
se tient près de toi et que seuls les possesseurs de Rūh peuvent voir, et avec des
capacités liées à ces animaux.

Petit florilège :

Le petit gars roux (rūh : loup/ pouvoir : guérison de toute blessure n'ayant pas
atteint le cœur)

Maria, mon ex sosie de moi (rūh : serpent/ capacités : vue infrarouge, souplesse et
sécrétion de poison)

Le docteur j'ai oublié son nom qui est panda, ça donne juste de la sagesse et un
tempérament inébranlable

Ce gars (qui a bien évolué après) : alors, la carpe ça donne... une sensation
d'inexistence, il peut rester dans une chambre avec 20 personnes, s'il le veut, il
peut leur faire oublier leur présence pour de bon, et la droiture et l'entêtement,
ça vient avec en cadeau

Et puis le bras droit de je sais plus qui à qui j'ai foiré le visage avant :

Alors lui à la base, c'est un enfant né trop faible qui n'aurait pas eu de chance
de vivre, mais son rūh, l'ours, donne une force surhumaine. Donc ça s'est ajusté
et il passe maintenant pour un mec normal.
Et enfin cette... fille avec le rūh du tigre. L'agilité et la vitesse des
mouvements.

C'est marrant mon AI l'a pris pour les Daft punk

Ouais... non mais ça va j'aime bien la robe

Ça peut aussi fusionner quand un possesseur de Rūh meurent il peut le léguer à


quelqu'un. Ça donne des ensembles comme ces deux là :

Tovar : (rūh : draco, fusion de loup et de serpent/capacités : guérison + ceux du


serpent)

Leviosa : (rūh : dragon chinois, fusion de cerf, serpent et aigle/capacités : ceux


d'un serpent + les sens aigus de l'aigle + l'invulnérabilité du cerf)

Et ça crée des quêtes de pouvoir qui passent obligatoirement par la


manipulation pour accumuler le plus de abilities

Et le grand méchant de la fin c'était un mec qui avait ramassé tous les rūhs à
travers les siècles et a littéralement TOUT. Comment? parce que c'est un vampire
(rūh de la chauve-souris) et a réussi à choper celui du Phoenix ce qui est un
énorme coup de bol car le phoenix est rare.

Et puis après la mort, ceux qui ont un rūh et qui ne sont pas contents de n'avoir
pas réussi à accomplir quelque chose restent sous formes d'énergie brumeuse sur
Terre et s'accroche à un objet ou une personne jusqu'à ce qu'il veille s'en aller.

Plus ça avance plus j'ai honte et je me sens conne.

BREF.

j'ai aussi écrit des scripts. Dont la plupart sont des adaptations, mais trois
histoires originales que ... je relis et j'ai envie de crever

Ou plutôt de tout mettre en miettes et de brûler les cendres des restes.

On a une histoire de super héro avec cette fille aveugle à qui on redonne la vue en
échange de devenir Ikarus, le super-héros ailé. En gros c'est une version fille de
Shazam.
( Shazam le comics pas le film qui te donne envie de gifler tous les acteurs et le
scénariste.)

On a aussi Dust Ages où des gens se réincarnent à plusieurs époques et se font


chier un peu a vrai dire. Problème : le groupe se compose de : un soldat allemand
de la seconde guerre, Une athlète trans de 2050 assassinée, un geek tuée lors d'une
prise d'otage, et.... Napoléon qui passait par là. Non je rigole pas.

J'ai pas envie d'en parler en fait.

Mais faut que ça sorte. De toute façon j'ai tout brûlé donc pas de preuves que
j'invente ou pas : )

Et .... non j'ai pas du tout envie de parler de la dernière histoire...

Sérieux. Non.

Parlons d'autre chose. Parlons un peu de films tiens.

J'ai là aussi mon petit bilan :

* Réalisateur américain préf : Zack Snyder. J'adore son travail de la couleur et le


ton un peu "tragédie grecque" de ses films.

* Réalisateurs étrangers préf : je dirais Christophe Gans et Shayamalan.

* Best Réal Ever : Mamoru Oshii sans discuter. si jamais je vire au cinéma mon
projet sera l'étude du cinéma de Oshii. Ses films sont tellement denses et
complets, à part le fait qu'ils sont introuvables et ça c'est un signe de qualité.
(comment je les ait vu? Bon disons qu'être un flibustier polyglotte ça aide )

* film préféré américain : Last Action Hero. Parce que moi aussi je veux un tiquet
magique qui me permet de rentrer dans des films.

* Film préféré étranger : Belyy Tigr. je le mets partout vous avez l'habitude

* Plus beau film selon moi (visuellement) : La bête de guerre, 1988

je vous ait déjà dit que j'aime le tanks?

* Plus beau film selon moi (émotionnellement/et le plus triste aussi) : Bienvenue à
Gattaca

* Film le plus "plein de sens" selon moi (à part ceux de Mamoru Oshii : Stalker.
Rien à voir avec le harcèlement. C'est une vieille fable soviétique très
intéressante de 3h parce que la première partie a brûlé. Si si.

* Le film le plus optimiste et remontant de moral ever : Mission Mangal. Oui c'est
indien, et alors?

* Mon petit traumatisme : Come and see, ou si vous préférez le titre français
"Requiem pour un massacre" qui spoile tout comme un b .... vilain pas beau.
Si vous connaissez un va-t-en-guerre que vous voulez dissuader de s'engager,
montrez-lui ce film. Il changera très vite d'avis.
Pierrot : dit la fille qui veut aller dans l'armée.
- Tu es venue juste pour placer là l'imbiguïté et me faire perdre en crédibilité?
Pierrot : Euh... oui?
- Ok. C'est bon tu peux dégager.

• Mon plaisir coupable : Red heat. non c'est pas un p**** Mais le regardez pas. Il
vaut pas grand chose. C'est juste pour le plaisir de voir Arnold déguisé en soviet.

et on finit sur

• Actrices préférées : Anya Tailor Joy pour l'acting, Nathalie Portman pour la
Kawaiiness et Gal Gadot parce qu'elle m'est agréable. Genre dans une réalité
alternative elle serait ma pote.

et... j'aurais préféré me les garder mais c'est qu'on m'a posé la question

• Acteurs préférés : James Mc Avoy et Mark strong pour l'acting, Hiroyuki Saneda
et Marc Dacascos (je sais pas comment ça s'écrit) pour la joie de les voir à
l'écran, et Arnold parce qu'il m'est sympathique lui aussi (j'avoue je suis né à la
mauvaise époque TwT)

et pour la dernière fois les filles (et les gars aussi) :

le trio brad pitt/DiCaprio/Tom cruize c'est pas les plus beaux d'Hollywood.
Charmants et cutes si on veut, mais c'est comme si la planète s'est mise d'accord
sur le fait qu'ils sont les plus beaux. Apparemment ils m'ont oublié au meeting.
Dommage j'aurais proposé Brosnan. Il les bats tous trois réunis et encore il est
juste classe pas beau gosse.

BREF. Petit pétage de câble inutile.

Alors,... c'est quand la fin?

Bin y en a pas. J'aime le cinéma. Le médium en tout cas. C'est toujours un plaisir
de découvrir un film, de le revoir pour l'analyser, remarquer les détails,
apprécier l'histoire...

Le problème c'est que ça fait bien longtemps qu'un film ne m'a pas fait effet. Ça
fait quoi genre 3 ans que je me suis mis au cinéma ? Que j'ai vu presque tous les
classiques, les cultes, les perchés, les perles rares, tout ça ? J'ai presque 450
films dans ma drive qui est plein à ras bord et en tout je compte sur une trentaine
qui m'a marqué.

Le dilemne est le suivant : le cinéma d'aujourd'hui se focalise plus sur le visuel


que sur l'histoire, dont tout le monde se fout tant qu'elle choque personne. Et ça
se veut clean que ça devient niais et voulant plaire à tout le monde, c'est ce que
certains appellent woke. Moi j'appelle ça :" je veux vendre donc je vais faire ce
qui plait à tout le monde surtout à la doctrine dominante histoire d'être
sponsorisé par les meilleurs."

Puis quand on revient en arrière, on ne trouve pas mieux : Le problème de l'époque


était le code Heise qui interdisait de montrer certaines choses à l'écran. Et les
réalisateurs s'en donnaient à cœur joie de trouver des techniques pour contrer ce
fameux code en rendant leurs films gore, violent, et j'en passe, en oubliant le
reste, rien que pour tirer un doigt d'honneur au système. Ça quand ce n'est pas des
films de propagande américaine contre les méchants ruskoffs nazis, ou des films qui
nous disent clairement : On est une sale race, va te pendre ça ira mieux pour tout
le monde.

Entre la violence de l'époque de la guerre froide et le Gros point d'interrogation


qu'est le cinéma d'aujourd'hui, je ne peux que me réfugier dans les films des
années fin 80 début 2000. Ils ne sont pas plus optimistes pour autant, mais face au
progrès technologiques et à la fin de la guerre, on semblait se sentir mieux et se
diriger vers un futur meilleur pour tous. C'est pas le cas mais c'est quand-même
rassurant. Et ça se sent dans des films comme Terminator 2, le sixième jour,
Matrix, forest gump, maman j'ai raté l'avion, le cinquième élément ou encore Wonder
Woman 1984 qui reprend l'esthétique de cette époque. L'époque où on voulait juste
te faire t'éclater devant ton écran et oublier le réel le temps d'un instant. C'est
à ça que ça sert. Pas te rappeler que tu es une merde et que vaut mieux crever
monsieur Kubrick, pas nous émerveiller avec une belle 3D truquée parce qu'on est
trop cons pour se rendre compte que le scénario est le même monsieur Cameron, pas
nous endormir pour au final soulever un tas de questions à la fin que tout le monde
a zappé monsieur Scorsese, pas crier haut et fort qu'on est le meilleur de
Hollywood monsieur Gibson, pas pour nous faire chier pendant 3h avec du drama dans
un camp de concentration sur une histoire qui est encore discutable monsieur
Spliberg, surtout pas cracher sur ses fans monsieur Ridley Scott, et surtout pas
pour faire une compagne électorale monsieur Dwayne Johnson.

Faut vraiment que je me fasse des ennemis partout moi.

Je n'ai pas cassé avec le cinéma, c'est juste que je n'est pas encore trouvé ma
pépite d'or dans le ruisseau de boue du fin fond du Klondike.

Mais ça m'a permis de réaliser deux choses :

- Ça m'a permis d'évoluer en dessin. Car maintenant je recopie des visages de vrais
gens au lieu de dessins. Je vous montre pas l'entraînement parce que.... juste le
résultat

Cette demoiselle qui est passée de ça

À ça

Idem pour lui


et mon cauchemar de l'autre fois

Je dessinais des têtes et des bustes partout, des fois un peu réussis

là j'avais pensé juste "sénateur romain"

je sais pas si ça la fait

là c'est juste une overdose de Constantine que j'ai regardé en boucle.

Et là.... j'ai remarqué que je dessinais de plus en plus de figures sans visages

Et que j'avais peur de leur donner une expression

Je m'arrêtais alors sec, disant que peut être il me fallait encore de l'expérience
et qu'une petite pause ne serait pas si mal.

J'imaginais pendant ce "hiatus" une histoire pour un de mes amis, appelons-le


Isaac. Lui est fan d'astronomie et d'aéronautique spatiale, et aime imaginer des
fusées, du coup j'en ait designé pour lui :

La station nucléaire XFLR-2000

et Le New Age

avec son équipage

ainsi que des équipements pour "survivre sur Mars" dont il m'avait parler.

Et c'est là qu'advient le deuxième point du cinéma :

- Toutes les histoires se ressemblent.


J'ai commencé à voir les fins des films et des livres avant même d'avoir commencé
le deuxième acte.

Je peux prédire presque ce que les personnages peuvent répondre, même les twists,
les retournements de situation, je flaire le message du premier plan, au point que
plus rien ne me marque ni ne me surprend.

Le pire c'est sur Wattpad où je voyais clairement au travers d'une partie de leurs
personnalités tant leurs histoires semblaient se répéter englobées dans des
emballages différents.

Et ça va de soi pour moi, car je trouvais que toutes mes histoires avaient le même
schéma et reflétaient mes frustrations de gamine faible lâche et hypocrite.

Et si c'est ça : à quoi ça sert d'écrire ? de lire? de découvrir ou de continuer à


créer si tout ça ne vaut rien?

Une partie de moi a voulu se rebeller alors j'ai mis en chantier La boîte d'Arès
pour montrer à moi-même que si je me concentre assez sur tout ce que j'ai appris je
peux faire un truc bien, au mieux passable, au pire lisible.

Mais en cours de route bin... non. C'est la même chose : toujours la même
frustration de gosse en manque d'attention, juste enjolivé par un univers issu de
mes rêves qui ne font peur qu'à moi.

Du coup j'ai arrêté car j'en ait marre. Tout ça ne sers à rien. Le dessin ça a
jamais été une passion ni même un échappatoire. L'écriture ça a jamais donné rien
de bon, et ça ne m'aide pas non plus.

Je suis comme ces filles d'aristocrates du 19eme siècle qui ne pouvaient rien faire
à part vivre sa vie enfermée et passer le temps à faire de la musique, du ballet,
de la couture et de l'art. C'est juste un passe-temps dont on peut se passer.

C'est pas comme si je faisais quelque chose de grandiose. Je dessine juste les
images d'autres et je les colorie mal puis je les mets ici et attends qu'on vienne
me parler.

Apparemment ça a fuité, et par la mère de la sœur du beau frère du chat de


gouttière fils du cousin de ma connaissance sur Insta, c'est arrivé à l'oreille de
mes anciens camarades.

Et c'est carrément des menaces de mort des "mais non faut pas. Ça t'aide à
embrasser ta féminité, à exprimer ta personnalité déjà timide et à accroître ta
confiance en soi bla bla bla "

Dit les mêmes fils de bourgeois qui sont dans les meilleurs écoles et qui m'ont
oublié il y a bien longtemps. C'est maintenant que vous vous rappelez de MAelk la
connasse qui sait pas dessiner ?
Mais c'est pas grave de toute façon. J'ai toujours été seule. Pas parce que je
manque de confiance en moi. J'ai juste envie de mourir. Mais j'ai pas les couilles
pour me suicider, alors j'attends en espérant qu'un chaufard ivre me percute ou
qu'une tuile me tombe sur la tête.
Et moins y a du monde plus c'est bien, comme ça je risque pas de voir quelqu'un de
doué qui a la joie de vivre mourir à ma place. C'est connu, ceux qui veulent mourir
partent les derniers.

Bref.

Voici mon dernier dessin en date : Le fameux trend "tache de café" que j'ai voulu
essayé :

Le dernier chapitre sera plus joyeux. Je promets d'essayer.

Allez Bye

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