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SECURITE DU BATIMENT
Par
Le Cdt Odon IBANGA B.E.N.
Expert Nautiques et en Sciences du Travail (Ressources Humaines).
Durée : 15h00
A. FONDEMENT JURIDIQUE
• Code de la Navigation Intérieure, CEMAC/RDC ;
• Ord.-Loi n°66-96 du 14 mars 1966, portant Code de la Navigation Fluviale &
Lacustre de la RDC ;
• Ord.-Loi n°66-98 du 14 mars 1966 ; portant Code de la Navigation Maritime de la
RDC ;
• Ordonnance Règles des Routes, Feux et Signaux/RDC ;
• Convention Internationale pour la Sauvegarde de la Vie Humaine en Mer/ OMI,
portant les textes de la Convention SOLAS de 1974, de 1978, de 1981 et de
1983 ;
• Guide de la Navigation au Congo-Belge (OTRACO, loi du 12 Juillet 1952) ;
• Ordonnance V/TP du ……. ;
B. OUVRAGES
- Stendhal et Honoré de Balzac, Comédie humaine, (1857)
- Gustave Flaubert, Madame Bovary, (1857),
- Louis Duranty, le Réalisme, 1856-1857.
- Dictionnaire Universel, Edition Spéciale RDC,
- Nouveau Petit LAROUSSE, 1969, Paris VIe.
D. WEB
- Dictionnaire ENCARTA 2009, 1993-2008 Microsoft Corporation.
- Encyclopédie ENCARTA Junior, Microsoft, 2009.
- Encyclopédie ENCARTA Collection, Microsoft, 2009.
O. INTRODUCTION GENERALE
O. 1. OBJECTIFS :
Objectifs généraux :
Ce module poursuit les objectifs généraux ci-après :
• Maitriser toutes les théories portées sur la sécurité du bâtiment ;
• Faire bon usage des matériels et outils mis à leur disposition ;
• Former ou éduquer le Personnel navigant pour éviter, réduire ou éliminer la
survenance des risques de la navigation ;
• Gérer les biens, les personnes ou le bâtiment ainsi que l’environnement du travail
face au risque éventuel ;
Objectifs Spécifiques :
A la fin de cette session, les apprenants seront capable de :
• Appliquer correctement et convenables les connaissances acquises, techniques
ou procédés en matière de Sécurité ;
• Garantir la sécurité nécessaire du bâtiment, des biens et des personnes, ainsi
que celle de l’environnement.
O. 2. METHODOLOGIE
Pour atteindre les objectifs poursuivis ci-avant mentionnés, il est de
notre devoir de recourir aux méthodes et techniques appropriés pour transmettre aux
apprenants notre expertise (théorique et pratique) de manière efficiente et efficace à
travers les lignes qui suivent ci-dessous.
O.2.1. METHODES
Il s’agit des méthodes et techniques ci-après :
O. 2. 1. 1. Le Réalisme :
La force de cette méthode est que Son génie repose tant sur
l’observation que sur l’imagination. Dans cette méthode, nous présentons à l’apprenant
un fait réel (casus) auquel nous lui opposons des solutions pour améliorer son
comportement face au sinistre en vue de garantir la sécurité de tout ce qui se trouve à
bord et pendant la navigation.
Cette méthode nous oblige à démontrer à l’apprenant la ou les
causes partant de son origine ayant été à la base du fait ou risque (théorie) et permettre
à ce dernier de pratiquer les techniques utiles, étape par étape (démonstration), jusqu’à
faire taire ou supprimer définitivement le risque ou le danger existant.
En effet, cette méthode permet à l’apprenant d’observer
minutieusement, de saisir et d’appliquer les procédés ou les techniques utiles pour
maîtriser et gérer la survenance des éventualités de la navigation.
Ainsi, cette méthode forge ou prépare l’homme au métier.
O. 2. 1. 2. Interro-participative :
Cette méthode favorisera l’échange des connaissances ou
d’expérience entre les acteurs dont l’enseignant et les apprenants d’une part et d’autre
part, elle portera la contradiction entre apprenants ou permettra à ceux-ci d’échanger
leur expérience de laquelle, les intelligences s’illuminent pour faire asseoir le résultat.
Elle fera participer activement les apprenants au résultat et les
mettront ainsi en confiance pour retenir la démonstration.
O.2.2. TECHNIQUES :
Par définition, « la Technique » est la manière de procéder dans la
pratique d'une activité. C’est-à-dire, elle est un ensemble des procédés mis en œuvre ou
en scène pour obtenir un résultat déterminé.
• En toute sécurité :
• Etre dans des conditions qui excluent tous les risques ;
Par ex. : - Travailler en toute sécurité.
• Etre en sécurité :
• Se trouver placé à l’abri de tout danger ;
Par ex. : - Etre en sécurité auprès des siens.
• Sécurité :
• Avoir la garantie de l’absence de tout risque ou danger ;
• Etat de tranquillité d’esprit qu’il n’y a pas de risque ou danger ;
• La sécurité est l’ensemble des mesures et des dispositions prises pour prévenir
les risques éventuels de la navigation pouvant survenir suite aux actions
dangereuses posées par l’homme (par ex. : la négligence de l’homme) ou aux
conditions dangereuses du travail (par ex. : la vétusté du matériel = la Coque du
bateau) que le Navigateur a le devoir de gérer.
• Sur ce, la sécurité est devenue l’affaire de tous pour tous et par tous.
I. 2. Bâtiment :
- Navire ou Bateau destiné à la navigation sur la mer ou sur le fleuve ;
Par ex. : - le vaisseau ; - ITB Kokolo ; …
I. 3. Autres définitions :
I. 3. 1. Matériel :
• Ensemble d’objets spécialisés nécessaires à une activité ;
• Par ex. : - Equipement.
I. 3. 2. Outil :
• Instrument manuel fabriqué servant à réaliser une tâche particulière ;
Par ex. : - les Outils du menuisier.
I. 3. 3. Batardeau :
• C’est une construction en maçonnerie ou digue empêchant l’infiltration ou la
pénétration de l’eau dans la coque du bateau ;
• C’est une digue qui sert à maîtriser ou à empêcher l’eau de pénétrer dans le
compartiment d’un bateau lorsqu’il survient une avarie à la coque ;
I. 3. 4. Perche de Sondage :
• La Perche de sondage est une tige en bois ou en métal graduée qui sert ou
permet au navigateur de relever (constater ou de noter) la hauteur d’un liquide (la
profondeur d’un cours d’eau ; le niveau d’eau contenu dans les cales ; le niveau
du carburant dans les soutes ou réservoirs d’un bateau ; …) en vue de le guider ;
OBJECTIFS DU COURS
CONTENU DU COURS
Ce cours est destiné aux futurs navigateurs du point de vue de la responsabilité qui
pèseront sur eux en matière de sécurité du bâtiment, des personnes, des biens et de
l’environnement.
INTRODUCTION
Les outils et les matériels de sauvetage mis à la disposition d’un Bâtiment représentant
la contre valeur d’un capital très important dont l’Armateur qui en investi, manifeste sa
volonté de répondre aux normes de sécurité de la navigation exigées par la loi en la
matière.
Considérant la volonté manifestée par l’Etat pour assurer la navigabilité de sécurité, il
revient à tout Navigateur qui est par excellence le mandaté de l’Etat de protéger ces
matériels et outils et d’en faire bon usage.
Par définition, un matériel est un appareil ou une machines auxiliaires placé, fixé ou
mobile sur le bord d’un bâtiment devant être utilisé pour répondre au besoin de la
sécurité (par ex : Evacuer l’eau pour assurer la flottabilité du bâtiment ; Lutter contre un
incendie à bord ; Repêcher une victime passer par-dessus-bord ; …).
Il s’agit de :
• USAGE
Ils servent pour sauver le bâtiment lorsque celui-ci n’est plus maître de ses
manœuvres ou se trouve dans une situation d’insécurité.
Par exemple : En cas de dérive, des Avaries graves, de l’Incendie ou de Noyade
ou de Naufrage, ……
Des outils sont des instruments qui servent au montage d’un ouvrage devant répondre
au besoin de sauvetage en rapport avec la sécurité du bâtiment, des objets, des biens
ou des personnes.
Son usage est conditionné par une bonne adaptation de son fonctionnement (sa
description et son mode opératoire, ainsi que les risques qu’il représente).
La préparation de l’homme de bord est une priorité pour en faire bon usage en passant
par son identification et sa localisation (son Emplacement).
Raison à laquelle pour qu’un bâtiment soit déclaré en état de navigabilité (ou de sécurité
de la navigation) par l’Autorité Compétente, celle-ci procède à l’inventaire physique des
outils et des matériels de sécurité et relève une bonne adaptation à son fonctionnement
dans le PV de la visite technique effectuée ; la loi est très sévère là-dessus (Cfr Art.131 du
Code CEMAC/RDC).
Après utilisation, le Navigateur doit s’en tenir au nettoyage et à l’entretien des matériels
et outils utilisés et de les remettre chacun à son emplacement en vue de les garder dans
les conditions de sécurité recommandées, d’une part et d’autre part, de les préparer pour
un prochain usage.
Sources et causes :
La plus grande source des avaries citées ci-avant, ce sont les accidents de navigation
qui sont à la base et la vétusté du matériel ou des outils.
On peut citer :
D’abord les Accidents ( CHOCS = qui contient l’Echouage , Abordage , Collision
• L’Abordage ou la collision ;
• La Voie d’eau ou l’Infiltration ;
• L’Echouement ou l’échouage ;
• L’Epandage ou la Fuite ;
• Le Système Barre – Gouvernail ;
• Le Système d’Alimentation en eau ; en gaz ou en carburant, etc.
Par ailleurs, les causes sont aussi légion, mais nous pouvons les résumer en deux
groupes ci-après :
• Les actions dangereuses (les actions pour lesquelles l’homme serait à la base,
dûes aux actes posés par l’homme = manœuvres brutales, fatigue, négligence,
imprudence, incompétence, sommeil, usage d’alcool ou matières prohibées, …) ;
• Les conditions dangereuses de travail (dûes aux états des machines, de la Coque
ou des matériels de sécurité à bord, de l’aménagement et entretien des voies
d’eau) ;
Après avoir énoncé les sources et causes des avaries, il est de notre devoir de vous
informer de « comment déceler et réparer certains dommages qui surviennent pendant la
navigation » par un processus de contrôle à l’aide de certains matériels notamment :
la prévention c’est pour anticiper une situation = sondage de cale ( relever de sondage
de cales = document dans lequel le capt signe deux fois par jours)
• 1. LA PERCHE DE SONDAGE
Le concept « Sondage » vient du verbe sonder qui veut dire tester, vérifier, constater
l’état de …
Le sondage est une opération délicate qui consiste à mesurer la profondeur de l’eau ou
la hauteur d’un liquide (niveau d’eau, du carburant, … contenu dans un récipient).
Pour la réaliser, il faut faire intervenir un matériel appelé « Perche de sondage » dont
son utilisation nécessite une parfaite connaissance dudit matériel.
La « Perche de sondage » peut être une tige en bois ou métallique gradué à l’aide de
laquelle on procède au mesurage pour quantifier quelque chose qu’on veut tester,
vérifier ou constater.
Par exemple : - Reconnaître une passe de navigation ;
• Vérifier l’étanchéité d’une coque de bateau ;
• Vérifier la capacité d’un tank contenant les produits ;
• Etc ……
Tout Navigateur est sensé maîtriser les différentes opérations de sondage en vue de
vérifier les données ayant trait à la sécurité du bâtiment et de la navigation.
En ce qui concerne le sondage des cales, la tige appelée Perche de sondage, graduée
en cm par cm est utilisée pour permettre son utilisateur de constater le niveau d’eau en
cas d’infiltration dans les cales ( c’est un matériel de control ou de suivi de la situation
de l’état d’étanchéité de la coque ).
NB : Le capt doit surveiller etat de ces cales chaque matin et soir en signant le document
des cales
Le sondage des cales est une opération préventive qui permet au Navigateur de
constater une avarie à la coque manifestée par la présence d’eau dans les fonds des
cales.
Par ailleurs, il permet aussi au Navigateur de surveiller ou de contrôler l’évolution de
cette eau qui entame ou viole l’étanchéité de la coque donnant ainsi lieu au risque de
naufrage de l’unité ou de dommage de la cargaison.
Il motive le Navigateur à rechercher l’origine de l’infiltration en vue de la maîtriser pour
favoriser la sécurité du bâtiment.
N.B. : Lorsque le Capitaine constate qu’il y a présence d’eau dans l’une des cales, il a
l’obligation de rechercher le pourquoi de cette présence et d’en suivre l’évolution aux fins
de la maîtrise le plutôt pour éviter le pire.
Le Carnet de sondage des cales est un document administratif qui est tenu au jour le
jour (le matin comme le soir), et signé par le Capitaine et devant être présenté à toute
réquisition à l’Autorité Compétente en cas d’accident mettant en mal la sécurité du
bateau.
Cette opération permet au Navigateur de suivre, en outre, la stabilité du bâtiment.
Toute négligence dans l’accomplissement de cette opération est assimilée à une faute
lourde au vu des conséquences auxquelles l’unité est exposée.
• En cas d’abordage ;
• En cas d’échouement ou d’échouage ;
• Après pompage d’eau dans la cale ;
• Après avoir touché un snag ou un corps dur ;
• Etc ………
Celui-ci est une opération qui permet au Navigateur de relever les profondeurs les plus
importantes à l’aide d’un matériel appelée perche de sondage en vue de s’assurer d’une
meilleure franchise favorisant la navigation ou les manœuvres en cas de doute dû à la
fermeture des passes ou en cas d’échouement ou en cas d’échouage.
Il est aussi une opération préventive en vue d’éviter l’échouement en recherchant les
profondeurs favorables à la navigation ou en cas d’échouage ou d’échouement de
déceler les profondeurs favorables pour exécuter les manœuvres en vue de déséchouer
l’unité en toute sécurité.
C’est une tige en bois graduée de 20 cm à 20 cm. A chaque 1 m, elle est peinte de
couleurs différentes : noire, blanche et rouge avec ses subdivisions précitées (20 à 20
cm) bien visible à l’œil nu dans le but de bien relever la profondeur réelle.
Le choix de l’agent à affecter à ce service relève de la division du travail parce que cette
activité est embarrassante et peut devenir dangereux si l’agent affecté présente des
signes de fatigue.
• Il se tient entre les bittes d’amarre avant du côté du large ;
• Il mouille sa perche dans l’eau avec l’intention de toucher le fond tout en prenant
la précaution de ne pas passer par-dessus bord ;
• Au cas où il touche le fond, il prélève la profondeur et la communique
immédiatement au conducteur ;
• Le conducteur sur base de l’information reçue d’office oriente la direction du bac ;
• Si les données reçues sont fausses, le conducteur est d’office induit en erreur
avec toutes les conséquences qui peuvent en découler ;
• Au cas où il ne touche pas le fond, il appelle le conducteur à garder le cap.
N.B. : La bonne lecture d’une perche de sondage exige une bonne formation du
personnel pour éviter la mauvaise interprétation des données relevées et le risque de
noyade.
Dans le cas d’espèce, cette perche est une tige métallique graduée en mm par mm. Sa
longueur peut aller jusqu’à 5 m ou plus (cela dépend du creux du bâtiment)
CONCLUSION
Pour parvenir à un bon résultat relatif à la sécurité du bateau, des voies navigables et à
la gestion des stocks mis à la disposition du Navigateur, le meilleur investissement
demeure la formation de l’homme.
Le batardeau par sa définition, est une digue qui empêche l’eau d’entrer dans la cale
d’un bâtiment. Il est à noter que le caractère d’une coque de bateau affecté à la
navigation est l’étanchéité du fond pour favoriser sa flottabilité.
Dans le sens figuré, le bateau est aussi défini comme un flotteur. Quand le bâtiment
occasionne une infiltration ou voie d’eau, il cesse d’être flotteur et peut donner lieu à un
naufrage.
Raison pour laquelle, l’étanchéité de la coque d’un bateau est l’une des conditions
obligatoires à la délivrance d’un Permis de sortie conformément à l’art. 131 Code
CEMAC/RDC dont son correspondant est l’art. 32 Code RDC.
D’où, la construction d’un batardeau est conditionnée par la présence d’une voie d’eau
ou infiltration constatée.
• Outils
• Matériels
B) Construction du batardeau
C’est une technique qui permet à partir des outils et des matériels inventoriés ci-haut de
neutraliser l’infiltration et de colmater l’avarie par la construction d’une digue pour
empêcher l’eau d’entrer dans la cale.
• Faire échouer l’Unité sur un lieu sûr (banc de sable) ou stationner à la rive ;
• Localiser ou identifier l’infiltration ou la voie d’eau ;
• Si possible, commencer par gratter le lieu pour favoriser le colmatage ;
• Evacuer l’eau de la cale si possible ;
• Dégager le lieu de tout ce qui est encombrant pour créer une zone libre de
travail ;
• Neutraliser ou maîtriser le trou ou la déchirure par l’introduction des déchets de
coton ou sac imbibés de graisse ou un morceau de bois taillé quand il s’agit d’un
rivet sauté ;
• Au vu de la gravité de l’avarie, faire usage de la bâche de sauvetage ;
• Fabriquer à l’aide des planches un caisson ;
• Placer le caisson sur le lieu ;
• Faire usage du ciment à prise rapide (à verser sur le trou ou la déchirure
neutralisé) ;
• Placer un tuyau pour faire respirer votre batardeau s’il respire ;
• Rester sur place pendant 24 heures ou 48 heures pour que votre batardeau se
solidifie ou se consolide ;
• Dresser un rapport circonstanciel et transcrire l’événement sur le Journal de
bord ;
• Faire usage de la radio-phonie pour informer l’Autorité hiérarchique.
N.B. : Une fois constaté que l’infiltration est arrêtée, continuer l’expédition tout en
ayant le droit de regard sur ce ; c’est-à-dire la surveillance est de mise parce que le
batardeau peut céder après un choc.
CONCLUSION
Etant donné que la construction d’un batardeau est une technique, il y a nécessité de
former l’homme pour mieux s’acquitter de cette lourde tâche qui n’est autre que de
sauver le bâtiment et tout ce qui s’y trouve.
Etant donné que le bateau est un lieu de travail, d’une part et d’autre part, il est aussi un
lieu de vie pour les usagers qui s’y trouvent et le personnel y affecté. A ce titre, il est
possible qu’il survienne autres faits que ceux exploités ci-haut.
A cela, nous exhortons tout celui qui se choix le bateau comme résidence de pratiquer
l’hygiène pour sauvegarder la santé à bord et au Navigateur, de promouvoir l’entretien
ainsi la maintenance de circuit électrique à bord dans le but d’éviter les cas d’incendie à
bord. Dans le même ordre d’idée, de veiller aussi à l’état du système d’adduction d’eau
et de conduite de gaz à bord ; ainsi qu’à celui de transmission des mouvements et de
commande à bord.
CONCLUSION GENERALE