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Chapitre 1 : le PIB et la croissance économique

Section 1 : Mesurer l'activité économique


Le PIB cherche à mesurer la production effective des branches marchandes et non marchandes résidentes.
La production, pour pouvoir la mesurer, il faut qu'elle soit mesurable (une mère de famille qui s'occupe de
ses enfants n'est pas de la production alors qu'une mère de famille qui emploie une nourrisse c'est de la
production). Ce qui permet de mesurer la valeur marchande de la production c'est l'euro. Qui dit
production, dit échange et on va chercher à exprimer une valeur à travers la valeur monétaire. Les unités
institutionnelles produisent des biens et des services marchands. L'entreprise est une unité institutionnelle.
L'état ainsi que les administrations publiques sont également des unités institutionnelles mais les
administrations publiques produisent généralement des biens et des services non-marchand. Enfin les
ménages sont des unités institutionnelles. Leur fonction économique est de consommer. Mais les ménages,
sur d'autres marchés, travaillent c'est-à-dire l'apport, les compétences mis au service des institutions. Les
ménages peuvent aussi se confondre avec les entreprises comme les entrepreneurs, les artisans, les
commerçants ou les professions libérales. Et finalement on retrouve les ISBLSM (Institutions Sans But
Lucratif au Service des Ménages). Elles produisent des biens et des services non-marchand. Elles regroupent
les activités associatives. Cependant l'association peut être informelle, non déclarée et ne pas recevoir de
subvention. Elle est alors constituée de bénévoles. Elle ne sera alors pas assimilée à une production.
Lorsqu'on ne peut pas mesurer la valeur d'une production, elle est censée ne pas exister.
La production est marchande ou non-marchande. Par définition, toute production de biens est marchande,
c'est-à-dire qu'elle est destinée à être vendue. Les services eux, sont marchands ou non-marchand,
échangés à un prix au moins égal au coût de production du service. A côté des services marchands, il y a les
services non-marchand, c'est-à-dire que le bénéficiaire n'en paye pas le prix en contrepartie (ex : éclairage
public, école publique…) ceux qui paient ne sont pas nécessairement les bénéficiaires. Tant que le prix payé
par le bénéficiaire est inférieur au prix réel, le service sera qualifié de non-marchand.
Le PIB mesure la production effective des unités institutionnelles qui produisent des biens ou des services
marchands ou non-marchand au cours d'une année sur le territoire économique national quel que soit la
nationalité au sens juridique de ces agents économiques / unités institutionnelles. Le territoire économique
national est la France métropolitaine + les DOM + certaines collectivités d'outre-mer.
La production effective : prenons le cas de l’industrie : aujourd'hui, la plupart des activités industrielles sont
des activités complexes qui mettent en œuvre différent procédés, différents agents. Si on mesure la valeur
de la production d'une voiture sortie de l'usine, cette valeur est mesurée par la valeur à laquelle le
concessionnaire achète puis vend la voiture au client. La production effective c'est donc la somme des
valeurs ajoutées brutes.
La valeur effective est mesurée par branche et une branche représente un produit. La définition du produit
est plutôt étroite. Ex : la voiture a été achetée par un concessionnaire automobile. Il vend des véhicules
neufs mais aussi des véhicules d'occasion. On peut imaginer que le concessionnaire répare et entretient les
véhicules voire même il vend des accessoires ce qui n'est pas la même activité. La location de véhicules c'est
aussi une autre activité. Chacune de ces activités correspond à une branche à laquelle il faudra attribuer un
chiffre d'affaire en fonction de l'activité.
L'ensemble des valeurs ajoutées brutes des branches résidentes au cours d'une année sur le territoire
donne le PIB.
Le PIB mesure les valeurs ajoutées. La croissance économique mesure la variation du PIB d'une année sur
l'autre. Cette croissance est mesurée en pourcentage.
Plus le taux de croissance est élevé plus la valorisation du produit augmente et plus le prix du produit
augmente.
La valeur ajoutée correspond à un revenu de l'activité.
Les 3 manières de mesurer le PIB :

- Approche par la production : VA brute au prix de base + impôts sur les produits – subventions sur
les produits Il y a toujours une légère surestimation pour le PIB dû aux termes en euros courant.
La France est à la 5ème place au niveau économique mondial.
Production effective + importation = conso finale + FBCF + exportation + variation des stocks
VA + M = Cf + I + X + variation des stocks
VA = (C+I) + (X-M) + variation des stocks
Si ce qui a été produits est > à l’investissement = surproduction
Offre est toujours égale à la demande du moins dans la représentation schématique de l’économie.
O>D = offre excédentaire = surproduction= stock excédentaire
O<D = on a prélevé sur les stocks déjà existants
Sur le marché du travail, on a des secteurs d’activité dans lesquels on retrouve des métiers en
tension c'est-à-dire qu’il n’ya pas de chômage dans ce secteur-ci.

– Approche par la demande : dépenses en consommation finale + FBCF + exportations de biens et de


services – importations de biens et de services
Avec les importations, une partie de la demande est satisfaite. Exemple : grâce à l’importation de
vêtements en France, venant des pays asiatiques, une partie de la demande Française est satisfaite.
On sait que les ménages consacrent l’essentiel de leurs revenus à la consommation. Donc le PIB a
une certaine signification sur l’état de la demande. Cela donne une indication sur le PA des
ménages. Si PA des ménages s’améliore il y a plus de chances que ces derniers consomment plus et
que la demande augmente.
Si PA se dégrade, il ya des chances que cela affecte la croissance c'est-à-dire la variation du PIB. En
effet si les ménages ont un PA moindre, ils vont moins consommer et la demande va demander ce
qui va ensuite entraîner une baisse de l’offre. Cela aura ensuite des impacts sur les salaires.
A 85%, ce sont les ménages qui consomment la consommation finale sur l’ensemble du PIB.
Les ménages tirent par leur niveau de consommation l’économie des pays où le produit est produit
et le pays où le ménage réside.
La France est le pays de l’UE dans lequel le taux de consommation est le plus élevé (en Allemagne il
est d’environ 70% contre 85% en France).
Nous sommes dans une économie ouverte avec un taux d’ouverture de l’économie très élevé. Donc
si on ferme les frontières on risque de perdre beaucoup en termes d’exportation.
Coût de production = coût du travail + coût du capital
L’excédent brut d’exploitation c’est ce qu’il reste de la VA une fois que l’on a retiré les salaires.

– Approche par le revenu : rémunération des salariés + excédent brut d’exploitation et revenu mixte
brut + impôts sur la production et les importations – subventions

Chaque branche d’activité contribue à la VA car ds le processus de production, plusieurs branches d’activités
sont concernées. Le secteur tertiaire des services est de + en + présent dans le processus de production, il
correspond à ¾ de la VA. Alors que le secteur agricole est en nette diminution en ce qui concerne sa
contribution dans le processus de production. Il en est de même pour le secteur industriel, on parle alors de
la désindustrialisation. En effet si on regarde la production de service et la production industrielle dans la
VA, on voit que le secteur industriel est de – en – présent. Mais l’industrialisation était un phénomène
courant dans les années 50 suite à la fin de la 2nd GM, pendant la période que l’on appelle les 30 glorieuses.
Néanmoins cette apparente désindustrialisation doit ê nuancée.

Hypothèse d’une désindustrialisation de l’éco F


La différence entre la VA d’une branche et la production d’une branche sont les consommations
intermédiaires.
Conso intermédiaire traduisent le degré d’interdépendance entre les branches. La moitié de la production
(PIB) sont des consos intermédiaires spécifique à l’apport de chacune des branches. Conso
intermédiaire : valeur du PIB. Le degré d’interdépendance résidentes en F est élevé. = Forte
interdépendance entre les branches productives.

Production ds biens et des services qui contribuent à la production des autres branches autrement dit les
consos intermédiaires sont pas à négliger. Qd on regarde les branches on peut dégager des branches
stratégiques : celle qui vont tirer l’activité de production des autres branches : ex : secteurs automobiles : si
cette branche voit sa production augmenter, toutes les autres branches en amont vont voir leur production
augmenter également.

C’est un Instrument de prévision éco : ex : automobile va bien : toutes les branches d’activités vont en
profiter : production agm, emploi agm, conso agm…

Hypothèse de la désindustrialisation de l’éco F : Pib à travers de la VA : ¾ de notre PIB sont des activités
tertiaires : ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas de la prod industrielle : c une prod secondaire.

Si on regarde les évolutions en longues périodes : 1950 au lendemain de la 2GM, début des 30 glorieuses
(début de l’accélération de l’industrialisons de la F). A l’époque, le secteur tertiaire est déjà le secteur
dominant (5 milliards et 1.8 milliards pr les services non marchand) Quant à l’industrie (4.5 milliards) Dc en
1950 le secteur tertiaire c la moitié de la production effective. Agm du poids du secteurs tertiaire et
contribution apparemment négligeable de 4.5 sur 1949 milliards de l’agriculture à l’industrie. =
Tertiarisation de l’éco. Désindustrialisation de l’éco à nuancer néanmoins.

L’évolution de l’agriculture ds un pays qui reste le 1er pays agricole le + grand d’Europe occidentale devant
l’All = la F. Qui dit agriculture, dit place pour produire et il faut des habitants nombreux et riches (ceux qui
est le cas de la F) car agriculture destinée aux habitants. La F est grande, peuplée et riche dans l’Europe :
paradoxe de la présence de l’agriculture ds nos paysages, paradoxe d’un pays, d’un soc de conso qui prend
d’assaut les hypermarchés tous les jours = Sur-conso ds notre pays.

3 raisons du paradoxe :
Contrepartie de la VA : rémunération des facteurs de prod (travail, capital), si le cout de prod baisse, la VA
baisse or le secteur agricole est un secteur qui est pendant très longtemps (année 60) secteur manœuvre,
et aujd l’agriculture est quasiment sans paysans, tout est mécanisé. Secteur extrêmement innovant :
paradoxe de sa disparition par sa mécanisation qui va bien au-delà (électronique, robotique introduit dans
l’agriculture) On a dc dans la VA, du capital qui a la capacité de produire a des couts de production faibles,
produire bcp à des couts très faible. Or en 1950 l’agriculteur nourrissait 3 personne, aujd un agriculteur en
nourri 50. On produire + et moins cher or VA traduit cout de production, or si on produit – cher, la VA
baisse.

L’agriculture est un secteur subventionné, l’agriculteur oubli que son niveau de vie le doit aux subventions
publiques et en particuliers a la pol agricole commune versée par l’Europe. On est ds un secteur d’activité
qui est aujd largement subventionné, les agriculteurs ne peuvent pas vivre de leur production. Des prix
minimums sont garanti pour permettre aux agriculteurs de continuer à produire, mais c’est en contre partie
de ce que rapporte le secteur agricole. Si sur-conso c’est parce que l’agriculture est subventionnée. Certains
agriculteurs sont assimilés à des fonctionnaires cad qu’on leur fixe des quotas de production, des prix et leur
rémunération.

L’agriculture produit essentiellement des produits de base, et c’est l’acheteur qui fait le prix, car
concurrence : fait pression à la baisse des prix. Ex : Tomate peuvent ê acheté à l’hypermarché à toute les
chances d’ê une tomate hybride : conséquence de manipulations génétique et qui oblige l’agriculteur à
racheter chaque année de nouvelle semence car hybride stérile. Tomate : produit industriel.

La désindustrialisation, l’agriculture semble ici disparaitre : secteur + complexe que ce qu’il n’y parait,
secteur qui témoigne de la vitalité car agriculture est importante pour les autres branches. Agriculture ne
témoigne pas de l’industrialisation car industrie tjrs présente ds celle-ci.
L’industrie + construction (106 milliards) : secteur secondaire. Industrie qui semble rpz une part faible de la
VA et encore une part qui à tendance a diminuer de +en + significativement dans ls branches ds cette VA.
Cela témoigne-t-il de cette désindustrialisation ? Pour cela il faut aller voir du côté des services marchands
(services indépendants du secteur industriel) : la réponse est non. Les services (345 milliards d’euros).
Commerce, transport et logistique à regarder et non pas le tourisme (car peu de tourisme en F ou alors ciblé
ds la côte d’azur et Paris). La logistique devient un domaine de spé, c déjà un pôle de compétitivité :
propriété régionale dans la recherche et dev et dev de l’emploi : on subventionne université pour qu’elle
enseigne ds ce domaine. Région logistique (Nord ??) : on voit le lien entre commerce et transport. Or s’il y a
d commerce, il y a du transport et inversement et donc il y a de la logistique.

La tertiarisation apparente de l’éco traduit une transformation des conditions de la prod = s’appuyer sur le
cas de l’industrie. L’industrie ds les années 70 : E des prod réalisé ds ce secteur d’activité (de la branche) qui
produit des biens en ayant à cœur en privilégiant une stratégie qui consiste à contrôler toutes les phases de
la prod, en assurant a l’intérieur de la branche (et de chacune des e si possible) un maximum d’étape des
prod. On a des industrie qui produisent en grandes série de bien, ils embuchent un grand nombre de
salariés, l’e selon son organisation juridique a toutes les chances d’ê propriétaire (décideur stratégique) d’un
certain nombre de phase en amont et en aval de la production Ce schéma la de l’industrie (grande
industrie, bcp de salarié, assurer un max de la production avec les moyens propre de l’e) est un modèle en
voie de disparation Il est encore en partie en phase de croiss ds les éco qui s’industrialisent même si c’est de
+ en + rares Cette forme d’organisation disparait ds nos pays industrialisés : ce qui fait aujd une crise de
l’industrie On voit l’organisation de l’act de prod baissé dans notre pays. On est sur d’autres stratégie.

Ici mettre en évidence ce qui caractérise un nouveau modèle qui depuis 30 ans se dev et s’accélère depuis
15 ans basé sur la segmentation, l’extériorisation de la prod (externalisation de la prod) et qui se traduit par
ex les flux tendus (produit a transformé doit arriver au moment ou il fera l’objet d’une transformation et
derrière 0 stock : logique de flux et non plus de stock : toute une branche qui est impliquée ds la prod),
nécessité de maitriser les flux de produit (d’où importance logistique).

La segmentation : Par nature ce sont les éléments que l’on assemble, que l’on combine pour donner lieu à
nouveau produit qui lui-même est susceptible d’ê retransformer ou réintégré ds d’autres production. Ds
l’ancien modèle industriel cette segmentation se faisait à l’intérieur des usines cad ls chaines de montages,
chacune de cette chaine correspondante a une étape de la prod : produit tend vers le produit fini a chacune
des étapes Sans prétendre que l’on abandonné chaine de montage, celle-ci se rarifie Segmentation :
Division de la prod en phase mais prod désormais assuré par des unités de prod spé ds la technologie, le
savoir-faire, la connaissance nécessaire à cette phase. Petite e qui appartient à une multinationale, produit
des pots d’échappement pr l’industrie automobile ex : ces pot d’échappement (filtre : pompe pour pot
d’échappement : permet de réduire gaz a effet de serre) : sont le fruit de l’innovation, de la recherche et
dev, fruit de travaux scientifique qui profitent à l’industrie automobile mais profite aussi à d’autre branche.
E qui met au point ces filtre : c elle qui a apporté l’innovation. Phase de la prod qui sont des unités de prod :
Petite ou moyenne e. Innovation est ds ces petites unités de production.
On a prod qui devient de + en +, espace de prod de + en + spé.
Les interdépendances entre les unités de prod se renforcent sur in territoire internationalisé.

La segmentation va de pair avec l’externalisation : On a aujd des firmes autour des centres stratégiques,
financier… (autour de ces pôles stratégique, décisionnel) qui sont en termes d’affichage, de pol de marque
des géants de l’industrie et qui ne produisent rien, aucun bien industriel. = Cela est possible par
l’externalisation : c le fait de confier à des sociétés extérieures juridiquement
Au lieu de produire sans ses usines, les e vont produire dans des usines qui sont a même de produire tel ou
tel phase de la prod : c le client, celui a qui s’adresse les produits qui fixe les règles du jeu : je veux ca : qui
est capable de le produire : mettre en concurrence des fournisseurs : qui vont devenir des sous-traitant
(vont produire des biens que l’e veut).
Cette externalisation va + loin ds la prod : Personnel Renault Douai n’est pas un perso Renault par ex.
Equipment qui n’appartienne pas u à la firme, e loue un entrepôt, espace de prod aussi, elle loue ces
bureaux en tant de locateur. Equipements ne lui appartiennent pas non plus : équipement qui
n’appartiennent ni ds l’e ds laquelle on est ni à la soc à qui appartiennent ces équipements mais à l’e qui
loue ces équipement.

Cette segmentation et externalisation : va toucher le cœur même de la production industrielle. La


segmentation ne concerne pas que le cœur de la prod industrielle, elle va concerner les activités
périphériques, technique et amd. Si on réintroduit ces act ds ce qui est de l’activité industrielle il n’y a pas
de désindustrialisation : on aura un ouvrier, des e...

Section 2 : Les fluctuations de l’activité économique :


L’INSEE prévoit une croissance de 1.8% soit environ + de 40 milliards d’euros d’augmentation.
Peut-on accroitre durablement accroitre la production, tout en sachant que nous sommes face à des
contraintes qui sont en faveur d’une décroissance. On peut aussi plaider qu’il faudrait moins de croissance.
Il faut donc concilier toutes ces données. Si les revenus de la société augmentent, celle-ci c’est + prospère.
Les contenus de la croissance créent aujd + d’externalités négatives que positives.

3 années de récession qui marque cette période : 1975 / 1993 et 2009 : 3 années pour lesquelles le taux de
croiss a été négatif. Ce sont es épiphénomène cad que l’année suivante on retrouve des taux de croissance +
correcte. Autre chose : 1975/1993 récession limitée. 1993 : croissance atone : proche de 0 ce n’est pas vrmt
une période de récession. 2009 : récession marquée : -2.4% : récession significative.

1993 : tensions éco et pol. Tension pol : On est au lendemain de la guerre du golfe : ralentissement du
rythme de la croiss. Contexte marqué par le krach boursier de 1987 : diminution des liquidités des banques.

Dans cette phase d’instabilité en Europe en particulier et réorganisation de la production. Période


perturbée pol et éco. 2009 : récession directement qui est la conséquence de la crise financière.
Nos banquiers ont perdu.

Le rôle des révolutions industrielles, des innovations et tech dans l’explication des rythmes de d’activité en
longue période. Les 10 cycles seront étudiés plus profondément dans les années 30 par Schumpeter qui
sera le 1er véritable théoricien de la croiss.
Fait de mettre en évidence le rôle du progrès techniques : pour Schumpeter.
Kondratiev : Le rôle des révolutions industrielles, des innovations techniques et technologies dans
l’explication des rythmes de l’activité en longue période. Les 10 cycles seront étudiés plus profondément
dans les années 30 par Schumpeter qui sera le premier véritable théoricien de la croissance. Le père de la
comptabilité nationale en fr s’appelle François Pérou, il a traduit c=Schumpeter en français et a contribué à
faire connaitre dans les années 50 Schumpeter en fr. Ce sont des gens qui ont contribué à créer les outils
analytiques, statistique. L’apport de cet auteur par rapport à d’autre contemporain plus important dans son
temps lui mm est de mettre en évidence le rôle du PT qu’on qualifie ojd plus volontiers d’innovation car ce
n’est pas qu’une série d’innovation technique mais c’est une autre façon de penser l’activité, c’est une
segmentation organisationnelle. Ex : l’ordi c’est une autre manière de travailler. Qd Schumpeter parle
d’innovation il dit que l’innovation génère d’autres innovations qui sont des conséquences sur les savoirs,
d’autres compétences apparaissent.
Les secteurs qui s’appuient sur ces innovations prenne tune part du marché de plus en plus important
contribuant à soutenir un ensemble de la production. Les secteurs qui deviennent dominant sont ceux
qu’innovent comme ceux qui utilise l’informatique. L’usage mm des ordinateurs contribue à modifier la
nature de la production, tous les segments de l’économie. On va avoir au bout d’un certain temps un degré
de diffusion de ces innovations telle que la croissance n’est plus possible sans elle ce sont ces innovations
qui sont au cœur de cette croissance. On va voir un ralentissement des effets de l’innovation portant à un
degré de stabilisation, à partir de la le rythme de l’activité descends, ca ne veut pas dire qu’on produit moins
mais que le rythme baisse, l’accroissement est plus faible au point que les investisseurs (grandes firmes,
banque, holding) voyant la rentabilité décroit, plafonner vont chercher a réorienter leurs savoir vers
d’autres secteurs plus porteur de croissance et notamment vers d’autres secteurs innovants. Encourager la
recherche sur l’innovation permet de sans cesse retrouver une phase de croissance. Ainsi après une phase
de ralentissement qui peut provoquer le déclin de certains secteurs, a un certain nombres d’autre secteurs
croient grâce a de nouvelles innovations qui affectent d’autres secteurs d’activité et qui croient aussi. Des
secteurs porteurs d’innovation contribue à tirer la croissance. Schumpeter appelait ça un processus de
destruction créatrice. La destruction est dans le faite que l’innovation se banalise alors déclin de secteur et
au profit d’autre secteur.
Jusque dans les années 1980 l’innovation par Solow dit que c’est une main tombée du ciel, cad saisir des
opportunités. Depuis les années 80, l’innovation est recherchée comme condition stratégique du
développement des firmes à travers « La recherche et développement » pour chercher des sols à des
problèmes qui contribue à faire avancer les techniques, les connaissances, a améliorer les processus
productifs. C’est devenu un enjeu éco la recherche et développement.

Théories de la croissance :
Les 1ers travaux sur la croissance, datent du début du 19ème. Dans l’absolu ce ne sont pas les 1ers mais ce sont
ceux que nous allons étudier.
Jean Baptiste Say : industriel issu d’une famille de sucrier. Il va rencontrer en Angleterre Ricardo lui aussi
industriel. Ricardo est anglais et il est l’auteur des principes de l’éco pol : 1er véritable traité de l’éco. Say qd il
revient en F avec la restauration va diffuser les idées de Ricardo, il sera le 1er à enseigner l’éco pol au collège
de F mais ses apports c surtout une vulgarisation des classiques anglais et l’intérêt de cette vulgarisation c
que sa lui permet de faire une synthèse des idées de Malthus (maintenir au déjà du salaire de subsistance
un certain niveau de vie pour chacun) et Ricardo (fav au salaire de subsistance : conditions sociales qui
contribuent à le fixer). Say va dev une 1ere théorie de la cour connue sous ele nom de ‘’loi des
débouchée’’ : résumé : tout offre créer les conditions de sa propre demande. L’idée : toute prod génère des
revenus c revenus constituent une demande qui viendra s’ajuster à la production initiale. = Demande vient
s’ajuster à l’offre. En générant des revenus et de la d le circuit éco participe à s propre reproduction : fav le
renouvèlement de l’acte et de la croissance. Le revenu, soit il est consommé soit épargner, s’il est épargné
(Chez Say) c parce que ceux quid détiennent un revenu ont intérêt à épargner et ils ont intérêt a épargner si
le taux d’intérêt qui rémunère l’épargne est élevé (chez Say c’est le principal déterminant de l’épargne) mais
il faut avoir du revenu pour épargner quel que soit le taux d’intérêt. + le niv de l’épargne est élevé + existe
de liquidité susceptible de financer investissement. + l’épargne est abondante + le crédit (l’offre de
monnaie) sera avantageux. Et + l’accès au crédits (emprunts) sont avantageux, + l’épargne peut s’engager
directement ds le capital des e via l’actionnariat. Soit indirectement par l’intermédiaire du crédit. +
l’épargne est imp, + les banques ont intérêt à prêter. Mieux vaut dit Say, rémunérer l’épargne. Or tout
investissement constitue une aug de la capacité productive. = + investissement = capital productif = + de
production. En fonctions des comportements d’épargne, le taux d’intérêt est une variable d’ajustement qui
permet de dégager un taux d’épargne correct. + le capital est de marché, - de capital coute cher, et + ce qui
produisent auront intérêt à le faire. Ce qui n’est pas épargné ou directement investi sera consommé. Prod
destinée au dev indus, aux infrastructures ou a la production de biens de conso = prod de l’époque.
Minimum de conso Conso de subsistance pour vivre : se loger, se nourrir… Pour Say et Ricardo ce qui
permet à cette conso de se dev c pas tant l’amélioration des salaires (doivent se fixer au minimum de
subsistance pour eux 2) mais la baisse des prix ) en vendant – moins cher possible, et bien le pouvoir
d’achat aug et la conso va aug : cette conso permet débouché à la pod mais elle permet aussi d’améliorer
les conditions de vie des gens (notamment pour le prolétariat : ceux qui travaillent) si les prix sont au plus
bas, les prolétaires se nourrissent mieux = ils seront en meilleure santé = ils travailleront + = + nombreux sur
le marché du travail ) la concurrence entre eux : concurrence salarial sera garantie= il seront payé un tout
petit peu – cher = on va pouvoir les faire travailler ds des conditions + fav car + nombreux et en meilleure
santé. On a du travail aug +, + de salariés et pas de hausse de salaire. Les salariés doivent travailler pour
vivre et les e ont intérêt à les embaucher car le salaire est tiré vers le bas = + le cout des travaux est faible +
les e ont i a embaucher. Coup du capital faible car épargne peut fiscaliser : les e vont aug leurs stocks de
capital augm niveaux du travail = cela permet à nouveau de produire + à des conditions de cout + rentables
= gains de productivité qui permettent de mesurer d’autant plus les débouchés, prix et débouché étant
maintenus au mieux. Cette loi des débouchés est emblématique de cette approche par l’offre qui encore
condition de tout un discours sut le fait que le niv de la prod et du PIB dépend fondamentalement des couts
de prod.
Faudra attendre, 1 siècle pout que cette loi des débouchés soit en partie remise en cause, fortement
nuancée par un éco anglais qui se réclame plutôt de Malthus que de Ricardo et qui est Keynes (1883 :1946 :
éco anglais de la 1ère moitié du 20ème, qui est prof d’éco spé des ? monétaires à l’université de Cambridge et
sera également un h pol important, députés, plusieurs fois ministre, ministre de l’éco et il sera à la tête de la
délégation britannique lors du traité de Versailles, à gène (conférence monétaire import). Il va marquer la
connaissance éco contemporaine. 1964 : cous d’éco pol qui évoque Keynes à la sorbonne, avant cette date il
est inconnu. C’est pas un théoricien de la croissance, pour autant dans la théorie générale il s’en prend à la
loi des débouchés pour dire que l’idée selon laquelle il suffit de produire pour qu’il y est une demande est
une idée contestable : il inverse la proposition comme le proposait Malthus :il faut créer les conditions de la
d pour qu’il y est production. C’est parce qu’il y a une demande potentielle (effective) qu’il y aura
production. De + (2ème critique) , c’est l’idée selon laquelle la demande viendrait s’ajuster à l’offre. Il n’y
aucune raison, pour que la demande de capital, de bien de conso, d’investissement correspondent
exactement et en permanence à ce qui est produit et dispo sur le marché. Pas de raison que ceux qui
achètent ou investissent viennent acheter très exactement ce qui aurait déjà été produit et qui serrait à
disposition du marché. = déséquilibre entre offre et demande.
De + (3ème critique) , chez Say, l’enchainement c production=, revenu= demande ; or ce schéma la n’est pas
vérifié. Produire c combiné les facteurs de production (capital et travail), les théories de la croiss insistent
sur l’importance de cette combinaison prod : la rpz la + banale de cette relation contributions des facteurs
de prod, niv de prod c l’équation de Douglass = la prod (y) : Y = f(K, L) prod déterminée par les facteurs de
prod travail et capital.
Pour réaliser Y (niv de prod) il faut 2 facteurs de prod capital (K) et travail (L). On peut déterminer la part du
travail par opposition à celle du capital donc pour produire il faut une certaine quantité de capital exprimée
par le coefficient (alpha) et ce qui n’est pas capital est travail cad que l’apport du travail c’est 1- alpha. Ce
qui n’est pas capital est travail et ce qui n’est pas travail et capital. Pour produire une faut une certaine
quantité de travail et capital. On retrouve cette idée que produire c’est d’abord complémentarité mais aussi
substitution des facteurs de prod. Plus facteurs de prod élevé prod est efficace.
On retrouve dans ‘’théorie de la croiss’ dev ds en 1948 car l’éco lui aussi prof Cambridge, contemporain de
Keynes qui est Harrod. Harrod est à l’origine d’une théorie de la croiss dont on trouve des inspirations
keynésiennes. Sa théorie st largement inspiré d’un certain nombre d’hypothèse qui sont des hypothèses
keynésiennes. Harrod s’appuie sur les hypothèse keynésienne, cad qu’il envisage la possibilité d’un équilibre
de sous-emploi, certains facteurs de prod peuvent ê sous-utilisés. Il ya dc un déséquilibre structurel entre
niv de la prod et de la demande d’investissement et de conso cad qu’on va avoir une instabilité des prix.
Harrod de ce point de vue-là est fav à un contrôle des prix au fait que pour soutenir la conso en particulier il
est nécessaire d’avoir une stabilité des prix car si les prix sont stables, les consommateurs vont ê incité à
consommer or l’équilibre sa suppose l’instabilité ds prix or ca ne marche pas, on doit accepter qu’il y est des
ajustements permanant entre l’offre et de la demande que le prix ne peut pas corriger. Nécessaire de
stabiliser les prix or déséquilibre prédomine : équilibre au fil du rasoir pour Harrod. Pour Harrod le taux de
croissance effective va dépendre du taux de croissance garantie et le taux de croissance naturel. Le taux de
croiss garantie c’est un taux de croissance théorique et potentiel atteint quand toute l’épargne est réinvestie
sous forme d’investissement dans l’économie. Le taux de croissance naturel : considéré l’impact des
évolutions démographiques, c’est d’une part l’augm de la pop active qui dépend de l’aug de la pop qui
détermine un niveau de demande : démographique : 1er facteur de la croissance. Dans l’idéal le taux de
croissance devrait ê égale au taux de croissance démographique. Taux de croissance effective, en fonction e
la combinaison prod mais aussi des possibilités de substitution du capital au travail quand la machine
remplace les hommes, et bien on a une croissance qui va varier entre taux de croissance naturelle t
garantie. C’est la complémentarité dans certaines conditions du capital et du travail, et dans d’autre
condition la substitution qui va donner le taux de croissance effectif. Taux de croissance effectif varie entre
taux de croissance naturel et garanti.
Ds la continuité des travaux de Harrod, s’inscrivent les apports du model de Robert Solow, éco américain.
Modèle de croissance de Solow. Il est + optimiste que Harrod pour qui voit en croissance une possibilité de
dépasser ce que les classique appelée l’état stationnaire. Ds son modèle le rendement des fdp est
décroissant : + on produit, + une unité de production aura un gain de productivité de + en + faible. Les
rendements sont décroissants cad que + on produit + le cout de production d’une unité supplémentaire
s’élève jusqu’au moment ou produire une inité supll souterai + cher que ce que rapporte la vente de cette
unité. A terme, l’hypothèse de l’état stationnaire se pose : niv de prod indépassable Pr dépasser cet état, il
faut de l’innovations. Solow est le 1er a mettre l’innovation au cœur des théories de la croiss. Innovation :
produire autres choses, produire autrement. Solow va tester l’impact de l’innovation pr une éco en
l’occurrence américaine avc une étude célèbre qui date années 80/90 qui porte sur l’impact de
l’introduction des ordis ds l’éco américaine. Solow dira que les ordis sont partout sauf ds la productivité de
l’éco américaine c ce que l’on va appeler le paradoxe de Solow. Paradoxal c le fait que les ordis permettent
de travailler + vite, permettent de nouvelles applications de nouvelle prod en économisant des couts, en
réduisant ds certains secteurs la manouvre, donc o, devait avoir des gains de prod or c ce qu’il ;écrit en
1987 : qq année que USA intègre informatique ds sa production et on observe pas de gain de prod au
contraire les cout de prod ont tendance a aumg plus vite que la VA. A partir de 1994/95, une autre étude
menée par Solow montre que l’éco américaine réalise des gains de prod dans les secteurs qui ont largement
intégrée l’informatique + ordi. Solow dira le paradoxe est levé. Ont fini au bout d’un certain temps à
mesurer enfin des gains de prod. Entre le moment ou les ordis sont intégré ds les firmes et le moment ou
cela se traduit par des gains de prod : c une période de remise en cause parfois très profond ds confitions
de la prod, avec des conséquences aussi sociales : réduire emplois, main d’œuvre: chô = conséquences éco
et sociales Il faut aussi se former à l’informatique, il faut des formateurs pédagogues = tout cela prend du
temps, ça coute de l’argent, avec des faillite, des e qui ont raté le virage de l’informatique et qui vont se
retrouver obsolète. Tous ces effets micro et macro éco se combinent pour avoir d’abord un effet négatif
avait de générer de la croiss et des gains de prod. Pour autant Solow n’explique pas l’origine du progrès
technique et de l’innovation : pr lui c une male tombée du ciel c la providence.
Ce qui vont s’ ? au contexte fav à l’innovation et croissance se sot es théoriciens de la croissance endogène.
Il y a 2 dimensions ds les apports théoricien de la croissance endogènes. = il faut regarder ds la logique
même du fonctionnement de ‘l’éco, els raison qu’il y a ou pas de la croissance éco.
1ère dimension est socio-pol : éco n’est pas quelque chose de hors sol, on peut faire de l’éco comme on fait
de la bio ds un labo, en prenant de hypothèses ds cet univers avec des mécanisme logiques. Les théoriciens
e la croiss nous disent qu’on ne peut pas traiter de la croissance hors sol, on est ici dans un contexte de
croissance socio-pol. Et que pr comprendre mécanismes de la croissance, comprend ce qui a git sur la
combinaison prod c les rapports entre travail et capital : or rapports non neutres : il ya des rapports de
domination. On est ds une réalité ds syst éco qui a ses logiques et il faut tenir compte de tout cela. Travail et
capital non homogène. Critique sur la logique un syst : suyt qui a tendance à privilégier une vision par
l’offre. Travail + flexible que le capital, travail est + exploité. Travail domine pol sur le capital, travail variable
d’ajustement + flexible que le travail.
2ème dimension : le fait que pour ces théoriciens, la croissance est un phénomène auto-entretenu : par
accumulation de 4 facteurs qui générer de la croiss :
- Facteur physique : Homer montre qu’en investissent ds de nouvel équipement, une firme se donne
les moyens d’augm sa prod mais aussi la prod d’autres firmes. Diffusion des méthodes (travail à la
chaine issue de travaux théorique : Thélotisme).
. La technologie (innovation): contrairement à Solow l’innovation ne tombe pas du ciel, l’innovation
technologique relève de la recherche et dev c en cherchant a résoudre des pb que les firmes apportent des
réponses à ses pb et contribuent l’innovation qui va a travers le capital physique va se diffuser et ses
réponses vont trouver des applications. L’innovation se diffuse et elles s’accumulent et par effet auto-
entretenu permet de soutenir l’activité = accumulation de savoirs faire.
- Le capital humain : diffusion des connaissances. C’est E des capacités acquise qui accroit son
efficacité productive. Le travail il faut l’appréhender comme un capital ds lequel il faut investir par la
formation. = Becker. Le travail est un capital qu’il suffit de valoriser. Vaut mieux bien rémunérer ses
salariés pour avoir des gains de prod en retour plutôt que l’exploitation, le mépris.
. Le capital public : Recherche, formation, existence d’une protection sociale (bien ê de ce qui doivent
travailler). Il ya des services publics, contexte, la justice, la santé, la sécu, infrastructures publiques
(transport + vite…) = Croissance. … tout cela est fondamental.
Combinaison des 4 facteurs est fondamentale.

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