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Macroéconomie

Introduction : « L’économiste doit être un mathématicien, historien, homme d’état, philosophe… aussi de mêlée et
incorruptible qu’un artiste et pourtant, parfois aussi proche de la réalité qu’un dirigeant » J.M Keynes

La science économie est une discipline perfectible. Discipline de devenir et créative, donc perfectible. Pourtant échec de
la discipline en 2008. Acquérir des méthodes d’analyse, utile pour la future occupation professionnelle au-delà de
l’analyse économique.

Adam Smith 1776 La « main invisible » le soucis de la qualité ne vient que du propre intérêt de chaque personnes qui va
concourir a l’intérêt général « ce n’est pas de bienveillance du boucher, du brasseur ou du boulanger, que
nous attendons notre diner, mais de leur attention à leurs propres intérêts. »

Microéconomie : étudie les comportements d’agents individuels et les résultats de leurs interactions

Macroéconomie : analyse la formation et l’évolution des grands agrégats ( taux de chômage, PIB ? rôle de la monnaie,
inflation, croissance économique, etc.)

Deux grands axes :

1. Comment un marché fonctionne-t-il ?


 Quelles sont les logiques de nos choix de consommation ?
 Comment le producteur maximise-t-il son profit
 Comment le marché assure-t-il l’adéquation entre choix des consommateurs et choix des producteurs
2. Pourquoi un marché peut-il mal fonctionner ?
 La concurrence est imparfaite
 La présence d’effets non marchands induits par l’activité économique
 La recherche de l’intérêt individuel ne mène pas nécessairement à l’intérêt général

Le contenu du cours de macro :

1. Les relations de court terme entre les grands agrégats écomiques : PIB, chomage, inflation
 L’exercice de la politique budgétaire et monétaire
 La politique de change en économie ouverte
 Les réformes structurelles de moyen terme
2. La croissance économique de long terme
 L’accumulation du capital explique la croissance de long terme
 Et si le principal capital était avant tout humain
 Les fondements de la croissance : recherche, infrastructures, institutions

L’Homo economicus :

 Pareto (1909,1916) division du travail entre différentes disciplines scientifiques


 Une pierre peut par exemple être analysée sous différents angles
 L’économie pure s’intéresse a la nature économique du comportement de l’individu et peut donc faire
abstraction de considérations psychologiques.
 L’économie appliquée doit ensuite agréger les résultats de l’économie

Les questions de la macroéconomie :

 Pourquoi le monde est il entrée en crise profonde en 2008 ?


 Pourquoi certains pays ont des taux de chômage élevés, alors que d’autres jouissent du plein temps ?
 Quels sont les risques d’une guerre commerciale généralisée entre les EU et le reste du monde ?
 Les inégalités croissent elles entre pays ? au sein d’un même pays ? si oui pourquoi ?

Chapitre 1 : Les grands agrégats macroéconomiques


1. Le produit intérieur brut – PIB
 Définition du PIB
Une voiture est supérieur en valeur ajoutée qu’une baguette de pain. Quelle est la taille du PIB, qui a produit, qui la
consommé.
Le PIB est la valeur marchande de l’ensemble des biens et service finals produits dans un pays au cours d’une période
donnée( généralement annuelle, mais elle peut etre trimestrielle)
 Valeur marchande ; additionner la production de pommes, d’oranges, d’ordinateurs, de voitures, donc de tous
les biens finals, au prix du marché
PIB=Y=∑Qi.Pi pour le cas de la France i peut aller jusqu’à 60 000
Ensemble des bie s et services finals. Sont pris en compte seuls les biens et services finals
Une identité comptable CI+VA = production vendue
Definition de consommation intermédiaire
Les consommations intermédiaires sont l’ensemble des biens et services qui sont consommés par les
entreprises dans leur activité de production et incorporés au produit
Definition de valeur ajoutée
La valeur ajoutée est la valeur marchande ajoutée par l’entreprise lors de son activité de production. Elle est
égale a la valeur de la production diminuée des consommations intermédiaires
 Imaginons une économie avec deux entreprises ou on produit des tables. La première entreprise produit le
bois, la seconde entreprise achète le bois, fabrique les tables et les vend aux consommateurs finals
o bien intermédiaire le bois du bucheron
o bien final : les tables du menuisier

En euros bucheron Menuisier


ci 0 100
Va 100 150
Production vendue 100 250
 pib est la somme des valeurs aoutées de toutes les entreprises d’un pays, pour une période donnée.
 Le pib est la valeur marchande de l’ensemble des biens et services finals produits dans un pays au cours d’une
période donnée
EXEMPLE :
 Exemple si Peugeot la 207 produite en France  PIB français
 Si Peugeot produit la 207 produite en Roumanie  PIB roumain
 Pour une période donnée. Habituellement une année (PIB en une année)
L’intérêt du PIB est de comparé les pays entre eux.
Le PIB est exprimé en $
Photo graph PIB

 Les trois approches du PIB

Menages entreprises

 Les menages
 Les entreprises
 Les administrations publiques
 Les pays étrangers
importent des biens et services
exportent des biens et services a l’etranger

Photo téléphone flux monétaires

Le PIB est également la somme des dépenses :


Y=C+I+G+(X-M)
I est investissement des entreprises
C consommation des ménages
G dépenses publiques
X exportation a l’étranger
M importations depuis l’étranger
X-M exportation nettes

Le PIB est également la somme des revenus :


Y=W+EBE+T=Yd+T
W salaires et traitements, cotisations sociales a la charge des employeurs
EBE excédent brut d’exploitation
T impôts indirects

Conclusion : pourquoi le PIB est-il brut ?


 L’investissement est une composante du PIB
 Deux objectifs
 accroitre la capacité de production
 Remplacer le capital déprécié
 Le remplacement des vieux équipements n’a pas pour vocation l’accroissement de la capacité de
production
 Le PI net est celui qui prend en compte la dépréciation du capital, donc l’investissement net
 Or d’une année a l’utre les prix changent
 Définition du pib réel : le pib réel est une mesure du pib basée sur l’utilisayion des prix d’une année
particlière, dites année de base ou année de référence
 Le pib réel s’appelle également le pib en volume. Il est mesuré a prix constants d’une année de bas
choisie arbitrairement. Il se distingue du pib nominal qui mesure a prix courants. On parle de pib de
valeur.
 taux de croissance=g = (Yr(t)-Yr(t-1)) /Yr(t-1). 100
 le pib réel permet de détecter les cycles économiques
 on appelle cycles économiques les fluctuations du pib réel. Chaque cycle est composé de deux
phases et de deux tournants
 si d’une periode a l’autre, le pib réel augmente, lors l’activité économique est dites
 le pib ne prend pas en compte :
 la production domestique
 l’économie souterraine
 l’espérance de et la santé
 le temps libre et loisirs
 la qualité de l’environnement
 la liberté politique
 les inégalités sociales et professionnelles
 le pib réel est une première approximation acceptable. Le pib réel par habitant reste l’indicateur de
bien être le plus couramment utilisé

l’inflation

 l’inflation désigne une hausse généraise des prix des biens et services, sur une période donnée
le déflateur
 le déflateur du PIB noté Pt, se définit comme le ratio du PIB nominal au PIB réel
Pt=PIB nominal/PIB réel= ∑i Qit. Pit/ ∑i Qit. Pit

Le déflateur du pib mesure le niveau général des prix


Pour l’année de base (b=t) il est égal a 1

L’indice des prix de la consommation


 l’indice des prix a la consommation est une autre manière de calculer le niveau général des prix
 il s base sur un ppanier de biens représentaif du consommateur
 ce panier de biens est rvéisé tous les ans
 comme le déflateur du pib pour l’année de base il est egal a 1
ils sont similiares
 tous les deux mesurent des prix moyens
 repose tous les deux sur un panier de bien et service
ils sont différents
 le panier de IPC est tenu constant, pas celui du P
 différence de paniers
 B et S domestiques vs B et S en partie importés
 La nature de l’indice est différent

Les avantages de l’inflation


 Le seigneuriage : financement de G par la création monétaire
 Relance de l’investissement car l’emprunt devient moins cher
 L’illusion nominale : facilité des mesures impopulaires contre le salaire réel

Les couts de l’inflation


 Les distorsions fiscales : les plus-values / tranches d’impot
 Baisse de l’offre monétaire : aller-retour fréquent avec la banque
 L’illusion nominale : erreur sur les valeurs réelles
 La variabilité de l’inflation : augmentation du risque sur les actifs financiers
 Les distorsions des prix relatifs : l’inflation n’est pas égale pour tous les biens

Les risques d’une inflation trop forte ou trop faible


 Hyperinflation : si inflation trop frote, risque de perte de confiance dans la valeur
de la monnaie, et fuite devant la monnaie
 Allemagne 1922-23 Hongrie 1945-46, Zimbabwe 2000-2008
 Déflation : cas d’une inflation négative le niveau général des prix baisses, vec un
impact négatif sur l’investissement, la consommation courante et l’activité
 Crise des années 1930s, Japon 1990s

3) le taux de chômage

Définition : en application de la définition international adoptée en 1982 par le bureau international du travil
BIT, un chomeur est une personne en âge de travailler qui répond simultanément a 3 conditions :

 Etre sans emploi c’est-à-dire ne pas avoir a travaillé ne serait ce qu’une heure une semaine référence
 Etre disponible dans les 15 jours
 Chercher activement un travail ou en avoir trouvé un qui commence ultérieurement

Population totale :

 Population qui n’est pas en age de travailler


 N : population en age de travailler, avec en son sein :
o O : population inactive
o Population active avec en son sein :
 E : population active occupée
 U : population active inoccupée (chomage)
Taux d’activité :
populaionactive
taux dactivité =
population en age de travailler
ou
L
p=
N

Taux d’emploi :
popultion active occupé
taux d ' emploi=
population en age de travailler
ou
E
e=
N

Taux de chômage :
population active innocupée
taux de chomage=
population active
ou

U
u=
L
La loi d’okun : la relation entre le chomage et le pib
 La loi d’okun décrit la relation linéaire négative qui existe entre taux de croissance du PIB et
la variation absolue du taux de chômage
 La croissance ne fait diminuer le taux de chômage que si elle dépasse un seuil critique positif.
1. La population active augmente
2. La productivité du travail augmente
 Cette relation est propre a chaque pays et n’est pas stable dans le temps

La courbe de philips : la relation entre chomage et inflation


Définition de la courbe de philips

 La courbe de philips représente la relation négative entre le taux d’inflation et le taux de chômage
 Elle représente l’arbitrage macroéconomique majeur du court terme
 Echec de politiques économiques se basant sur la courbe de philips
 Très efficace dans les années 1960, la relation est devenue lâche en 1970 avec la stagflation

Définition de la stagflation : la stagflation représente la présence conjointe d’un taux de chômage


élevés, résultant d’une croissance molle ou nul, et d’une inflation élevée.

Conclusion :
 Le pib es la principale variable économique d’intérêt
 Le pib est une mesure des richesses créé pr une économie pour une année donner
 Les variations de prix doivent etre prises en compte pour mesurer le pib réel
 Le pib par habitant permet de comparer les niveaux de vie
 Il existe plusieurs indice de prix. Parmi eux le déflateur du pib et l’IPC sont les usités
Chapitre 2 : le marché des biens et services

1. les fluctuations macroéconomiques


comment expliquer les fluctuations macroéconomiques ?
2. les sources de fluctuations macroécnomiques

les comportements des agents face aux chocs macro

 pour comprendre les fluctautions de l’ »conomie, il est nécessaire d’etudier les variations des
différentes composantes du PIB et le comportement des agents dans l’économie
 les économies sont affectés
 production = demandes globales
 ls taxes sont une recette fiscale de l’etat

voir diapo tony

la fonction de consommation de keynes


Pour Keynes quand on augmente le revenu des ménages ils ont tendances a augmenté leur consommation.
Une part de ce que l’on va nous donner par exemple 100€ on a dépensé 90€ et épargner le reste.
 La consommation dépend du revenu disponible et du taux d’intérêt : C=C0+C1(Y-T)-C2.i
 Par simplicité on exclu le rôle du taux d’intérêt
 La consommation ne dépend que du revenu disponible : C=C0+C1(Y-T)=C0+C1.Yd
 C0 : la consommation autonome, incompressible
 C1 : la propension marginale a consommer par le revenu
 C2 : la proportion marginale a consommé par l’emprunt
La propension marginale a consommer
 Loi psychologique qui veut qu’une partie du revenu est consommée, l’autre épargné
 La propension marginal e a consommer est toujours comprise entre 0 et 1
 Empiriquement, elle est estimée entre 0,4 et 0,7
 Disparités en fonction des richesses
 Elle est d’autant plus élevé que le revenu est faible
 Propension proche de l’unité pour les ménages pauvres rationnés sur le marché du crédit
 La propension marginale a consommer
 Conclusion sur la consommation
 La consommation des ménages représente environ 60% du PIB vu comme
 la somme des dépenses
 Essentiellement déterminée par le revenu disponible et le taux d'intérêt
 La consommation autonome c0 ne depend ni du revenu disponible ni du
 taux d'intérêt
 La propension marginale c1 repr_esente la part de l'accroissement de
 revenu dédiée _a la consommation
 La propension marginale c1 est comprise entre 0 et 1 : 0 < c1 < 1
 Elle est d'autant plus faible que le revenu est _élevé_
Définition investissement : l’investissement, appelé également formation brute de capital fixe,
regroupe l’ensemble des dépenses brutes des entreprises pour accroitre leur stock de capital
productif

 A court terme, composante de la demande globale : achat de biens d’équipement, capital physique
 Composante essentielle, dans les fluctuations de l’activité économique
 Investissement privé représente 15/20% de la demande globale
 Mais composante beaucoup plus volatile que la consommation

Les déterminants de l’investissement

 Role essentiel des anticipations des entrepreneurs


 L’investissement accroit les capacités de production futures et dépend donc des débouchés courants
et anticipés
Niveau du taux d’intérêt : effet négatif
 Si les entreprises ne disposent pas de fonds propres pour acheter un bien d’équipement, elle doit
s’endetter aux taux d’intérêt en vigueur
 Si l’entreprise dispose de fonds propres, elle peut préférer les placer sur le marché financier au lieu
de d’accroitre ses capacités de production

I = I (Y,i)
 Effet positif des ventes courantes et anticipées Y
 Effet négatifs du niveau du taux d'intérêt i
Conslcusion sur l’investissment
 L’investissement des entreprises représente envirion 15% a 25% vu
 comme la somme des dépenses
 Déterminée positivement par le revenu anticipe
 Déterminée négativement par le taux d'intérêt
 Il est extrêmement volatile et peut donc avoir un impact tr_es important
sur le PIB

Les dépenses publiques

 Les dépenses publiques (hors Sécurité Sociale) représentent


 près de 20% de la demande globale (infrastructures,
 rémunérations, etc.)
 Les dépenses publiques G et la fiscalité T sont des paramètres
 de politiques _économiques dont dispose l'Etat pour stimuler la demande et l'activité
_économique
 La demande agrégée s'écrit
 DA = c0 + c1(Y - T) + I (Y ; i) + G
 Les leviers G et T définissent ensemble la politique budgétaire
 En augmentant les dépenses publiques G, l'Etat stimule
L’activité économique
 En diminuant les dépenses publiques G, l'Etat ralentit L’activité économique
 En augmentant la fiscalité T, l'Etat ralentit l'activité économique
 En diminuant la fiscalité T, l'Etat stimule l'activité économique
Définition du solde budgétaire
Le solde budgetaire est la dfference pour une année donnée entre les recettes fiscales
effectivement réalisées T et les dépenses publiques G, SB == T +G.
Définition du déficit budgétaire : voir diapo

Définition des stabilisateurs automatiques :

 en periode de crise, mécaniquement, les recettes fiscales de l’etat diminuent alors que les
dépenses de l’etat augmentent . il ya donc un comportement naturellement contra cyclique
des dépenses publiques.
 Les stabilisateurs automatiques caractérisent donc une forte hausse
du déficit en période de crise (cycle bas) due a une baisse des
recettes fiscales et hausse des dépenses.

Financement des dépenses publiques : cf diapo

Definition de la dette publique B : la dette publique représente l’ensemble des engagements sous
forme d’emprunts pris par l’administration publique.

3. La théorie keynésienne de la demande agrégée


A. Les hypothèses fondatrices
o Critique de la vision néoclassique de l’économie
o L’ajustement par les prix ne fonctionne pas
o Déséquilibre persistants sur le marché des biens, du travail et financier
o Validation par les faits historiques
 Grande dépression des années 30
 Grande récession des années 2008-2009
Hypothèse 1 : rigidité des prix et des salaires court termes
 Les prix et les salaires ne s’ajustent ps pour équilibrer les marchés
 L’ajustement par les prix ne fonctionne pas
 Rigidité des prix des biens
 Couts de catalogue
 Contrats implicites avec les clients
 Imperfection de l’information
 Rigidité des salaires
 Contrats de travail révisés ponctuellement
 Négociations collective( une fois par an en France, une fois tus les trois ans aux USA )

Hypothèse 2 : role de la demande anticipée par les entreprises

 Importance de la demande de biens anticipés par les entreprises dans eurs décisions
d’investissement
 Préférene pour la liquidité des ménages : une partie du revenu n’est ni investie, ni consommée
 Les économies peuvent se caractériser par une insuffissance de la demande des biens
Conséquence des anticipations :
 Ls entreprises ajustent leur production a la dmande de biens. Si la demande est faible , la prodution
est faible, ce qui conduit a une situation durable de sous emploi
 Le niveau d’emploi ne se détermine pas via l’ajustement des salaires du fait des variations entre offre
et demande de travail, mais est le résulat
Solution politique économique
 Stimuler la demande sur lemarché de B et S pour lutter contre le chomage
 Par politique budgétaire, en modifiant G et T
 En incitant a la consommation pour stimuler C
 En restaurant la confiancedans le milieu des fafaires pour stimuler I

B. La détermination de l’équilibre macroéconmique


La demande agrégée en économie fermée
DA = C0 + C1(Y-T)+i(Y,i)+G
 Identité comptable
 Identité comptable ne préjuge pas du sens de causalité: est-cel'offre qui détermine
la demande ou la demande qui déterminel'offre ?
 A court terme dans un contexte de rigidité des prix, si les entreprises sont
contraintes sur leurs débouchés, c'est la demande globale qui détermine la
production et le PIB d’équilibre.
 Les entreprises produisent juste ce qui est nécessaire pour satisfaire la demande,
mais pas davantage, les prix n’ajustant pas a la baisse pour absorber le supplément
de Production

La dépense effective :

 Il est essentiel de comprendre la signification de dépense effective au sens de Keynes


 Pour toute droite de demande agrégée DA dont la pente est inférieure a 1, il existe un seul
point pour lequel Y = DA
 De plus, rien ne garantit que cet équilibre corresponde au plein Emploi.

L’équilibre macroéconomique :

DA = c0 + c1(Y -T) + I (Y+; i) + G

 L’équilibre keynesien implique que la demande égalise la production


 Posons ainsi : Y = DA
 Substituons Y a DA
Y = c0 + c1(Y - T) + I (Y+; i) + G
La condition d'equilibre DA = Y implique l'equilibre entre
l'epargne S et l'investissement I
Y=C+I+G
S=Y-T-C,Y=C+S+T
C+I+G=C+S+T
S = I + (G - T)

Imaginons l’économie suivante


DA=co+c1(Y-T)+I+G
A l’equilibre je pose DA=Y, nous avons en simplifiant ca en exprimant le PIB d’équilibre Y* en fonction
des autres termes
Y ∗¿ ( 1−c1 1 )∗(c 0−c 1∗T + I +G)
 Le principe du multiplicateur est celui d’une relation
 Dans le cadre keynésien, c’est la demande qui détermine le niveau de production
économique
 On se pose donc la question de l’impact d’une variation d’une des composantes de la
demande globale sur l’équilibre keynésien
Les marchés financiers et monétaires

Quand une banque fait faillite c’est-à-dire que lors des dépôts la banque ne pourra pas vous rendre le
retrait. Par exemple la panique bancaire de nothern rock en 2007. Une panique bancaire c’est lorsque tous
les agents de la banque viennent retirer leur dépôt tous en même temps alors la banque ne pourra pas
garantir les retraits car elle a utilisé notre argent pour prêter et investir. Perte des subprimes : 250
milliards de dollars, pertes du PIB mondial entre 2008/2015 : 4.600 milliards de dollars.

1) La monnaie
Définition de la monnaie : par exemple un billet de 5€ valeur c’est 5€ mais le cout de production c’est
moins de 5 centimes. En gros c’est la confiance dans laquel on donne a ce billet lorsqu’on l’échange.
Cette confiance est hiérarchique rapport au institution a une entité supérieur qui énonce les règles
d’usages de la monnaie elle garantit la valeur est protège contre les variations de cette valeur. De plus
on a une confiance éthique en la doctrine de l’autorité monétaire. Une monnaie c’est donc une
construction social basée sur la confiance. Elle a trois foncions c’est un instrument de paiement, une
unité de compte, et une réserve de valeur. La banque de France est créé par Napoléon. Seul le dollars
est convertible en or. A partir de 1971 le président Nickson annonce que le dollar n’est plus
convertible en or. Différent type de monnaie fiduciaire ( pièce billets), dépôt a vue (monnaie
scripturale). Une action désigne un titre de propriété
M1 billets et pièce en circulation + dépôts a vue
M2 : M1 + autres dépôts monétaires
M3 : M2 + instruments négociables des institutions financières au taux négociables
L’évolution des formes monétaires avant c’était l’or, maintenant c’est la monnaie fiduciaire sous forme
de billet, monnaie scripturale
la répétition du fait d’accepter la monnaie lui donne sa valeur

Fonctionnement du bitcoin

le projet du bitcoin est de créer une monnaie cryptographié avec une idéologie sous-jacente. L’objectif
de la cryptomonnaie est organisé les échanges. Le bitcoin veut échapper a cette souveraineté
politique. Nécessite de creer un porte monnaie. Quand la moitie des mineurs ont validés la
transaction alors la transaction va se faire. Les transactions sont publiques mais en revanche l’identité
est anonyme. Pour obtenir des bitcoins on se fait payer en bitcoin ou on les achète sur les devises ou
alors on devient mineur le mineur travail sur le blockchain et lorsque la transaction va être effectuer
alors le mineur sera rémunéré en bitcoin. Système incitatif mais qui est couteux en temps en
électricité et en moyen informatiques. Influence libertarienne très prononcé avec la promotion des
libertés individuelles, la défense des marchés libre. Rhétorique d’une monnaie saine et sur qui devrait
être déconnecté de toute influence de l’etat. Le bitcoin est quelque chose de très technique. Au final
manque de transparence pour es non initiés accumulation par le minage, inégalités, concentration des
richesses. Confiance difficile a initier en l’absence d’autorité centrale, mais la technologie de la
blockchain a un avenir certain.

Les marchés financiers permettent aux agents économiques de transférer leurs ressources dans le
temps
Détermination du taux d’interet : un taux d’intérêt tend a décourager l’emprunt alors qu’il encourage
l’épargne. Le taux d’interet dépend de l’offre des prets de la demande de prêts mais egalement des
banques : le taux en effet est proposé par une banque de second rang, dépend indirectement du taux
auquel la banque peut se refinancer auprès de la banque centrale. Banque centrale intervient sur les
marchés des crédits et détermine le taux d’intérêt directeur. Le taux d’interet directeur influence
l’ensemble de la chaine des crédits et des taux d’intérêts fixés par la banque de second rang, et est un
taux de plancher, également un taux de rémunération des dépôts et le taux d’escompte
Less marchés financiers sont imparfaits tout le monde n’est pas en mesure d’emprunter, les acteurs
font face a des différents taux d’intérêts, les institutions financières font des profits

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