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Question 2: Être humain libre ?

Utiliser théorie de Kierkegaard et Leibniz

La question fondamentale "L'être humain est-il libre?" apporte des perspectives différente,
certaines personnes pensent que l'être humain est libre, tandis que d'autres estiment que cette
liberté est irréel. Les deux philosophes Kierkegaard et Leibniz ont chacun proposé une
perspective différente sur cette question existentielle. Kierkegaard affirme que les humains sont
libres, mais cette liberté s'accompagne d'angoisse: « Que va-t-il arriver ? Que réserve l'avenir ?
Je ne le sais pas, je ne prévois rien. Lorsque d'un point fixe l'araignée se précipite en emportant
toutes les conséquences de son acte, elle a toujours devant elle un espace vide où elle ne peut
se poser en dépit de ses bonds. Tel est mon cas : un espace vide s'étend toujours devant moi,
mais c'est une conséquence située derrière moi qui me pousse en avant. Cette vie est faite à
rebours, elle est terrifiante, elle est insupportable. » Selon lui, cette anxiété vient de notre
capacité à faire des choix essentiels à notre existence. L'angoisse surgit parce que chaque choix
qu’on fait peut avoir un impact énorme sur nos vies et c’est impossible d’être sûr que cette
décision est bonne ou mauvaises. Chaque décision qu’on prend ajuste l'une des multiples
possibilités de notre être, et ces choix peuvent apporter du bonheur et/ou du malheur. Alors,
l'expérience de la liberté est angoissante, car on réalise la responsabilité personnelle de nos
choix. Kierkegaard croit que l'anxiété est une notion de notre liberté personnelle et notre
responsabilité dans les choix qu’on fait. C'est cette angoisse qui sépare l'être humain en tant
qu’être vivant libre. Il dit que notre existence est une série de choix essentiel, et chaque choix
qu’on fait crée une nouvelle réalité, mettant à jours une possibilité de vie. Cette réalité
angoissante de la liberté démontre qu’on est toujours confrontés à la possibilité de faire des
erreurs.

Cette angoisse est la responsabilité de la liberté, mais elle est aussi l’origine de notre
développement personnel et moral.

Kierkegaard a ainsi éclairé la complexité de la liberté humaine en soulignant qu'elle comporte


une dimension existentielle profonde, faite d'angoisse et de responsabilité. D'un autre côté, le
philosophe allemand Gottfried Wilhelm Leibniz a développé une perspective radicalement
différente sur la liberté humaine. Pour Leibniz, le monde et tout ce qui arrive lui en sont
contingents, c'est-à-dire qu'ils pourraient être autrement, mais Dieu, en tant que créateur, a
tout choisi à l'avance. Cette perspective est liée au concept de déterminisme, selon lequel tout
dans l'univers est prédestiné et que chaque action est le résultat inévitable d'une cause
antérieure. Leibniz croyait que tout, y compris les actions humaines, était soumis à cette
causalité déterministe. Ainsi, selon Leibniz, l'être humain n'est pas véritablement libre dans le
sens où il aurait la possibilité de choisir entre différentes options de manière totalement
indépendante. Au contraire, nos actions sont déterminées par un ensemble complexe de causes
et d'effets qui remonte à la création de l'univers par Dieu. Leibniz considérait que cette vision du
déterminisme était en harmonie avec la perfection divine, car Dieu, étant infiniment sage, avait
choisi la meilleure parmi toutes les possibilités pour le monde qu'il avait créé. Ainsi, Leibniz niait
la véritable liberté humaine au sens de la capacité de faire des choix indépendants, tout en
soutenant que chaque action que nous prenons est déterminée par une série de facteurs, y
compris la volonté divine.
Question 3 : L’exemple de la phalène du boulot. Pourquoi C’est un bon exemple de la sélection
naturelle et d’évolution. Quelle est l’influence de l’environnement. Définir chacun des concepts
de Darwin. Faire lien entre la théorie de Darwin et l’exemple de la phalène.

La plupart des phalènes du bouleau étaient initialement de teinte grise pâle, agrémentée de
petites taches noires. Au fil des années, la grande majorité de ces papillons de nuit a évolué
pour adopter une coloration presque entièrement noire. Ces phalènes du bouleau ont ajusté
leur habitat en cherchant des arbres dont la couleur correspond à la leur, offrant ainsi un
camouflage contre les prédateurs aviaires. Avant l'avènement de la Révolution industrielle, les
phalènes du bouleau à teinte claire étaient répandues, tandis que celles à teinte foncée étaient
rares. Les premières se confondaient harmonieusement avec les arbres eux-mêmes pâles.
Cependant, l'impact de la Révolution industrielle a altéré la couleur des arbres, les
assombrissant progressivement en raison de l'utilisation du charbon. Cette transformation a
rendu les papillons de nuit plus clairs plus visibles aux yeux des oiseaux prédateurs, augmentant
ainsi leur vulnérabilité. En revanche, les individus foncés passaient inaperçus sur les arbres
devenus sombres, bénéficiant d'un avantage de survie. Cette préférence naturelle pour les
individus foncés a favorisé leur succès reproductif, transmettant leurs gènes de couleur sombre
à leur descendance. Au fil du temps, les phalènes du bouleau foncées sont devenues la variété
dominante, illustrant comment la sélection naturelle a favorisé les individus adaptés aux
changements environnementaux induits par la Révolution industrielle.

La selection naturelle par laquel les individu d’une espece les mieux adapter a leur milleux vont
survivre assez longtemps pour pouvoir se reproduire et transmettre leur trait a leur progeniture.

Evolution processus par laquel une devien de plus en plus presents chez les individus d’une
meme espece (jusqu’à a atteindre la majorité de la population) Peut aussi mener a la création de
nouvelles especes.

Variation difference individuelle qui se transnet par eridité.


Question 5 : Lutte de l’existence. Décrire cette lutte et ses différentes significations.

La "lutte pour l'existence" englobe divers aspects de la compétition et de l'interaction entre


les êtres vivants et leur environnement. Cela inclut : Compétition pour les ressources : Il s'agit
de la rivalité entre les individus de la même espèce, voire entre des espèces différentes, pour
des ressources essentielles telles que la nourriture, l'eau, l'espace, et les partenaires
reproducteurs. Par exemple, en période de famine, la lutte pour les aliments .nécessaires
reflète cette compétition directe pour la survie. Adaptation à l'environnement : La lutte pour
l'existence peut également se comprendre comme l'interaction complexe entre les
organismes et leur environnement. Les êtres vivants doivent faire face à des défis
environnementaux, tels que la sécheresse ou d'autres conditions hostiles, et doivent
développer des adaptations pour survivre. Par exemple, une plante dans un désert lutte pour
sa survie en fonction de sa capacité à résister à la sécheresse. Concurrence au sein d'une
même espèce : Darwin souligne que la compétition pour l'existence s'étend à la rivalité entre
les individus de la même espèce. Par exemple, plusieurs plantes de la même espèce ou de
différentes espèces qui partagent un même espace peuvent être en compétition pour l'accès
à des ressources telles que la lumière, l'eau et les nutriments. Dépendance et interactions
mutuelles : Le terme "lutte pour l'existence" englobe également l'idée que les êtres vivants
sont interdépendants et qu'ils entretiennent des interactions complexes. Par exemple, le gui,
une plante parasite, dépend de l'arbre sur lequel il pousse. Bien que l'on puisse
métaphoriquement dire que le gui "lutte" contre l'arbre, en réalité, il est mutuellement
dépendant de lui, car il en a besoin pour sa survie et sa reproduction. En somme, la "lutte
pour l'existence" selon Darwin englobe l'ensemble des dynamiques de compétition,
d'adaptation, de rivalité et d'interactions mutuelles entre les êtres vivants et leur
environnement. Ce concept clé de sa théorie de l'évolution explique comment la concurrence
et l'adaptation influencent le succès reproducteur des individus et, par conséquent, le
processus d'évolution des espèces au fil du temps. La "lutte pour l'existence" est un concept
clé dans la théorie de l'évolution de Charles Darwin. Il fait référence à la compétition intense
et à la rivalité qui existent entre les individus d'une même espèce ou entre différentes
espèces pour les ressources limitées nécessaires à leur survie et à leur reproduction. Ces
ressources incluent la nourriture, l'eau, l'espace, les partenaires reproducteurs, et d'autres
facteurs essentiels à la vie. La lutte pour l'existence est un élément central de la sélection
naturelle, car les individus qui réussissent le mieux à obtenir ces ressources ont une meilleure
chance de survivre et de transmettre leurs gènes à leur descendance. En conséquence, les
caractéristiques qui favorisent la survie et la reproduction deviennent de plus en plus
courantes dans la population au fil du temps, ce qui entraîne l'évolution des espèces.

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