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Si au cours de l’épreuve, vous repérez ce qui vous parait être une erreur ou un oubli dans
l’énoncé, vous le signalez clairement dans votre copie et vous poursuivez l’examen en
proposant une solution.
Le barème est donné à titre indicatif.
1 –Analyse de défaillance 2 – Analyse par 3 – Outils QQOQCP 4 – 5 Ishikawa 6 – Tableau effet
Lorsque l’étudiant ne répond pas à une question ou si la réponse est fausse, la note
par PARETO ABC arbre de défaillance Arbre de cause remède
attribuée sera égale à zéro.
Rédigez directement sur la copie. Il sera tenu compte du soindéfaillance 7 – AMPEC ………
apporté à la rédaction.
Promotion : l1
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1 - SITUATION PROBLEME : Analyse de la défaillance d’un procédé de
fabrication des biscuits.
Sur le sous-système « reprise vers surgélateur », l’historique fait apparaître pour chaque mode de
défaillance les temps d’arrêt (en heures) suivants :
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1 – Analyse par PARETO ABC
1.1 - Classer les modes de défaillance par famille en calculant par famille le temps
d’arrêt
F2 10 20 72
F3 5,5 11 83
F4 5 10 93
F5 3 6 99
F6 1 100
0,5
50
1.2 - Déterminer les familles les plus pénalisantes en fnction des temps d’arrêt.
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1.3 - Conclusion :……………
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Pas d’étincelle - Bougie défectueuse
- Panne carte électronique
- Défaut de fil de bougie
Pas de rotation du - Piston serré
vilebrequin - Axe de piston cassé
- Grippage palier
- Corde de lanceur cassé.
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2.2 - En se servant des informations du tableau des modes de défaillance et de la définition
de l’outil arbre de défaillance de la page 4 sur 9 , Complétez les vides de l’abre de défaillance
ci - après.
Manque
de
compressi
Usu
re
des
Ar Pr
Ré Bougie Panne
riv o Défaut
ser d carte
ée bl de fil de
é électr bougie
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Piston Corde
Grippag
serré de
e
lanceu
o Outils QQOQCP
L’équipe a donc fait appel aux électriciens afin de s’affirmer que le moteur n’était pas défaillant.
Une fois après avoir désaccouplé, le moteur est lancé à vide et il marcha à merveille. On a donc
essayé de tourner la pompe à la main, on a constaté qu’il y avait un dur mécanique en un point,
après vérifications nous sommes arrivés à la conclusion selon laquelle l’arbre de la pompe était
cintré (torsion) et il coinçait sur le palier où est logé le roulement. Il nécessitait donc d’intervenir.
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o Défaillance reproductible ou non,
o Défaillance de cause commune.
Fonctionnement du process :
L’eau brute (1) recueillit au niveau du fleuve au voisinage de l’installation est nettoyée par la crépine (2)
en enlevant les déchets qui est ensuite aspirée par la pompe monobloc (1P) puis refoulée, et traitée par
le filtre (3) ; l’eau potable recueillie par le réservoir (4) est ensuite aspirée par la pompe centrifuge
multicellulaire à haute pression (2P) qui alimente la chaudière (6) en passant préalablement par la
vanne (5). La vapeur d’eau obtenue au niveau de la chaudière fait tournée le turbo-Alternateur (7) grâce
à son énergie cinétique transformant l’énergie mécanique en énergie électrique par la variation du champ
magnétique causé par la rotation du rotor. Le condenseur(8) retransforme ensuite la vapeur d’eau à la
sortie du turbo-alternateur en liquide, qui est aspiré et refoulé par la pompe centrifuge (3P) pour ensuite
alimenté de nouveau le réservoir d’eau brute pour former un circuit fermé.
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En période de compagne du début de ce mois d’Octobre 2021, les mécaniciens de la section (turbo –
Alternateurs) y compris les stagiaires avaient constaté que la pompe multicellulaire 2P n’était plus en
état d’accomplir sa fonction requise après une défaillance dûe au cintrage de l’arbre. Il a donc été
demandé à ces derniers d’intervenir sur cette pompe Pour remettre la pompe en bon état de fonctionnement
dans le but d’alimenter la chaudière en eau.
Qui ?
Les mécaniciens
Quoi ?
La pompe centrifuge 2p multicellulaire
présentait des bruits anormaux, défauts de
refoulement de l’eau
Où ?
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À la saris Congo, au niveau de l’unité centrale à
à vapeur
Quand ? En période de compagne au début du mois
d’octobre 2021
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Analyse de la défaillance du circuit de refroidissement du moteur bâbord de la navette
Kouyou.
Le PAPN est une structure dont la plus grande partie de ses revenus provient des opérations
maritimes (remorquage, largage…). Ces opérations sont effectuées par une gamme de navettes et
de remorques qui contribuent à la croissance économique du PAPN. Conscient de cela, le PAPN
veille de façon rigoureuse sur la politique de maintenance (qui peut être soit préventive, soit
corrective) mise en place pour le bon fonctionnement de ses équipements.
En effet, la navette KOUYOU est un petit bateau principal qui permet de faire la vérification
de la profondeur des différents quais, du contrôle de la marée et du climat. Equipée d’un moteur
Diesel, dont la température normale au fonctionnement doit être comprise entre 80oC et 85oC.
Les navettes utilisées par le PAPN sont pour la plus part équipées de 2 moteurs Diesel, l’un du
coté bâbord et l’autre du tribord. Généralement les 2 moteurs sont de même marque et ont les
même caractéristiques, mais le cas de <<Kouyou>> est un peu plus particulier, car l’un des
moteurs (bâbord) est plus vieux que l’autre (cas présent), malgré qu’ils soient de même marque et
aient les même caractéristiques.
Lors d’une opération au large, un accident grave avait abimé le moteur tribord, obligeant ainsi le
service de maintenance à le remplacer par un moteur flambant neuf car il était irréparable. Trois
ans après le remplacement du moteur tribord, le moteur bâbord commençait à afficher plusieurs
caprices, parmi lesquelles : la détérioration rapide de la qualité d’huile, taux de carbone élevé dans
les gaz d’échappement etc…mais aucun de ces dysfonctionnements ne semblait lancer un défi
sérieux à l’intelligence et au professionnalisme des agents de maintenance du PAPN, jusqu’à ce
qu’arrive le problème de l’échauffement excessif permanent (effet principal dans notre cas
d’étude).
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PLANCHE 1
Figure 1 : Plan de circulation de façon général des circuits eau de mer et eau douce pour le refroidissement du moteur.
L’eau douce est en permanence dans le moteur et est refroidie via un échangeur par l’eau de mer aspirée par une pompe
à eau de mer. 2
PLANCHE L’eau douce est envoyée sous pression dans les circuits d’eau du moteur via une pompe à eau douce.
L’échange thermique pour refroidir l’eau douce se fait à travers l’échangeur de température.
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Figure2 : système ou structure de refroidissement du moteur Baudouin de la navette Kouyou de PAPN. La
compréhension du fonctionnement se fait directement par interprétation observation de ce plan technique.
L’échange thermique pour refroidir l’eau douce se fait à travers l’échangeur de température.
TRAVAIL A FAIRE :
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Exercice5 : ANALYSE DE LA DEFAILLANCE (ISHIKAWA – Arbre de défaillance)
I. Système automatisé de dosage et de chauffage d’un fluide alimentaire
L’extrait du dossier machine, les schémas électriques, hydrauliques, mécaniques…, les dessins
techniques servent de supports visuels à un raisonnement logique. On identifie le composant
défaillant (la fonction perdue) sur la machine, puis sur le schéma, et l’on remonte en amont
chercher les causes possibles.
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L’homogénéité de la température dans le fluide impose un brassage durant le chauffage. Malgré
cela, on constate qu’il y a non-conformité de la température du fluide avec la valeur souhaitée
comme l’indique la figure ci – dessous :
Une observation minutieuse de la figure permet de comprendre son fonctionnement que relate
la boucle de régulation de température ci - dessous.
Question 1 : Proposer une explication du fonctionnement de ce process avec vos propres mots.
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Exercice 6 : Etablir le tableau causes – effets du Touret à meuler
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Compléter le tableau ci – dessous :
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7- ANALYSE DE MODE DE DEFAILLANCE DE LEUR EFFET ET TD N° AMPEC
DE LEUR CRITICITE (AMDEC) : CAS DE L’AMPEC SEMAINE
Cet équipement polyvalent permet aux magasins de location des skis de les maintenir en bon
état. Il réalise 4 opérations d’entretien (affutage latéral des carres, poinçage de la semelle,
ébavurage des carres, fartage à chaud de la semelle). Le ski, bridé sur la cassette de transport par
l’intermédiaire d’une ventouse, est véhiculé devant chaque unité pour être entretenu suivant le
choix fixé par l’opérateur.
Le premier rôle des carres est de permettre au ski de <<mordre>> à la glace lors des virages. Les
carres sont en acier afin de résister à l’abrasion et doivent nécessairement être bien affutées.
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PROBLEMATIQUE GENERALE :
Le robot d’entretien de skis à fonctions combinées a été conçu il y a quelques années pour des
skis faiblement paraboliques. Hors actuellement les skis ont des rayons de courbure plus
importants, ce qui provoque de nombreux dysfonctionnements signalés au service après – vente.
L’objectif de cette étude sera de proposer aux détendeurs de l’équipement des améliorations
augmentant la fiabilité du système.
Problématique N°1 :
Suite à de nombreux dysfonctionnements sur des robots d’entretien de ski à fonctions combinés
(hors maintenance préventive systématique) et dans le cadre d’une démarche qualité du
fabriquant, le service après – vente vous charge d’analyser les défaillances d’un parc machine de
46 équipements afin d’étudier des améliorations possibles à apporter à ces machines.
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Q1.2 : A partir du tableau ci – dessous présentant l’historique des modes de pannes signalés par
les utilisateurs lors des saisons 2011 – 2012 et 2012 – 2023 sur les unités d’affûtage des carres et
la cassette porte ski, compléter le tableau AMPEC de la page suivante par la valeur de l’indice de
fréquence (F) (voir tableau concernant les indicateurs relatifs à la criticité).
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Mode de Panne Sous – partie disfnt disfnt Moyenne
Opérative Hiver Hiver disfnt par
concernée 2012 2013 saison
Ejection de la bande abrasive Affûtage des 3 4 3,5
carres
Usinage trop important des carres lors du Affûtage des 6 8 7
recul des unités carres
Marquage (creusement) de la carre lors de Affûtage des 5 4 4,5
l’impact carres
Matage du bout d’axe (409) Affûtage des 2 1 1,5
carres
Débridage du ski au niveau de la ventouse Cassette porte 7 11 9
ski
Grippage des galets de guidage Cassette porte 0 3 1,5
ski
TABLEAU AMPEC
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(409)
Sous – système : CASSETTE PORTE SKI
Fonction Mode de Cause de la Criticité
Panne panne Effet de la panne Détection F G D C
Positionne Débridage Sérigraphie en Entretien partiel
r et brider du ski au relief sur les du ski Aucune .. 3 2 .
le ski niveau de la skis
ventouse
Animer la Grippage Limaille de fer Usure du rail de
cassette des galets et résidus de guidage de la Aucune .. 3 1 .
de de guidage semelle cassette porte –
transport ski en aluminium
Q1.4 : Compléter le tableau ci – dessous en précisant par une croix les types d’action à mener
par rapport à l’AMPEC faite précédemment.
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GRAVITE (Indisponibilité et insatisfaction) : G
1 Pas d’arrêt de la production et aucune détérioration du bien ou du produit
2 Arrêt ≤ 1 heure et aucune détérioration du bien ou du produit
3 1 heure ¿ arrêt ≤ 1 jour ou détérioration mineure du bien ou du produit
4 Arrêt ¿ 1 jour ou détérioration majeure du bien ou du produit
NON DETECTION : D
1 Détection aisée par contrôle de l’opérateur
2 Détection aisée par un agent de maintenance lors d’une des visites de maintenance
préventive
3 Détection difficile par un agent de maintenance lors d’une des visites de maintenance
préventive
4 Indécelable par un agent de maintenance lors d’une des visites de maintenance
préventive
C : Evaluation de la criticité : elle est exprimée par l’indice de priorité des risques.
C=FXDXG
o Si C≤ 12 : Rien à signaler ,
o Si 13 ≤ C ≤ 18 : Surveillance accrue à envisager , valeur à la limite de l’acceptable,
o Si C ¿ 18 : Mise en place d’actions permettant de corriger donc d’améliorer le moyen
ou l’installation utilisées.
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