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All content following this page was uploaded by Hamza MADJID Berrabah on 18 November 2019.
RESUMÉ
Dans cette étude on s’intéresse aux structures minces ou on va montrer que la distribution
des contraintes dans deux cas différent, le premier cas avec l’absence de E3 et d31 et le
Article history: deuxième cas c’est avec l’influence de ces deux paramètres, tout les paramètres varies avec
une loi de mélange selon l’épaisseur, h1, h2 et h3 montre l’épaisseur de chaque couche,
Received 02 October 2017 l’origine du repère est positionner sur la surface inferieure de la structure.
1. Introduction
Les composites sont constitués de plus d'un matériau afin de tirer parti des caractéristiques complémentaires. Trois
matériaux composites largement utilisés qui entrent dans la catégorie renforcée de fibres sont le béton armé, le caoutchouc
renforcé et le fibre-carbone-époxy.
Le béton armé combine le faible coût du béton et sa résistance à la compression avec la ductilité et la résistance à la traction
de l'acier. Le caoutchouc renforcé combine la grande déformabilité du caoutchouc pour absorber l'énergie dynamique avec
la résistance et la rigidité de l'acier. Le composite fibre-carbone utilise la matrice comme limite parmi les fibres de carbone.
L'analyse mécanique des composites renforcés par des fibres se divise en trois niveaux principaux: le macro-niveau, le
méso-niveau et le nano-niveau.
Le premier s'intéresse au comportement global des composants structuraux. Le niveau méso concerne le comportement
interdépendant de la fibre et de la matrice, c'est-à-dire la contrainte interface et le glissement. Enfin, le niveau nanométrique
s'intéresse à la constitution nanométrique des fibres et de la matrice par eux-mêmes et à son influence aux niveaux méso Les
matériaux cellulaires ont suscité beaucoup d'intérêt de recherche en raison de leur capacité significative d'absorption
d'énergie et d'atténuation [1], [2], une amélioration significative de la contrainte d'écrasement a été observée dans les
expériences d'impact dynamique des bois [3], [4], Le rôle important joué par cisaillement transversal et normal.
et macro.
Les contraintes dans l'identification des mécanismes d'endommagement dans les plaques composites stratifiées, alliées aux
exigences des industries modernes en optimisation structurale, ont stimulé l'application de modèles qui contiennent une
cinématique 3D complète et des relations constitutives.
En outre, l'analyse des plaques avec des fissures, des trous, des filets, des entailles et d'autres discontinuités géométriques
exige une haute qualité dans la prédiction des champs de contraintes [5]. Une revue minutieuse de la littérature sur le sujet a
révélé un large éventail d'articles scientifiques traitant de différents aspects de la détermination de la contrainte limite de la
tension des matériaux, en particulier des matériaux fragiles, en utilisant le test brésilien. [6] montrent l'évolution de l'état de
l'art sur le sujet, analysant les 43 œuvres les plus importantes, de l'avis des auteurs, de 1943 à 2011.
In0.12Ga0.88As h3
V
InXGa1-XAs (0˂X˂0.12) h2
Y
GaAs h1
X
Dans notre étude la structure étudier comporte trois couches d’épaisseur différent, tel que h 1, h2 et h3 La surface supérieure
z = h et la surface inférieure z = 0. Dans les conditions indiquées, dans les deux directions x et y les couches sont
invariante. C’est-à-dire on s’intéresse aux contraintes selon la direction z,
On travail avec des matériaux élastique isotrope, la relation de la déformation en fonction de la contrainte et la température
et les paramètres piézoélectriques s’exprime comme suit
1
( z) = ( z ) + ( z )T − E3 d 31 (2)
E( z)
Ou
E( z)
E( z) = (3)
1 − ( z)
Tel que
La contrainte varie proportionnellement avec z en tenant compte de la température et l’effet de la déformation initiale. On
pose
2
Revue des Matériaux et Energies Renouvelable Vol 3, N°1 2018
( z) = k ( z − z) (5)
( z) = E( z) k ( z − z) − ( z)T − E3 d 31 + e ( z) (6)
On a
I n = z n E ( z )dz Avec n=0,1,2.
0
(7)
I 0 = E ( z )dz
0
(8)
I 1 = z E ( z )dz
0
(9)
I 2 = z 2 E ( z )dz
0
(10)
h h h h h h
0
0
0
0
0
( z )dz = E ( z )k zdz − E ( z )kzdz − E ( z ) ( z )Tdz − E ( z ) E3 d 31 dz + E ( z ) e ( z )dz = 0
0
(14)
k zI 0 − kI1 − J 0 − E3 d 31 I 0 = 0 (15)
De la même manière on multiplier l’équation de la contrainte par z et on intègre une fois, on aura
h h h h h h
0
0
0
0
0
( z ) zdz = zE ( z )k zdz − zE ( z )kzdz − zE ( z ) ( z )Tdz − zE ( z ) E3 d 31 dz + zE ( z ) e ( z )dz = 0
0
(16)
On obtient
k zI 1 − kI2 − J 1 + E3 d 31 I 1 = 0 (17)
3
L’influence de l’effet … Berrabah H.M et al.
I 0 J 1 + 2 E3 d 31 I 0 + I 1 J 0
k= (18)
− I1 + I 0 I 2
2
I 2 J 0 + E 3 d 31 I 0 I 2 + I 1 J 1 + E 3 d 31 I 1
2
z= (19)
2 E 3 d 31 I 0 I 1 − I 0 J 1 + J 0 I 1
On utilise une loi de variation pour tout les paramètres qui varie selon l’axe z, cette relation est donnée par
P1 pour 0 z h1
h +h −z z − h1
P1 1 2
+ P3 pour h1 z h1 + h2
P( z ) = h (20)
h2 2
P3 pour h1 + h2 z h1 + h2 + h3
1 pour 0 z h1
h +h −z z − h1
1 1 2
+3 pour h1 z h1 + h2
( z) = h (21)
h2 2
3 pour h1 + h2 z h1 + h2 + h3
E1 pour 0 z h1
h +h −z z − h1
E1 1 2
+ E3 pour h1 z h1 + h2
I ( z) = h (22)
h2 2
E3 pour h1 + h2 z h1 + h2 + h3
1 pour 0 z h1
h +h −z z − h1
1 1 2
+3 pour h1 z h1 + h2
( z) = h
h2 2 (23)
3 pour h1 + h2 z h1 + h2 + h3
3. Discisions et résultats
E33=75kv/cm, ε1=0, ε3=-0.00074799, d31=-21, h1=0.1mm, h3=0.01mm, α1=0.415220698x10-5 α3=0.8x10-5 υ1 =0.312
υ3=0.36
ΔT =1100°C E1=85.30 N/mm2 E3=81.10 N/mm2
A une température de 1100°C on a calculer la distribution des contraintes selon l’épaisseur (H=h1+h2+h3 ), la variation des
contraintes est linéaire pour les trois couches, cela pour tout les valeurs de h2 et avec E3=0,d31=0 (Fig2 et Fig3), par contre
la distribution des contraintes sous l’influence des paramètres piézoélectriques est croissante de zéro jusqu’à n’importe
quelle valeur de z, en outre les grandeurs des contraintes sont complètement différent, pour les valeurs inférieur a 0.09 les
courbes sont presque parabolique avec une petite courbure (Fig4 et Fig5).
4
Revue des Matériaux et Energies Renouvelable Vol 3, N°1 2018
h2=0.01
h2=0.03
0,3 h2=0.05
0,2
0,0
0,00 0,02 0,04 0,06 0,08 0,10 0,12
z - distance in mm
-0,1
-0,2
h1=0.1 mm
h3=0.01 mm
T=1100 C
-0,3
-0,4
-0,5
h2=0.14
h2=0.1
0,3
0,2
(z) - stress in GPa
0,1
0,0
0,00 0,02 0,04 0,06 0,08 0,10 0,12
z - distance in mm
-0,1
-0,2
h1=0.1 mm
h3=0.01 mm
T=1100 C
-0,3
-0,4
-0,5
5
L’influence de l’effet … Berrabah H.M et al.
h2=0.01
5x10
7 h2=0.03
h1=0.1 mm h2=0.05
7
h3=0.01 mm
4x10
T=1100 C
7
2x10
7
1x10
0
0,00 0,05 0,10 0,15 0,20 0,25
7
-1x10 z - distance in mm
7
-2x10
h2=0.14
1,0x10
7
h1=0.1 mm h2=0.1
h3=0.01 mm
T=1100 C
(z) - stress in GPa
6
5,0x10
0,0
0,00 0,05 0,10 0,15 0,20 0,25
6
z - distance in mm
-5,0x10
7
-1,0x10
7
-1,5x10
4. Conclusion
dans tout les domaines les chercheurs sont basé sur le calcule des contraintes des structures avec la variation de tout les
paramètres, dans un cas particulier, on a étudier cette distribution pour un composite et pour trois épaisseur différent, on a
fait la comparaison avec la présence de l’effet piézoélectrique, la différence est bien illustré dans les figures, la variation est
négatif pour une valeur de z=0, pour une certaine valeur de z la contraintes s’annule, cela est valable pour les cas, lorsque on
dépasse une de z la distribution change de signe, on constate que la présence de l’effet piézoélectrique a une grande
importance pour agrandir les valeurs des contraintes.
Bibliographie
[1]Rodrigo Ribeiro Paccola, Maria do Socorro Martins Sampaio, Humberto Breves Coda. Fiber-matrix Contact Stress
Analysis for Elastic 2D Composite Solids. Latin American Journal of Solids and Structures 12 (2015) 583-611
[2]Gibson, L.J., Ashby, M.F., (1997). Cellular solids: structures and properties, 2nd ed. Cambridge, UK: Cambridge
University Press.
[3]Lu, G.X., Yu, T.X., (2003). Energy absorption of structures and materials. Cambridge, UK: Woodhead Publishing ltd.
6
Revue des Matériaux et Energies Renouvelable Vol 3, N°1 2018
[4]Reid, S.R., Peng, C., (1997). Dynamic uniaxial crushing of wood. International Journal of Impact Engineering 19(5– 6):
531–570.
[5]Harrigan, J.J., Reid, S.R., Tan, P.J., Reddy, T.Y., (2005). High rate crushing of wood along the grain. International
Journal of Mechanical Sciences 47(4–5): 521–544.
[5]Bathe, K.J. (1996). Finite Element Procedures. Prentice Hall, Englewood Cliffs.
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Wiley, New York.