The Landscape imagination

Présenté par : Lucia Ruiz

Cours : APA 6505 – Histoire de l’architecture de paysage Présenté à : Bernard St-Denis
Faculté de l’aménagement
École d’urbanisme et d’architecture de paysage
Université de Montréal
Le 17 mars 2016

Résumé de lecture 4

Références bibliographiques : Corner, James, Bick, Alison, editors, The landscape imagination : collected
essays of James Corner, 1990-2010, New York : Princeton Architectural Press, 2014, “Landscape Urbanism”,
pp. 291-297

Mots clés : Landscape urbanism, horizontalité, ville verte, formes spatiales, techniques de paysage,
interdisciplinarité.

Résumé
La métropole contemporaine est hors de
contrôle en relation à la conception urbaine
traditionnelle et à sa planification. Tout cela
à cause du mélange d’ingrédients constituant
une écologie urbaine très variée. Or, en
réponse à ce défi, le ‘Landscape Urbanism’
cherche à comprendre les dynamiques
urbaines présentant des alternatives plus
légères et plus entrepreneuriales. En effet, il
s’agit d’une discipline hybride qui fusionne le
paysage à l’urbanisme. Voici cinq
caractéristiques du ‘Landscape urbanism’.
Premièrement, l’horizontalité maximise les
possibilités de connexion, interrelation,
itinérance, assemblage et mouvement. À cet
égard, certaines stratégies telles que le
concept de propriété, la délimitation des
terres, la construction de surfaces, services,
voies et la perméabilité assurant la
permutation future et l’adaptation favorisent
la création des arrangements variés et
flexibles. Deuxièmement, en référence aux
infrastructures, les concepts de paysage
urbain et ville verte sont exprimés comme des
idées à base d’objets portant l’attention aux
structures dynamiques. Ainsi, l’évaluation
des processus qui engendrent le
développement futur des formes spatiales au-
delà de contrôler les matériaux, la géométrie
et leurs codes font partie de ce concept.
Troisièmement, dans les formes de processus
il faut reconnaître des effets profonds que
l’espace et les matériaux exercent sur le
monde, mais évaluer aussi la forme physique
et matérielle en fonction de leurs effets
instrumentaux et productifs. Quatrièmement,
les techniques de paysage peuvent être
combinés avec la planification urbaine, la
schématisation, l’organisation, le marketing
entre autres dans le but de développer un
grand sac d’outils. Ensuite, la participation
interdisciplinaire invite à être prêt à discuter,
converser, partager. Finalement, l’écologie
met en évidence les processus dynamiques et
continus de la dépendance et l’interaction. À
cet effet, les formes spatiales reprennent un
état provisoire pour devenir une autre chose.
Puis, cette notion harmonisée avec la
nécessité des villes et des paysages d’être
capables de répondre à l’évolution des
besoins et des exigences de la ville.