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Un élément sur lequel on ne peut rien mais qui va voir une influence considérable sur
la communication.
C’est le premier élément qui est donné. S’appeler Saint-Tropez, Montceau-les-Mines,
Drancy, Nice ou Verdun n’est pas neutre.
Pour Drancy : on ne peut échapper à l’histoire du camp de transit avant le départ vers
les camps de la mort
Pour une activité économique même disparue : Roubaix et les filatures, Romans et les
chaussures, Millau et la ganterie…
On pourrait à l’envie multiplier les exemples. Ces situations sont plus ou moins
choisies, plus ou moins heureuses. Une part importante du capital de notoriété et
d’image est déterminée par le nom.
Certaines ont même changé de nom pour être plus en lien avec le territoire.
Les Côtes du Nord sont devenues les Côtes-d’Armor ; Châlons-sur-Marne
s’appelle aujourd’hui Châlons-en-Champagne.
Son agencement
Son étendue
Son urbanisme et le type d’habitat
Les axes de circulation
Les équipements structurants
Les points de rencontre formels et informels
La répartition de la population
Dans un département : sur une zone côtière ? autour de la ville préfecture ?
près d’un pôle industriel ?
Dans une commune : des quartiers très contrastés entre zone pavillonnaire et
habitat collectif ?
Ville dortoir ou territoire d’activités et de vie des familles ?
L’effet induit par la réforme : il bat en partie en brèche les trois critères identitaires que
nous venons de décrire :
- le nom même si il y a une volonté affirmée de coller au terroir pour assoir une
légitimité (donner un nom qui a du sens),
- le rapport territoire/population, bousculé par de nouvelles dimensions,
- la gouvernance : elle change et s’éloigne souvent à la fois des citoyens et des
agents territoriaux. Ceux-ci, notamment dans des mutualisations à la carte,
dépendent pour un service d’un nouvel employeur, alors que le service voisin reste
sur la collectivité initiale.
Exemples
Une décision d’élus prise en réunion de quartier sans préalable de faisabilité
juridique, financière ou organisationnelle.
Une décision politique ou technique imposée par les élus sans concertation
avec les usagers ou les agents. Le tollé suscité peut rendre inapplicable la
décision.
Un projet conduit par un service avec la participation des usagers sans une
commande claire des élus : d’où l’obligation de rétropédalage mal vécue par
les usagers mais aussi par les agents qui se sont impliqués dans le projet
Un véritable casse-tête pour les services de la communication !
La matrice AFOR est un outil d’analyse stratégique simple à réaliser, facile à partager et à
faire évoluer.
RISQUES
OPPORTUNITÉS
Notre contexte
NOS FAIBLESSES
NOS ATOUTS
Notre territoire