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“INBTP”
B.P. 4731
BP: 4731
SECTION: BATIMENT ET TRAVAUX PUBLICS
Kinshasa/Ngaliema
EPIGRAPHIE
(Proverbes. 16:6)
ii
DEDICACES
REMERCIEMENTS
0 .INTRODUCTION
La réalisation d’un ouvrage de génie civil a toujours nécessité des études très sérieuses et
rigoureuses de la part de l’ingénieur civil en vue d’un aboutissement favorable sur le plan structurel
et économique. Notre travail de fin de cycle a consisté à dimensionner un immeuble à 4 niveaux à
usage d’hopital à ériger dans la commune de la N’SELE. Un immeuble d’une telle envergure aurait
nécessité dans les anciens temps un grand espace de la nature mais grâce aux techniques de
construction modernes avec le béton et l’acier la rationalisation de l’espace est rendu possible avec
la construction des bâtiments à multi-étages pour toute sorte d’usage. Cependant les séries de
règlementation ont été élaborées dans le but de dimensionner convenablement les bâtiments. Nous
citons le cas du Béton armé aux états limites BAEL 91 sur la quel nous nous sommes basé pour notre
travail. Dimensionner un bâtiment revient à déterminer pour chaque poutre, chaque poteau, chaque
plancher de ce bâtiment les dimensions, les caractéristiques du béton à utiliser, les aciers à utiliser
et surtout comment allier ces deux éléments. Ce projet de fin d’étude s’inscrit donc à juste titre à ce
cadre.
0.1. PROBLEMATIQUE
La république démocratique du Congo étant un pays en reconstruction et qui tend à se développer
connait présentement une modernisation en pleine croissance.la construction d’un hôpital moderne
est indispensable pour la population de la commune de la N’Sele et ses environs. Sur ce nous avons
soulevé quelques préoccupations primordiales pour la réalisation de ce travail.
Nous avons observé au cours des visites que nous avons effectuées un taux de mortalité élevé par
manque d’un hôpital le plus proche et d’équipements médicaux modernes.
Quant à la distance, le déplacement de patient si rapide et dans les meilleurs conditions dans les
hôpitaux de référence lointains et difficiles due à l’absence de moyen de transport approprié.
Quel type de fondation à adopter à l’immeuble pour qu’il soit stable et économique ?
0.2. HYPOTHESE
En effet, L’ingénieur de génie civil face aux problèmes que lui imposent la réalisation de son ouvrage
se trouve également en face des plusieurs solutions rendues possibles avec le développement des
techniques et méthodes constructives. Son choix se basera dans le but de la stabilité et de l’économie
raison pour la quel nous avons opté pour une structure portante entièrement en béton armé avec
murs internes en contre-plaqué.
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Outre cet intérêt, ce projet apportera à l’ingénieur constructeur les méthodes de calcul les plus
rigoureuses possibles, vu les détails et les précisions qu’il peut apporter.
0.4. METHODOLOGIE
Afin d’un bon déroulement de notre travail du début à la fin, nous avons procédé par une méthodologie
consultative c.-à-d., nous avons consulté bon nombre d’ouvrages entre autre : Les supports des
cours, et les livres et surtout ceux spécialisés sur notre projet.
CHAPITRE 1. GENERALITES
1.1. PRESENTATION DU PROJET
1.2.1. Le béton:
Le béton est un matériau de construction composite fabriqué à partir des granulats naturels
(sable, gravillons) ou artificiels (granulats légers) agglomérés par un liant. Le liant peut être
qualifié d’«hydrique» lorsque sa prise se fait par hydratation.
1.2.2. L’acier: L’acier est un alliage fer carbone en faible pourcentage. Le caractère mécanique
servant de base pour les justifications dans le calcul est la limite d’élasticité garantie désignée par fer.
Elle varie en fonction du type d’acier. En outre d’autres caractéristiques mécaniques de l’acier sont :
1.3. REGLEMENTATIONS1
1.3.1. But du calcul : Toutes les structures ou éléments de structures doivent être calculés de façon
à résister économiquement, avec une sécurité appropriée, à toutes les contraintes et déformations
susceptibles d’intervenir pendant leur construction et pendant la période de service, et à pouvoir
présenter une durabilité satisfaisante durant la période d’exploitation de la structure. Le but du calcul
est de garantir de façon économique une sécurité convenable contre "la mise hors service" de cette
structure ou de ses éléments constitutifs. On admet que cette mise hors service a lieu quand la
structure a atteint un état particulier dit "état-limite". Ainsi nous calculerons notre structure par la
méthode des états-limites.
1 But de calcul : PROF MUTONDO W MUTONDO, cours de construction métallique édition 1998.P.8
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-d’un comportement en service susceptible d’affecter gravement sa durabilité, son aspect, ou encore
le confort des usagers.
Tout état au-delà duquel une structure ou partie de cette structure cesserait de remplir les fonctions,
ou ne satisferait plus aux conditions pour lesquelles elle a été conçue, est appelé état-limite. Ainsi il
convient donc d’être toujours en deca des états-limites pour être en sécurité lors de l’exploitation de
l’ouvrage. Les divers états-limites que l’on peut envisager peuvent être classés en deux catégories :
-les états-limites ultimes (E.L.U) : Sont ceux qui correspondent à la ruine de l’ouvrage ou une partie
de l’ouvrage.
-les états-limites de service (E.L.S) : Sont ceux au-delà desquels les conditions d’exploitation normale
ou de durabilité de l’ouvrage ne sont plus satisfaites.
-l’état-limite ultime de résistance (par exemple vis-à-vis de la flexion et de l’effort tranchant) : pour
chaque état limite, et pour différentes sections de la structure étudiée, il faut montrer que pour le cas
de charge le plus défavorable sous la considération d’actions considérée, la sollicitation agissante de
calcul correspondante ne dépasse pas la sollicitation résistante de calcul.
-l’état-limite ultime de stabilité de forme (par exemple vis-à-vis du flambement) : Dans ce cas il faut
montrer qu’il existe dans l’ensemble de la structure une distribution des contraintes qui équilibre dans
chaque section les sollicitations de calcul à considérer, y compris celles du second ordre.
-l’état-limite d’équilibre statique (exemple renversement d’un mur de soutènement): ici il faut montrer
que les combinaisons d’actions de calcul à considérer n’entraine pas la perte de l’équilibre de la
construction ou de la pièce étudiée.
En bref, nous calculerons les éléments porteurs à l’état-limite ultime et nous vérifierons si l’exploitation
ne sera pas compromise c.-à-d. nous vérifierons que les sections de béton ainsi que celles
d’armatures satisfont à l’état-limite de service.
1.4.1 Définitions:
a)actions2 : Les actions sont les forces et/ou couples appliqués à une construction. Soit directement :
-charges permanentes
-charges d’exploitations
b) sollicitations : Les sollicitations sont les efforts (effort normal N, effort tranchant T) et les moments
(moment de flexion M, et moment de torsion T). Les sollicitations sont en général déduites des actions
par des méthodes appropriées, mais peuvent parfois être déduites des résultats d’essais sur
modèles.
c) Combinaison d’actions : Les combinaisons d’actions sont les ensembles constitués par des actions
à considérer simultanément. Celles-ci sont introduites dans les combinaisons avec différentes valeurs
représentatives, correspondant aux différents niveaux d’intensité.
-Les actions permanentes G : dont l’intensité est constante ou très peu variable dans le temps (par
exemple la charge d’eau d’un point d’un canal très rarement mis à sec) ou varie très toujours dans le
même sens en tendant vers une limite s(comme les actions différées du béton : retrait, fluage).
-Les actions variables Q : dont l’intensité varie fréquemment de façon important dans le temps, suivant
une loi tout à fait quelconque.
-Les actions accidentelles FA : provenant de phénomènes se produisant très rarement (par exemple
séisme, chocs...)
-le poids des équipements fixes de toute nature (dans le bâtiment par exemple, les revêtements des
sols et de plafond, cloisons) ;
-les efforts (poids, poussée, pressions) exercés par des terres, par des solides ou par des liquides
dont les niveaux varient très peu (valeur pratiquement constante dans le temps) ;
2 Actions : M. PERCHAT, centre des hautes études de la construction, cours de béton armé, p.81
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-les forces dues aux déformations (retrait, fluage,..) imposées en permanence à la construction.
-Lorsque l’on peut valablement admettre qu’une action permanente n’est pas susceptible de subir
des écarts sensibles par rapport à sa valeur moyenne, on peut considérer cette valeur moyenne
comme la plus probable, et c’est elle que l’on introduit alors dans le calcul. Ainsi dans la plupart des
cas, le poids propre est représenté par une valeur nominale unique Go, calculée à partir du projet et
des masses volumiques moyennes des matériaux. Pour le béton armé 𝐺𝑜 = 25𝑉 avec 25 en KN/m3
le poids volumique du béton armé et V le volume théorique en m3.
-les charges d’exploitation (poids et effets annexes : tels que les forces de freinage, forces centrifuge,
etc..) ;
-les efforts (poids, poussée, pressions) exercés par des solides ou par des liquides dont le niveau est
variable ;
-les charges non permanentes appliquées en cours d’exécution (équipements de chantier, engins,
dépôts des matériaux, etc..)
Les charges d’exploitations et les charges climatiques dont les valeurs nominales sont en principe
définies par des textes réglementaires ou normatifs en vigueur c.-à-d. est fonction de la destination.
Charges Charges
B.A.E.L Total
permanentes d'exploitation
E.L.S G Q G+Q
Epaisseur de la dalle
Pour pré dimensionner les dalles, nous pouvons utiliser la condition suivante:
500 500
35
≤ Ép. ≤ 25
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, Epaisseur en charges en
Eléments m Poids spécifique en KN/m3 KN/m2
Poids propre 0,15 25 3,75
mortier de pose 0,02 22 0,44
Enduit 0,02 22 0,44
Mur de cloison 1
Carrelage 0,02 22 0,44
TOTAL 6,07
G = 6,070kN/m2
b. Dalle terrasse
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G=5,190 KN/m2
Pu = 1,35G + 1,5Q
2.6. CALCUL DES MOMENTS DANS LES PANNEAUX AUX APPUIS ET EN TRAVEES
Dans notre étude, nous adoptons la méthode de Marcus.
On considère un panneau de dalle comme parfaitement encastré là où il est contigu avec un autre
panneau, et librement appuyé au droit des poutres de rive ou dans les murs en maçonnerie.
Marcus a pu établir ou calculer des coefficients de réduction pour des valeurs des moments
maximums.
a. Dalle hôpital
Nous allons faire le calcul du panneau le plus chargé.
lx 500
= =1
ly 500
Moment en travée
b. Dalle terrasse
Nous allons faire le calcul du panneau le plus chargé.
lx 500
= =1
ly 500
Moment en travée
b. Aciers :
400
Fsu = 1,15 = 348 Mpa
- Effort en N
- Distance en cm
- Moment en Nm
- Diamètre des barres en mm
- Contraintes en Mpa
- Section des Armatures en cm2
Données :
- Mx= 7460Nm
- X = 19530Nm
- c = enrobage = 2cm
- d= e – c = 15 – 2 =13cm
- b = 1m = 100cm (car le calcul se fait sur une bande de 1m)
- 𝑓𝑏𝑢 = 14,17 Mpa
- 𝑓𝑠𝑢 = 348 Mpa
a) En travée : calcul de la section d’armatures
Mu = Mx = 7460 𝑀 7460
𝐴𝑠 = 𝑧.𝑓𝑢 = 12,8 x 348 = 1,7 cm2 ; on a
𝑠𝑢
Nm
4HA8pm (2,01 cm2)
Calculs
b) Aux Appuis
calcul du moment réduit
𝑀 7460 Mu = 19530Nm
𝜇𝑢 = 𝑏𝑑2 𝑓𝑢 . =100 x 14.17 x 132.= 0,03 < Calculs
𝑏𝑢
0,186 (Pivot A) calcul du moment réduit
𝑀 19530
𝜇𝑢 = 𝑏𝑑2 𝑓𝑢 . =100 x 14.17 x 132
= 0,08 <
calcul du paramètre de déformation 𝑏𝑢
0,186 (Pivot A)
𝛼 = 1,25(1 − √1 − 2𝜇𝑢 ) = 1,25(1 −
√1 − 2 x 0,03)= 0,038 calcul du paramètre de déformation
𝜶
calculs du bras de levier 𝛼 = 1,25(1 − √1 − 2𝜇𝑢 ) = 1,25(1 −
z = 𝑑(1 − 0,4. 𝛼) = 13(1 − 0,4 x 0,038) √1 − 2 x 0,08)= 0,104
= 12,80 cm
calculs du bras de levier
P a g e | 12
Données :
- MY = 8880 Nm
- Y = 22010 Nm
- c = enrobage = 2cm
- d= e – c = 15 – 2 =13cm
- b = 1m = 100cm (car le calcul se fait sur une bande de 1m)
- 𝑓𝑏𝑢 = 14,17 Mpa
a) En travée : b) Aux appuis
Mu = My = 8880 Calculs
Nm calcul du moment réduit
Calculs 𝑀 22010
𝜇𝑢 = 𝑏𝑑2 𝑓𝑢 . =100 x 14.17 x 132.= 0,09<
calcul du moment réduit 𝑏𝑢
z = 12,87 cm 𝛼= 0,064
z = 12,87 cm z = 12,60 cm
2
500
3
1
250
500
4
250 250 500 500 500 500
COUPE LONGITUDINALE
4 2
1
3
LEGENDE
1
2
3
4
2
500
3
1
250
500
4
250 250 500 500 500 500
COUPE LONGITUDINALE
4 2
1
3
LEGENDE
1
2
3
4
Pour notre structure, nous avons des poutres situées à des positions
intermédiaires et extrêmes dans les sens transversal et longitudinal ; mais dans ce chapitre
nous allons calculer seulement les poutres longitudinales défavorables c’est – à – dire
supposées les plus chargées. Calculer ces types de poutres, revient à déterminer les
éléments de réduction (moment fléchissant et effort tranchant) et les armatures tant
longitudinales que transversales à y mettre
3.2. METHODE
Parmi les différentes méthodes de calcul des poutres hyperstatiques,
notre choix porte sur la méthode de trois moments (Clapeyron).
8 cm ≤ h ≤ 20 cm
Nous adoptons b0 = 15 cm
Prét = b0( h – h0)ρb = 0,15 x (0,40 – 0,15) x 25000 = 0,15 x 0,25 x 2500 = 937,5 N/m
Poids du mur
Dans nos calculs nous ne nous intéresserons qu’à la poutre la plus chargée pour uniformiser
les résultats partout.
- 2,5MA+10MB+2,5MC = -214372,0703 Nm
- 2,5MB +15MC+5MD = -1380645,566 Nm
- 5MC +20MD+5ME= -2546919,063 Nm
- 5MD +20ME+5MF= -2546919,063 Nm
- 5ME +20MF+5MG= -2546919,063 Nm
Ainsi donc il va falloir isoler chaque fois deux appuis de notre poutre pour trouver les
efforts tranchants, le moment max. ainsi que les bras de levier du moment max.
FORMULES
TAB=(qu.l/2)+(MA-MB)/l
TBA=(qu.l/2)+(MB-MA)/l
Mmax= (T2AB/2qu) – MA
Mmax= (T2BA/2qu) – MB
XAB= TAB/qu
XBA= TBA/qu
XAB + XBA = l
B 55691,7128 -6453,67485
P a g e | 20
C 98670,3596 -59934,1287
D 108513,465 -93099,8897
E 98670,3596 -77050,1253
F 108086,972 -108083,422
G 80263,6281 0
- 2,5MA+10MB+2,5MC = -158708,0078 Nm
- 2,5MB +15MC+5MD = -963209,4727 Nm
- 5MC +20MD+5ME= -1767710,938 Nm
- 5MD +20ME+5MF= -1767710,938 Nm
- 5ME +20MF+5MG= -1767710,938 Nm
Ainsi donc il va falloir isoler chaque fois deux appuis de notre poutre pour trouver les
efforts tranchants, le moment max. ainsi que les bras de levier du moment max.
FORMULES
TAB=(qu.l/2)+(MA-MB)/l
TBA=(qu.l/2)+(MB-MA)/l
Mmax= (T2AB/2qu) – MA
Mmax= (T2BA/2qu) – MB
XAB= TAB/qu
XBA= TBA/qu
XAB + XBA = l
B 27562,7951 -5423,78467
P a g e | 22
C 39938,9932 -41788,0645
D 75263,9863 -64565,8087
E 68493,4535 -53490,8886
F 75012,8247 -75012,8248
G 55705,8725 0
Dimensions de la poutre
bo= 15 cm
ho= 15 cm
h= 40 cm
d =0,9 x h = 0,9 x 40 = 36 cm
5HA14 5HA14
5HA14 3HA14
3HA14 5HA14
3HA14 3HA14
5HA14 3HA14
3HA14 5HA14
P a g e | 26
CHAPITRE 4. PORTIQUE
4.1. DEFINITION
Un portique est une structure située dans un même plan vertical et constituée d’éléments appelés
barres, c’est-à-dire des éléments tels que deux des dimensions restent petites par rapport à leur
longueur.
Ces barres sont appelées traverses ou poutres lorsqu’elles sont verticales et diagonales lorsqu’elles
sont inclinées.
H= 4 x 3 =12 m
A= 12,5 m
H< 2A = 12 < 15
Chargement de la longrine
Pp = 0,40 x 0,40 x 25000 = 4000 N/m
Equation d’équilibre
Nœud A : MAA’+MAB+MAE = 0 Nœud K : MKG+MKJ+MKO+MKL = 0
Nœud B : MBB’+MBA+MBC+MBF = 0 Nœud L : MLH+MLK+MLP= 0
Nœud C : MCC’+MCB+MCG+MCD = 0 Nœud M : MMI+MMQ+MMN = 0
Nœud D : MDD’+MDC+MDH= 0 Nœud N : MNJ+MNM+MNR+MNO = 0
Nœud E : MEA + MEI + MEF = 0 Nœud O : MOK+MON+MOJ+MOP = 0
Nœud F : MFB+MFE+MFJ+MFG = 0 Nœud P : MPL + MPO + MPT = 0
Nœud G : MGC+MGF+MGK+MGH = 0 Nœud Q : MQM + MQR = 0
Nœud H : MHD + MHG + MHL = 0 Nœud R : MRN + MRQ + MRS = 0
Nœud I : MIE + MIJ + MIM = 0 Nœud S : MSO + MSR + MST = 0
Nœud J : MJF+MJI+MJN+MJK = 0 Nœud T : MTP + MTS = 0
P a g e | 30
Sachant que la relation qui existe entre les moments aux extrémités des barres
et les rotations sont les suivantes :
2𝐸𝐼 3∆𝑖𝑗
Mij = 𝐿
X (2𝜃𝑖 + 𝜃𝑗 - 𝐿
) - 𝜇𝑖𝑗
2𝐸𝐼 3∆𝑖𝑗
Mji = 𝐿
X (2𝜃𝑗 + 𝜃𝑖 - 𝐿
) + 𝜇𝑗𝑖
Avec :
o E : Module d’élasticité
o I : Moment d’inertie de la section
o 𝜃𝑖 ou 𝜃𝑗 : Angle de rotation autour du nœud considéré.
o ∆= le deplacement
o 𝜇𝑗𝑖 = 𝑚𝑜𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑′ 𝑒𝑛𝑐𝑎𝑠𝑡𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑓𝑎𝑖𝑡
o L= la travée considérée
4,13EI𝜽𝑨 + 0,4EI𝜽𝑩 + 0,67EI𝜽𝑬 =28,8 0,67EI𝜽𝑮 + 5,06EI𝜽𝑲 + 0,4EI𝜽𝑳 + 0,67EI𝜽𝑶 + 0,8EI𝜽𝑱 =79,86
0,4EI𝜽𝑨 + 5,73EI𝜽𝑩 + 0,8EI𝜽𝑪 + 0,67EI𝜽𝑭 =-21,6 0,67EI𝜃𝐻 + 3,46EI𝜃𝐿 + 0,4EI𝜃𝐾 + 0,67EI𝜃𝑃 =-94,15
0,8EI𝜽𝑩 + 5,73EI𝜽𝑪 + 0,4EI𝜽𝑫 + 0,67EI𝜽𝑮 =21,6 0,67EI𝜃𝐼 + 3,46EI𝜃𝑀 + 0,4EI𝜃𝑁 + 0,67EI𝜃𝑄 =94,15
0,4EI𝜽𝑪 + 4,13EI𝜽𝑫 + 0,67EI𝜽𝑯 =-28,8 0,67EI𝜃𝐽 + 5,06EI𝜃𝑁 + 0,4EI𝜃𝑀 + 0,67EI𝜃𝑅 + 0,8EI𝜃𝑂 =-79,86
0,67EI𝜽𝑨 + 3,46EI𝜽𝑬 + 0,4EI𝜽𝑭 + 0,67EI𝜽𝑰 =94,15 0,67EI𝜃𝐾 + 5,06EI𝜃𝑂 + 0,4EI𝜃𝑃 + 0,67EI𝜃𝑆 + 0,8EI𝜃𝑁 =79,86
0,67EI𝜽𝑩 + 0,4EI𝜽𝑬 + 5,06EI𝜽𝑭 + 0,67EI𝜽𝑱 + 0,8EI𝜽𝑮 =-79,86 0,67EI𝜃𝐿 + 3,46EI𝜃𝑃 + 0,4EI𝜃𝑂 + 0,67EI𝜃𝑇 =-94,15
0,67EI𝜽𝑪 + 0,8EI𝜽𝑭 + 5,06EI𝜽𝑮 + 0,4EI𝜽𝑯 + 0,67EI𝜽𝑲 =79,86 0,67EI𝜃𝑀 + 2,13EI𝜃𝑄 + 0,4EI𝜃𝑅 =64,46
0,67EI𝜽𝑫 + 0,4EI𝜽𝑬 + 3,46EI𝜽𝑯 + 0,67EI𝜽𝑪 =-94,15 0,67EI𝜃𝑁 + 3,73EI𝜃𝑅 + 0,4EI𝜃𝑄 + 0,8EI𝜃𝑆 =-53,88
0,67EI𝜽𝑬 + 3,46EI𝜽𝑰 + 0,4EI𝜽𝑱 + 0,67EI𝜽𝑴 =94,15 0,67EI𝜃𝑂 + 3,73EI𝜃𝑆 + 0,8EI𝜃𝑅 + 0,4EI𝜃𝑇 =53,88
0,67EI𝜽𝑭 + 5,06EI𝜽𝑱 + 0,4EI𝜽𝑰 + 0,67EI𝜽𝑵 + 0,8EI𝜽𝑲 =-79,86 0,67EI𝜃𝐹 + 2,13EI𝜃𝐾 + 0,4EI𝜃𝑆 =-64,46
En résolvant ces différentes équations par les méthodes matricielles, nous avons :
Ainsi avec les valeurs maintenant connues des rotations et déplacements nous
trouvons les moments aux extrémités de chaque barre aux tableaux ci-dessous qui nous
permettront de trouver le moment max ainsi que les éfforts tranchants.
BARRE VERTICALES
TRAVEES POINTS M en kNm Mmax en kNm T en Kn
A' 6.8 -3.4
A'A A 13.6 - 3.4
A 24.7957 -3.68
AE E 35.8243 - 3.68
E 44.943 0.682
EI I 42.897 - -0.682
I 40.351 0.154
IM M 39.889 - -0.154
M 44.6795 -15.543
MQ Q 49.8605 - 15.543
B' -37.61 -18.805
B'B B -75.22 - 18.805
B -59.0869 -5.2956
BF F -43.1936 - 5.2956
F -27.0734 0.0044
FJ J -27.0866 - -0.0044
J -28.4065 5.623
JN N -11.5365 - -5.623
N -33.0837 0.9474
NR R -35.1363 - 0.9474
C' 7.31 -3.655
C'C C 14.62 - 3.655
C 21.0252 -2.1032
CG G 27.3348 - 2.1032
G 32.6747 0.3498
GK K 31.6253 - -0.3498
K 30.5737 -0.0044
KO O 30.5866 - 0.004
O 32.8445 -0.635
OS S 34.7495 - 0.635
D' -3.71 1.857
D'D D -7.42 - -1.857
D -21.3359 -4.5694
DH H -35.0441 - 4.5694
HL H -46.2398 - -0.8932
P a g e | 32
L -43.5602 0.8932
L -40.3509 -0.1606
LP P -39.8691 - 0.1606
P -44.6596 1.7368
PT T -49.8604 - -1.7368
BARRES HORIZONTALES
A -38.404 41.92
A-B B 1.432 25.26 27.17
B -61.528 37.41
B-C C -11.192 -10.9 -2.85
C -24.436 33.7
C-D D 28.756 16.63 35.42
E -80.754 110.58
E-F F 92.73 54.54 115.37
F -22.442 31.09
FG G 30.458 -4.83 37.56
G -90.446 114.8
GH H 81.314 55.37 111.15
I -83.242 111.35
IJ J 91.474 53.85 114.61
J -23.746 32.64
JK K 27.898 -4.33 35.96
K -90.094 114.21
KL L 83.926 54.22 111.74
M -84.582 111.96
MN N 89.634 54.12 113.98
N -26.85 34.49
NO O 26.37 -51.17 34.1
O -103.782 114.04
OP P 98.514 40.08 111.92
Q -49.86 75.2
QR R 60.588 41.54 79.49
R -25.452 25.37
RS S 25.524 -9.62 25.42
S -60.568 79.49
ST T 49.568 41.54 75.54
P a g e | 33
B. EFFORTS NORMAUX
1. Efforts Normaux des Colonnes
L’effort normal dans une colonne sur un nœud vaut la somme des efforts
tranchants des poutres sur le même nœud.
Ainsi donc, nous avons :
Q R S T Q R S T
300
300
M N O P M N O P
300
300
I J K L I J K L
300
300
E F G H E F G H
300
300
A B C D A B C D
200
200
EFFORT NORMAL
Q R S T
300
M N O P
300
I J K L
300
E F G H
300
A B C D
200
DISPOSITIONS CONSTRUCTIVES
P a g e | 37
II. POTEAUX
- Pp : Poids propre du poteau
- Npl : Effort normal engendré par la poutre longitudinale
- Npt : Effort normal de la poutre transversale trouvé au portique.
- Nu = Pp + Npl + Npt
N.B : Pour tous les niveaux PP=0,40 x 0,40 x 3 x 25 = 12 KN sauf le pour le Fux dont
PP=0,40 x 0,40 x 2 x 25 = 8KN
Notre poteau travail en flexion composée ; nous allons calculer les armatures niveau
par niveau.
Poteau du niveau 0
Sachant que :
Nu=1414,59kN
Mu = 72,22kNm
b= 0,40 m
h= 0,40 m
d= 0,40 – 0,02 = 0,38 m
Calculs
𝑀
- e1 = 𝑁
= 0,051 m
3lf²
- e2= (2+ ∝ ∅)avec α = 2 et θ = 0,5 et lf = 0,7. lO = 0,7.3m = 2,1 m.
10000h
3.2,12
D’où e2 = 10000 x 0,40 (2 + 0,5.2) = 0,099 m.
L 300
- ea = max {2cm; 250} = max {2cm; 250} = max{2cm; 1,2 cm} = 2 cm.
Ainsi e = 0,051 m + 0,02m + 0,099m = 9,441 Cm
Nbmax = b x h x fbu = 0,40 x 0,40 x 14170 = 1062,75kN
Nu
Calcul du coefficient de remplissage :ψ1 = N = 0,62 < 0,81
bmax
P a g e | 38
𝑁𝑈 1414,59
D’où la section réelle d’aciers tendus vaut As = Asfictive - 𝜎𝑠𝑡
= 0,0044- 348000
=
0,00034m2=3,4 cm2
La marche étant pareille pour le reste des poteaux, pour éviter des redites ;
DISPOSITIONS CONSTRUCTIVES
P a g e | 40
b Nu a Nu a b
B≥√ x etA ≥ √ x oùA = xB et B = xA
a σsol b σsol b a
-D’après les données géotechnique σsol = 0,50 Mpa; On sait que Nu=1414,89 KN
7HA16
30cm
170cm
10HA22
170cm
10HA22
- de longueur : 2.50m
-largeur 1,15m
-Marches et contremarche :
-La hauteur des contremarches varie entre 14 et 18cm ; nous la fixons à 15cm ;
150
D’où le nombre de contremarches ; 𝑛 = 15
= 10 contremarches
2h+g=60 or h=15
2.15+g=60 ⇒ 𝑔 = 60 − 30 =30cm
-La paillasse :
- enduit sous paillasse : 𝑔4 = √0,32 + 0,152 𝑚𝑥0,4𝐾𝑁/𝑚2 𝑥1,15𝑚 = 0,154𝐾𝑁 (soit 0,2KN/𝑚2
pour 1 cm d’épaisseur).
18,81𝐾𝑁
𝐺 ′′ = = 5,41𝐾𝑁/𝑚2
3.019𝑚 × 1,15𝑚
-Sur la paillasse :
𝐾𝑁 7,5𝐾𝑁
𝑝𝑢1 = 7.304 + = 14.80𝐾𝑁/𝑚2
𝑚2 𝑚2
-Sur le palier :
4.225𝐾𝑁 7,5𝐾𝑁
𝑝𝑢2 = + = 11.725𝐾𝑁/𝑚2
𝑚2 𝑚2
P a g e | 44
(fig.144)
1
8.4𝑀𝐵 = −(291,30 + 39.57). 4 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑀𝐵 = −9.84 𝐾𝑁. 𝑚
a) Travée AB :
(fig.145)
𝑝𝑙 𝑀𝐵 14.80 × 2.7 9.84
𝑇𝐴𝐵 = − = −
2 𝑙 2 2.7
𝑇𝐴𝐵 = 19.98 − 3.64 = 16.33 𝐾𝑁
𝑇𝐵𝐴2 (16.33)2
𝑀𝐴𝐵 = = = 9.009 𝐾𝑁. 𝑚
2𝑝 2(14,80)
b) Travée BC :
(fig.146)
A. Pour la paillasse :
Données :
ℎ =10cm
Enrobage 𝑐 =2cm⇒d=8cm.
𝑏 =100cm.
𝑀𝑢
−𝜇𝑢 = = 0.124 < 0.186
𝑏𝑑2 𝑓𝑏𝑢
−𝛼 = 1.25(1 − √1 − 2. 𝜇𝑢 ) = 0.166
B. Palier de repos :
𝑢 𝑀 209×10−6
-Le moment réduit 𝑀𝑢 = 𝑏𝑑2 𝑓𝑏𝑢 = 1(0.08)2 ×11.33 = 0.003
𝑀𝑢 0,000209.104
-𝐴𝑠 = = = 0.076𝑐𝑚2
2.5 348(0.079)
Cette section étant très faible, nous adoptons tant pour les armatures principales que celles
𝑐𝑚2
de répartition une section minimale de 2.01 𝑚
soit 4HA8.
C. Appui B : 𝑀𝑢 = 𝑀𝐵 = 9.84𝐾𝑁. 𝑚
𝑢 𝑀 0.00984
-Le moment réduit 𝑀𝑢 = 𝑏𝑑2 𝑓𝑏 = 1(0.08)2 ×11.33 = 0.135
𝑢
𝑀𝑢 0,00984.104
-𝐴𝑠 = = = 3,82 𝑐𝑚2 .
2.5 348(0.074)
𝑐𝑚2
Soit une section réelle 3,92 𝑚
, donc 5HA10. Pour les armatures de répartition,
3.92
𝐴𝑟 = 4
= 0.98 𝑐𝑚2 . Trop petit on adopte la section minimale de 2,01 𝑐𝑚2 soit 4HA8.
250 250
15
≤ ℎ𝑡 ≤ 25
⇒ 16.66𝑐𝑚 ≤ ℎ𝑡 ≤ 25 𝑐𝑚. On 𝑓𝑖𝑥𝑒 ℎ𝑡 = 20𝑐𝑚 et la base 𝑏𝑜 = 15𝑐𝑚.
𝑪. 𝟏𝒄𝒉𝒂𝒓𝒈𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒔𝒖𝒓𝒄𝒉𝒂𝒓𝒈𝒆𝒔:
11.725𝐾𝑁/𝑚2 ×1.5𝑚
-moitié de poids du plancher de repos : 2
= 8.79 𝐾𝑁/𝑚
14.80𝐾𝑁/𝑚2 ×2.7𝑚
-moitié du poids de paillasse ; 2
= 19.98𝐾𝑁/𝑚
(fig.149)
𝑝𝑙 2
-Le moment en travée ; 𝑀𝑚𝑎𝑥 = 8
= 22.47 𝐾𝑁. 𝑚
𝑝𝑙
-L’effort tranchant aux appuis ; 𝑇𝐴 = 𝑇𝐵 = 2
= 36 𝐾𝑁
C.3 les armatures longitudinales : Données : h=20 cm, d=18 cm, b=15 cm.
𝑀𝑢 = 22.47 𝐾𝑁. 𝑚
𝑢𝑀 0.02247
𝑀𝑢 = 𝑏𝑑2 𝑓𝑏𝑢 = 0,15(0.27)2 ×11.33 = 0.181 > 0,186, pivot A.
𝑀 0.02247×104
𝐴𝑠 = 𝑍×𝜎𝑢 = 348×0.162
=3,98c𝑚2 . Soit une section réelle de 4,52 𝑐𝑚2 . Donc 4 HA12.
𝑠𝑡
PLAN D'ARMATURE DE L'ESCALIER
VUE EN PLAN
4HA10/m 5HA10/m
4HA8/m
4HA12/m
4HA10/m
5HA10/m 4HA8/m
COUPE VERTICALE
.COUPE VERTICALE
4HA8/m
2HA10 2HA10
5HA10/m
4HA8/m
4HA10 4HA10
4HA8/m
2HA10
5HA10/m
50cm
4HA12
CONCLUSION
Au terme de notre travail, nous pensons avoir atteint les objectifs fixés conformément à ce
que nous avons précisé au début du travail qui est le calcul de structure d’un immeuble R+3
A USAGE D’UN HOPITAL DANS LA COMMUNE DE LA N’SELE.
Ce travail de fin de cycle nous a permis dans une certaine mesure, non seulement de
consolider notre connaissance dans le cadre précis, mais aussi d’ entrer en contact avec
certaines réalités de calcul de stabilité qui du reste ne font que confirmer ce que nous avons
appris durant notre formation d’ingénieur technicien en bâtiment et travaux publics.
Puisque la solution des constructions doit être économique et stable en ce qui concerne sa
résistante face aux diverses sollicitations ;
Nous nous sommes décidé d’opter pour une structure dont l’ossature est entièrement en béton
armé et nous avons utilisé les méthodes que nous avons jugée plus pratiques et plus rentables
par rapport à notre objectif ;
Dans le but de bien comprendre et maitriser les différentes méthodes apprises aux cours,
nous avons procédé comme suit :
Pour tous les éléments de structure nous avons commencé par le pré-dimensionnement,
l’évaluation des charges, les calculs des éléments de Réduction et le calcul des armatures ;
Pour chaque élément des structures nous avons appliqué des méthodes plus pratiques ;
Le poteau a été calculé en flexion composé et la semelle par la méthode des bielles
comprimées.
En gros, la norme BAEL (Béton Armé aux Etats Limites) nous a servi de guide de calcul de
l’ensemble de notre travail.
Sachant que l’œuvre humaine n’a pas toujours été parfaite, nous présentons, en outre nos
sincères excuses pour toutes imperfections qui se seraient glissées dans ce travail,
indépendamment de notre volonté.
v
BIBLIOGRAPHIE DE REFERENCE
A. Ouvrages de référence :
1. BERNAERT, HAAS et STEINMANN, Calcul des dalles et structures planes
aux états-limites. Ann. ITBTP, mai 1969.
2. CALGARO J.-A et CORDADE J., Applications de l’eurocode 2 : Calcul des bâtiments
en béton, Presses des Ponts et chaussées.
3. CHARON pierre, Calcul et vérification des ouvrages en béton Armé (théorie et
application) 6è édition, Eyrolles, Paris, 1972, 625 p.
4. COIN, États-limites ultimes des murs porteurs. Ann. ITBTP, janv. 1975.
B. Ouvrages généraux
0. BOURAHLA Noureddine, Résistance des matériaux de base, éd. GECOTEC.
1. CHAMBAUD (R.) et LEBELLE (P.), Formulaire du béton armé. Tome I : 589 p.,17 x 25,
288 fig., 49 tabl., 72 abaques. 3e éd., 1967, Eyrolles.
2. COIN (A.), Ossatures des bâtiments. (Bases de la conception. Différentes catégories
d’ouvrages élémentaires. Annexes sur l’isolation de la sécurité).256p. 15,4 x 24, 3, nombreux
abaques,Tabl.,fig., 4e éd.,1981,Eyrolles.
3. FAUCHART (J.), Initiation au calcul des structures. Béton et acier. 312 p.,16 x 25,433
eme
fig.,3 tirage,1981,Eyrolles.
C. Dictionnaires Techniques et encyclopédies
1. Dictionnary of building and civil engineering dictionnaire du bâtiment et du génie civil-
Don Montague.
2. Dico-TP,Monique Hanicotte,jacques Labravoire ET JEAN Perchat
3. Dicobat 10 : Dictionnaire général du bâtiment 2012- jean de Vigan.
4. Dictionnary of architecture and construction – Cyril Harris, 2006.
5. Dictionnaire de vocabulaire illustré de la construction – Paulin, Michel 2011.
D. Articles scientifiques
1. ARIBERT (J.M.) et WATTECAMPS (C.), Méthode pratique commune de calcul
élastique et aux états-limites ultimes des sections de béton armé en flexion simple, composée
et déviée. Ann. ITBTP, juil. Août 1979.
2. BLÉVOT (J.), Les annexes F des Règles BAEL 80. Ann. ITBTP, mars 1981
3. CEB-FIP, Bétons de granulats légers. ITBTP, Ann., janv. mai et déc. 1980.
4. CEMBUREAU, Constructions en béton léger. AITEC Rome, 1974.
Thèses de doctorat
1. SAADI Ahmed, le problème de la circulation et du stationnement dans le centre-ville
de Constantine, 23 fev.2005.
2. MUHOVIC Emil, Etude d’un parking souterrain-places des alliés à Differdange.
3. GASSMANN Xavier, Analyse de la structure porteuse d’un bâtiment R+5 sur parking
souterrain, juin 2012.
vi
ANNEXES DU
TRAVAIL
vii
2500
500
CH.1 CH.2 CH.3 CH.4 CH.5 CH.6 CH.7 CH.8
250
DEBARRAS
EXAM.
500
ET
SOINS LABO. EXAM. RECEPTION CHIR. PHAR. MED.
PREP.
MED.
OP.
2500
500
BAIN BAIN ACC. ACC. ACC. ACC. ACC. ACC.
250 DEBARRAS
CHIR.
RECEPTION
500
ASEPT .
RADIO. LABO. APP. MATERNITE CHIR. PHAR. MED.
SEPT.
2500
500
SOINS INT. SOINS INT. SOINS INT. SOINS INT. SOINS INT. SOINS INT. LOCAL INFIRMIERES.
250
DEBARRAS
CHIR.
RECEPTION
500
ASEPT .
RADIO. LABO. APP. ET ATTENTE CHIR. PHAR. CABINET
DENT.
SEPT.
2500
500
CH.1 CH.2 CH.3 CH.4 CH.5 CH.6 LOCAL INFIRMIERES.
250
DEBARRAS
CHIR.
RECEPTION
500
ASEPT .
RADIO. LABO. APP. ET ATTENTE CHIR. PHAR. DERM.
SEPT.
PERSPECTIVE
FACADE PRINCIPALE
xii
FACADE POSTERIEURE
xiii
TABLEAUX DE MARCUS
1.LA DALLE EST APPUYEE SUR LES 4 COTES
kx ky ws
0,5 0,094 0,06 0,119
0,6 0,091 0,011 0,102
0,7 0,078 0,017 0,085
0,8 0,056 0,023 0,071
0,9 0,045 0,03 0,058
1 0,037 0,037 0,048
1,1 0,03 0,044 0,039
1,2 0,025 0,051 0,032
1,3 0,02 0,056 0,026
1,4 0,017 0,063 0,022
1,5 0,014 0,076 0,018
1,6 0,012 0,077 0,015
1,7 0,09 0,083 0,012
1,8 0,07 0,087 0,011
1,9 0,06 0,092 0,009
2 0,05 0,095 0,008
2.LA DALLE EST ENCASTREE SUR UN COTE ET SIMPLEMENT APPUYEE SUR LES TROIS AUTRES COTES
kx ky kx' ws
0,5 0,091 0,008 -0,119 0,11
0,6 0,075 0,014 0,11 0,09
0,7 0,06 0,02 0,1 0,07
0,8 0,047 0,025 0,091 0,044
0,9 0,037 0,03 0,08 0,042
1 0,029 0,039 0,07 0,033
1,1 0,023 0,04 0,061 0,025
1,2 0,018 0,044 0,053 0,02
1,3 0,014 0,047 0,046 0,016
1,4 0,012 0,05 0,041 0,012
1,5 0,009 0,052 0,036 0,01
1,6 0,008 0,054 0,032 0,008
1,7 0,006 0,056 0,028 0,006
1,8 0,0054 0,058 0,025 0,005
1,9 0,0044 0,059 0,023 0,0043
2 0,0037 0,06 0,021 0,0036
xiv
3.LA DALLE EST ENCASTREE SUR DEUX COTES ET SIMPLEMENT APPUYEE SUR LES DEUX AUTRES COTES
kx ky k'x ws
0,5 0,081 0,009 -0,03 0,099
0,6 0,065 0,014 0,04 0,057
0,7 0,049 0,019 0,05 0,041
0,8 0,036 0,023 0,058 0,031
0,9 0,027 0,0274 0,064 0,023
1 0,02 0,031 0,07 0,017
1,1 0,015 0,034 0,074 0,013
1,2 0,011 0,036 0,077 0,013
1,3 0,009 0,037 0,079 0,01
1,4 0,007 0,039 0,081 0,007
1,5 0,005 0,04 0,082 0,006
1,6 0,004 0,041 0,0825 0,005
1,7 0,0034 0,0412 0,083 0,004
1,8 0,0028 0,0414 0,0832 0,003
1,9 0,0023 0,0416 0,0833 0,002
2 0,002 0,0417 0,0836 0,0018
4.LA DALLE EST ENCASTREE SUR DEUX COTES NON OPPOSES ET SIMPLEMENT APPUYEE SUR LES DEUX
AUTRES COTES
kx ky k'x k'y ws
0,5 0,057 0,004 -0,119 -0,021 0,055
0,6 0,051 0,007 0,11 -0,03 0,049
0,7 0,045 0,011 0,1 0,039 0,043
0,8 0,039 0,016 0,091 0,05 0,036
0,9 0,032 0,022 0,08 0,06 0,03
1 0,027 0,027 0,07 0,07 0,025
1,1 0,022 0,032 0,061 0,079 0,02
1,2 0,018 0,037 0,053 0,087 0,016
1,3 0,015 0,041 0,046 0,094 0,013
1,4 0,012 0,044 0,041 0,099 0,011
1,5 0,01 0,047 0,036 0,104 0,009
1,6 0,008 0,05 0,032 0,107 0,007
1,7 0,007 0,052 0,028 0,111 0,006
1,8 0,006 0,054 0,025 0,114 0,005
1,9 0,005 0,056 0,023 0,117 0,004
2 0,004 0,057 0,021 0,119 0,0034
xv
5.LA DALLE EST ENCASTREE SUR TROIS COTES ET SIMPLEMENT APPUYEE SUR LE 4
kx ky k'x k'y ws
0,5 0,06 0,005 -0,114 -0,02 0,053
0,6 0,05 0,008 0,102 0,03 0,045
0,7 0,04 0,012 0,091 0,038 0,031
0,8 0,032 0,017 0,088 0,047 0,03
0,9 0,026 0,021 0,066 0,055 0,024
1 0,021 0,025 0,055 0,062 0,018
1,1 0,016 0,029 0,047 0,068 0,017
1,2 0,012 0,032 0,04 0,072 0,016
1,3 0,01 0,034 0,034 0,076 0,008
1,4 0,008 0,036 0,029 0,078 0,0073
1,5 0,006 0,037 0,025 0,08 0,0071
1,6 0,005 0,039 0,022 0,081 0,007
1,7 0,004 0,0395 0,019 0,082 0,0068
1,8 0,003 0,04 0,017 0,083 0,0044
1,9 0,0026 0,041 0,015 0,084 0,0022
2 0,0022 0,0412 0,014 0,085 0,018
kx ky k'x k'y ws
0,5 0,041 0,002 -0,083 -0,014 0,03
0,6 0,038 0,005 0,079 -0,021 0,028
0,7 0,034 0,008 -0,074 -0,026 0,025
0,8 0,029 0,01 -0,067 0,036 0,021
0,9 0,025 0,016 0,06 0,044 0,018
1 0,02 0,02 -0,052 -0,052 0,015
1,1 0,016 0,024 -0,045 0,059 0,012
1,2 0,013 0,029 0,039 0,064 0,01
1,3 0,011 0,031 0,034 0,069 0,008
1,4 0,008 0,033 -0,029 0,073 0,006
1,5 0,007 0,035 0,025 -0,076 0,005
1,6 0,005 0,037 0,022 -0,078 0,004
1,7 0,004 0,038 0,02 -0,08 0,003
1,8 0,0035 0,039 -0,018 0,081 0,0027
1,9 0,003 0,04 0,016 -0,082 0,0022
2 0,002 0,041 0,014 0,083 0,002
xvi
xvii
Diametre Poids
en mm kg/m SECTIONS DES ARMATURES en cm2 (Nervures comprises)
1 pièces 2 pièces 3 pièces 4 pièces 5 pièces 6 pièces 7 pièces 8 pièces 9 pièces 10 pièces
6 0,222 0,24 0,48 0,71 0,95 1,19 1,43 1,67 1,9 2,14 2,38
8 0,395 0,5 1 1,51 2,01 2,51 3,01 3,52 4,02 4,52 5,03
10 0,617 0,79 1,57 2,36 3,14 3,93 4,71 5,5 6,28 7,07 7,85
12 0,888 1,13 2,26 3,39 4,52 5,65 6,79 7,91 9,05 10,18 11,31
14 1,208 1,54 3,08 4,62 6,16 7,7 9,24 10,77 12,32 13,86 15,39
16 1,578 2,01 4,02 6,03 8,04 10,05 12,06 14,07 16,08 18,09 20,11
18 1,998 2,54 5,09 7,63 10,18 12,72 15,26 17,81 20,36 22,9 24,45
20 2,466 3,14 6,28 9,42 12,57 15,71 18,84 21,99 25,14 28,28 31,42
22 2,984 3,8 7,6 11,4 15,21 19,01 22,81 26,61 30,41 34,21 38,01
25 3,851 4,91 9,82 14,73 19,64 24,55 29,45 34,36 39,27 44,18 49,09
28 4,834 6,16 13,12 18,47 24,63 30,79 36,94 43,1 49,26 55,42 61,58
30 5,555 7,07 14,14 21,21 28,27 35,34 42,41 49,48 56,55 63,62 70,68
32 6,313 8,04 16,08 24,13 32,17 40,21 48,26 56,3 64,34 72,38 80,42
36 7,99 10,18 20,36 30,54 40,72 50,8 61,07 71,25 81,43 91,61 101,79
40 9,865 12,56 25,13 37,7 50,26 62,83 75,4 87,96 100,53 113,53 125,66
xviii
DEDICACES…………………………………………………………………………....….………….ii
REMERCIEMENTS………………………………………………………………… ……………….iii
0 .INTRODUCTION .............................................................................................................................. 1
0.1. PROBLEMATIQUE............................................................................................................... 1
0.2. HYPOTHESE ........................................................................................................................ 1
0.3. INTERET DU SUJET ........................................................................................................... 2
0.4. METHODOLOGIE ................................................................................................................ 2
0.5. DELIMITATION DU SUJET ................................................................................................ 2
0.6. PLAN DU TRAVAIL .............................................................................................................. 2
CHAPITRE 1. GENERALITES ........................................................................................................... 3
1.1. PRESENTATION DU PROJET .......................................................................................................... 3
1.1.1. Aspect architectural ........................................................................................................... 3
1.2. CARACTARISTIQUES DES MATERIAUX ........................................................................... 3
1.2.1. Le béton: ............................................................................................................................. 3
1.2.2. L’acier .................................................................................................................................. 3
1.3. REGLEMENTATIONS ........................................................................................................... 3
1.3.1. But du calcul ........................................................................................................................ 3
1.3.2. Définition de l’état-limite.................................................................................................... 4
1.4. HYPOTHESES SUR LES ACTIONS ET LES SOLLICITATIONS .................................... 5
1.4.1 Définitions: ........................................................................................................................... 5
1.4.2 Les actions ........................................................................................................................... 5
1.4.3. Combinaison d’actions ...................................................................................................... 6
CHAP 2. CALCUL DE LA DALLE ...................................................................................................... 7
2.1. DEFINITION............................................................................................................................... 7
2.3. PLAN DE POUTRAISON......................................................................................................... 7
2.4. PRE DIMENSIONNEMENT DE LA DALLE .......................................................................... 7
2.5. EVALUATION DES CHARGES .............................................................................................. 8
2.5.1 Charge Permanente (G) .................................................................................................... 8
2.5.2. La charge exploitation ....................................................................................................... 9
2.5.3. Combinaisons des charges .............................................................................................. 9
xix
............................................................................................................................................................. 9
2.6. CALCUL DES MOMENTS DANS LES PANNEAUX AUX APPUIS ET EN TRAVEES . 9
1.6.1. Principe de la méthode ..................................................................................................... 9
1.7 CALCUL D’ARMATURES....................................................................................................... 11
1.7.1. Caractéristiques des matériaux ..................................................................................... 11
2.7.2. Calculs des aciers pour la dalle hôpital ........................................................................ 11
2.7.3. Calculs des aciers de la dalle Terrasse .................................................................. 12
PLAN D’ARMATURE DE LA DALLE HOPITAL ......................................................................... 14
PLAN D’ARMATURE DE LA DALLE TERRASSE .................................................................... 15
CHAPITRE 3. POUTRES LONGITUDINALES ............................................................................. 16
3.1. DEFINITION............................................................................................................................. 16
3.2. METHODE ............................................................................................................................... 16
3.3. PRE DIMENSIONNEMENT .................................................................................................. 16
3.4. EVALUATION DES CHARGE ET SURCHARGE .............................................................. 17
3.4.1.. Cas de la Dalle hospital ....................................................................................................... 18
3.4.2. Cas De La Dalle Terrasse ...................................................................................................... 20
3.5. CALCUL DES ARMATURES ................................................................................................ 22
PLAN D’ARMATURE DE LA POUTRE LONGITUDINALE ...................................................... 25
CHAPITRE 4. PORTIQUE ................................................................................................................ 26
4.1. DEFINITION............................................................................................................................. 26
4.2. BUT DU CALCUL ................................................................................................................... 26
4.3. L’ACTION DU VENT ..................................................................................................................... 27
4.4. NOTION SUR LE DEGRE D’HYPERSTATICITE .............................................................. 27
4.7. EVALUTION DES CHARGES VERTICALES .................................................................... 28
4.8. CALCUL DU PORTIQUE PROPREMENT DIT ................................................................. 29
Equation d’équilibre .................................................................................................................... 29
4.9. DEPLACEMENT ET ROTATIONS....................................................................................... 30
4.10. CALCULS DES ELEMENTS DE REDUCTIONS (M, N, T) DU PORTIQUE ............... 31
B. EFFORTS NORMALES ......................................................................................................... 33
DIAGRAMMES DES M,N,T .......................................................................................................... 34
4.11 .CALCUL DES SECTIONS DES ARMATURES ............................................................... 35
DISPOSITIONS CONSTRUCTIVES ........................................................................................... 36
DISPOSITIONS CONSTRUCTIVES ........................................................................................... 39
CHAPITRE 5. CALCUL DE LA FONDATION ................................................................................ 40
xx
5.1. DEFINITION............................................................................................................................. 40
5.2. PRÉ DIMENSIONNEMENT DE LA SEMELLE ................................................................. 40
5.3. CALCUL DES ARMATURES ................................................................................................ 40
PLAN D’ARMATURE DE LA FONDATION ................................................................................ 41
CHAPITRE 6 .CALCUL DE L’ESCALIER ....................................................................................... 42
6.1. PRESENTATION DE DIFFERENTES DIMENSIONS ...................................................... 42
6.2. EVALUATION DES CHARGES SOLLICITANT LA DALLE : ........................................... 43
6.3. CALCUL DES EFFORTS ...................................................................................................... 44
6.4. CALCUL DES ARMATURES ................................................................................................ 45
6.5 PLAN DE FERRAILLAGE....................................................................................................... 47
CONCLUSION .................................................................................................................................... 48
BIBLIOGRAPHIE DE REFERENCE ................................................................................................ 49
ANNEXES DU TRAVAIL ................................................................................................................... 50