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Vincent BELZIL

Introduction au langage des médias


530-144-EM, gr. 1010

REPORTAGE ÉCRIT
Agronomie

Travail présenté à
Mme Catherine Eliott-Ledoux

Département des arts, lettres et communication


Cégep Édouard-Montpetit
Le 21 décembre 2020
L’agronomie au 21ième siècle, le point non négligeable de la crise
environnementale.

Les études sont unanimes. Les changements climatiques sont à nos portes et la
nourriture que l’on consomme en est en partie responsable. Voyons comment
changer le courant des choses avec Cyntia Belzil, spécialiste en agronomie.

Au cours de dernières années, notamment avec


l’apparition de l’incontournable Gretta Thunberg et de
nombreuses manifestations à travers le globe, il est
difficile de ne pas savoir que des changements s’opèrent.
En effet, depuis le début de la dernière décennie, on
entend de plus en plus de voix s’élever afin de nous
avertir face aux changements climatiques. De nombreux
scientifiques s’accordent pour dire que la consommation
de viande est l’une des principaux facteurs de pollution
sur la planète. Toutes fois, une alternative viable qui est
maintenant en vogue est de tourner son assiette au vert.

« Il suffit juste d’apprendre à connaître ça. Je ne comprends pas pourquoi les gens ont une image
négative du végétarisme parce qu’il y a une encore plus grande variété de saveur et du choix
pour tout le monde. »

- Cyntia Belzil, diplômée de l’université de Sherbrooke en agronomie et employée au MAPAQ

La consommation de viande au niveau mondiale compte en effet pour 14,5% de la pollution


causée par l’humain, ce qui n’est pas une mince affaire. Ceci nous pousse donc tous à réfléchir à
des alternatives. Cyntia Belzil, agronome, affirme que ce changement pourrait non seulement
changer la donne, mais aussi ouvrirait la voie au financement pour un possible développement
massif de l’industrie de l’agriculture. La recherche est essentielle selon elle car le
surdéveloppement de l’industrie de la nourriture a apporté son lot de problème; notamment des
espèces étrangères ravageuses.

«Le problème, provient également du fait que la consommation mondiale de


nourriture de tout genre a apporté de nombreuses espèces ravageuse qui
n’auraient normalement jamais dû se retrouver ici. »
- Cyntia Belzil, diplômée de l’université de Sherbrooke en agronomie et employée au MAPAQ

Selon elle, la solution serait un financement massif du gouvernement ainsi qu’une


sensibilisation auprès de l’ensemble de la population. Conscientiser les gens se résume à
transmettre au futures générations la même idéologie. Il relève donc du devoir de tous et
chacun de s’informer. Rien n’est perdu nous a-t-elle dit, mais il faut tout de même agir
vite. Pour en savoir plus et bien s’informer, le site du MAPAQ ou encore Green Peace
Canada sont d’excellente source d’informations pour commencer. Il n’en reste qu’au gens
de faire de même.

Écrit par : Vincent Belzil

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