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MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT

SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE
SCIENTIFIQUE

Projet d’Appui à la Modernisation et à la Réforme des Universités et


Grandes Ecoles de Côte d’Ivoire (AMRUGE-CI 2) – C2D2

Présentation du plan d’action pour la consolidation de la mise en


œuvre du système académique
Licence – Master – Doctorat (LMD) dans les institutions
d’enseignement supérieur et de recherche
Professeur Mohammadou MERAWA
Conseiller Technique du Ministre de
Lundi 25 et mardi 26 septembre 2023 l’Enseignement Supérieur et de la Recherche
1
Scientifique
Déroulé de la présentation

1 Contexte et justification

2 Points saillants de l’étude bilan (2019)


3 Les principales recommandation de l’étude bilan

4 Rappel des principales actions menées

5 Objectifs du plan d’action LMD


6 Résultats attendus
7 Livrables

8 Soutenabilité du dispositif qui sera mis en place

9 Mode opératoire
1. Contexte et
justification
1. Contexte et justification

❑ Adoption en 2009 du système LMD par décret N° 2009-164

Objectif:
➢ Disposer d’un système de diplômes ouverts à l’international ;
LE SYSTÈME LMD : UNE ➢ Professionnaliser l’offre de formation supérieure
OPPORTUNITE POUR UNE ➢ Améliorer l’efficacité interne et l’efficacité externe ;
➢ Mettre en place un dispositif de formation tout au long de la vie
RENOVATION ➢ Améliorer la gouvernance des institutions d’enseignement supérieur et
SYSTEMIQUE DU SYSTEME de recherche
D’ENSEIGNEMENT ➢ Améliorer le rendement en terme de production scientifique dans le
SUPERIEUR ET DE domaine de la recherche et de l’innovation
RECHERCHE
❑ Le basculement vers ce nouveau système académique amorcé timidement
dans les institutions nationales d’enseignement supérieur s’est accéléré
après l’adoption du cadre réglementaire (décret N° 2009-164 du 30 avril
2009 ; arrêtés 247, 248, 249 du 11 décembre 2011).

❑ Basculement intégral : 3 septembre 2012


1. Contexte et justification (2)

1.1 Difficultés rencontrées et contraintes majeures


❑ Les fondamentaux de la mise en œuvre du système LMD ne sont connus que par
un nombre restreint des acteurs de la communauté universitaire.

❑ Le basculement vers le système LMD a très souvent fait l’objet d’une simple
transposition des formations existantes dans le nouveau système, sans une réelle
reconfiguration des parcours de formation en lien avec les professionnels.

❑ Le dispositif de tutorat n’est pas mis en place alors qu’il est fondamental
notamment pour les étudiants primo-entrants.

❑ Le cadre réglementaire mis en place en 2011, a montré ses limites et une


actualisation des textes est nécessaire pour répondre aux objectifs de qualité et
de performance en cohérence avec les réalités du terrain.
1. Contexte et justification (3)

1.1 Difficultés rencontrées et contraintes majeures (2)


❑ Généralement pas de dispositions particulières prises (ou pas présentées) pour
permettre aux étudiants d’utiliser au mieux leur temps de travail personnel.

❑ Déficit d’un dispositif opérationnel d’assistance et de mise en œuvre du système


LMD dans les institutions publiques et privées d’enseignement supérieur.

❑ Déficit d’appropriation ou appropriation insuffisante par certains enseignants des


méthodes d’enseignement et d’évaluation consubstantielle de la mise en œuvre
du système LMD.

❑ Difficulté pour les étudiants de prendre la mesure des avantages que leur offre le
système LMD du fait d’une sensibilisation insuffisante, faute de sensibilisation.

❑ Indisponibilité des informations sur les besoins réels du tissu économique en


ressources humaines.
1. Contexte et justification (4)

1.1 Difficultés rencontrées et contraintes majeures (3)

❑ Parcours professionnels de Licence et Master: difficultés récurrentes de trouver des


stages de fin de formation

❑ Pas de véritable refonte des offres de formation pour les arrimer aux besoins du monde
socio-économique

❑ Les parcours professionnalisés ne concernent que de façon très limitée les domaines
des lettres, sciences sociales et humaines ;

❑ Nécessité de réaliser une étude systémique sur les métiers et secteurs porteurs pour
reconfigurer les offres de formation en conséquence.
1. Contexte et justification (5)

1.1 Difficultés rencontrées et contraintes majeures (4)

❑ Professionnalisation en lien étroit avec l’auto-création


d’emploi (entreprenariat) insuffisamment développée.

❑ Faible implication des professionnels dans les choix pédagogiques,


l’encadrement des apprenants et la gouvernance des institutions
d’enseignement supérieur.
2. Points saillants de l’étude bilan
de la mise en œuvre du LMD (2019)
2. Points saillants de l’étude bilan (2019)

❑ Le rapport de cette étude bilan confirme clairement que :

➢ L’offre de formation n’est pas totalement conforme aux standards du LMD.

➢ Formation tout au long de la vie insuffisamment intégrée dans l’offre de formation


supérieure.

➢ La configuration des parcours de formation sans spécialisation progressive pour


répondre aux attentes spécifiques du marché du travail.

➢ Les passerelles entre les parcours de formation quasiment inexistantes.

➢ les dispositifs d’accompagnement à la réussite des étudiants sont marginaux.

➢ Difficulté de mettre en place la mobilité des apprenants du fait des parcours de


formation non harmonisés mais aussi des calendriers académiques qui varient d’un
établissement à un autre et même au sein du même établissement.
2. Points saillants de l’étude bilan (2009) (2)

❑ Situation contrastée dans les différentes institutions d’enseignement supérieur et de


recherche au regard des principaux objectifs visés par le système LMD :

➢ les innovations pédagogiques au bénéfice des usagers peinent à se mettre en


œuvre ;

➢ l’insertion professionnelle des diplômés ne fait pas l’objet d’une attention soutenue.

Il est URGENT dans un contexte marqué par une forte augmentation des effectifs
d’étudiants chaque année, que la Côte d’Ivoire s’engage dans une phase de mise en
œuvre du LMD qui doit être celle de la consolidation et surtout celle de la mise en
cohérence des objectifs des parcours de formation avec les besoins du monde socio-
économique.
3. Les principales recommandations
de l’étude bilan
3. Les principales recommandation de l’étude bilan

Les recommandations formulées dans le rapport de l’étude


bilan à l’attention de l’ensemble des acteurs : autorités de
tutelle et partie-prenantes, représentent une véritable feuille
de route pour consolider le plan d’action permettant de
« parachever » la mise en œuvre du LMD
3. Les principales recommandation de l’étude bilan (2)

➢ L’intervention des autorités de tutelle se situerait principalement à deux niveaux:

Au niveau institutionnel :

✓ formaliser la mission d’insertion professionnelle des établissements d’enseignement


supérieur ;

✓ élargir et expliciter les modalités d’association et d’intervention des partie-prenantes


externes dans l’ensemble des organes de gouvernance des institutions d’enseignement
supérieur et de recherche ;

✓ traiter avec la même discrimination les établissements publics et privés dans les
différentes instances nationales de gouvernance et de mise en œuvre des programmes
visant à améliorer la qualité de l’offre de formation supérieure et sa pertinence ;

✓ actualiser les textes pour faciliter l’intégration des études doctorales et des études de
santé et/ou clarifier les modalités de création des licences professionnelles.
3. Les principales recommandation de l’étude bilan (3)

➢ L’intervention des autorités de tutelle se situerait principalement à deux niveaux (2):

Au niveau du pilotage du LMD par le MESRS:

✓ mettre en place un processus d’habilitation de l’offre de formation globale et généralisée


basée sur une évaluation arrimée aux standards internationaux ;

✓ mettre à la disposition de la DGES, des ressources humaines pour une meilleure reprise en
main du pilotage national du LMD par la tutelle ;

✓ faire un meilleur usage du dispositif incitation-contrôle, notamment en impliquant de


façon conjointe la Direction Générale de l’Enseignement Supérieur (DGES), la Direction
Générale de la Qualité et des Evaluations (DGQE) et la Direction de la Planification (DP)
lors du processus d’évaluation et de classement des établissements publics et privés
d’enseignement supérieur sur la base des indicateurs clairement définis ;
3. Les principales recommandation de l’étude bilan (4)
➢ L’intervention des autorités de tutelle se situerait principalement à deux
niveaux (3):

Au niveau du pilotage du LMD par le MESRS (2) :

✓saisir l’opportunité offerte par la mise en œuvre des contrats de


performance en intégrant aux éléments de caractérisation de l’activité et de
la performance des établissements les objectifs poursuivis et les indicateurs
en phase avec les lignes directrices du LMD ; en particulier celles qui
concernent la réussite des étudiants et leur insertion professionnelle ;

✓déployer sous l’autorité du DGES une cellule chargée de la mise en place


des contrats de performance et du dialogue de gestion annuel avec les
établissements.
3. Les principales recommandation de l’étude bilan (5)

❑ La réussite de la mise en œuvre du LMD est tributaire de l’engagement de


chaque acteur du système éducatif, au premier rang desquels on devra citer
les enseignants-chercheurs

➢ Il faudra prévoir à l’attention des enseignants-chercheurs des formations


sur les nouvelles méthodes pédagogiques liées à la mise en œuvre du
système LMD ;

➢ des formations portant sur les nouvelles méthodes d’apprentissage dans


un format de séminaires ou ateliers, devront également être organisées à
l’attention des apprenants ;

➢ de même, l’opérationnalisation du cadre organique de mise en œuvre


du LMD tant au niveau de la tutelle, que des institutions d’enseignement
supérieur et de recherche est un préalable à la bonne gestion au
quotidien de ce système académique.
C’est dans ce contexte, sous le pilotage du Directeur Général de
l’Enseignement Supérieur (DGES) et sur la base d’un ensemble
d’activités à mener, que le Ministre de l’Enseignement Supérieur et
de la Recherche Scientifique propose au financement du C2D un
plan d’action pour consolider la mise en œuvre du système LMD.
4. Rappel des principales actions menées
4. Rappel Principales actions menées

❑ Organisation des séminaires de sensibilisation des différents acteurs


(étudiants, enseignants-chercheurs, personnel administratif et technique) ;

❑ formation des formateurs à l’appropriation des nouvelles méthodes


pédagogiques ;

❑ organisation des ateliers de révision des curricula pour les 8 domaines de


formation du REESAO ;

❑ harmonisation au niveau national du format des maquettes


pédagogiques (heures en présentiel et TPE des apprenants)
4. Rappel Principales actions menées (2)

❑ plusieurs actions ayant vocation à créer un environnement propice à la


mis en œuvre du LMD ont été menée (augmentation des capacité
d’accueil, acquisition des équipements scientifiques, renforcement des
capacités documentaires, développement du numérique éducatif, …) ;

❑ formation à l’attention des enseignants-chercheurs (réalisation d'un


audit interne, auto-évaluation, démarche qualité, partenariat Universités
–Entreprises, professionnalisation des formations supérieures, rédaction
des plans d'orientation stratégique, rédaction des contrats de
performance, outils de pilotage de gestion, de suivi et de contrôle, …)
4. Rappel Principales actions menées (3)

❑ L’étude bilan réalisée en 2019, a mis en évidence les forces et les


faiblesses du système et des recommandations ont été faites pour une
mise en œuvre efficiente du système LMD dans toutes ses dimensions.

Un véritable pilotage du dispositif national par la Direction Générale de


l’Enseignement Supérieur (DGES) est un facteur de réussite indispensable
pour parachever la mise en œuvre du LMD dans les institutions
d’enseignement supérieur et de recherche.
5. Objectifs du plan d’action LMD
5. Objectifs du plan d’action LMD

OBJECTIF GENERAL

Poursuivre en prenant appui sur les recommandations


formulées dans le rapport de l’étude bilan de la mise en
œuvre du LMD et les éléments de contexte de mise en
œuvre du LMD identifiés par le MESRS, le processus de mise
en œuvre du système LMD dans les institutions publiques et
privées d’enseignement supérieur de Côte d’Ivoire, dans
ses dimensions pédagogique, institutionnelle et de
renforcement des capacités des différents acteurs.
5. Objectifs du plan d’action LMD (2)
OBJECTIFS Sur le plan institutionnel
SPECIFIQUES

1. Mettre en place un cadre réglementaire permettant l’opérationnalisation de La


Cellule de suivi et de mise en œuvre du système LMD.

2. Formaliser (actualiser) par un texte pris par le plus haut responsable de l’institution
d’enseignement supérieur, la création de Cellule Centrale LMD (CC-LMD).

3. Formaliser (actualiser) par un texte pris par le plus haut responsable de l’entité
universitaire, la création de la Cellule LMD des entités universitaires (UFR, Ecole,
Institut, Centre de formation, …).

4. Formaliser (actualiser) par un texte pris par le plus haut responsable de l’entité
universitaire, de la Cellule accueil et information des apprenants. L’ancrage
institutionnel de cette cellule au niveau de l’entité universitaire aura l’avantage de
permettre aux apprenants et en particulier les nouveaux bacheliers de s’approprier
rapidement l’environnement académique dans lequel ils vont évoluer.
5. Objectifs du plan d’action LMD (3)
OBJECTIFS
SPECIFIQUES Sur le plan institutionnel (2)

5. formaliser (actualiser) par un texte pris par le plus haut responsable de l’entité
universitaire, la création de la Cellule technique de mise en œuvre du LMD.

6. Formaliser (actualiser) par un texte pris par le plus haut responsable de l’entité
universitaire, la création de la Cellule pédagogique.

7. Formaliser par un texte la participation du secteur productif au niveau du pilotage


des institutions d’enseignement supérieur.

8. Formaliser par un texte la participation du secteur productif à l’élaboration des


nouveaux curricula et à la mise en œuvre des programmes de formation.
5. Objectifs du plan d’action LMD (4)
OBJECTIFS
Sur le plan institutionnel (3)
SPECIFIQUES

9. Traiter avec la même discrimination, les institutions publiques et privées


d’enseignement supérieur dans toutes les activités menées par le Ministère
de tutelle, visant à améliorer la qualité de l’offre de formation et sa
pertinence.

10. Mettre en place dans le cadre de la concession faite par l’Etat du


service public de l’enseignement aux établissements privés, un cadre
permettant le développement d’une offre de formation de qualité et
pertinente dans un environnement propice d’apprentissage.
5. Objectifs du plan d’action LMD (5)
OBJECTIFS
SPECIFIQUES Sur le plan institutionnel (4)

11. Traiter avec la même discrimination au niveau de la démarche


pédagogique, la formation initiale dispensée dans les institutions
d’enseignement supérieur et de recherche et la formation tout au long de la
vie, partie intégrante de l’offre de formation dans le système LMD.

12. Revisiter les textes relatifs au LMD, notamment les arrêtés 247, 248, 249
du 11 décembre 2011, relatifs à la Licence, au Master et au Doctorat,
respectivement, pour les adapter aux réalités d’une mise en œuvre
effective du LMD depuis plus de 10 ans.
5. Objectifs du plan d’action LMD (6)
OBJECTIFS
SPECIFIQUES Sur le plan institutionnel (5)

13. Créer au niveau national un groupe de travail interministériel pour mener des travaux
de réingénierie du domaine formation « Sciences de la Santé », en distinguant les
mentions « médecine », « odontologie/odontostomatologie » et « pharmacie » ainsi que le
groupe de travail sur les « professions paramédicales » et traduire cette réingénierie au
niveau national dans des arrêtés spécifiques pour chaque mention et pour chaque
profession paramédicale.

14. Faire un état des lieux exhaustif de l’offre de formation supérieur dans les universités et
grandes écoles publiques.

15. Organiser des ateliers de mise en cohérence des parcours de formation, dans tous les
domaines de formation et toutes les mentions.

16. Adopter dans toutes les maquettes pédagogiques un format de présentation


permettant une spécialisation progressive en intégrant davantage d’UE de spécialité en
fin de cycle de Licence et de Master, notamment dans les derniers semestres.
5. Objectifs du plan d’action LMD (7)
OBJECTIFS
SPECIFIQUES
Sur le plan de l’amélioration de la qualité de l’offre de
formation supérieure et de sa pertinence

17. Identifier dans les institutions publiques les parcours de formation qui
pourront être élaborés en partenariat avec le secteur privé productif
(Licences professionnelles), notamment en lien les branches professionnelles
et organiser des ateliers d’élaboration de ces parcours de formation.

18. Faire un état des lieux des partenariats existants ou potentiels avec les
entreprises publiques et privées, afin de formaliser l’interaction avec elles,
pour créer davantage d’opportunités pour les stages étudiants au sein de ces
entreprises, mais aussi des séjours d’immersion des enseignants-chercheurs
dans ces entreprises pour s’approprier les réalités professionnelles du
moment.
5. Objectifs du plan d’action LMD (8)
OBJECTIFS
SPECIFIQUES Sur le plan de l’amélioration de la qualité de l’offre de
formation supérieure et de sa pertinence (2)

19. Réaliser un état des lieux exhaustif du déficit des équipements


pédagogiques et scientifiques, puis élaborer un plan pluriannuel
d’investissement dont la mise en œuvre devra être portée au rang de priorité
nationale.

20. Prendre des dispositions effectives lors des ateliers de mise en cohérence
des parcours de formation pour intégrer dans chacun d’eux, une UE relative à
l’entreprenariat.

21. Traiter avec la même discrimination, les enseignements dispensés en face


à face (présentiel) et les enseignements dispensés à distance (formations
ouvertes et à distance (FOAD)), lors de l’orientation des nouveaux bacheliers.
5. Objectifs du plan d’action LMD (9)
OBJECTIFS
SPECIFIQUES Sur le plan de l’amélioration de la qualité de l’offre
de formation supérieure et de sa pertinence (3)

22. Mettre en place en liaison avec l’UVCI, un dispositif permettant de former


des enseignants-chercheurs à la production des ressources pédagogiques
numériques.

23. Mettre à la disposition des apprenants, des enseignants-chercheurs et


chercheurs, un système d’accès permanent aux ressources pédagogiques
numériques, correspondant aux enseignements dispensés en Licence, Master
et Doctorat et renforcer les capacités des bibliothèques en ouvrages
physiques.
5. Objectifs du plan d’action LMD (10)
OBJECTIFS
SPECIFIQUES Sur le plan du renforcement des capacités :

24. Mettre en place dans toutes les institutions d’enseignement supérieur et de


recherche, un programme de formation des enseignants-chercheurs en
pédagogie universitaire cohérente avec les exigences du système du LMD.

25. Mettre en place un programme de formation, d’information et de


sensibilisation de l’équipe de gouvernance, des enseignants, des étudiants et
des personnels administratifs, à l’appropriation des fondamentaux du système
LMD et de ses dispositions principales.

26. Mettre en place un programme de formation des cellules LMD au sein des
entités universitaires.
6. Résultats attendus
6. Résultats attendus
Résultats attendus Sur le plan institutionnel :

1. Le cadre organique de mise en œuvre du LMD sur le plan national est opérationnel.

2. Les textes relatifs au LMD, notamment les arrêtés 247, 248, 249 du 11 décembre 2011,
relatifs à la Licence, au Master et au Doctorat, respectivement, sont revisités pour les
adapter aux réalités d’une mise en œuvre effective et efficiente du LMD.

3. Le cadre réglementaire formalisant la participation du secteur privé productif au


niveau du pilotage des institutions d’enseignement supérieur, est mis en place par le
Ministère de tutelle.
6. Résultats attendus (2)
Résultats attendus Sur le plan institutionnel (2):
4. Le cadre réglementaire formalisant la participation du secteur privé productif à
l’élaboration des nouveaux curricula et à la mise en œuvre des programmes de formation,
est mis en place par le Ministère de tutelle.

5. Les représentants des établissements privés d’enseignement supérieur au même titre que
ceux des établissements publics, sont désormais invités à participer aux séminaires et
ateliers organisés, pour l’amélioration de la qualité de l’offre de formation et de sa
pertinence.

6. Le cadre permettant d’accompagner les établissements privés d’enseignement supérieur


ayant fait l’objet d’un avis favorable après des évaluations nationales et disposant d’un
potentiel de remboursement, pour qu’ils obtiennent des prêts à des taux préférentiels auprès
des établissements bancaires de la place ou d’organismes financiers internationaux, est mis
en place par le ministère de tutelle.
6. Résultats attendus (3)
Résultats attendus Sur le plan institutionnel (3) :

7. Le cadre réglementaire relatif notamment à la formation continue avec un


dispositif formel de validation des acquis de l’expérience (VAE) et de la
validation des acquis professionnels (VAP), est mis en place par le Ministère
de tutelle.

8. L’état des lieux exhaustif du déficit des équipements pédagogiques et


scientifiques dans toutes les universités et grandes écoles publiques et
privées, est réalisé.

9. Un plan d’investissement pluriannuel d’acquisition des équipements


pédagogiques et scientifiques dont la mise en œuvre sera portée au rang de
priorité nationale, pour les universités et grandes écoles publiques, est
élaboré.
6. Résultats attendus (4)

Résultats attendus Sur le plan institutionnel (4):

10. Une stratégie de suivi et d’accompagnement des établissements privés


d’enseignement supérieur, pour l’acquisition des équipements
pédagogiques et scientifiques, est élaborée par le Ministère de tutelle.

11. Le groupe de travail interministériel pour mener des travaux de


réingénierie du domaine formation « Sciences de la Santé », en distinguant
les mentions « médecine », « odontologie/ odontostomatologie » et
« pharmacie » et les « professions paramédicales », est constitué à l’initiative
du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique.

12. L’Arrêté interministériel formalisant l’organisation des études dans les


domaines de formation des « Sciences de la Santé », est signé.
6. Résultats attendus (5)
Résultats attendus Sur le plan institutionnel (5):

13. Des séminaires de reconfiguration des offres de formation du domaine des


« Sciences de la Santé » pour les adapter au système LMD en impliquant les
autres parties-prenantes des départements ministériels, sont organisés.

14. Le cadre réglementaire permettant le traitement égalitaire les


enseignements dispensés en face à face (présentiel) et les enseignements
dispensés à distance (formations ouvertes et à distance (FOAD)), lors de
l’orientation des nouveaux bacheliers, est mis en place par le Ministère de
tutelle.

15. La table ronde des partenaires au développement permettant de


mobiliser des fonds pour le financement des contrats de performance des
universités et grandes écoles, est organisée.
6. Résultats attendus (6)
Résultats attendus
Sur le plan de l’amélioration de la qualité de l’offre
de formation supérieure et de sa pertinence :

16. L’état des lieux exhaustif de l’offre de formation supérieur dans les
universités et grandes écoles publiques précisant pour chaque établissement :

➢ le nombre et les intitulés des domaines de formation ;


➢ le nombre et les intitulés des mentions de Licence et de Master ;
➢ le nombre et les intitulés les parcours de formation (spécialités) de
Licence et de Master ;
➢ le nombre et les intitulés des Ecoles Doctorales, est réalisé.

17. Des ateliers de mise en cohérence des parcours de formation et de


révision des curricula, dans les sept (7) domaines de formation et toutes les
mentions, sont organisés en impliquant le secteur productif en cohérence
avec les branches professionnelles.
6. Résultats attendus (7)
Résultats attendus
Sur le plan de l’amélioration de la qualité de l’offre
de formation supérieure et de sa pertinence (2) :

18. Les parcours de formation qui pourront être élaborés dans les universités
publiques en partenariat avec le secteur privé productif (Licences
professionnelles) en lien avec les branches professionnelles, sont identifiés.

19. Les ateliers de reconfiguration des parcours de formation identifiés, sont


organisés en impliquant le secteur privé productif.

20. L’état des lieux exhaustifs des partenariats existants ou potentiels avec les
entreprises publiques et privées, afin de formaliser l’interaction avec elles, est
réalisé.
6. Résultats attendus (8)
Résultats attendus Sur le plan de l’amélioration de la qualité de l’offre
de formation supérieure et de sa pertinence (3) :

21. Les conventions de partenariat entre les établissements d’enseignement


supérieur et les entreprises publiques et privées, précisant les droits et les
devoirs de chaque partie-prenante, sont signées.

22. Les capacités des bibliothèques des universités et grandes écoles


publiques en ouvrages physiques, sont renforcées ainsi qu’à terme, un
système d’accès permanent aux ressources pédagogiques numériques,
correspondant aux enseignements dispensés en Licence, Master et Doctorat,
est mis à la disposition des apprenants, des enseignants-chercheurs et
chercheurs.
6. Résultats attendus (9)
Résultats attendus Sur le plan du renforcement des capacités :

23. Un programme de formation pour l’appropriation des fondamentaux, des


dispositions principales, des nouvelles méthodes pédagogiques, à l’attention
des différentes cellules constitutives du cadre organique de la mise en œuvre
du LMD, est mis en place.

24. Un programme de formation, d’information et de sensibilisation de l’équipe


de gouvernance, des enseignants, des étudiants et des personnels
administratifs, à l’appropriation des fondamentaux du système LMD et de ses
dispositions principales, est mis en place.

25. Un dispositif permanent permettant de former des enseignants-chercheurs


à la production des ressources pédagogiques numériques, est mis en place.
7. Les livrables
7. Livrables
Les Livrables Sur le plan institutionnel :

1. Les Textes relatifs au cadre organique de mise en œuvre du LMD.

2. Les nouveaux Arrêtés relatifs à l’organisation des études de la Licence, du Master et du


Doctorat.

3. L’Arrêté fixant les modalités d’interaction entre le secteur privé productif et les institutions
d’enseignement supérieur et de recherche, au niveau du pilotage des institutions
d’enseignement supérieur, de l’élaboration des nouveaux curricula et de la mise en
œuvre des programmes de formation.
4. Les rapports d’organisation des séminaires et des ateliers, pour l’amélioration de la
qualité de l’offre de formation et de sa pertinence faisant apparaître la participation
des établissements privés d’enseignement supérieur.

5. Compte rendu des réunions organisées par le MESRS avec les partenaires financiers,
ayant pour objet d’accompagner les établissements privés d’enseignement supérieur,
pour qu’ils obtiennent des prêts à des taux préférentiels auprès des établissements
bancaires de la place ou d’organismes financiers internationaux.
7. Livrables (2)
Les Livrables
Sur le plan institutionnel (2):

6. Le texte réglementaire relatif à la mise en place d’un dispositif formel de validation des
acquis de l’expérience (VAE) et de la validation des acquis professionnels (VAP).

7. Le rapport d’état des lieux exhaustif du déficit des équipements pédagogiques et


scientifiques dans toutes les universités et grandes écoles publiques et privées.

8. Le plan d’investissement pluriannuel d’acquisition des équipements pédagogiques et


scientifiques, pour les universités et grandes écoles publiques.

9. Le document précisant la stratégie de suivi et d’accompagnement des établissements


privés d’enseignement supérieur, pour l’acquisition des équipements pédagogiques et
scientifiques.

10.L’Arrêté interministériel formalisant l’organisation des études dans les domaines de


formation des « Sciences de la Santé ».
7. Livrables (3)
Les Livrables
Sur le plan institutionnel (3) :

11. Les rapports des séminaires de reconfiguration des offres de formation du domaine
des « Sciences de la Santé » pour les adapter au système LMD en impliquant les autres
parties-prenantes des départements ministériels.

12. Le texte réglementaire permettant le traitement égalitaire les enseignements


dispensés en face à face (présentiel) et les enseignements dispensés à distance
(formations ouvertes et à distance (FOAD)), lors de l’orientation des nouveaux bacheliers.

13. Le rapport de la table ronde des partenaires au développement pour la mobilisation


des fonds en vue de financer les contrats de performance (modalités d’organisation,
participants, montant des fonds mobilisés, établissements cibles, …).
7. Livrables (4)
Les Livrables
Sur le plan de l’amélioration de la qualité de l’offre de
formation supérieure et de sa pertinence

14. Le rapport portant sur l’état des lieux exhaustif de l’offre de formation supérieur dans les
universités et grandes écoles publiques précisant pour chaque établissement :
➢ le nombre et les intitulés des domaines de formation ;
➢ le nombre et les intitulés des mentions de Licence et de Master ;
➢ le nombre et les intitulés les parcours de formation (spécialités) de Licence et de
Master ;
➢ le nombre et les intitulés des Ecoles Doctorales,

15. Les maquettes pédagogiques prenant en compte la révision des curricula, dans les
sept (7) domaines de formation et toutes les mentions, en impliquant le secteur productif
en cohérence avec les branches professionnelles.

16. Les maquettes pédagogiques des nouvelles Licences professionnelles dans les
universités publiques élaborés en partenariat avec le secteur privé productif.
7. Livrables (5)
Les Livrables Sur le plan de l’amélioration de la qualité de l’offre de
formation supérieure et de sa pertinence (2)

17. Le rapport d’état des lieux exhaustifs des partenariats existants ou potentiels avec les
entreprises publiques et privées.

18. Les conventions de partenariat entre les établissements d’enseignement supérieur et les
entreprises publiques et privées, précisant les droits et les devoirs de chaque partie-
prenante.

19. Les conventions de partenariat entre les établissements d’enseignement supérieur et les
entreprises publiques et privées, précisant les droits et les devoirs de chaque partie-
prenante.
7. Livrables (6)
Les Livrables
Sur le plan du renforcement des capacités :

20. Les rapports d’organisation des ateliers d’appropriation des fondamentaux, des
dispositions principales, des nouvelles méthodes pédagogiques, à l’attention des
différentes cellules constitutives du cadre organique de la mise en œuvre du LMD.

21. Les rapports d’organisation des ateliers de formation des enseignants-chercheurs en


pédagogie universitaire cohérente avec les exigences du système du LMD .

22. Les rapports d’organisation des ateliers de formation, d’information et de sensibilisation


de l’équipe de gouvernance, des enseignants, des étudiants et des personnels
administratifs, à l’appropriation des fondamentaux du système LMD et de ses dispositions
principales.
8. Soutenabilité du dispositif qui sera mis en place
8. Soutenabilité du dispositif qui sera mis en place

Soutenabilité
Sur le plan du renforcement des capacités :

❑ La pérennisation du dispositif qui sera mis en place sera largement tributaire d’un cadre
organique du LMD opérationnel.

❑ En effet, ce sont les membres des cellules LMD des entités universitaires qui seront
formés qui se chargeront de la formation des nouveaux enseignants-chercheurs, du
personnel administratif et technique actuel et des nouveaux recrutés ainsi que des
étudiants déjà inscrits et ceux nouvellement inscrits

❑ Pour cela, l’identification des différents acteurs membres des différentes cellules, la
formalisation par des textes réglementaires de l’existence de ces cellules et
l’appropriation par les membres des cellules des fondamentaux du système LMD et de
ses méthodes pédagogiques, seront déterminantes pour une mise en œuvre réussie du
système LMD.
8. Soutenabilité du dispositif qui sera mis en place (2)

Soutenabilité
Sur le plan du renforcement des capacités (2):

❑ La mise en place au niveau du Ministère de tutelle, notamment au sein de la Direction


Générale de l’Enseignement Supérieur (DGES), d’un système permanent de suivi et
d’accompagnement favorisera un véritable ancrage de ce système académique dans
l’espace universitaire ivoirien.

❑ La formalisation de l’interaction avec le monde socio-économique aussi bien au niveau


du pilotage, de l’élaboration des parcours de formation, que de la mise en œuvre des
enseignements, aura pour effet de rapprocher durablement le monde académique du
milieu professionnel et, corrélativement, d’avoir des offres de formation en cohérence
avec les besoins du marché de l’emploi.

❑ Au niveau de la gouvernance des établissements d’enseignement supérieur, la


formation des acteurs universitaires aux méthodes d’élaboration des projets axés sur les
résultats, renforcera la culture de l’évaluation et de la redevabilité.
8. Soutenabilité du dispositif qui sera mis en place (3)

Soutenabilité
Sur le plan du renforcement des capacités (3) :

❑ La mise en place d’un dispositif permanent au sein des entités


universitaires pour accueillir les nouveaux étudiants en les
formant dès leur arrivée au sein des institutions aux
fondamentaux du LMD, assurera leur bonne appropriation de
l’environnement académique.
9. Mode opératoire
9. Mode opératoire
Mode
opératoire
Responsabilités et missions

Les responsabilités de la mise en œuvre des activités de ce plan


d’action se déclinent de la façon suivante :

1) Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique,


représenté par le Directeur Général de l’Enseignement Supérieur (DGES) est
responsable de la mise en œuvre du plan d’action. 5 membres de la Cellule de
Suivi de la mise en œuvre du LMD du MESRS assureront la coordination de la
mise en œuvre du Plan d’action. Cette Cellule est soutenue sur le plan logistique
d’un Comité Opérationnel constitué de 3 personnes. Le DGES est le
Coordonnateur de cette Cellule de Suivi du MESRS et a corrélativement autorité
sur le Comité Opérationnel.
9. Mode opératoire (2)
Mode
opératoire
Responsabilités et missions (2)

2) Les missions assignées à la Cellule de suivi du MESRS se déclinent comme


suit (1/2) :

➢ Coordonner toutes les activités de la mise en œuvre du Plan d’action.

➢ Elaborer et actualiser les textes institutionnels pour validation par le


Cabinet du MESRS et signature du Ministre.

➢ Elaborer par souci d’harmonisation un modèle de tous les textes créant


les Cellules des institutions d’enseignement supérieur et de recherche
et les mettre à la disposition des responsables de ces institutions.

➢ Elaborer en liaison avec le Chef de Projet C2D/PS-ESRS les Termes de


référence des activités nécessitant l’avis de non-objection de l’AFD.
9. Mode opératoire (3)
Mode
opératoire Responsabilités et missions (3)

2)Les missions assignées à la Cellule de suivi du MESRS se déclinent comme suit


(2) :
➢ S’assurer en liaison avec le Chef de Projet C2D/PS-ESRS que les activités sont
mises en œuvre conformément au chronogramme initialement arrêté, le cas
échéant actualiser ce chronogramme et en aviser l’AFD.
➢ Mettre en relation les différents acteurs impliqués dans la mise en œuvre du
Plan d’actions (consultants, formateurs, …) avec les institutions d’enseignement
supérieur et de recherche pour une organisation optimale de la mise en œuvre
des activités.
➢ Valider les livrables des études avant leur transmission à l’AFD pour avis de non-
objection.
➢ S’assurer lors de l’organisation des ateliers de mise en cohérence des parcours
de formation pour les 8 domaines de formation que les commissions
Scientifiques sont mises en place pour chaque domaine de formation et au
niveau de chaque mention.
9. Mode opératoire (4)
Mode
opératoire Responsabilités et missions (4)

3) Les missions assignées au Comité opérationnel en soutien à la Cellule de suivi du


MESRS sont :

➢Mettre à la disposition des institutions d’enseignement supérieur et de recherche


les différents documents de travail.

➢Récupérer auprès de la DGES les rapports des 8 ateliers d’harmonisation des


curricula, organisés dans le cadre de la mise en œuvre du C2D-1. Ces rapports
seront utilisés comme documents de travail lors des ateliers de mise en
cohérences des parcours de formation pour les 8 domaines de formation.
9. Mode opératoire (5)
Mode
opératoire Responsabilités et missions (5)

3) Les missions assignées au Comité opérationnel en soutien à la Cellule de Coordination sont :

➢Rédiger les comptes rendus des différentes séances de travail de la Cellule de suivi en
s’assurant d’annexer à chaque compte rendu la liste des participants avec émargement
et le numéro de la pièce d’identité des participants.
➢Expliquer aux participants en mobilité pour participer à une activité hors de leur site de
fonction, les modalités de prise en charge de leurs missions en respectant les coûts
paramétriques du C2D et les documents indispensables à fournir.
➢Récupérer auprès des participants en mobilité pour participer à une activité hors de leur
site de fonction, à l’attention du Chef de projet C2D/PS-ESRS pour l’UCP-EF, les
documents nécessaires pour procéder à la prise en charge des missions par le C2D.

➢Elaborer et distribuer les listes d’émargement pour tous les ateliers qui seront organisés.
9. Mode opératoire (6)
Mode Responsabilités et missions (6)
opératoire

4) Le Chef de Projet C2D/PS-ESRS sera responsable de la mise en liaison avec l’UCP-EF


pour la transmission des TDR à l’AFD, via le Coordonnateur de l’UCP-EF. Compte tenu de
son expertise et dans la logique du transfert de compétences, il sera chargé de la
formation des membres des Cellules LMD pour en assurer la pérennité car les membres
des Cellules formés ont vocation à poursuivre la formation autant des enseignants-
chercheurs, du personnel administratif et technique, que des étudiants.

Après avis de non-objection de l’AFD, les activités seront exécutées par la Cellule de
suivi du MESRS en lien avec le Chef de Projet C2D/PS-ESRS et l’UCP-EF pour toutes les
questions liées à la gestion fiduciaire.
9. Mode opératoire (7)
Mode Responsabilités et missions (7)
opératoire

Le Chef de projet C2D/PS-ESRS devra :

➢ s’assurer que les activités sont mises en œuvre conformément au


mode opératoire (indicateurs de réalisation, sources de vérification) ;

➢ s’assurer que le chronogramme de mise en œuvre est bien respecté ;


le cas échéant, le signaler à l’UCP-EF ;

➢ s’assurer que les livrables sont conformes à ceux attendus.


9. Mode opératoire (8)
Mode
opératoire Modalités d’organisation des ateliers de formation des enseignants-chercheurs

L’objectif visé est de former une partie des enseignants-chercheurs des


universités et grandes écoles publiques (65%)dans le cadre de la mise en
œuvre de ce plan d’action pour impulser un effet d’entrainement et
d’assurer la formation des formateurs, notamment les membres des
Cellules LMD des entités universitaires (UFR, Institut, Ecoles, Centre, …) qui,
dans la logique de la pérennisation du dispositif, assureront la formation
des autres enseignants-chercheurs, des personnels administratifs et
techniques ainsi que des étudiants.
Merci de
votre
Patience et de
votre aimable
attention
FIN DE LA
PRESENTATION du
Plan d’action LMD
64

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