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Vers eptembre 2018
Lycée Gustave Eiffel de Dijon
10 s
Classe préparatoire P.T.
Année 2018 - 2019

Résistance des matériaux

2 - Traction / Compression pure

Table des matières


I Définition 1

II Étude des contraintes 1


1 Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
2 Condition de résistance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
3 Coefficients de concentration de contrainte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

III Étude des déformations 3


1 Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
2 Loi de comportement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
a) Rappel de l’essai de traction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
b) Loi de comportement longitudinale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
c) Loi de comportement transversale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
3 Calcul du déplacement de chaque section de poutre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5

IV Annexe : Abaques de concentration de contraintes 7

Objectif :
• Savoir calculer la contrainte normale d’une poutre en traction/comprésion
• Savoir vérifier un critère de résistance (avec coefficient de sécurité)
• Savoir calculer la déformée d’une poutre en traction/compression.

Concevoir

Réaliser Analyser

Compétences
Expérimenter Modéliser

Communiquer Résoudre

10 septembre 2018

1
Résistance des matériaux
Sciences Industrielle pour l’Ingénieur Traction / Compression pure

I. Définition

Définition 1 :
On dit qu’un tronçon de poutre est soumis à de la traction/compression si son torseur de cohésion est
de la forme :
N (x) 0
( )
n o
T(P+ →P− ) = 0 0 (1)
G
0 0 B

• Si N (x) > 0, la portion de poutre est sollicité en traction.


• Si N (x) < 0, la portion de poutre est sollicité en compression.

II. Étude des contraintes

1 Définition

Définition 2 : Contrainte normale (rappel)


Soit une poutre droite, de section S (x) (souvent constante) et soumise à un effort normal N (x) au point
x. La contrainte normale (de traction ou de compression) en x est obtenue par :
N (x)
σ= (2)
S (x)

Remarque 1 :
En réalité, il existe deux définitions de la contrainte normale (fig.2) :
• La contrainte conventionnelle, notée R = NS(x) 0
, où S0 est la section initiale de la portion de poutre ;
• La contrainte « vraie », celle définie dans la définition 2, où S (x) est la section courante de la portion
de poutre (probablement modifiées par l’effet Poisson).
Ces deux contraintes sont quasi-identiques tant que l’on n’entre pas dans de grandes déformations plas-
tiques. Dans tout le reste de cours, on confondra les deux : σ ≈ R.

2 Condition de résistance

Coefficient de Conditions générales


Pour résister en traction/compression, la sécurité s1 de calculs
contrainte normale ne doit pas dépasser une 1,5 à 2
Cas exceptionnels de grande légéreté. Hypothèse
de charge surévaluées.
valeur limite appellée « résistance pratique » Construction où l’on cherche la légereté (avia-
notée Rp (ou σu ) : 2à3 tion). Hypothèse de calcul la plus défavorable
(charpente avec vent ou neige). Engrenage avec
une seule dent en prise
N (x) Bonne construcion. Calculs soignés. Haubans
σ ≤ Rp ⇔ ≤ Rp (3) 3à4
fixes.
S Construction courantes (legers effort dynamique
4à5
non pris en compte. Treuils)
En général, Rp reprend la limite élastique Re , en Calculs sommaires, efforts difficiles à évaluer.
incluant un coefficient de sécurité noté s1 : 5à8 (Cas des chocs, mouvements alternatifs, appareils
de levage, manutention)
8 à 10 Matériaux non-homogènes. Chocs. Élingues de le-
Re vage.
Rp = (4) Chocs important, très mal connus (presse). As-
s1 10 à 15
censeur.

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3 Coefficients de concentration de contrainte

Dans la réalité, les hypothèses indiquées ci-dessus ne sont pas


toujours respectées :
• le solide n’est pas parfaitement homogène et/ou isotrope ;
• les surfaces de la poutre ne sont pas polies et la répartition des
contraintes dans une section droite n’est plus uniforme ;
• une variation brutale de section est possible (rainure, épaule-
ment, trou)
Dans ces cas (non-exhaustifs), le champ de contrainte n’est
plus homogène sur tout la poutre, et il apparait des points où la
contrainte est plus importante que prévu dans les modèles précé-
dents. On parle de concentration de contraintes. Ces concen-
trations arrivent lorsque l’on a des singularités gémétriques
(changement de diamètre, gorge, etc.)
Dans ce cas, on introduit un coefficient de concentration de Figure 1 – Simulation élément-finis de
contrainte Kt (donné par des abaques. Voir Annexe IV). Ce co- calcul des contraintes dans une éprouvette de
efficient permet d’estimer le surplus de contraintes engendré par traction avec gorge.
ces singularités. La contrainte maximale σmax est alors obtenue
en fonction de la contrainte nominale (homogène) σnom :
σmax = Kt × σnom (5)

Exemple 1 :
Soit un assemblage boulonné entre deux pièces. On s’interroge sur la tenue de la vis d’assemblage réalisée
en matériau S235 face à l’effort supporté. Le cahier des charges affirme que l’effort normal maximal
(serrage + effort d’écartement des pièces) est estimé à 1 kN . On ne s’intéresse qu’à la partie utile de la
vis (la tête et la partie sous l’écrou sont ignorés). On prendra un coefficient de sécurité de 4.

Q1. La vis résistera-t-elle à cet effort ?

⌀8 M10

(Section efficace
R0,5 ⌀8 d'un filetage M10)
-F
O A B C

section OA AB BC
Section 50,3 mm2 38,5 mm2 50,3 mm2
|σnom | 19,9 MPa 26 MPa 19,9 MPa
D
Kt éventuel d ≈ 1,14 ; dr ≈ 0,07 ; Kt ≈ 2,5
|σmax | 19,9 MPa 65 MPa 19,9 MPa

La contrainte admissible est :


235
σadm = ≈ 59 MPa
4
65 MPa > 59 MPa , la vis ne respecte pas le critère de résistance.

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III. Étude des déformations

1 Définition

Définition 3 : Taux de déformation


Soit une poutre (ou portion de poutre) de longueur initiale L0 . On appelle taux de déformation ou
déformation relative le pourcentage d’allongement, noté ε :
L − L0 ∆L
ε= = (6)
L0 L0

On peut définir l’allongement dans toutes les directions. En général, on parle de l’allongements relatif ε dans
le sens principal de la poutre. On peut également introduire l’allongement relatif transversal, qui concerne la
largeur de la poutre. Pour différentier chaque allongement, on pourra lui indicer la direction concernée : εxx
pour longitudinal, εyy pour transversal. Par défaut, en l’absence d’indication, ε concernera toujours la direction
longitudinale.

Remarque 2 :
• Si ε > 0 : alors la poutre s’allonge ;
• Si ε < 0 : alors la poutre rétrécie ;
• Si ε = 0 : alors la poutre ne change pas de longueur ;

2 Loi de comportement

a) Rappel de l’essai de traction

L’essai de traction consiste en l’allongement à vitesse lente (hypothèse quasi-statique) d’une éprouvette, en
traçant la courbe représentative de σ = f (ε) (fig.2).
L’éprouvette (de dimension normalisées), usinée dans le matériau à étudier, est fixée entre deux traverses
(respectivement fixe et mobile). La traverse mobile est asservie en déplacement pour imposer l’allongement de
l’éprouvette. L’effort est mesuré en même temps. La contrainte associée est alors tracé en fonction de l’allonge-
ment relatif de la zone d’intérêt.
Cet essai permet de retrouver plusieurs caractéristiques matériaux :

• Le module de Young E, • L’allongement pour cent


A% ,
• La limite élastique Re ,
• Le coefficient de Poisson
• La limiste mécanique (ou limite de rupture) Rm , ν

b) Loi de comportement longitudinale

Modèle 1 : Loi de Hooke


La loi de Hooke permet de relier la contrainte longitudinale σ (ou σxx ) à la déformation longitudinale
ε (ou εxx ) dans le cas d’un comportement linéaire (souvent : le domaine élastique) :
σ =E×ε (7)
E est le module d’élasticité, ou module de Young (fig.3).

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Domaine de déformation non-homogène


due aux impuretés. Ce domaine n'existe
pas pour certains matériaux.
Contrainte
(en MPa)
Domaine Domaine σ
élastique plastique

Rm R
Rupture de
l'éprouvette
Re

Rattrapage
de jeu
ε= L-L0
Longueur L0
initiale : L0

Éprouvette normalisée
avant traction

L'éprouvette s'allonge
et peut reprendre sa
forme initiale si l'effort
est supprimé.

Apparition du
phénomène de striction

Éprouvette sollicitée
après striction et
avant rupture

Éprouvette reconstituée
après rupture

Longueur finale : Lu

Figure 2

Matériau E ν Matériau E ν
Acier 210 GPa 0,30 Tungstène 410 GPa 0,28
Aluminium 69 GPa 0,35 Diamant 1000 GPa 0,15
Cuivre 124 GPa 0,33 Bois ∼ 10 GPa 0,2
Bronze 124 GPa 0,32 Élastomère ∼ 1 GPa 0,5
Béton ∼ 50 GPa 0,15 Titane 114 GPa 0,33

Figure 3 – Quelques valeurs de propriétés matériaux.

Si l’on ramène aux paramètres de la poutre, on obtient :


N ∆L
(eq.7) ⇔ =E×
S0 L0
N L0
⇔∆L = (Allongement de la poutre, en m )
ES0

c) Loi de comportement transversale

Définition 4 : Coefficient de Poisson


On appelle Coefficient de Poisson (noté ν) l’opposé du ratio entre l’allongement transversal et longi-
tudinal :
εyy
ν=− (8)
εxx

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Remarques 3 :
• Plus ν est proche de 0, et plus la largeur diminuera lors de la traction.
• ν = 0,5 correspond à un matériaux incomprésible (qui ne change pas de volume. . . mais qui peut se
déformer quand même !)

Exemple 2 :
Une poutre de section carrée S = a0 × a0 = 1 cm × 1 cm = 1 cm2 , et de longueur initiale L0 = 0,5 m est
soumise à une force de traction de F = 10000 N . On donne E = 210 000 MPa et ν = 0,3. On néglige les
effets de bord et les concentrations de contrainte.

Q1. Quelles sont les nouvelles dimensions de la poutre (au micron prés) ?

10000
• Contrainte normale : σ= 100 = 100 MPa

σ
• Allongement relatif : εxx = E = 100
210000 = 4,8 · 10−4

L−L0
• Longueur final : ε = L0 ⇔ L = L0 (1 + ε) = 0,500238 m

ε
yy
• Allongement relatif transversal : ν = − εxx ⇔ εyy = −νεxx = −1,4 · 10−4

a−a0
• Largeur de la poutre : εyy = a0 ⇔ a = a0 (1 + εyy ) 9,999 mm

3 Calcul du déplacement de chaque section de poutre

Méthode 1 : Déplacement d’une extrémité de la poutre part rapport à l’autre


Si U est le déplacement d’une section S (x) par rapport à l’origine O, situé à une distance x = L0 de O :
• Méthode globale : Si σ est constant sur tout le long de la poutre, alors U = L0 ε. Il vient alors que :
L = L0 (1 + ε) (9)

• Méthode intégrale : Si σ n’est pas constant (ex : si S (x) n’est pas constante), alors : voir ci-dessous.

Soit S0 la section de poutre d’absisse x0 . Lors d’une traction/compression, chaque sectionS (x) subit un petit
déplacement : une petite translation dans la direction → −
x.

 Z x 
0 U (x)  0 ε (x)dx 
( ) 
n o 
U(S(x)/S0 ) = 0 0 = 0 x0 (10)
0 0  0
 0 
B
G(x)

G(x)
0 B

Exemple 3 :
Soit une poutre composées de deux parties [OA] [AB] (respectivement repérée (1) et (2)) de diamètre
différent.

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D1 D2
O A
B R x0
xA xB


On donne : D1 = 1 cm , D2 = 5 mm , xA = 1 m , xB = 2 m , E = 70 000 MPa , R = F −
→ avec F = 1000 N
x 0
Les concentrations de contrainte sont négligées pour le calcul de la déformation.

Q1. Calculer le déplacement de chaque point de la poutre par la méthode intégrale. La


représenter par un graphe.

−−−−−→
• Résolution globale : (triviale) : R(0→P) = −F −

x 0

• Effort normal : N = 1000 N ∀x ∈ [0,xB ]

4F
• Contraintes pour x ∈ [0,xA ] : σ (x) = σ1 = πD12
≈ 12,7 MPa

4F
• Contraintes pour x ∈ [xA ,xB ] : σ (x) = σ2 = πD22
≈ 50,9 MPa

• Déformation pour x ∈ [0,xA ] : ε (x) = ε1 = σ1


E ≈ 1,82 · 10−4

• Déformation pour x ∈ [xA ,xB ] : ε (x) = ε2 = σ2


E ≈ 7,28 · 10−4

Rx
• Déplacement pour x ∈ [0,xA ] : u(x) = 0
ε1 dX = ε1 x = 4F
πD12 E
x ≈ 1,82 · 10−4 x

Rx R xA R xB
• Déplacement pour x ∈ [xA ,xB ] : u(x) = 0
ε (X)dX = 0
ε1 dX + xA
ε2 dX = ε1 xA + ε2 (x − xA )
4F 4F −4 −4
= x
πD12 E A
+ πD22 E
(x − xA ) ≈ 7,28 · 10 x − 5,46 · 10

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IV. Annexe : Abaques de concentration de contraintes

Kt

r 2,6
σmax
2,2
N -N N D=1,5
1,8 d
1,1
1,4 1,05
d
D

1,02
|N| 2 1,0
|σmax|= Kt |σnom| avec |σnom|= S= πd 0 0,05 0,10 0,15 0,20 0,25 0,30 r
S 4
d

Exemple : r =0,125 ; D = 1,05 ; Kt = 1,4


d d
Figure 4 – Arbre de section circulaire épaulé.

Kt
r 3,0
σmax
N -N N 2,6

2,2 D=1,5
d
1,8 1,15
D

|N| 2 1,05
|σmax|= Kt |σnom| avec |σnom|= S= πd 1,4
S 4 1,02
1,0
0 0,05 0,10 0,15 0,20 0,25 0,30 r
d

Exemple : r =0,125 ; D = 1,05 ; Kt = 1,7


d d
Figure 5 – Arbre de section circulaire avec gorge.

Kt
3,0
e
r
σmax 2,6
N -N N
2,2 H=1,5
d
1,8 1,1
h

1,05
H

|N| 1,4
|σmax|= Kt |σnom| avec |σnom|= S=h e 1,02
S
1,0
0 0,05 0,10 0,15 0,20 0,25 0,30 r
h

Exemple : r =0,125 ; H = 1,05 ; Kt = 1,4


h d
Figure 6 – Plaque plane avec changement de section.

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Kt
3,0
r e
2,6 H=3
N -N h
2,2
1,5
1,8 1,2
h
H

1,4 1,1
|N| 1,05
|σmax|= Kt |σnom| avec |σnom|= S=h e
S 1,0
0 0,05 0,10 0,15 0,20 0,25 0,30 r
h

Exemple : r =0,125 ; H = 1,05 ; Kt = 1,8


h h
Figure 7 – Plaque plane avec deux saignées sur le bord.

Kt
3,0

d e 2,8
H

N -N
2,6

2,4

|N| 2,2
|σmax|= Kt |σnom| avec |σnom|= S=(H-d)e
S
2,0 d
0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 H

Exemple : d =0,2 ; Kt = 2,5


H
Figure 8 – Plaque plane percée d’un trou sur l’axe de symétrie longitudinal.

e Kt

11
H

9
-N -N
2 2 H=0,35
l 7 l
N
σmax 0,5
5
|N|
|σmax|= Kt |σnom| avec |σnom|=
S
3
S=(l-d)e 1
1
0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 d
l
N
Exemple : d = 0,35 ; H = 1,0 ; Kt = 3
l l
Figure 9 – Plaque plane percée d’un trou à une extrémité.

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Questions de cours

Q1. Comment reconnaît-on une poutre sollicitée en traction-compression ?

Q2. Comment calcule-t-on σ ? Est-ce une contrainte normale ou tangentielle ?

Q3. Dans une étude de résistance en traction, qu’implique l’ajout d’un coefficient de sécurité
de « 4 » ?

Q4. Quelle(s) est(sont) la(les) causes de concentrations de contrainte ?

Q5. Rappelez la loi de Hooke.

Q6. Donner le module de Young de l’acier ainsi que de l’aluminium ? (à connaitre)

Q7. Comment calcule-t-on ε en fonction des paramètres géométriques ?

Q8. Rappelez ce qu’est ν. Comment est-il calculé ?

Q9. Comme calcule-t-on la déformée d’une poutre dont la section n’est pas homogène ?

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