111Chapitre d'équation 1 Section 1

ÉCOLE DE GÉNIE

Résistance des matériaux

Flexion d’une poutre

GEN2813 – Laboratoire mécanique I

Présenté par : ABOU EL AINAINE Mohamed Nizar

KAHLAOUI Mohamed Amine

KALOMO Alain-Néhémie

Présenté à : Maxime Mailloux, ing., M. Sc. A.

19/03/2024
Table des matières
1. Introduction......................................................................................................................1
2. Concepts théoriques.........................................................................................................2
3. Calculs théoriques............................................................................................................4
3.1 Contraintes de cisaillement pour la jauge 16 :...........................................................6
3.2 La flèche théorique :..................................................................................................8
4. Observations et résultats expérimentaux.........................................................................9
5. Discussion......................................................................................................................10
5.2 les contraintes normales...........................................................................................10
5.2Contraintes cisaillements..........................................................................................11
5.3 Justification sur l’utilisation des jauges pour les contraintes et la pertinence des
causes d’erreur...............................................................................................................12
6. Conclusion.....................................................................................................................14
7. Références......................................................................................................................15

Liste de figure

Figure 1 : le diagramme de moment fléchissant..................................................................5

Liste des tableaux

Tableau 1: Mesures expérimentales.....................................................................................9

Tableau 2: contraintes normales du charge 5000N............................................................10
Tableau 3: contraintes normales de charge 1000 N...........................................................11
Tableau 4 : Contraintes de cisaillements...........................................................................12
Tableau 5 : calcul des flèches............................................................................................13
 Flexion d’une poutre

1. Introduction

La flexion d'une poutre est un phénomène physique fondamental en en génie civil

et en mécanique des structures. Elle se produit lorsque des charges externes (telles que
des poids, des forces appliquées ou des moments) sont appliquées à une poutre. La
flexion se produit généralement lorsque des forces sont appliquées perpendiculairement à
l'axe longitudinal de la poutre, créant ainsi un moment de flexion. Cela peut se produire
dans de nombreuses applications, telles que les ponts, les bâtiments, les structures de
support, etc.

Dans ce contexte, nous avons été initiés au banc d’essaie de flexion, afin d’obtenir
expérimentalement l'état de contrainte à certains endroits le long de la poutre à partir des
déformations obtenues à l’aide de jauges de déformation. Cela nous a permis de vérifier
la théorie à l’aide de valeurs expérimentales en ce qui concerne les calculs de la flèche,
des déformations et des contraintes à des endroits spécifiques sur la poutre.

L'étude de la flexion des poutres est cruciale et essentielle en ingénierie et en

science des matériaux pour plusieurs raisons : la conception des structures sûres et
efficaces, évaluer les performances des matériaux, prédire les défaillances potentielles et

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améliorer la conception et l'efficacité des systèmes dans de nombreux domaines

d'application.

2. Concepts théoriques

▪ Expression de la contrainte normale théorique

Dans le cas de la flexion d'une poutre, La contrainte normale peut être calculée à
partir de la formule de flexion de base, qui relie le moment fléchissant, la distance à partir
de l'axe neutre de la poutre, et le moment quadratique de la section transversale de la
poutre. La contrainte normale de flexion est donnée par la formule suivante :

M ∗y
σ=
I
(1)

Où :
 σ est la contrainte normale en (N/m²),
 M est le moment fléchissant en (Nm),
 y est la distance de la fibre considérée à l’axe neutre en (m),
 I est le moment d’inertie de la section en (m⁴)

▪ Expression de la contrainte normale expérimentale

La contrainte normale peut être mesurée expérimentalement à l'aide de jauges de

contrainte placées sur la surface de la poutre. Les jauges de contrainte mesurent la
déformation de la poutre due à la flexion. En utilisant la loi de Hooke et en connaissant
les propriétés élastiques du matériau, la contrainte normale peut être déduite de la
déformation mesurée par les jauges de contrainte.

▪ Expression de la contrainte cisaillement théorique

La contrainte de cisaillement dans une poutre soumise à une flexion peut être calculées à
partir de la formule suivante :

V ⋅Q
τ=
I ⋅t
(2 )

Où :

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 τ est la contrainte de cisaillement,

 V est l’effort tranchant,
 Q est le premier moment d’aire,
 I est le moment d’inertie de la section,
 t est la largeur de la section

▪ Expression de la contrainte cisaillement expérimentale

La contrainte de cisaillement peut être mesurée expérimentalement à l'aide de

capteurs de cisaillement placés à différents endroits de la poutre. Ces capteurs mesurent
la déformation de la poutre due au cisaillement. En utilisant la loi de comportement
élastique du matériau et en connaissant les propriétés du matériau, on peut déduire les
contraintes de cisaillement à partir des mesures de déformation.

▪ Distribution théorique de la contrainte normale sur la section

La contrainte normale ( σ) varie le long de la section transversale de la poutre en fonction

de la distance par rapport à l'axe neutre. La distribution théorique de la contrainte
normale est maximale à la surface extérieure opposée à la direction de la flexion
(compression) et minimale à l'axe neutre où la contrainte est nulle.

La distribution est généralement parabolique pour les sections symétriques et peut être
différente pour les sections asymétriques. Les contraintes normales augmentent
linéairement avec la distance à partir de l'axe neutre, ce qui donne une distribution
parabolique lorsqu’elle est représentée graphiquement.

▪ Distribution théorique de la contrainte de cisaillement sur la section

La contrainte de cisaillement ( τ) varie également le long de la section transversale

de la poutre. La distribution théorique des contraintes de cisaillement est généralement
maximale près des appuis de la poutre et diminue linéairement vers l'axe neutre. La
distribution peut être affectée par la forme de la section transversale de la poutre.

Pour une section transversale rectangulaire, la distribution des contraintes de cisaillement

est constante sur la hauteur de la poutre et nulle à l'axe neutre. Pour d'autres formes de
sections transversales, la distribution des contraintes de cisaillement peut varier.

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3. Calculs théoriques

L'analyse des contraintes internes est cruciale pour évaluer une poutre soumise à une
flexion. Avant de procéder au calcule des contraintes normales dans notre étude, nous
allons d'abord nous attacher à établir le moment d'inertie de la section transversale de la
poutre. En considérant la géométrie de la section, le calcul implique la détermination du
moment d'inertie d'une section rectangulaire simplifiée et l'ajustement en soustrayant les
contributions des parties non pleines. Cette approche se base sur une formule adaptée
pour les sections composites, qui sera la pierre angulaire pour les calculs de contraintes
qui suivent. Cette démarche méthodique permettra de poser les bases nécessaires pour
une comparaison éclairée entre les valeurs théoriques et expérimentales recueillies.

I =I 1−I 2
3 3
b ×h B× H
I= −
12 12

( )( )
3
3 po ×3 po3 (3 po−0.25 po)× ( 3 po−0 ,5 po ) 4 ,16 × 10−7 m4
I= − ×
12 12 po
−6 4
I =1 , 32×10 m

Trouvons ensuite les réactions pour une charge de 10KN

F 10000
On a: R A = R B = = = 5000 N.
2 2

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Ensuite on calcule le moment fléchissant pour une charge de 10 KN

F L
M= ×
2 2

10000 33 po ×0,0254 m/ po
M= ×
2 2

M =2095.5 N . m

moment flechissant
2200
2000
1800
1600
1400
1200
1000
800
600
400
200
0
0.0635 0.4572 0.9017 0.9652

moment flechissant

Figure 1 : le diagramme de moment fléchissant

0¿ x ≤ 0,0635 m; M=0

0,0635¿ x ≤ 0,4572 m; M=2500(x-0,0635)

0,4572¿ x ≤ 0,9017 m; M=2500(x-0,0635) -5000(x-0,4572)

0,9017¿ x ≤ 0,9652 m; M= 0

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Maintenant, on peut déterminer la contrainte normale théorique

Pour la jauge 6 :

−M × y
σ 6=
I

Il faut calculer le moment fléchissant pour les jauges 6 et 10

M =R A ( x −0,0635 )−F (x−0,4572)

M =5000 ( 0,6223 )−10000(0,6223−0,4572)

M =1460 N . m

 jauge 6 :

−1460 N . m× 0,0136
σ 6= −6
1 ,32 ×10

σ 6=−15.04 MPa

 jauge 10 :
−1460 m ×0.036
σ 15= −6
1 , 32× 10

σ 15=39.8 MPa

Contrainte normale expérimentale pour une charge de 10 000 N

 jauge 6 :
σ 6=E × ε 6
−6
σ 6=68 , 95 GPa ×(211×10 )

σ 6=14.54 MPa

 jauge 10 :
σ 10=E ×ε 10
−6
σ 10=68 , 95×−592× 10

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σ 10=40.81 MPa

3.1 Contraintes de cisaillement pour la jauge 16 :

 Contrainte de cisaillement théorique :

trouvons la contrainte de cisaillement, qui dépend de l’effort tranchant de la poutre
pour la jauge 16

V =−2500 N
¿
¿
Pour calculer le premier moment d'aire de la section transversale d'une poutre, on
peut utiliser l'équation suivante :

Q= A 1 y 1 + A2 y 2

(
Q= ( 0 ,25 × 3 ) × 1 , 5−
0 , 25
2
+¿ )
−5 3
Q=2×10 m

la contrainte de cisaillement théorique peut être calculée par l’équation :

V ×Q
τ 16 =
I×b

 V est la force de cisaillement à la section

 Q est le moment statique de la portion de la section
 I est le moment d'inertie de la section
 b est la largeur de la section transversale à l'endroit où la contrainte de
cisaillement est calculée
−5 3
−2500 ×2 ×10 m
τ 16 = −6 4
1 , 32× 10 m ×0,00635 m

τ 16 =−5 , 96 MPa

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 Contrainte de cisaillement expérimentale :

τ 16 =G× γ 16

2× ε 16
τ 16 =G×
sin (2θ)

−6
2 × 202×10
τ 16 =26 , 13GPa ×
sin 90

τ 16 =10.8 MPa

3.2 La flèche théorique :

Pour une poutre en I, l’équation pour calculer la flèche théorique au lieu d’application de
la force est donnée par :
3
F× L
f=
48 × E × I

 F est la charge appliquée au centre de la poutre (N),

 L est la longueur de la poutre (m),
 E est le module d'élasticité du matériau de la poutre (Pa),
 I est le moment d'inertie de la section transversale de la poutre par rapport à l'axe
neutre

Pour une charge de 5000 :

f =5000 ׿ ¿

f =0,00095 m

Pour la charge de 10 000, on obtient :

f =10000 ׿ ¿

f =0.00191 m

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4. Observations et résultats expérimentaux

Tableau 1: Mesures expérimentales

Emplacement des Valeurs selon la charge axiale appliquée

Jauges sur le bloc SB10 (kN)
5 10
1 -191 -379
2 -203 -426

3 -121 -241

4 -13 -26

5 3 10

6 102 211

7 106 219

8 161 340

9 204 442

10 -294 -592

11 -247 -513

12 -108 -209

13 -18 -28

14 88 176

15 279 570

16 95 202

5 kN 10 kN
Valeur expérimentale de la
flèche au centre de la poutre
2,438 mm 3,652 mm

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5. Discussion

Ci-dessous, les tableaux présentent les contraintes normales théoriques comparées aux
valeurs obtenues par expérimentation pour les deux cas analysés, incluant les
coordonnées de chaque jauge et la différence des contraintes calculées.

5.2 les contraintes normales

Tableau 2: contraintes normales du charge 5000N
Jauge Coordonnées Charge : 5000N
Contraintes Normales Contraintes normales Écart
X(mm) Y(mm) théorique (Mpa) expérimentales (Mpa) (%)
1 -139,7 31,75 -15,04 -12,55 0,25
2 -139,7 31,75 -15,04 -16,07 0,04
3 -139,7 19,05 -10,00 -8,62 0,14
4 -139,7 0 0,00 -1,24 0,00
5 -139,7 0 0,00 0,07 0,00
6 -139,7 -19,05 10,00 7,52 0,25
7 -139,7 -19,05 10,00 7,79 0,22
8 -139,7 -31,75 15,04 13,38 0,20
9 -139,7 -38,1 20,00 15,65 0,22
10 139,7 38,1 -20,00 -19,10 0,05
11 139,7 31,75 -15,04 -0,18 0,99
12 139,7 12,7 -5,40 -0,01 1,00
13 139,7 0 0,00 -0,41 0,00
14 139,7 -12,7 5,40 5,65 0,15
15 139,7 -38,1 20,00 0,18 0,99

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Tableau 3: contraintes normales de charge 1000 N

Jauge Coordonnées Charge : 10000N
Contraintes Normales Contraintes normales Écart
X(mm) Y(mm) théorique (Mpa) expérimentales (Mpa) (%)
1 -139,7 31,75 -33,50 -25,99 0,22
2 -139,7 31,75 -33,50 -31,37 0,06
3 -139,7 19,05 -20,10 -17,58 0,13
4 -139,7 0 0,00 -1,79 0,00
5 -139,7 0 0,00 0,48 0,00
6 -139,7 -19,05 20,10 15,58 0,22
7 -139,7 -19,05 20,10 15,86 0,21
8 -139,7 -31,75 33,50 26,55 0,21
9 -139,7 -38,1 40,20 31,92 0,21
10 139,7 38,1 -40,20 -38,61 0,04
11 139,7 31,75 -33,50 -34,75 -0,04
12 139,7 12,7 -13,40 -12,76 0,05
13 139,7 0 0,00 -8,62 0,00
14 139,7 -12,7 13,40 11,72 0,13
15 139,7 -38,1 40,20 37,58 0,07

Pour déterminer la position de chaque jauge, des coordonnées basées sur les axes z et y
ont été assignées à chaque emplacement, suivant la figure 2 du document de laboratoire,
où le point d'origine se situe au centroïde, correspondant à l'axe neutre de la section. Les
contraintes normales expérimentales ont été évaluées pour chaque jauge grâce aux
déformations mesurées en laboratoire, utilisant la loi de Hooke, tandis que les contraintes
normales théoriques ont été déduites en appliquant les formules de la section concernée.
La comparaison entre les valeurs théoriques et expérimentales a révélé des écarts pour
chaque point. Ces différences s'expliquent par le fait que la contrainte normale
expérimentale englobe les contraintes de flexion et de tension, alors que la contrainte
normale théorique se limite à la contrainte de flexion. Par conséquent, un écart avec une
valeur théorique supérieure à l'expérimentale indique que les contraintes de flexion et de
tension agissent en sens inverses, variant selon la position de la jauge par rapport à la
fibre inférieure ou supérieure de la poutre. Il est également à noter que les contraintes
expérimentales affichent un écart entre les valeurs maximales et minimales pour chacune
des charges appliquées, et les valeurs théoriques des contraintes pour une charge de10000
N sont le double de celles pour une charge de 5000 N

5.2Contraintes cisaillements

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Tableau 4 : Contraintes de cisaillements

Charge: 5000 N
Jauge
Contraintes cisaillements théorique Contraintes cisaillements expérimentales
(Mpa) (Mpa)
16 -11.93 4.9
Charge : 10 000 N

16 -5.96 10.8

La jauge 16 est inclinée par rapport à l'axe neutre, ce qui la rend idéale pour mesurer la
contrainte de cisaillement. Malgré des variations importantes observées, nous avons pu
calculer théoriquement les contraintes pour tous les points en se basant sur la contrainte
de cisaillement. Étant donné que la jauge 16 se trouve au milieu de la poutre, les autres
jauges ne peuvent pas être utilisées pour analyser les contraintes. Selon la théorie, la
contrainte de flexion normale est maximale sur les bords extérieurs et nulle sur l'axe
neutre, tandis que la contrainte de cisaillement est maximale sur l'axe neutre et nulle sur
les bords extérieur

5.3 Justification sur l’utilisation des jauges pour les contraintes et la pertinence des
causes d’erreur

Pour estimer les valeurs théoriques des flèches résultant de l'application de deux charges
différentes, il est nécessaire d'utiliser la formule adaptée à la situation de charge et à la
configuration de la poutre. Cette formule permettra de calculer la déflexion de la poutre
sous l'effet des charges appliquées, en tenant compte des propriétés spécifiques de la
poutre comme le module d'élasticité, le moment d'inertie de la section transversale, la
longueur de la poutre, ainsi que la nature et la répartition de la charge.

FL3
S= 48 EI

 F = Charge axiale appliqué (N)

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 L = Longueur de la poutre (mm)

 E = Module de Young de la poutre (MPa)
 I = Inertie de la poutre (mm4)

po∗0.0254 m
FL3 5000∗((33 ))3
S1= 48 EI = po
=1.52 mm
48∗( 68.95∗10 pa )∗(1.32∗10−6)
9

po∗0.0254 m
FL3 9970∗((33 ))3
S2 = 48 EI = po = 2.32 mm
48∗( 68.95∗10 pa )∗(1.32∗10−6)
9

Tableau 5 : calcul des flèches

Force (N) Flèche théorique Flèche expérimental Écarts en %

(mm) (mm)

5000 1.40 1.9 50.26

10000 2.32 3.093 38.27

On constate de ce tableau qu’il y a un grand écart entre les valeurs

théoriques et expérimentaux de la flèche. Cela est facilement explicable par
le faite que la poutre n’était pas entièrement fixée, de plus il existe plusieurs
composants qui influer sur la hauteur de la poutre à titre d’exemple la table.
On remarque que la différence entre les flèches dépasse le 0.5mm, donc dès
que la table est consolidée lors de la première charge, l'écart demeure à peu
près le même. Si on double la force, la flèche devrait doubler.

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6. Conclusion

Pour conclure, cette expérience en laboratoire nous a permis de saisir l'impact de la

flexion sur une poutre en I et de manipuler des instruments tels que les jauges de
contrainte pour collecter des données. Nous avons ainsi pu calculer théoriquement et
expérimentalement les contraintes normales, les contraintes de cisaillement et les
déformations dans la poutre pour deux charges différentes. Bien que des écarts
significatifs entre les valeurs expérimental et théoriques aient été observés, nous avons
relevé que les théories restent un outil fiable pour appréhender les contraintes réellement
subies par une poutre. Enfin, nous avons également relevé certaines limites de nos
mesures et des sources potentielles d'erreurs, nous permettant ainsi de mieux comprendre
les raisons de ces écarts et de suggérer des améliorations pour de futures études.

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7. Références

1. Resistance des materiaux . s.l. : 3.

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