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TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE DIJON

JUGEMENT DU 30 Mars 2010

N ° Jugement
N° R.G. : 09/02844
-CB

DEMANDEUR:

Monsieur
né le 28 Juillet 1963 à DIJON (COTE D'OR),
demeurant

Assisté de Maître Eloïse FOURNIER, Avocat au barreau de DIJON

DEFENDERESSE

Madame
née le 27 Avril 1965 à DIJON (COTE D'OR)
demeurant

Représentée par la· SCP Avocats ·au barreau de


DIJON

Procédure enrôlée sous le numéro R.G. 09/02844

DEMANDERESSE :

Madame
née le 27 Avril 1965 à DIJON (COTE D'OR)
demeurant

Représentéè par la SCP , Avocats au barreau -de


DIJON

DEFENDEUR:

Monsieur
né le 28 Juillet 1963 à DPON (COTE D'OR),
demeurant

Assisté de Maître Eloïse FOURNIER, Avocat au barreau de DIJON

Procédure.enrôlée sous le numéro R.G.09/02934

http://www.avocatsbonfilsdijon.com/
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DEBATS:

Audience en Chambre du Conseil du 02 Mars 2010 tenue par Monsieur


Laurent MARCEL, assisté de Madame Corinne BONZON, Adjoint
administratif faisant fonction de Greffier,

JUGEMENT:

- Contradictoire
- en premier ressort
- mis en délibéré à la date de ce jour et prononcé en Chambre du
Conseil par Monsieur Laurent MARCEL, Juge aux Affaires Familiales
- signé par Monsieur Laurent MARCEL et Madame Corinne BONZON

Grosse délivrée au demandeur le :oeldttAG(&~ ~


Grosse délivrée au défendeur le :tklrJJilOd teP JiJtJ ~
Copiees) délivrées le : ~rv"(JU

FAITS ET PROCEDURE
~
Par jugement en date du 28 avril 2005 le tribunal de Grande
Instance de DIJON a rononcé le divorce sur requête conjointe des
époux La convention de divorce passée entre
les époux fixait, entre autres mesures :

- la résidence habituelle d'Elodie chez sa mère avec un droit de


visite et d'hébergement au bénéfice du père,
- la résidence habituelle d'Alexis en alternance au domicile de
chacun des parents"
-la contribution alimentaire paternelle à l'entretien et à l'éducation
d'Elodie à ta somme de 200,00 euros, celle afférente à l'entretien et à
l'éducation d'Alexis à la somme de 100,00 €.

Par requête déposée le 24 juillet 2009, RII. a saisi


la présente juridiction aux fins d'entendre:

- constater rétroactivement qu'il avait versé sa contribution


alimentaire pour l'entretien de sa fille Elodie directement entre les mains
de sa fille à compter d'octobre 2008,
- fixer rétroactivement à la somme de 150,00 € par mois le
montant de sa contribution à l'entretien et à l'éducation de sa fille
Elodie,'
- supprimer à compter du 01 octobre 2009 sa contribution à
l'entretien et à l'éducation de sa fille Elodie.

Par requête déposée le 31 juillet 2009, a


également saisi la juridiction de céans aux fins d'entendre porter à la
somme de 350,00 € par mois la contribution paternelle à l'entretien et
à l'éducation d'Alexis.
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Les parties ont été invitées à comparaître à l'audience du 08
décembre 2009. A ladite audience audience, les deux instances ont fait
l'objet d'une jonction et l'affaire a été renvoyée à la demande des
parties à l'audience du mardi 02 mars 2010.

A l'audiences des débats,


demandes et a d~ la pre,'tention de
Pour sa part, ~ a demandé de débouter ~
• • • de l'ensemble de ses demandes hormis celle visant à la
suppression à compter du 01 octobre 2009 de la contribution paternelle
à l'entretien et à l'éducation d'Elodie. Reconventionnellement, elle a
réclamé une augmentation de la contribution versée pour l'entretien et
l'éducation d'Alexis et sa fixation à la somme de 350 €.

MOTIVATION

Sur la contribution paternelle à l'entretien et l'éducation d'Elodie

Sur le paiement de la contribution ,alimentaire durant la


P.f#.ti.Q!!.!f:. ..Q.~ ..Q.çtQ.b.r.f:..:.~.~ ..d.~.çf:.mb.r.~.~P.P.B.
Attendu qu'il s'évince des éléments du débat que l'enfant majeur,
Elodie, a débuté au 01 octobre 2008 un cursus d'études en alternance
avec une activité professionnelle; que depuis cette date elle a perçu un
salaire correspondant à 80 Dio du S.M.I.e. et lui procurant un revenu net
de 835,00 € par mois; que ces revenus l'ont condu ite à cesser de
résider ~ compter du 01 octobçe 2008 chez sa mère;

Attendu ensuite qu'il est établi par une attestation émanée de la


banque teneur du compte de que ce dernier, a fait
viré chaque mois, d'octobre à décembre 2008, directement sur le
compte de sa fille Elodie, le montant de la pension alimentaire fixée par
la décision du 28 avril 2005 ; qu'il échet de relever que si ce dernier
aurait du préalablement solliciter l'autorisation de la juridiction
compétente pour agir de la sorte, il convient toutefois de constater
qu'en définitive il s'est totalement acquitté pour la période considérée
de sa dette par les paiements effectués directement entre les mains de
la créancière d'aliments;

Sur la fixation de la contribution à l'entretien et l'éducation


o.t..$.@p.t~mP.r..f#...~.Q.Q.?',
!!.:'~lQ.d.i.f:..p'Q.y.r..l~.p..6.r.i9.r:lf:..r:ly...Q.~.j~!1y.i.e.[..Çf.I!...

Attendu qu'il n'est pas contesté qu'Elodie a perçu chaque mois à


compter du 01 octobre 2008 de la S.N.C.F.une rémunération de
835,00 € nets; qu'il est d'autre part démontré que son père lui a versé
à compter du 01 janvier 2009 une con bution alimentaire de 150,00 €:
par mois ; qu'enfin prétend avoir versé à sa fille
durant cette même période une somme équivalente; qu'il convient d'en
conclure que la jeune majeure a disposé à compter du 01 janvier 2009
d'un revenu mensuel de 1 135,00 € équivalent au S.M.I.e. (SM,;W::
mensuel pour cette période: 1 047,00 €) ;
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Attendu ensuite qu'il résulte des conclusions des parties,


concordantes sur ce point, que lorsque Elodie a cessé de résider
habituellement chez sa mère t elle a opté pour l'hébergement en co-
location; qu'il en est résulté pour elle une moindre dépense pour son
logement;
~ ~I
. Attendu enfin qu'il n'est pas établi par que leSr,:
dépenses qu'elle "rétend avoir expèsé pour Elodie revêtait, lors ~ leur"
E!ngagement, un caractère de nécessité (permis de conduire) ; que par
ailleurs elle ne rapporte pas davantage la preuve qu'Elodie a été la
destinataire des biens meubles dont les factures sont produites au
débat; qu'il convient en particulier de relever que l'un des bons de
livraison versés au dossier par la mère porte la mention "date de la
commande : 17/08/2002" ;

Attendu que l'ensemble des considérations qui précèdent conduit


à fixer à la somme de 150,00 € par mois la contribution paternelle à
l'entretien et à l'éducation d'Elodie à compter du 01 janvier 2009 ;

Sur· la demande de suppression de la contribution


Rilte.r.n.f!ll!iA..!I..1~f#.!J.t.r.e.fi~n. ..f!.I;.. I!...l.~~.d.I!..ÇJI.l;lf1.f1. ..d.~~I9.d.le..iI. ..ç9.mp'.I;~,-..d.y.
p.l:9.Ç.I;.Q"-'!iA...l.o.o.9.
Attendu que la défenderesse acquiesce à la demande en
suppression de la contribution paternelle à l'entretien et à l'éducation
d'Elodie .à compter du o1octobre 2009; qu'il échet en conséquence de
faire droit à cette prétention;

Sur la contribution alimentaire à l'entretien et à l'éducation


d'Alexis

Attendu quiil s'évince des explications fournies par les parties et '.
des pièces versées au débat les éléments suivants :

• sur la situation financière de


5 exerce le métier de technicien de
laboratoire. Elle perçoit à ce titre un salaire moyen mensuel
de 1 900,00 € par mois. Ses charges s'élèvent à la somme
de 940,00 € par mois. it état dans le
décompte de ses charges d'un crédit immobilier dont les
mensualités auraient augmenté de façon conséquente (de
545,21 € euros à 779,90 €). Cette allégation ne peut être
vérifiée dès lors que ne sont produits au débat que des
copies des tableaux d'amortissement. Il n'est donc pas
certain que les échéanciers produits autitre de l'emprunt le
plus important correspondent à un prêt réellement contracté
ou récemment souscrit.

• sur la situation financière de R• • • • • • • •


perçoit en sa qualité de salarié une
rémunération mensuelle de l'ordre de 2 237,00 € par mois.

• sur les besoins d'Alexis: Alexis est âgé aujourd'hui de


presque 19 ans. Il est actuellement scolarisé dans un lycée
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professionnelle de l'agglomération dijonnaise. Il réside en


alternance chez chacun de ses parents.

Àttendu que le père soutient dans ses écritures avoir acheté à son
fils un véhicule d'occasion et contribuer chaque mois au paiement de
l'assurance et des frais de carburant (dépenses évaluées à 109,00 € par
mois); Que pour sa part, la mère de l'enfant invoque à sa charge des
dépenses de cantine et de frais de transport à hauteur de 84,00 € par
mois, ;

Attendu qu'au vu des situations financières respectives des


parents et des constatations qui précèdent, aucun élément sérieux ne
milite en faveur d'une augmentation de la contribution paternelle à
l'entretien et à l'éducation d'Alexis ; Qu'il échet de rappeler qu'une
contribution alimentaire à l'entretien et à l'éducation d'un enfant versée
à l'un des parents n'a pas vocation à compenser les dépenses
personnelles de ce dernier ; qu'il y a lieu en conclusion de débouter
• • • •~de ce chef de demande;

PAR CES MOTIFS

Le .Juge aux affaires familiales, statuant rendu en chambre


du conseil, par jugement contradictoire et en premier ressort,

Constate que s'est acquitté pour la période


du 01 octobre au 31 décembre 2008 de la totalité de sa dette
alimehtaire à l'égard de sa fille Elodie par des paiements effectués
directement entre les mains de celle-ci ;

Fixe rétroactivement à compter du 0 1 janvier 2009 la contribution


8"11SjS S! alimentaire de ~ à l'entretien et à l'éducation de sa
fille Elodie à la somme de cent cinquante euros par mois (150,00 C
il:~i
o!a;c ... :~
~l
par mois) ;
~=~~î -
-sjct {g
~e>c~g ~c>1
~
Supprime à compter du 01 octobre 2009 la contribution versée
fi.i§iii!s:l
~œ :;:a: par R' à l'entretien et à l'éducation de sa fille Elodie;

RJ.......

~~~~i If
~ -, ~ e '" ~ i Déboute de sa demande d'augmentation de
~ -~; ~ t t 1 la contribution versée par à l'entretien et à
1i ~ Il ~
1:~f..,g l'éducation de son fils Alexis;

! i ! il ~ ~
tQ

Rappelle que la présente décision est de plein droit exécutoire en


i~ ~ ~ ~ ~ l~ertu de l'article 1074-1du Nouveau Code de Procédure Civile;
iig~8;~
~ ~ -1 iJ l~- J Dit que chacune des parties supportera définitivement la charge
", Ides dépens dont elle a fait l'avance.

Fait et ainsi jugé à DIJON le 30 Mars 2010


EIdrIIt" IIIjnIMS du gstI{e du Tribunal
de Grande Instante de CNIon sur Sa6IIe
DipInIIItIIl cie Sa6nt et l.DiII
Cour d'Appel dt DOON

TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE


de CHALON SUR SAONE

AFFAIRES FAMILIALES

JUGEMENT DU 04 MARS 2010

DEMANDEUR AU PRINCIPAL
DÉFENDEUR RECONVENTIONNEL:

né 6 Septembre 1948 à COLLO - ALGERIE


demeurant Il , rue de .1_ _ __
06400 CANNES

Rep/assistant : Me Jean-Christophe BONFILS, avocat au barreau de DIJON, substitué


à l'audience par Me Eloïse FOURNIER

DÉFENDERESSE AU PRINCIPAL
DEMANDERESSE RECONVENTIONNELLE :

née le 01 Mars 1952 à ROOST WARENDIN


demeurant La Sapinière - 7, • •·. .111111_
71880 CHATENOY LE ROYAL

RR~ep,/~asïs~is;tan:t~:~M~e':~:: de la SCP • •~• • • • • • • • • • •_


, , avocats au barreau de CHALON SUR SAONE

COMPOSITION:
Lors des débats, du délibéré et du prononcé: Stéphane THEVENARD, juge aux affaires
familiales

Greffier lors des débats et du prononcé : Gislaine PERTET

DÉBATS: A l' audience non publique du 04 Février 2010, l'affaire a été mise en
délibéré à ce jour,

JU GEMENT: contradictoire, prononcé en chambre du conseil, en premier ressort et


signé par Stéphane THEVENARD, Juge aux Affaires Familiales et Gislaine PERTET,
greffier.
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ÉLÉMENTS DU LITIGE

Monsieur B ? se sont
et Madame MI• • • • • •
mariés le 5 juillet 1976 à RACHES (59), sans contrat de mariage.

De cette union sont issus :

- Mariam
Mehdi Salima
- Sarah Fatiha
- Sami Mehdi
i
salimi~5iiÈ' !'ilei·:n~overnbre
ne
née le .juin
1978,1980,
née le.iuillet 1982,
né le. mars 1985.

Pax jugement du 17 juillet 2003, le Juge aux affaires familiales du Tribunal de


grande instance de CHALON-SUR-SAONE a:
- prononcé le divorce des époux
. - commis le Président d.e la des notaires de SAONE-ET-LOIRE pour proceaer
à la liquidation des intérêts pécuniaires des époux,
- fixé à 381 € pour Sami et à 300 € pour chacun des trois autres enfants majeurs la
pension alimentaire mensuelle due par le père, outre indexation,
- sursis à statuer sur la demande de prestation compensatoire et sur la demande fondée
sur l'article 700 du nouveau code de procédure civile.

Sur appel de Monsieur ,la Cour d'appel de DIJON a,


par arrêt du 10 juin 2004, confirmé le jugement et condamné l'appelant à payer à son
épouse un capital de à titre de prestation compensatoire et la somme de 1 200 €
sur le fondement de l'article 700 du nouveau code de procédure civile.

Pax requête reçue au greffe le 13 mars 2009, Monsieur ~• • • • • • • •


. a saisi le Juge aux affaires familiales sollicitant:
- le constat de ce que les quatre enfants ne sont plus à la charge de leur mère,
- la suppression des pensions alimentaires dues par lui,
- à compter du 1er janvier 2003 pour Mehdi,
-·à compter du 1er janvier 2004 pour Mariam,
- à compter du 1erjanvier 2006 pour Sarah,
- à compter du 1er janvier 2008 pour Sami,
- subsidiairement, le versement de sa contribution en tout entre les mains de Sarni dès
meilleure fortune.

A l'audience du 4 février 2010, Monsieur sollicite la


suppression des pensions alimentaires dues pour ses quatre enfants à la date d'obtention
de leur dernier diplôme, soit :
- le 30 juin 2004 pour Mehdi et Mariam,
- le 31 juillet 2006 pour Sarah,
- le 31 juillet 2007 pour Sami.

En défense, Madame M • • • • • • • • • • • • • pour la suppression


des pensions :
- au 30 juin 2004 pour Mehdi et Mariam,
. - au 17 juillet 2006 pour Sarah,
- au 30 juin 2009 pour Sami.
3

A titre reconventionnel, elle sollicite la somme de 1 500 € sur le fondement de


l'article 700 du code de procédure civile.

L'affaire a été mise en délibéré à la date du 4 mars 2010.

MOTIFS

Sur la suppression de la contribution paternelle à l'entretien et à l'éducation des enfants


majeurs Mehdi. Mariam et Sarah :

Il convient de constater suppression des pensions


alimentaires dues pour les enfants majeurs Mehdi, Marlan1 et Sarah, à compter
respectivement du 30 juin 2004 pour les deux premiers et du 17 juillet 2006 pour la
troisième.

Sur la suppression de la contribution paternelle à l'entretien et à l'éducation de l'enfant


majeur Sami :

Aux termes de l'article 371-2 du code civil, "Chacun des parents contribue à
['entretien et à l'éducation des enfants à proportion de ses ressources, de celles de
l'autre parent, ainsi que des besoins de l'enfant.

Cette obligation ne cesse pas de plein droit lorsque l'enfant est majeur."

Lorsqu'un parent a été condamné à contribuer à l'entretien et à l'éducation de son


enfant, il lui incombe, s'il demande la suppression de cette contribution, de rapporter la
preuve des circonstances permettant de le décharger de cette contribution.

En l'espèce, Monsieur BI• • • • • fils Sami


subvient seul à ses besoins depuis le 31 juillet 2007.

Madame M j 1 1rapporte la preuve du contraire, puisqu' e~


~.n
fils,Sami a été inscrit en cours d'art dramatique à l'école~
~ à PARIS du 15 octobre 2007 au 1er juillet 2008 (facture adressée à
la mère, pièce n' 10), puis du 18 octobre 2008 au 1er juillet 2009 (certificat d'inscription,
pièce n° 9).

Elle produit également une attestation de Sami, datée du 17 décembre 2009, par
laquelle il certifie que c'est sa mère qui pourvoit à son entretien et à sa scolarité à raison
de 600 € par mois.

Au vu de ces éléments, il convient de supprimer la pension alimentaire due par


Monsieur B pour l'entretien et l'éducation de son fils majeur
Sami à èompter du 30 juin 2009.

Sur les frais non compris dans les dépens :


Il serait inéquitable de laisser à Madame M. . . . . . . .la charge des frais
qu'elle a exposés à l'occasion de la présente procédure.
4

Monsieur sera condamné à lui verser la somme de 800 €


sur le fondement de l' article 700 du code de procédure civile.

Sur les dépens:

S'agissant d'un litige familial, il y a lieu de laisser à chaque partie la charge de


ses dépens. · .

PAR CES MOTIFS


Le Juge aux affaires familiales, statuant en chambre du conseil, par jugement
contradictoire et en premier ressort,

Supprime à compter du 30 juin 200~ les pe:t;sions .alimentaires dues'par Monsi~ur


B 2 . . • pour l'entretien et l'educatIOn des enfants majeurs Mehdl et
Mariam, .

Supp
B
. Fe à. compter lit 17 juille.t 2006 la pension alimentaire due par Monsieur
pour l'entretien et l'éducation de l'enfant majeure Sarah,

Supprime à compter du 30 juin 2009 la pension alimentaire due par Monsieur ~


..ï••••• pour l'entretien et l'éducation de l'enfant majeur Sami,

Rappelle que les dispositions relatives aux pensions alimentaires sont de plein droit
assorties de l'exécution provisoire en vertu de l'article 1074-1 du code de procédure
civile,

Condamne Monsieur B à payer à Madame MII!I!••••••


la somme de 800 € sur le fondement de l'article 700 du code de procédure civile,

Dit que chacune des parties conservera la charge de ses dépens.

Le Greffier Le Juge aux affaires familiales

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