Vous êtes sur la page 1sur 5

Activité 1 : Mise en évidence d’une thermorégulation chez les Homéothermes

A/ Les échanges thermiques entre le corps humain et son milieu

Doc 1 : Les mécanismes de dissipation de l’énergie thermique, Hatier, 2019.

Doc 2 a : Le gain d’énergie thermique, Hatier, 2019. Doc 2 b : La thermogenèse par le métabolisme, LLS,

2019.

Doc 3a : Noyau central et compartiment périphérique : un


enfant en imagerie infrarouge, d’après LLS, 2019.
Doc 3b : Les Flux de chaleur entre le compartiment central et le compartiment périphérique, d’après Bordas, 2019.

Questions :

1) Identifier les mécanismes de gain et de perte d’énergie thermique au niveau du corps humain.
2) Compléter le schéma ci-dessous en représentant les échanges thermiques se produisant entre le corps
humain et le milieu extérieur d’environ 24°C. Vous indiquerez par des flèches :
- De couleurs différentes les échanges thermiques, en rouge pour les gains en bleu pour les pertes.
- D’épaisseurs proportionnelle à son importance dans l’équilibre thermique.
- Ne pas oublier la légende !
B/ Les réponses de l’organisme au froid et au chaud

Doc 4 : La peau, un organe de la thermorégulation, d’après LLS, 2019.

Doc 5 a : La sudation ou transpiration Doc 5 b : La vasodilatation

Doc 5 : Les réactions du corps à la hausse de température, d’après LLS, 2019.

Doc 6 : Les réactions du corps à la baisse de température, d’après LLS, 2019 :

Doc 7 : Les réactions comportementales :


Au chaud Au froid
Lorsque la thermogenèse est supérieure à la Lorsque la thermolyse est supérieure à la
thermolyse, différents comportements typiques sont thermogenèse, différents comportements typiques
observés : se dévêtir, se couvrir avec des tissus clairs,
vont être observés : se couvrir, s’abriter du vent, se
s’humidifier la peau ou s’exposer à un courant d’air. déplacer vers une source de chaleur ou bien se
recroqueviller ou se coller les uns contre les autres, ce
qui permet de réduire la surface de peau en contact
avec l’extérieur
Doc 8 : Thermorégulation en fonction de la température ambiante, d’après Magnard, 2019

Question :

3) A partir des documents 4, 5, 6, 7 et 8 compléter le tableau ci-dessous (les 2 cases blanches), en donnant les
mécanismes qui permettent la régulation thermique du corps humain.

La thermorégulation est possible grâce à deux mécanismes opposés :


- La thermogénèse qui assure le gain de chaleur : elle est permise principalement par les réactions métaboliques et
le travail musculaire (frisson), et de façon moins importante par la conduction, la convection et le rayonnement. Elle
n’est jamais nulle car il existe une dépense d’énergie incompressible liée aux fonctions vitales de l’organisme : on
parle de thermogénèse (ou métabolisme) de base.
- La thermolyse responsable de la déperdition de chaleur : on distingue d’une part la thermolyse directe par
conduction, convection et rayonnement, qui correspond aux pertes de chaleurs inévitables et majoritaires au repos ;
et d’autre part la thermolyse indirecte par évaporation d’eau (sudation).
Pour maintenir la température corporelle, il faut que la thermogénèse et la thermolyse soient en équilibre. Le réseau
vasculaire joue un rôle important dans ces mécanismes, grâce à la vasomotricité (vasoconstriction et vasodilatation)
et les échangeurs thermiques. Il existe un intervalle de températures ambiantes où les dépenses thermorégulatrices
sont minimales : c’est la zone de neutralité.
Enfin, les homéothermes sont plus tolérants au froid qu’au chaud.

La thermorégulation est possible grâce à deux mécanismes opposés :


- La thermogénèse qui assure le gain de chaleur : elle est permise principalement par les réactions métaboliques et
le travail musculaire (frisson), et de façon moins importante par la conduction, la convection et le rayonnement. Elle
n’est jamais nulle car il existe une dépense d’énergie incompressible liée aux fonctions vitales de l’organisme : on
parle de thermogénèse (ou métabolisme) de base.
- La thermolyse responsable de la déperdition de chaleur : on distingue d’une part la thermolyse directe par
conduction, convection et rayonnement, qui correspond aux pertes de chaleurs inévitables et majoritaires au repos ;
et d’autre part la thermolyse indirecte par évaporation d’eau (sudation).
Pour maintenir la température corporelle, il faut que la thermogénèse et la thermolyse soient en équilibre. Le réseau
vasculaire joue un rôle important dans ces mécanismes, grâce à la vasomotricité (vasoconstriction et vasodilatation)
et les échangeurs thermiques. Il existe un intervalle de températures ambiantes où les dépenses thermorégulatrices
sont minimales : c’est la zone de neutralité.
Enfin, les homéothermes sont plus tolérants au froid qu’au chaud.

La thermorégulation est possible grâce à deux mécanismes opposés :


- La thermogénèse qui assure le gain de chaleur : elle est permise principalement par les réactions métaboliques et
le travail musculaire (frisson), et de façon moins importante par la conduction, la convection et le rayonnement. Elle
n’est jamais nulle car il existe une dépense d’énergie incompressible liée aux fonctions vitales de l’organisme : on
parle de thermogénèse (ou métabolisme) de base.
- La thermolyse responsable de la déperdition de chaleur : on distingue d’une part la thermolyse directe par
conduction, convection et rayonnement, qui correspond aux pertes de chaleurs inévitables et majoritaires au repos ;
et d’autre part la thermolyse indirecte par évaporation d’eau (sudation).
Pour maintenir la température corporelle, il faut que la thermogénèse et la thermolyse soient en équilibre. Le réseau
vasculaire joue un rôle important dans ces mécanismes, grâce à la vasomotricité (vasoconstriction et vasodilatation)
et les échangeurs thermiques. Il existe un intervalle de températures ambiantes où les dépenses thermorégulatrices
sont minimales : c’est la zone de neutralité.
Enfin, les homéothermes sont plus tolérants au froid qu’au chaud.

La thermorégulation est possible grâce à deux mécanismes opposés :


- La thermogénèse qui assure le gain de chaleur : elle est permise principalement par les réactions métaboliques et
le travail musculaire (frisson), et de façon moins importante par la conduction, la convection et le rayonnement. Elle
n’est jamais nulle car il existe une dépense d’énergie incompressible liée aux fonctions vitales de l’organisme : on
parle de thermogénèse (ou métabolisme) de base.
- La thermolyse responsable de la déperdition de chaleur : on distingue d’une part la thermolyse directe par
conduction, convection et rayonnement, qui correspond aux pertes de chaleurs inévitables et majoritaires au repos ;
et d’autre part la thermolyse indirecte par évaporation d’eau (sudation).
Pour maintenir la température corporelle, il faut que la thermogénèse et la thermolyse soient en équilibre. Le réseau
vasculaire joue un rôle important dans ces mécanismes, grâce à la vasomotricité (vasoconstriction et vasodilatation)
et les échangeurs thermiques. Il existe un intervalle de températures ambiantes où les dépenses thermorégulatrices
sont minimales : c’est la zone de neutralité.
Enfin, les homéothermes sont plus tolérants au froid qu’au chaud.

Vous aimerez peut-être aussi