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Um6ss 2022
Pr DEHBI
Cas clinique n° 6
Rahma a 9 mois et pèse 8 Kg elle n’est plus nourrie au sein. Elle a la diarrhée depuis une
semaine sans présence de sang dans les selles. A l’examen Rahma a les yeux enfoncés, elle
est capable de boire quelques gorgées d’eau, le pli cutané est persistant. Le médecin classe
Rahma comme ayant une DHA sévère.
28. Quels sont parmi les arguments suivant ceux ayant permis au médecin de retenir le
diagnostic de DHA sévère ?
A. Le fait qu’il ne soit plus nourris au sein
B. La durée de la diarrhée d’une semaine
C. Les yeux enfoncés
D. La capacité à boire
E. Le pli cutané persistant
C-E
C-D
Après quelques heures de réhydratation, le médecin décide que Rahma n’est plus déshydratée
et qu’elle est prête à rentrer chez elle.
30. Devant quels signes parmi les suivants Rahma doit revenir immédiatement vers son
médecin ?
A. L’apparition de la fièvre
B. L’apparition du sang dans les selles
C. L’apparition de vomissements incoercibles
D. La persistance de la diarrhée
E. L’incapacité à s’alimenter
A-B-C-E
B-C
2- Tous les symptômes suivants orientent vers une déshydratation aigue tableau C sauf un,
lequel :
A- Une tachycardie
B- Une hypotension
C- Une perte pondérale inférieure à 10%.
D- Une polypnée
E- Des troubles de conscience.
16. Quel est le diagnostic le plus probable ? Une seule réponse est juste :
A. Infection urinaire.
B. Invagination intestinale.
C. Appendicite aigue.
D. Gastroentérite bactérienne.
E. Gastroentérite virale.
Zaid présente à l’examen clinique une faiblesse avec hypotonie, des yeux très enfoncés et un
pli cutané persistant. Son état hémodynamique est stable (TA et TRC sont corrects).
18. Sa prise en charge consiste en: une ou plusieurs réponses sont possibles :
A. Traitement en ambulatoire.
B. Hospitalisation nécessaire.
C. Réhydratation intraveineuse.
D. Antibiothérapie après bilan infectieux.
E. Remplissage massif par le sérum salé.
B-C-D
A-B-D
Rania a 14 mois, elle pèse 8 kg, sa température est à 37,5°C. Sa mère dit qu’elle a la diarrhée
depuis trois semaines. Cette fillette n’a pas de signe général de danger, n’a pas de sang dans
les selles, est irritable durant l’examen, n’a pas les yeux enfoncés, boit avidement, et a un pli
cutané qui s’efface immédiatement.
31. Choisir les classifications pour la diarrhée de Rania :
A. DHAsévère
B. DHA modérée
C. Diarrhée persistante sévère
D. Diarrhée persistante
E. Dysenterie
BC
NB : on parle de diarrhée persistante entre 14 jours et 1 mois. Une diarrhée est considérée chronique
au-delà d’un mois.
NB : Diarrhée persistante sévère car signe de sévérité = DHA modérée
A-B-C-D
Cas clinique
Un nourrisson de 11 mois est vu pour une hypotrophie. Il a été allaité exclusivement au sein
jusqu’à l’âge de 2 mois puis mis au lait de vache dilué de moitié à raison de 4 biberons par
jour. L’examen retrouve un nourrisson en mauvais état général, affamé avec des signes
d’amaigrissement important, visage Veillot, sans œdèmes aux pieds, sans troubles de
phanères.
9. Devant ce tableau de malnutrition aigüe, vous retenez en faveur du marasme deux signes
parmi les suivants :
A. L’âge de l’enfant
B. Les signes d’amaigrissement important
C. L’absence d’œdème
D. La durée de l’allaitement maternel exclusif
E. Le mauvais état général
BC
10. Relevez parmi les suivantes la complication qui peut engendrer le pronostic vital les
premiers jours du démarrage du programme de réhabilitation nutritionnelle :
A. L’hypoglycémie
B. L’hypokaliémie
C. L’insuffisance cardiaque
D. Les Parasitoses Intestinales
E. L’infection
10) Rachid nourrisson âgé de 10 mois consulte pour diarrhée chronique évoluant depuis
quatre mois. L’évaluation de l’état nutritionnel de rachid repose sur :
a) L’évaluation des indicateurs anthropométriques
b) L’ionogramme sanguin
c) L’ECBU
d) La recherche de signes cliniques de marasme
e) La recherche de signes cliniques de kwashiorkor
ADE
11) Parmi les indicateurs anthropométriques suivants lequel vous retenez pour le diagnostic
de la malnutrition aigüe chez rachid
a) L’indicateur poids/taille
b) L’indicateur poids /âge
c) L’indicateur de masse corporelle IMC
d) L’indicateur Taille /âge
e) Le périmètre brachial
14) Chez cet enfant en état de malnutrition sévère vous préconisez un programme de
dénutrition.
Ce programme comporte en phase aigüe des trois premiers jours
a) La correction et la prévention de l'hypoglycémie
b) La correction et la prévention de l'hypokaliémie
c) La correction et la prévention de l'hypothermie
d) La correction et la prévention de l’infection
e) La correction et la prévention de la carence en fer apres prise du poids
ABCD
III. Rachitisme
A-B-D
ACD
A-B-C
A-B-D
A-B-C-E
A-D
ADE
251- Les signes biologiques retrouvés au cours du rachitisme carentiel commun sont:
A- une anémie hypochrome microcytaire
B- une calciurie augmentée
C- une calcémie basse
D- une phosphorémie normale
E- des phosphatases alcalines diminuées
A-C-D
Pr ABILKASSEM
I. Allaitement maternelle
A-B-C-D-E
D-E
D-E
CDE
A-C-D-E
19- Le lait maternel :
A- A une composition variable durant le 1 er mois
B- Se distingue par un rapport phosphocalcique inférieur à 2
C- Contient du fer en quantité suffisante
D- Contient des oligosaccharides
E- Ne contient pas de dextrine maltose
A-D-E
A-C-D-E
A-B-C
NB : puberté précoce =
- Avant 8 ans chez la fille
- Avant 9/10 ans chez le garçon
A-B
B-D
A-B-C-D-E
IV. Retard Statural :
A-C-D
ABCDE
2-L’âge osseux est inférieur à l’âge statural dans les cas de retard de croissance
dû à :
A) une maladie cœliaque
B) une hypothyroïdie congénitale
C) Un déficit en hormone de croissance
D) une anomalie chromosomique
E) une petite taille constitutionnelle
ABC
A-C-D-E
4-Parmi les signes suivants, lesquels évoquent une hypothyroïdie congénitale à la naissance :
A) une dissociation entre le poids et la taille à la naissance
B) une absence de points d’ossification sur une radiographie du genou
C) un ptérygium coli
D) un retard d’émission du méconium
E) Fontanelle antérieure large
A-B-D-E
A-C-D
A-C-D-E
B-C
A-B-C-E
A-B-C-E
10-Dans le déficit par hormone de croissance
A) le visage peut être poupin
B) Le diagnostic du déficit repose sur l’insuffisance ou l’absence de sécrétion de GH sous stimulation
C) la macroglossie est fréquente
D) la recherche d’une lésion hypophysaire par TDM ou IRM est la règle
E) l’âge osseux est normal
A-B-D
A-B-C-D-E
NB : Âge chronologique = âge civil. Age osseux = niveau de maturation des os. Âge statural = âge
par rapport aux courbes de croissances normales. Taille cible = calcul
A-B-C-D-E
13- Quels diagnostics doivent vous faire évoquer l’association d’un ralentissement de la VC et
d’une prise de poids ?
A. Hyperthyroïdie
B. Erreurs diététiques.
C. Hypercorticisme.
D. Diabète insulinodépendant
E- Hypothyroïdie
CE
14- Sur quels signes évoquez-vous un déficit en GH chez un enfant présentant un retard
statural ?
A. Hypoglycémie néonatale.
B. Micropénis.
C. Retard pubertaire simple.
D. Syndrome polyuropolydipsique.
E. Incisive médiane unique.
A-B-D-E
A-B-C-D-E
A-B-C-D
A-B-C
V. Epilepsies et convulsions
A-B-C-D-E
A-B-C-D-E
A-B-C
A-B-C-D-E?
5- Tout nourrisson admis pour un premier épisode de convulsion fébrile simple doit bénéficier
en premier lieu :
A) d’un traitement antipyrétique et anticonvulsivant ( Valium IR)
B) d’une radiographie du crâne de profil
C) d’une TDM des l’amélioration de l’état clinique
D) d’un EEG systématique
E) d’un traitement par valproate de sodium
NB : pour un épisode de convulsion fébrile simple pas d’examens complémentaires et pas de ttt de
fond!!
A-B-C-D
A-B-C
A-B-E
12. Quel(s) examen (s) réalisé(s) vous pour confirmer votre diagnostic ?
A- Electromyogramme (EMG)
B- Electroencéphalogramme (EEG)
C- Biopsie musculaire
D- Polysomnographie
E- IRM musculaire
ABC
ABCDE
DE
A-B-D-E
149- Parmi les étiologies des crises convulsives fébriles chez le nourrisson on retrouve :
A- une infection urinaire
B- un exanthème subit
C- une infection ORL
D- une méningite
E- une diarrhée à germes invasifs
ABCE
NB : Dans les crises convulsives fébriles chez le nourrisson on retrouve des infections qui n’atteignent
pas le SNC
151- Tout nourrisson admis pour un premier épisode de convulsion fébrile doit bénéficier en
premier lieu :
A- d’une ponction lombaire
B- d’un traitement antipyrétique et anticonvulsivant
C- d’une radiographie du crâne de profil
D- d’une TDM des l’amélioration de l’état clinique
E- d’un EEG systématique
B-C
NB : Attention : convulsions fébriles (pas d'atteinte du SNC) ≠ convulsions avec fièvre (atteinte du
SNC ou pas)
153- Chez le nourrisson, plusieurs étiologies peuvent être à l’origine des crises convulsives
A- la fièvre d’installation brutale
B- une HTA
C- des troubles métaboliques
D- un hématome sous dural
E- les méningites ou les méningo-encéphalites
A-B-C-D-E
A-B
A-B-C-D
157- Le premier geste que vous effectuez chez un nouveau né qui convulse est :
A- Glycémie
B- Dosage de la calcémie
C- EEG
D- Ponction lombaire
E- Aucun de ces examens
158- Tous ces critères sauf un, définissent les convulsions fébriles simples, lequel ?
A- Durée inférieur à 5 minutes
B- Crise tonico-clonique généralisée
C- Crise convulsive hémi corporelle
D- Retour rapide d’une conscience normale
E- Survenue chez un nourrisson de 16 mois
A-B-C
Pr Toughza
Cas clinique 1:
Karima, jeune fille, âgée de 8 ans, consulte aux urgences pédiatriques pour des taches
purpuriques au niveau des membres inférieurs. Depuis un mois, Karima est fatiguée et se
plaint de douleurs articulaires. Son examen clinique trouve une pâleur cutanée et
conjonctivale, une fièvre à 39°c, un purpura pétéchial au niveau des membres inférieurs et du
thorax et des adénopathies cervicales et inguinales. L’examen de l’abdomen trouve une
splénomégalie.
25- Le ou les examen(s) paraclinique (s) à demander en 1ère intention est (sont) :
A- Une ponction lombaire avec étude bactériologique
B- Une biopsie ostéo- médullaire (BOM)
C- Les ASLO (anticorps antistreptolysine O)
D- Un hémogramme + Frottis
E- Les anticorps anti- plaquettes
26- Les anomalies du bilan paraclinique attendues ou probables chez Karima sont :
A- Une hyperalbuminorrachie à l’étude du LCR
B- Une moelle osseuse désertique à la BOM
C- Une neutropénie
D- Une hyperleucocytose
E- Une thrombopénie
C-D-E
A-B-E
NB1 : Le pourcentage de blastes, doit, par définition, être supérieur à 20 % pour les leucémies aiguës
myéloïdes (LAM) et supérieur à 25 % pour les leucémies aiguës lymphoblastiques (LAL).
NB2 :Il existe un nombre variable de leucocytes à l'hémogramme (normal, diminue ou augmente : cas
de la LA avec hyperleucocytose → mauvais pc)
A-B
NB : Anémie par carence martiale est arégénérative alors qu’ici → régénérative (taux de réticulocyte
normal) → penser à la thalassémie
A-C
Les résultats du bilan montrent une ferritine sanguine à 50 ng/ml (normes : 7 et 140 ng/ml).
L’électrophorèse de l’hémoglobine montre: Hb A = 33 % Hb F =60 % Hb A2 = 7 %
9. Quelles sont les possibilités thérapeutiques que vous allez expliquer aux parents de ALI ?
cochez les réponses justes
A. Traitement transfusionnel
B. Traitement chélateur de fer.
C. La splénectomie
D. L’allogreffe de cellules souches hématopoïétiques
E. L’hydroxyurée
ABCDE
A-B-C-D
A-C-D
A-C-D
10- Quelles sont les complications digestives à craindre chez l’enfant atteint de
purpura rhumatoide?
A- Invagination intestinale aigue
B- Gastrite à Hélycobacter Pylori
C- Gastrite pétéchiale écchymotique
D- Pancréatite aigue
E- Vascularite intestinale
AC
11- Au cours d’un purpura thrombopénique idiopathique (PTI), le myélogramme
montre :
A. Une absence de mégacaryocytes.
B. Une aplasie médullaire.
C. Une infiltration par des cellules anormales.
D. Une moelle osseuse normale
E. Une mégaloblastose
A-B-C-E
Pr ADNANE
B-C-E
27. Quelle est votre conduite thérapeutique :
A. Traitement antibiotique à large spectre
B. Traitement anti bacillaire 2RH /4RH pendant 6 mois.
C. Drainage pleural
D. Corticothérapie orale
E. Traitement antiparasitaire
6- La primo-infection tuberculeuse :
A- Est toujours symptomatique chez le nourrisson.
B- Est souvent basillifère (présence BK+++)
C- Est toujours patente
D- Elle impose une enquête familiale.
E- Le traitement anti bacillaire comporte 4 antibacillaires pendant 6 mois.
DE
ABCDE
Cas clinique 2:
Vous recevez dans la soirée de votre garde aux urgences Rayan, 5 mois et demi qui
présente depuis le matin une toux qui est devenue plus intense l’empêchant de
s’alimenter. L’anamnèse révèle la notion de rhinorrhée depuis deux jours ; L’examen
clinique, note un discret tirage intercostal. La température = 38°C, L’auscultation
pulmonaire retrouve quelques râles ronflants et de très discrets sibilants bilatéraux et
symétriques. L’examen cardiaque est sans particularités. L'examen neurologique est
normal.
CD
II. DIP & VIH
ABCD
Pr Arrab
I. Fièvre aiguë
A-D
BDE
ABDE
98- Les complications de la fièvre aigue sont :
A. Les convulsions
B. La dénutrition
C. La Déshydratation aigue
D. L’hyperthermie majeure
E. Les douleurs articulaires
ACD
AC
NB : la monothérapie est la règle ++
22- Quelle est la triade clinique qui définit I ’insuffisance cardiaque chez le nourrisson
A- Hépatomégalie, tachycardie et tachypnée
B- Hépatomégalie, tachycardie et œdèmes
C- Hépatomégalie, tachycardie et turgescence des veines jugulaires
D- Hépatomégalie, tachycardie et cardiomégalie
E- Hépatomégalie, tachycardie et prise de poids
ABCDE
ABCDE
BCE
ABCD
ABCDE
228-Un diagnostic parmi les suivants peut prêter à confusion avec une insuffisance
cardiaque :
A- Une dyspnée laryngée
B- Une bronchiolite
C- Une coqueluche
D- Un asthme du nourrisson
E- Une staphylococcie pleuropulmonaire (SPP)
ACDE
105- La varicelle :
A. est une éruption vésiculeuse
B. évolue par poussées successives
C. est prurigineuse
D. épargne le cuir chevelu
E. est suivie d’une desquamation fine
A-B-C
A-D-E
A-B-C
Cas clinique
Un enfant âgé de 6 ans a consulté pour une éruption fébrile et dysphagie évoluant depuis 48
heures. A l’examen : état général conservé. La fièvre est à 39,7°C, FC : 140/minute, Poids : 15
kg, Eruption en nappes érythémateuses sans intervalle de peau saine, généralisée à
l'ensemble du corps, respectant les paumes et les plantes, plus marquée au niveau des plis.
Absence de conjonctivite. Une angine érythémato-pultacée. La langue est saburrale avec de
petites adénopathies cervicales et sous-angulo-maxillaires. Pas d’allergie médicamenteuse
connue.
25. Quel(s) est (sont) votre (vos) diagnostic(s) ?
A. Une Scarlatine Commune
B. Une maladie de Kawasaki
C. Une rougeole
D. Un exanthèm esubit(roséole)
E. Une réaction médicamenteuse
ABC
BC
Pr Dini
I. Les polyarthralgies
B-C-DE
20. Quels sont vos hypothèses diagnostics parmi les propositions suivantes ?
A- RAA
B- Arthrite chronique juvénile dans sa forme oligoarticulaire
C- Arthrite septique
D- Maladies de Fabry
E- Leucémie aigue
F- Pupura rhumatoide
B-C-D
21. Parmi les examens complémentaires, quel est le premier à demander chez cette patiente ?
A- Bilan rénal
B- Echocardiographie
C- Ponction articulaire
D- IRM genou
E- Scintigraphie osseuse
22. Sachant que cet examen a éliminé une origine infectieuse, quels sont les autres examens
complémentaires à demander parmi les suivants ?
A- NFS
B- VS
C- Examen ophtalmologique
D- Anticorps anti nucléaires
E- Protéinurie de 24h
ABCD
NB :
- AJI ⇒ oligoarthrite : atteinte oculaire (uveite), AAN élevés (70% des patients), VS
augmentée, NFS normale
- Maladie de Fabry : atteinte oculaire (depots corneens), déficit en alpha-galactosidase
23. Une fois votre diagnostic retenu, quelles sont les possibilités thérapeutiques ?
A- Antipyrétiques
B- AINS
C- Corticoïdes locaux en infiltration
D- Corticoïdes par voie générale
E- Antibiotiques
A-B-C
NB : les corticoïdes par voies générales sont réservés aux poussées grave d'arthrite systémique (AJI)
en cas de péricardite.
A-B-C-D
A-B-C-D-E
A-C-D
NB : définition AJI : ensemble des arthrites sans causes reconnues débutant avant 16 ans et durant
plus de 6 semaines.
Lina, fillette de 3 ans, consulte pour une boiterie droite évoluant depuis 6 semaines dans un
contexte d’apyrexie. L’anamnèse retrouve la notion de dérouillage matinal et l’examen clinique
met en évidence une arthrite du genou et de la cheville droite.
12. Quelle sera votre conduite à tenir ?
A. Prescription d’une vitesse de sédimentation
B. Dosage des anticorps antinucléaires
C. Dosage du facteur rhumatoïde
D. Examen ophtalmologique à la lampe à fente
E. Ponction du liquide articulaire
A-B-D
NB : on soupçonne une oligoarthrite juvénile.
21. L’Oligo-arthrite
A- Est le plus fréquent des rhumatismes inflammatoires chroniques de l’enfant.
B- Touche les garçons plus que les filles
C- Touche souvent les grosses articulations
D- Nécessite la recherche systématique d’inflammation oculaire
E- S’accompagne de signes systémiques
ACD
12. Le diagnostic d’asthme chez l’enfant est évoqué devant les manifestations suivantes :
A- Un accès de bradypnée inspiratoire
B- Une toux traînante à prédominance nocturne
C- Des bronchites à répétition
D- Une gêne respiratoire survenant lors des efforts
E- La notion d’un syndrome de pénétration
BCD
B-C-E
16- Pour évaluer le control de l’asthme chez l’enfant, il faut vérifier la présence ou non les
items suivants:
A- Si Symptômes d’asthme transitoires la journée plus de 2 fois par semaine ?
B- Si réveil ou une toux nocturne liés à l’asthme ?
C- Si limitation d’activité à cause de son asthme ?
D- Si Besoin de BD plus de 2 fois par semaine ?
E- Aucune des propositions
ABCD
B-C-D
A-B-C
Cas clinique
Un enfant âgé de 8 ans connu asthmatique, présente depuis un mois des sifflements diurnes 3
fois par semaine, une toux spasmodique nocturne 2 fois par semaine et des symptômes
quotidiens à l’effort.
A l’examen : FR = 70 cycles/min, tirage sous costal et intercostal, sibilants discrets peu
audibles, Sa02 : 89%
13. Cet enfant présente :
A. Un asthme léger
B. Un asthme partiellement contrôlé
C. Un asthme intermittent
D. Un équivalent d’asthme
E. Une exacerbation d’asthme sévère
B-C-E
A-E
7- Les éléments en faveur d'une atteinte des voies respiratoires basses sont :
A- L’augmentation de la fréquence respiratoire
B- L’existence de signes de lutte
C- La présence d’anomalies à l’auscultation pulmonaire, diffuses ou localisées.
D- La présence d’un souffle cardiaque
E- Toutes les réponses sont justes
A-B-C
A-B-E
Question 1
Parmi les causes de dyspnée sifflante chez l’enfant figurent :
A. L’adénopathie médiastinale compressive
B. L’asthme
C. Les séquelles de viroses
D. Le corps étranger
E. La coqueluche
A-B-C-D
Réponse : A-B-C-D
Un enfant de 6 ans a consulté pour une toux grasse évoluant depuis 4 jours précédée par une
rhinorrhée. A l’examen : Fr = 25 cycles par min. température = 38,3°C et ronchus diffus.
1. Le(s) diagnostic(s) le(s) plus probable(s) est ou sont :
A. Une pneumonie à pneumocoque
B. Une tuberculose pulmonaire
C. Une bronchite
D. Une bronchiolite virale
E. Une pneumonie à mycoplasme
C-E
A-B-C-D
11- Un symptôme clinique parmi ces symptômes ne fait pas parti du syndrome méningé chez
le nourrisson. Lequel ?
A- Une fontanelle antérieure bombante.
B- Cri incessant.
C- Rejet de la tête en arrière.
D- Fièvre aigue rebelle au paracétamol
E- Une diarrhée aigue
Cas clinique 4 :
A-C-D-E
La TDM cérébrale montre une hydrocéphalie triventriculaire. La PL montre un liquide clair 420
elements , 80% lymphocytes 20% de polynucléaires, glycorachie à 0,25g/L protéinorachie à
2g/L, examen direct négatif et culture en cours. EEG normal.
Un enfant de 10 ans est amené aux urgences en raison d’un état fébrile, des céphalées et des
vomissements évoluant depuis 48 heures. A l’examen clinique, il est conscient orienté, un bon
état hémodynamique, fébrile à 39°, pas taches purpuriques, mais présente une raideur franche
de la nuque, un Koernig et un brudzinski positifs, pas de déficit moteur, reflexes protomoteurs
normaux. Le reste de l’examen clinique est normal. L’anamnèse relève la prise d’antibiotiques
mais la mère n’a pas ramené l’ordonnance pour identifier l’antibiotique administré.
5. Entourez les propositions correctes :
A. Cet enfant présente un syndrome méningé fébrile
B. Une ponction lombaire s’impose en urgence
C. Une tomodensitométrie cérébrale préalable à la ponction lombaire est nécessaire
D. Une hospitalisation en soins intensifs est justifiée
E. Une encéphalite est probable chez cet enfant
A-B
La ponction lombaire a permis de retirer un LCR clair avec une cellurachie à 280/mm3
lymphocytaire à 85%, une protéinorachie à 0.8 g/l et une glycorachie à 0,38g/l. L’examen direct
négatif, la culture du LCR est en cours.
6. A ce stade vous évoquez :
A. Une méningite virale
B. Une méningite bactérienne décapitée
C. Une méningite purulente franche certaine
D. Une méningite tuberculeuse
E. Une méningoencéphalite herpétique
A-B
7. Votre conduite :
A. L’administration d’antibiotiques à doses méningées en attendant un diagnostic certain
B. La réclamation de l’ordonnance pour authentifier l’antibiotique consommé par cet enfant
C. La réalisation d’un bilan biologique faits de CRP et NFS
D. Led émarrage d’un traitement par l’acyclovir
E. L’évaluation de l’état vaccinal vis-à-vis des oreillon
A-B-C-E
V. Diarrhées chroniques
NB : les diarrhée chroniques sans retentissement sont souvent fonctionnel = le côlon irritable
A-B-C-D-E
- Présentations atypiques chez le grand enfant et chez l’adolescent : Anémie chronique ferriprive
isolée, Anomalies de l'émail dentaire , Douleurs osseuses pouvant révéler une ostéoporose précoce,
Retard statural isolé, Retard pubertaire, Dermatite herpétiforme, Élévation isolée des transaminases
Un nourrisson âgé de 18 mois se présente à la consultation pour une diarrhée chronique faite
de selles abondantes, fétides et graisseuses.
18. Il s’agit d’une diarrhée par :
A. Fermentation
B. Fonctionnelle
C. Maldigestion
D. Malabsorption
E. Au cours d’une colite inflammatoire
C-D
A-B-C-E
VI. La coqueluche :
B-D
NB : la coqueluche est une maladie bactérienne, avec une immunité vaccinale de max 10 ans. Pas de
fièvre sauf complications.
A-B-C-E
ACDE
VII. Les vomissements
Cas clinique
Un nourrisson de 7 mois consulte pour des vomissements chroniques, alimentaires et post
prandiaux depuis la naissance. Le nourrisson est rose, eutrophique et alimenté normalement.
NB : Les examens d'exploration pour le RGO ne sont pas systématiques dans les situations
suivantes:
- formes digestives
- Non compliquées
- chez le nourrisson durant la première année
Un nourrisson âgé de 12 mois, connu vomisseur chronique depuis la naissance, consulte pour
des hématémèses, vous évoquez un reflux gastro-œsophagien compliqué
d'œsophagitepeptique.
14. Pour confirmer votre diagnostic, vous demandez :
A. Un transit oesogastro-duodénal
B. Une échographie œsogastrique
C. Une endoscopie digestive haute
D. Une PH-métrie œsophagienne de 24h
E. Une tomodensitométrie thoracique
Pr Ammari
I. Asphyxie périnatale
Parmi les critères majeurs de l’asphyxie périnatale du nouveau-né à terme, on peut citer :
A-L’acidose métabolique
B-L’anomalie du rythme cardiaque fœtal
C-Le liquide amniotique méconial
D-L’encéphalopathie précoce
E-La nécessité d’une réanimation néonatale avancée à la naissance
A-D
A-C-D
II. DRNN
A-C-D
A-C-E
26. Un des gestes de réanimation néonatale suivants est recommandé en urgence :
A. La ventilation manuelle au masque dès la naissance
B. L’instillation de surfactant en salle d’accouchement
C. Le massage cardiaque externe
D. La Kinésithérapie respiratoire
E. L’aspiration trachéale après intubation
27. Quels examens complémentaires allez-vous demander en premier pour étayer vos
diagnostics :
A. Lalactacidémie
B. La gazométrie
C. L’hémoculture
D. La Radiographie Thoracique
E. L’étude bactériologique des prélèvements bronchiques
ABCD
ABDE
32- Le diagnostic positif d’une DR néonatale repose sur les paramètres cliniques suivant :
A- L’hypotrophie
B- La cyanose
C- La tachypnée
D- Les signes de rétraction
E- L’hypotonie
BCD
34- Les complications à long terme à craindre chez un nouveau-né en détresse respiratoire
sont :
A- Dilatation de bronches
B- Dysplasie broncho-pulmonaire.
C- Rétinopathie du prématuré.
D- Persistance du canal artériel.
E- Séquelles et handicaps neurologiques.
BCDE
4- Un nouveau-né présente une hypotonie généralisée, une cyanose des lèvres et des
extrémités, une respiration irrégulière, une fréquence cardiaque à 120 battements /min, et des
grimaces à la stimulation cutanée, le score d’’Apgar est évalué à :
A- 2
B- 3
C- 4
D- 5
E- 6
A-B-C-D-E
ABCD
BCE
12- Concernant les soins nécessaires à la naissance, chez le nouveau-né à terme normal, il
faut recourir à :
A- l’administration de vit K
B- l’utilisation de collyre antiseptique dans les yeux
C- l’injection intramusculaire d’ATB
D- l’administration de sérum glucosé
E- les soins de l’ombilic
A-B-E
ABCDE
A-D
Cas clinique
Nouveau-né de 39 SA, de sexe féminin admise à H2 de vie pour ictère néonatal intense et
généralisé. Elle est issue d’une grossesse non suivie, maman II gestes et II pares.
L’accouchement s’est déroulé par voie basse. L’anamnèse infectieuse était négative. L’examen
à l’admission avait noté une pâleur cutanéomuqueuse modérée sans splénomégalie ni
hépatomégalie.
A-B-C-D
4. Quel(s) examens (s) complémentaire (s) allez-vous demander pour confirmer votre
diagnostic ?
A. Le test direct à l ’antiglobuline
B. L’examen cytobactériologique des urines
C. La Recherche d’agglutinines irrégulières
D. L’échographie abdominale
E. Le frottis sanguin
A-C
AD
ABE
NB : Incompatibilite rhesus = mère Rh- (ictère précoce <24h) et incompatibilité ABO = mère groupe O
(ictère tardif >24h)
A-C-D
A-B
B-C
ABDE
47- Parmi les signes cliniques de l’incompatibilité fœto-maternelle rhésus D, on peut trouver :
A- un ictère précoce avant la 24 ème heure de vie
B- une pâleur cutanéo-muqueuse
C- des urines foncées
D- des selles décolorées
E- une splénomégalie
A-B-E
B-C-D-E
B-
A-B-E
55- le retard de prise en charge d’un ictère néonatal hémolytique provoque les
complications suivantes :
A- Le syndrome de bile épaisse
B- L’ictère nucléaire
C- Le décès
D- Les Séquelles neuro –sensorielles
E- La cirrhose hépatique
ABCD
A-C-E
V. Infection materno-foetale :
Cas clinique :
Vous êtes appelé par l’obstétricien pour voir Omar, un nouveau-né, 48 heures après sa
naissance pour ictère. Le dossier médical obstétrical vous apprend que la maman âgée de 35
ans, a présenté une rupture de la poche des eaux avec un liquide amniotique teinté.
L’accouchement s’est déroulé par voie basse à 37 semaines d’aménorrhée, le nouveau-né a
une bonne adaptation à la vie extra utérine. Le poids de naissance est de 2500g avec une taille
de 46cm. Le groupe sanguin de la mère est O Rh+. Vous trouvez à l’examen clinique un
nouveau-né geignard, avec une fréquence respiratoire à 65 cycles par minute, un tirage
intercostal et un battement des ailes du nez intenses. Par ailleurs, le nouveau-né présente un
ictère cutanéo-muqueux sur un fond rose avec cyanose des extrémités. la fréquence
cardiaque est à 190 battements par minute, l’auscultation cardiaque est normale. La
température est à 38.7°C.
D
23. Quel diagnostic évoquez -vous en premier lieu?
A- Incompatibilité fœto-maternelle ABO
B- Infection post natale
C- Ictère au lait de mère
D- Atrésie des voies biliaires
E- Infection materno-fœtale
ABCDE
25. Après sa mise en condition, quelle est votre prise en charge initiale?
A- Démarrer une antibiothérapie par voie orale en urgence
B- Attendre les résultats de vos examens paracliniques
C- Démarrer une alimentation entérale par du lait maternel
D- Mettre sous antipyrétique
E- Démarrer une antibiothérapie par voie parentérale en urgence
D-E
B-C-D
- Durée d’ouverture de la poche des eaux> 18h - Liquide amniotique teinté ou méconiale
- Rupture prématuré des membranes > 18h - Apgar < 7 à 1 ou 5 minutes sans cause
apparente
- Antécédents d’IMF à Streptocoque groupe B
- Portage vaginal de SGB +++ (En absence
d’antibioprophylaxie)
- Jumeau infecté.
ABC
ABCDE
ADE
ABCDE
CD
BCDE
VII. Prématurité
ABC
1) la grande prématurité se définit par un âge gestationnel (en semaines d’aménorrhée = SA)
entre :
a) 22 et 27 SA + 6 jours
b) 32 et 34 SA
c) 28 et 31 SA+ 6 jours
d) 34 et 36 SA + 6 jours
e) 24 et 26 SA + 6 jours
NB :
- Un prématuré simple pour un terme compris entre 32SA-36SA
- Grand prématuré pour un terme compris entre 28SA-32SA
- Prématurissime ou très grand prématuré pour un terme avant 28SA
ACDE
ABCDE
ABCDE
ACDE
Pr Echarii
I. Sd Néphrotique
19. La néphrose lipoïdique de l’enfant de l’enfant est caractérisée par:
A- une protéinurie non sélective
B- la sensibilité au traitement corticoïdes
C- Association d’une HTA est constante
D- les rechutes sont fréquentes
E- le traitement de la première poussée est de 4 mois et demi
B-D-E
B-D
A-C-E
II. Sd Post-Streptococcique
A-E
Réponse : A- B-C
A-C-D-E
Pr Benchehab
I. Infection urinaire
A-B-C-E
NB : Traitement probabiliste initial = cefixime IV pdt 3 jour puis relais per os pdt 10j
B-C-D-E
124- Les signes cliniques en faveur d’un diabète chez l’enfant sont :
A- une anorexie ou polyphagie
B- une polyurie
C- une polydipsie
D- une déshydratation aigue
E- un amaigrissement
ABCDE
BCE
B-C-D
BDE
ACD
ABCD
ABCDE