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QCM par chapitres pédiatrie

Um6ss 2022

Pr DEHBI

I. Diarrhée aiguë et DHA

Cas clinique n° 6
Rahma a 9 mois et pèse 8 Kg elle n’est plus nourrie au sein. Elle a la diarrhée depuis une
semaine sans présence de sang dans les selles. A l’examen Rahma a les yeux enfoncés, elle
est capable de boire quelques gorgées d’eau, le pli cutané est persistant. Le médecin classe
Rahma comme ayant une DHA sévère.

28. Quels sont parmi les arguments suivant ceux ayant permis au médecin de retenir le
diagnostic de DHA sévère ?
A. Le fait qu’il ne soit plus nourris au sein
B. La durée de la diarrhée d’une semaine
C. Les yeux enfoncés
D. La capacité à boire
E. Le pli cutané persistant

C-E

29. Quelle conduite préconiser chez Rahma


A. L’antibiothérapie
B. Un antiparasitaire
C. La réhydratation par voie intraveineuse
D. La supplémentation en zinc
E. Un antipéristaltique intestinal

C-D

Après quelques heures de réhydratation, le médecin décide que Rahma n’est plus déshydratée
et qu’elle est prête à rentrer chez elle.

30. Devant quels signes parmi les suivants Rahma doit revenir immédiatement vers son
médecin ?
A. L’apparition de la fièvre
B. L’apparition du sang dans les selles
C. L’apparition de vomissements incoercibles
D. La persistance de la diarrhée
E. L’incapacité à s’alimenter

A-B-C-E

NB : revenir à J7 si diarrhée persistante.

9. La prise en charge de la diarrhée aigue compliquée de déshydratation modérée chez le


nourrisson comporte:
A- L’arrêt de l’allaitement maternel et le recours à un lait antidiarrhéique
B- Le recours aux sels de réhydratation orale
C- Le maintien de l’allaitement maternel
D- La dilution du lait pour augmenter les apports hydriques
E- Le recours systématique aux antibiotiques

B-C

2- Tous les symptômes suivants orientent vers une déshydratation aigue tableau C sauf un,
lequel :
A- Une tachycardie
B- Une hypotension
C- Une perte pondérale inférieure à 10%.
D- Une polypnée
E- Des troubles de conscience.

Cas clinique n°3:


Vous recevez aux urgences le nourrisson Zaid âgé de 22 mois, ramené par ses parents pour
une altération de l’état général faisant suite à 3 jours de vomissements alimentaires et de
diarrhée glairo- sanglante dans un contexte de fièvre non chiffrée. Pas d’antécédents
particuliers.

16. Quel est le diagnostic le plus probable ? Une seule réponse est juste :
A. Infection urinaire.
B. Invagination intestinale.
C. Appendicite aigue.
D. Gastroentérite bactérienne.
E. Gastroentérite virale.

Zaid présente à l’examen clinique une faiblesse avec hypotonie, des yeux très enfoncés et un
pli cutané persistant. Son état hémodynamique est stable (TA et TRC sont corrects).

17. Zaid a : Une seule réponse est juste :


A. Déshydratation tableau C.
B. Déshydratation tableau B.
C. Choc hypovolémique.
D. Tableau de méningite.
E. Aucune réponse n’est juste.

18. Sa prise en charge consiste en: une ou plusieurs réponses sont possibles :
A. Traitement en ambulatoire.
B. Hospitalisation nécessaire.
C. Réhydratation intraveineuse.
D. Antibiothérapie après bilan infectieux.
E. Remplissage massif par le sérum salé.

B-C-D

NB : on va privilégier le remplissage par sérum glucosé 5%

19. La surveillance de Zaid sous traitement est basée sur :


A. Surveillance des pertes digestives.
B. Surveillance des signes de déshydratation.
C. Surveillance de la saturation.
D. Surveillance de la diurèse.
E. Seule la réponse C est juste.

A-B-D

Rania a 14 mois, elle pèse 8 kg, sa température est à 37,5°C. Sa mère dit qu’elle a la diarrhée
depuis trois semaines. Cette fillette n’a pas de signe général de danger, n’a pas de sang dans
les selles, est irritable durant l’examen, n’a pas les yeux enfoncés, boit avidement, et a un pli
cutané qui s’efface immédiatement.
31. Choisir les classifications pour la diarrhée de Rania :
A. DHAsévère
B. DHA modérée
C. Diarrhée persistante sévère
D. Diarrhée persistante
E. Dysenterie

BC

NB : on parle de diarrhée persistante entre 14 jours et 1 mois. Une diarrhée est considérée chronique
au-delà d’un mois.
NB : Diarrhée persistante sévère car signe de sévérité = DHA modérée

II. La malnutrition chez l’enfant

Parmi les complications de la malnutrition du nourrisson, on note :


A- Une mortalité en cas de pathologie intercurrente
B- Des Infections broncho-pulmonaires
C- Une hypothermie
D- Une hypocalcémie
E- Aucune réponse n’est juste

A-B-C-D

Cas clinique
Un nourrisson de 11 mois est vu pour une hypotrophie. Il a été allaité exclusivement au sein
jusqu’à l’âge de 2 mois puis mis au lait de vache dilué de moitié à raison de 4 biberons par
jour. L’examen retrouve un nourrisson en mauvais état général, affamé avec des signes
d’amaigrissement important, visage Veillot, sans œdèmes aux pieds, sans troubles de
phanères.

9. Devant ce tableau de malnutrition aigüe, vous retenez en faveur du marasme deux signes
parmi les suivants :
A. L’âge de l’enfant
B. Les signes d’amaigrissement important
C. L’absence d’œdème
D. La durée de l’allaitement maternel exclusif
E. Le mauvais état général

BC

10. Relevez parmi les suivantes la complication qui peut engendrer le pronostic vital les
premiers jours du démarrage du programme de réhabilitation nutritionnelle :
A. L’hypoglycémie
B. L’hypokaliémie
C. L’insuffisance cardiaque
D. Les Parasitoses Intestinales
E. L’infection

10) Rachid nourrisson âgé de 10 mois consulte pour diarrhée chronique évoluant depuis
quatre mois. L’évaluation de l’état nutritionnel de rachid repose sur :
a) L’évaluation des indicateurs anthropométriques
b) L’ionogramme sanguin
c) L’ECBU
d) La recherche de signes cliniques de marasme
e) La recherche de signes cliniques de kwashiorkor

ADE

11) Parmi les indicateurs anthropométriques suivants lequel vous retenez pour le diagnostic
de la malnutrition aigüe chez rachid
a) L’indicateur poids/taille
b) L’indicateur poids /âge
c) L’indicateur de masse corporelle IMC
d) L’indicateur Taille /âge
e) Le périmètre brachial

14) Chez cet enfant en état de malnutrition sévère vous préconisez un programme de
dénutrition.
Ce programme comporte en phase aigüe des trois premiers jours
a) La correction et la prévention de l'hypoglycémie
b) La correction et la prévention de l'hypokaliémie
c) La correction et la prévention de l'hypothermie
d) La correction et la prévention de l’infection
e) La correction et la prévention de la carence en fer apres prise du poids

ABCD

NB : Ne pas donner de fer durant la phase initiale ++

III. Rachitisme

244- Le rachitisme carentiel commun se manifeste chez les nourrissons par :


A- des convulsions
B- des pneumopathies récidivantes
C- une hypertonie musculaire
D- un laryngospasme
E- une polyglobulie

A-B-D

245-Le rachitisme carentiel commun est caractérisé biologiquement par :


A- une hypocalcémie
B- une hyperphosphorémie
C- un taux de phosphatases alcalines élevé
D- une baisse de la 25(OH)D3
E- une thrombopénie

ACD

246- Les signes osseux du rachitisme carentiel commun comprennent :


A- un retard de fermeture de la fontanelle antérieure
B- des nouures épiphysaires
C- un craniotabès
D- un pectus excavatum
E- une craniosténose

A-B-C

247-Les causes du rachitisme carentiel commun sont :


A- un manque d’exposition solaire
B- une absence de prophylaxie de la vit D
C- une insuffisance hépatique chronique
D- une prématurité
E- une insuffisance rénale

A-B-D

248- Les manifestations extra-osseuses du rachitisme carentiel commun se caractérisent par :


A- une hyperlaxité ligamentaire
B- un retard staturo-pondéral
C- Des broncho-pneumopathies à répétition
D- une hypertonie musculaire
E- des convulsions

A-B-C-E

249- La prophylaxie du rachitisme carentiel commun est basée sur :


A- l’administration de vit D
B- l’adjonction de calcium
C- la supplémentation en phosphore
D- l’exposition au soleil
E- l’administration de fer

A-D

250- devant un rachitisme vitamino-résistant les étiologies à évoquer sont :


A- une affection hépatique chronique cholestatique
B- une chondrodysplasie
C- un diabète sucré
D- une insuffisance rénale chronique
E- une diarrhée par malabsorption

ADE

NB : étiologies de rachitisme vitamino resistant = IR, hépatopathie (cholestase chronique),


malabsorption digestive

251- Les signes biologiques retrouvés au cours du rachitisme carentiel commun sont:
A- une anémie hypochrome microcytaire
B- une calciurie augmentée
C- une calcémie basse
D- une phosphorémie normale
E- des phosphatases alcalines diminuées

A-C-D

Pr ABILKASSEM

I. Allaitement maternelle

14- Par rapport au lait de vache, le lait maternel contient :


A- Une charge osmolaire rénale inférieure à celle du lait de vache
B- Une valeur calorique similaire à celle du lait de vache
C- Contient moins de caséine par rapport au lait de vache
D- Est dépourvu de bêta lactoglobulines
E- Le rapport Ca/ph est égal à 2

A-B-C-D-E

15-Dans la composition du lait maternel :


A- Les glucides sont représentés par le lactose exclusivement
B- Il y a autant de caséine que de protéines solubles
C- Les acides gras essentiels sont absents
D- Les Immunoglobulines A son présents
E- Le fer sérique est en quantité insuffisante

D-E

16- Les contre-indications définitives de l’allaitement maternel sont :


A- L’abcès du sein
B- La phénylcétonurie
C- L’hypogalactie
D- La galactosémie congénitale
E- L’infection à VIH chez la mère

D-E

17- L’allaitement maternel est un excellent moyen d’alimentation du nourrisson, il :


A- ne nécessite pas de supplémentation vitaminique D
B- est dangereux en cas d’incompatibilité foeto-maternelle rhésus
C- est contre indiqué en cas de galactosémie congénitale
D- est un moyen contraceptif au cours des 6 premiers mois si allaitement exclusif
E- prévient le risque allergique

CDE

18- La composition du lait maternel est caractérisée par:


A- une richesse en acide linoléique
B- une teneur suffisante en vitamine D
C- un rapport calcium/phosphore égal à 2
D- une faible teneur en fer
E- Une richesse en lactose

A-C-D-E
19- Le lait maternel :
A- A une composition variable durant le 1 er mois
B- Se distingue par un rapport phosphocalcique inférieur à 2
C- Contient du fer en quantité suffisante
D- Contient des oligosaccharides
E- Ne contient pas de dextrine maltose

A-D-E

NB : Le fer est contenu en quantité insuffisante dans le lait maternelle

20- Le lait maternel se distingue du lait de vache par :


A- Sa richesse en sucre
B- Sa richesse en fer
C- L’absence de bêta lactoglobulines
D- Sa faible teneur en sels minéraux
E- Sa valeur nutritive plus élevée

A-C-D-E

II. Puberté précoce

2. La puberté précoce est caractérisée par :


A. Définit par apparition des caractères sexuels secondaires avant l’âge de 8 ans chez la fille.
B. Est souvent d’origine idiopathique chez la fille
C. Elle entraine un risque de petite taille finale.
D. Une IRM hypothalamo-hypophysaire est demandée si cause périphérique est suspectée.
E. Seule la réponse A est juste.

A-B-C

1- A PARTIR DE QUEL ÂGE PARLE T’ON DE PUBERTÉ PRÉOCE?

A) Avant 8 ans chez la fille


B) Avant 10,5 ans chez la fille
C) Avant 9 ans chez le garçon
D) Avant 12 ans chez le garçon
E) Avant 8 ans chez la fille et le garçon
A-C

NB : puberté précoce =
- Avant 8 ans chez la fille
- Avant 9/10 ans chez le garçon

2- QUEL EST LE PREMIER SIGNE CLINIQUE DE PUBERTÉ CHEZ LA FILLE?

A) Le développement des seins


B) L’apparition d’une pilosité pubienne
C) L’apparition d’une pilosité axillaire
D) L’apparition des règles
E) L’accélération de la vitesse de croissance

3- QUEL EST LE PREMIER SIGNE CLINIQUE DE PUBERTÉ CHEZ LE GARÇON?

A) L’augmentation de volume des testicules


B) L’augmentation de taille de la verge
C) L’apparition d’une pilosité pubienne
D) La mue de la voix
E) L’apparition d’une pilosité faciale

4- LA PUBERTÉ PRÉCOCE CENTRALE

A. Est plus fréquente chez la fille


B. Est plus grave chez le garçon
C. Est toujours liée à une tumeur cérébrale
D. Est toujours idiopathique chez la fille
E. Nécessite toujours un traitement freinateur

A-B

5- COMMENT EXPLORER UNE PUBERTÉ PRÉCOCE CENTRALE

A. Inutile d’explorer, il faut traiter sans attendre


B. LH, FSH, E2,testosterone de base
C. Test HCG
D. Test LHRH

B-D

6- QUELLES PATHOLOGIES PEUVENT DONNER UNE PUBERTÉ PRÉCOCE CENTRALE

A. Un gliome des voies optiques


B. Une hydrocéphalie chronique
C. Un hamartome hypothalamique
D. Un kyste arachnoïdien
E. Un ATCD de méningoencéphalite

A-B-C-D-E
IV. Retard Statural :

3. Le retard statural est caractérisé par :

A. Est définit par une taille inférieure à – 2 déviations standards (DS).


B. Un décalage par rapport à la taille cible parentale d’au moins 4 DS.
C. Une pathologie chronique est à éliminer.
D. Une cause centrale est à rechercher en cas de syndrome d’hypertension intracrânienne.
E. Aucune réponse n’est juste.

A-C-D

NB : les maladies chroniques responsables de retard staturo-pondéral : Maladies rénales,


cardiopathies, maladies pulmonaires, hépatiques, métaboliques, hématologiques…

NB : Un décalage par rapport à la taille cible parentale d’au moins 1,5 DS

1-Parmi les examens suivant lesquels peut-on demander devant un retard


statural :
A) une radio de poignet (âge osseux)
B) un hémogramme
C) Ferritinémie
D) Ac antitransglutaminase IgA
E) un dosage de T3, T4, TSH

ABCDE

2-L’âge osseux est inférieur à l’âge statural dans les cas de retard de croissance
dû à :
A) une maladie cœliaque
B) une hypothyroïdie congénitale
C) Un déficit en hormone de croissance
D) une anomalie chromosomique
E) une petite taille constitutionnelle

ABC

3-Devant un retard statural il faut rechercher :


A) une hypothyroïdie
B) une hypersécrétion d’hormone de croissance
C) un retard de croissance intra-utérin
D) une petite taille constitutionnelle
E) une maladie cœliaque

A-C-D-E

4-Parmi les signes suivants, lesquels évoquent une hypothyroïdie congénitale à la naissance :
A) une dissociation entre le poids et la taille à la naissance
B) une absence de points d’ossification sur une radiographie du genou
C) un ptérygium coli
D) un retard d’émission du méconium
E) Fontanelle antérieure large

A-B-D-E

5-Une hypothyroïdie congénitale par Agénésie de la thyroïde se caractérise


par :
A) des taux de T3 et T4 bas
B) des taux de TSH toujours bas
C) des manifestations cliniques précoces
D) un âge osseux retardé
E) un traitement substitutif jusqu’à la fin de la croissance

A-C-D

NB : le traitement substitutif de l'hypothyroïdie congénitale est à prendre à vie.

6-Les signes de l’hypothyroïdie congénitale sont :


A) une discordance entre poids et taille à la naissance
B) une fontanelle antérieure fermée à la naissance
C) une macroglossie
D) une constipation
E) un ictère prolongé

A-C-D-E

7-Dans l’hypothyroïdie du nourrisson


A) la taille est normale
B) une prise pondérale
C) la constipation est fréquente
D) T4 et T3 sont augmentées
E) l’âge osseux est normal

B-C

8-Les éléments qui orientent vers l’hypothyroïdie sont :


A) un ictère néonatal qui se prolonge
B) une fontanelle antérieure large
C) un retard d’apparition des points d’ossification à la radio du genou
D) un taux de T3, T4 élevé et taux de TSH bas
E) un ralentissement de la vitesse de croissance

A-B-C-E

NB : lors de l'hypothyroïdie : T3 et T4 bas avec TSH élevée (rétrocontrôle)

9-En faveur du déficit en hormones de croissance, on retient :


A) les malaises hypoglycémiques
B) le micropenis
C) la vitesse de croissance ralentie
D) un âge osseux égal à l’âge chronologique
E) un pic d’hormone de croissance est inférieur à 10 ng/ml après deux tests de stimulation

A-B-C-E
10-Dans le déficit par hormone de croissance
A) le visage peut être poupin
B) Le diagnostic du déficit repose sur l’insuffisance ou l’absence de sécrétion de GH sous stimulation
C) la macroglossie est fréquente
D) la recherche d’une lésion hypophysaire par TDM ou IRM est la règle
E) l’âge osseux est normal

A-B-D

11-Les arguments en faveur d’une petite taille constitutionnelle sont :


A) L’existence de petite taille familiale
B) L’absence d’anomalies à l’examen clinique
C) Une vitesse de croissance normale pour l’âge
D) Une taille de l’enfant correspond à la taille cible familiale
E) Un âge osseux compatible avec l’âge chronologique

A-B-C-D-E

NB : Âge chronologique = âge civil. Age osseux = niveau de maturation des os. Âge statural = âge
par rapport aux courbes de croissances normales. Taille cible = calcul

12- Le syndrome de Turner est évoqué :


A) chez une fille de petite taille
B) RCIU à naissance
C) Devant un caryotype 45XO
D) Pterygium colli
E) Thorax élargi

A-B-C-D-E

13- Quels diagnostics doivent vous faire évoquer l’association d’un ralentissement de la VC et
d’une prise de poids ?
A. Hyperthyroïdie
B. Erreurs diététiques.
C. Hypercorticisme.
D. Diabète insulinodépendant
E- Hypothyroïdie

CE

NB : les erreurs diététiques ne vont pas faire ralentir la VC (vitesse de croissance)

14- Sur quels signes évoquez-vous un déficit en GH chez un enfant présentant un retard
statural ?
A. Hypoglycémie néonatale.
B. Micropénis.
C. Retard pubertaire simple.
D. Syndrome polyuropolydipsique.
E. Incisive médiane unique.

A-B-D-E

143- Afin d’évaluer un retard statural, on doit procéder par :


A- le calcul de taille cible
B- l’allure de la courbe de croissance
C- la mesure de la vitesse de croissance
D- la détermination de l’âge osseux
E- l’étude des données du carnet de santé

A-B-C-D-E

144- Concernant la petite taille constitutionnelle :


A- L’examen clinique est normal
B- On trouve une petite taille familiale
C- La vitesse de croissance est normale pour l’âge
D- La taille de l’enfant correspond à la taille cible familiale
E- Age osseux est supérieur à l’âge chronologique

A-B-C-D

145- Au cours d’un hypercorticisme on trouve :


A- Une obésité
B- Un Hirsutisme
C- Un ralentissement statural associé à une prise pondérale.
D- Une frilosité
E- Retard intellectuel

A-B-C

V. Epilepsies et convulsions

1- Les convulsions occasionnels chez le nouveau-né peuvent être secondaire à :


A) une hypocalcémie
B) une hémorragie cérébro-méningée
C) une hypoglycémie
D) une hyponatrémie
E) une méningite purulente

A-B-C-D-E

2-Les convulsions du nouveau-né peuvent être :


A) d’origine métabolique : hypocalcémie
B) d’origine infectieuse : méningite
C) d’origine traumatique : souffrance néonatale
D) d’origine toxique : drogues administrées à la mère durant l’accouchement
E) ictère nucléaire

A-B-C-D-E

3- Parmi les Syndromes épileptiques du nouveau-né on retient :


A) Convulsions néonatales bénignes idiopathique dite du 5ième jour
B) Convulsions néonatales bénignes familiales .
C) Encéphalopathies épileptiques avec aspect de « suppression Burst » à l’EEG
D) syndrome de West
E) Épilepsie absence

A-B-C

NB : sd de west = nourrisson et epilepsie absence = enfant


4- Parmi les étiologies des crises convulsives du nourrisson, on retrouve :
A) les troubles métaboliques
B) le syndrome hémolytique et urémique
C) une méningite ou méningo-encéphalite
D) une Intoxication accidentelle ou iatrogène
E) un hématome sous dural

A-B-C-D-E?

5- Tout nourrisson admis pour un premier épisode de convulsion fébrile simple doit bénéficier
en premier lieu :
A) d’un traitement antipyrétique et anticonvulsivant ( Valium IR)
B) d’une radiographie du crâne de profil
C) d’une TDM des l’amélioration de l’état clinique
D) d’un EEG systématique
E) d’un traitement par valproate de sodium

NB : pour un épisode de convulsion fébrile simple pas d’examens complémentaires et pas de ttt de
fond!!

6- Le syndrome de West est caractérisé par:


A) Sa survenu chez le nourrisson
B) des spasmes épileptiques
C) Une régression psychomotrice
D) une hypsarythmie à EEG inter critique
E) Evolution toujours favorable

A-B-C-D

7- Concernant l’épilepsie absence infantile :


A- C’est la plus bénigne des épilepsies généralisées
B- Elle est caractérisée par des absences brève, a début et fin brusques
C- L’EEG montre des bouffées de pointes ondes à 3 HZ, généralisées
D- Son traitement est basé sur le phénobarbital
E- Comprend une régression psychomotrice

A-B-C

8- A propos des convulsions fébriles :


A. Elles surviennent entre l’âge de 3 mois et 5 ans
B. Elles peuvent être secondaires à toute maladie fébrile en dehors d’une infection du SNC
C. Elles sont toujours bénignes quelques soit la durée de la crise
D. L’étude du LCR est toujours pathologique
E. Elles peuvent avoir un caractère familial

A-B-E

Cas clinique n°2 :


Karim, âgé de 7 mois, est amené par ses parents qui sont inquiets car Il a présenté des
mouvements inhabituels, avec des contractions brusque, bilatérales et symétriques des
muscles du cou, du tronc et des membres (il se recroqueville sur lui-même, bras et jambe pliés
en avant). Ces épisodes se répètent par séries, plusieurs fois par jour. Son développement
semblait normal auparavant, mais depuis que ces épisodes ont commencé, Il a perdu la
poursuite oculaire ainsi que l’intérêt pour ses jouets de même que la capacité de s’asseoir
avec appui.

11. Quel est le diagnostic compatible ?


A. Epilepsie myoclonique bénigne du nourrisson
B. Spasme de sanglot
C. Convulsions néonatales idiopathique bénignes
D. Syndrome de West
E. Epilepsie absence

12. Quel(s) examen (s) réalisé(s) vous pour confirmer votre diagnostic ?
A- Electromyogramme (EMG)
B- Electroencéphalogramme (EEG)
C- Biopsie musculaire
D- Polysomnographie
E- IRM musculaire

13. quels sont les anomalie(s) attendue(s) à l’examen demandé ?


A. Ondes lentes et pointes lentes diffuses, asynchrone
B. Désorganisation du tracé de fond
C. Hypsarythmie
D. Bouffées de pointes ondes, généralisées, synchrones à 3 HZ
E. Pointes Centro-temporales sur fond normal

ABC

NB : connaître l’aspect de l’EEG du Sd de West : hypsarythmie = ondes lentes et pointes lentes


diffuses, asynchrones avec désorganisation du tracé de fond.

14. Quelles pathologies peuvent être en cause de cette maladie ?


A- Trisomie 21
B- Sclérose tubéreuse de Bournonville
C- Séquelles d’anoxie ischémie périnatal
D- Malformations cérébrales
E- Phénylcétonurie

ABCDE

15. Le traitement fait appel à :


A- Abstention thérapeutique
B- Antibiothérapies
C- Régime sans gluten
D- Vigabartin
E- Corticothérapie

DE

147 -Parmi les étiologies des convulsions du nouveau-né, on retrouve :


A- l’hypocalcémie
B- l’hypoglycémie
C- les convulsions fébriles
D- la méningite purulente
E- une hémorragie cérébrale

A-B-D-E

NB : on retrouve des convulsions fébriles surtout chez le nourrisson!

149- Parmi les étiologies des crises convulsives fébriles chez le nourrisson on retrouve :
A- une infection urinaire
B- un exanthème subit
C- une infection ORL
D- une méningite
E- une diarrhée à germes invasifs

ABCE

NB : Dans les crises convulsives fébriles chez le nourrisson on retrouve des infections qui n’atteignent
pas le SNC

151- Tout nourrisson admis pour un premier épisode de convulsion fébrile doit bénéficier en
premier lieu :
A- d’une ponction lombaire
B- d’un traitement antipyrétique et anticonvulsivant
C- d’une radiographie du crâne de profil
D- d’une TDM des l’amélioration de l’état clinique
E- d’un EEG systématique

152- Dans les convulsions fébriles


A- une méningite peut être retrouvée
B- une infection urinaire peut être retrouvée
C- le risque de récurrence est fréquent
D- l’EEG est indispensable
E- un traitement prophylactique à base de phénobarbital est souvent prescrit

B-C

NB : Attention : convulsions fébriles (pas d'atteinte du SNC) ≠ convulsions avec fièvre (atteinte du
SNC ou pas)

153- Chez le nourrisson, plusieurs étiologies peuvent être à l’origine des crises convulsives
A- la fièvre d’installation brutale
B- une HTA
C- des troubles métaboliques
D- un hématome sous dural
E- les méningites ou les méningo-encéphalites

A-B-C-D-E

154- A propos des crises convulsives fébriles simples :


A- la PL est pathologique
B- l’étiologie est souvent infectieuse ORL ou urinaire
C- surviennent souvent entre 3mois et 5 ans
D- le risque de récurrence est de 25 % pour la 2ème crise
E- un traitement préventif continu par le phénobarbital est prescrit
B-C-D

155- Parmi les Syndromes épileptiques du nouveau-né on retient :


A- Convulsions néonatales bénignes familiales et non familiales
B- Encéphalopathies épileptiques avec aspect de « suppression Burst » à l’EEG
C- syndrome de West
D- Épilepsie absence infantile
E- Epilepsie myoclonique juvénile

A-B

156- Le syndrome de West est caractérisé par


A- une épilepsie du nourrisson
B- des spasmes épileptiques
C- Une régression psychomotrice
D- une hypsarythmie à EEG inter critique
E- une convulsion atonique

A-B-C-D

157- Le premier geste que vous effectuez chez un nouveau né qui convulse est :
A- Glycémie
B- Dosage de la calcémie
C- EEG
D- Ponction lombaire
E- Aucun de ces examens

158- Tous ces critères sauf un, définissent les convulsions fébriles simples, lequel ?
A- Durée inférieur à 5 minutes
B- Crise tonico-clonique généralisée
C- Crise convulsive hémi corporelle
D- Retour rapide d’une conscience normale
E- Survenue chez un nourrisson de 16 mois

159- Concernant l'épilepsie absence infantile :


A- C’est la plus bénigne des épilepsies généralisées
B- Elle est caractérisée par des absences brève, a debut et fin brusques
C- L’EEG montre des bouffées de pointes ondes à 3 HZ, généralisées
D- Son traitement est basé sur le phénobarbital
E- Comprend une régression psychomotrice

A-B-C

Pr Toughza

I. Leucémies aiguës de l’enfant

Cas clinique 1:
Karima, jeune fille, âgée de 8 ans, consulte aux urgences pédiatriques pour des taches
purpuriques au niveau des membres inférieurs. Depuis un mois, Karima est fatiguée et se
plaint de douleurs articulaires. Son examen clinique trouve une pâleur cutanée et
conjonctivale, une fièvre à 39°c, un purpura pétéchial au niveau des membres inférieurs et du
thorax et des adénopathies cervicales et inguinales. L’examen de l’abdomen trouve une
splénomégalie.

24- Chez Karima le diagnostic à évoquer en premier est :


A- Un purpura fulminans
B- Une aplasie médullaire
C- Un rhumatisme articulaire aigu
D- Une leucémie aigue
E- Un purpura thrombopénique immunologique

25- Le ou les examen(s) paraclinique (s) à demander en 1ère intention est (sont) :
A- Une ponction lombaire avec étude bactériologique
B- Une biopsie ostéo- médullaire (BOM)
C- Les ASLO (anticorps antistreptolysine O)
D- Un hémogramme + Frottis
E- Les anticorps anti- plaquettes

26- Les anomalies du bilan paraclinique attendues ou probables chez Karima sont :
A- Une hyperalbuminorrachie à l’étude du LCR
B- Une moelle osseuse désertique à la BOM
C- Une neutropénie
D- Une hyperleucocytose
E- Une thrombopénie

C-D-E

27- L’examen à faire pour confirmer le diagnostic est :


A- Une recherche des anticorps solubles dans le LCR (liquide céphalo-rachidien)
B- Un caryotype à la recherche d’une instabilité chromosomique
C- Une échocardiographie
D- Une échographie abdominale
E- Un myélogramme

28- Votre diagnostic est retenu, la prise en charge est :


A- Une antibiothérapie urgente avec un remplissage vasculaire
B- Une transfusion sanguine
C- Une corticothérapie
D- Une chimiothérapie
E- Des immunoglobulines polyvalentes.

12- Dans la leucémie aigüe lymphocytaire (LAL) :


A. Il peut exister un syndrome hémorragique
B. Les douleurs osseuses peuvent être révélatrices
C. L’anémie est régénérative
D. La neutropénie est constante
E. Il existe plus de 25 % de cellules blastiques dans le médullogramme

A-B-E

NB1 : Le pourcentage de blastes, doit, par définition, être supérieur à 20 % pour les leucémies aiguës
myéloïdes (LAM) et supérieur à 25 % pour les leucémies aiguës lymphoblastiques (LAL).

NB2 :Il existe un nombre variable de leucocytes à l'hémogramme (normal, diminue ou augmente : cas
de la LA avec hyperleucocytose → mauvais pc)

II. Anémies de l’enfant

Cas clinique n°1 :


Ali, 3 ans arrive aux urgences avec ses parents pour une asthénie avec une pâleur
cutanéomuqueuse. A l’examen clinique, Ali présente une splénomégalie à 4 cm, une
dysmorphie faciale et un retard staturopondéral à -1 Dérivation standard sur le poids et la
taille. Au bilan sanguin : Hémoglobine 6g/dl, VGM= 60 fl, CCMH= 28 g/dl, réticulocytes 120 G/L,
Globules blancs = 7000/mm3, plaquettes= 200 000/mm3.

6. Quels sont les diagnostiques les plus probables?


A. Thalassémie
B. Leucémie aigue lymphoblastique
C. Aplasie médullaire
D. Drépanocytose
E. Anémie par carence martiale

A-B

NB : Anémie par carence martiale est arégénérative alors qu’ici → régénérative (taux de réticulocyte
normal) → penser à la thalassémie

7. Quels bilans faites-vous pour avancer dans votre raisonnement diagnostic ?


A. Ferritine sanguine
B. Myélogramme
C. Electrophorèse de l’hémoglobine
D. CRP
E. Bilan hépatique

A-C

Les résultats du bilan montrent une ferritine sanguine à 50 ng/ml (normes : 7 et 140 ng/ml).
L’électrophorèse de l’hémoglobine montre: Hb A = 33 % Hb F =60 % Hb A2 = 7 %

8. Quel est votre diagnostic le plus probable?


A. Thalassémie
B. Leucémie aigue lymphoblastique
C. Aplasie médullaire
D. Drépanocytose
E. Anémie par carence martiale

9. Quelles sont les possibilités thérapeutiques que vous allez expliquer aux parents de ALI ?
cochez les réponses justes
A. Traitement transfusionnel
B. Traitement chélateur de fer.
C. La splénectomie
D. L’allogreffe de cellules souches hématopoïétiques
E. L’hydroxyurée

ABCDE

10. Les syndromes thalassémiques sont :


A. Des maladies héréditaires de l’hémoglobine
B. Une diminution ou l’absence de production de l’une des chaînes de globine normales
C. Caractérisés d’une baisse de production de l’hémoglobine normale
D. Le diagnostic est évoqué sur des arguments cliniques et confirmé par l’électrophorèse de
l’hémoglobine
E. Aucune réponse n’est juste

A-B-C-D

8- L’anémie ferriprive se caractérise biologiquement par :


A. Un coefficient de saturation diminuée
B. Un Fer sérique élevée.
C. Une capacité totale de fixation de la transferrine élevée
D. Une anémie hypochrome microcytaire
E. Une ferritine sérique élevée.

A-C-D

III. Purpura de l’enfant

17. A propos du purpura chez l’enfant :


A- La thrombopénie est périphérique dans le purpura thrombopénique immunologique
B- Dans le purpura rhumatoïde la thrombopénie est profonde
C- Un purpura extensif fébrile fait craindre le purpura fulminans
D- Un purpura dans un contexte fébrile fait évoquer une leucémie aigue
E- La corticothérapie est toujours indiquée

A-C-D

NB : Dans le purpura rhumatoïde, les plaquettes sont normales.

10- Quelles sont les complications digestives à craindre chez l’enfant atteint de
purpura rhumatoide?
A- Invagination intestinale aigue
B- Gastrite à Hélycobacter Pylori
C- Gastrite pétéchiale écchymotique
D- Pancréatite aigue
E- Vascularite intestinale

AC
11- Au cours d’un purpura thrombopénique idiopathique (PTI), le myélogramme
montre :
A. Une absence de mégacaryocytes.
B. Une aplasie médullaire.
C. Une infiltration par des cellules anormales.
D. Une moelle osseuse normale
E. Une mégaloblastose

NB : Le PTI = atteinte périphérique donc myélogramme normal ++

IV. Cancer de l’enfant

3. A propos des cancers de l’enfant :


A- Le nouveau-né est épargné
B- La leucémie aiguë est le cancer le plus fréquent
C- La chimiothérapie est une arme thérapeutique essentielle
D- Le pronostic est bon chez l’enfant de moins de 1an
E- Le bilan d’extension est nécessaire

A-B-C-E

Pr ADNANE

I. Tuberculose chez l’enfant

Cas clinique n°5 :


A.A, nourrisson de 10 mois, admis dans un tableau de détresse respiratoire fébrile.
Début progressif, il y a un mois par fièvre, refus de téter, toux.
Amélioration discrète sous betalactamines plus macrolides
Examen, nourrisson conscient, fébrile à 39°c, FR à 60 cycles, tirage sous costal, râles
ronflants et crépitants, splénomégalie, fontanelle antérieure non battante.

25. A ce stade quel est le diagnostic le plus probable :


A. Staphylococcie pleuropulmonaire.
B. Pneumonie bactérienne pyogène.
C. Une tuberculose pulmonaire.
D. Kyste hydatique pulmonaire.
E. Abcès pulmonaire.

26. Comment confirmer le diagnostic :


A. Hémoculture
B. Bk tubages
C. IDR à la tuberculine/ Quantiferon.
D. Sérologie hydatique.
E. TDM thoracique/ Bronchoscopie

B-C-E
27. Quelle est votre conduite thérapeutique :
A. Traitement antibiotique à large spectre
B. Traitement anti bacillaire 2RH /4RH pendant 6 mois.
C. Drainage pleural
D. Corticothérapie orale
E. Traitement antiparasitaire

6- La primo-infection tuberculeuse :
A- Est toujours symptomatique chez le nourrisson.
B- Est souvent basillifère (présence BK+++)
C- Est toujours patente
D- Elle impose une enquête familiale.
E- Le traitement anti bacillaire comporte 4 antibacillaires pendant 6 mois.

DE

14. La primo-infection tuberculeuse patente se manifeste chez le nourrisson par :


A- Une cassure de la courbe pondérale
B- Des tests tuberculiniques positifs
C- Des adénopathies médiastinales à la radio pulmonaire
D- Une pneumopathie persistante
E- Des signes d’imprégnation tuberculeuse

ABCDE

Cas clinique 2:
Vous recevez dans la soirée de votre garde aux urgences Rayan, 5 mois et demi qui
présente depuis le matin une toux qui est devenue plus intense l’empêchant de
s’alimenter. L’anamnèse révèle la notion de rhinorrhée depuis deux jours ; L’examen
clinique, note un discret tirage intercostal. La température = 38°C, L’auscultation
pulmonaire retrouve quelques râles ronflants et de très discrets sibilants bilatéraux et
symétriques. L’examen cardiaque est sans particularités. L'examen neurologique est
normal.

29- Quel est le diagnostic à retenir ?


A- Bronchiolite
B- Primo-infection tuberculeuse
C- Coqueluche
D- Myocardite virale
E- Staphylococcie pleuropulmonaire

30- Parmi les manifestations radiologiques suivantes lesquelles corroborent votre


diagnostic :
A- Pleuro-pneumopathie
B- Cardiomégalie
C- Distension thoracique
D- Absence d’élargissement médiastinale
E- Foyer systématisé avec broncho gramme aérique.

CD
II. DIP & VIH

5- Le traitement antirétroviral en cas de VIH chez l’enfant :


A- Repose sur la trithérapie associant 3 antirétroviraux.
B- Souvent bien tolère
C- Très efficace
D- Est démarré des diagnostics confirme
E- Est démarré seulement en cas d’immunodépression sévère.

ABCD

Pr Arrab

I. Fièvre aiguë

4. Une fièvre aigue chez l’enfant :


A. Se définit par une température supérieure à 37°C depuis moins de 5jours chez le nourrisson.
B. Se définit par une température supérieure à 37°C depuis plus de 7 jours chez l’enfant.
C. Se définit par une température supérieure à 37°C depuis plus de 5 jours chez le nourrisson
D. Se définit par une température supérieure à 37°C depuis moins de 7 jours chez l’enfant.
E. Aucune de ces propositions.

A-D

96- Les critères de gravité d’une fièvre chez l’enfant sont


A. Un faciès vultueux
B. Une anxiété
C. Des cris vigoureux
D. Une hypotonie
E. Des marbrures

BDE

97- Les étiologies de la fièvre aigue chez l’enfant comprennent


A. Méningite purulente
B. Pyélonéphrite aigue
C. Cystite
D. Otite
E. L’exanthème subit

ABDE
98- Les complications de la fièvre aigue sont :
A. Les convulsions
B. La dénutrition
C. La Déshydratation aigue
D. L’hyperthermie majeure
E. Les douleurs articulaires

ACD

99- Le traitement de la fièvre aigue préconise de :


A. Faire boire l’enfant fréquemment
B. Habiller l’enfant chaudement
C. Donner du paracétamol
D. Fermer portes et fenêtres
E. Donner en association acide acétyle salicylique et ibuprofène

AC
NB : la monothérapie est la règle ++

II. Insuffisance cardiaque

22- Quelle est la triade clinique qui définit I ’insuffisance cardiaque chez le nourrisson
A- Hépatomégalie, tachycardie et tachypnée
B- Hépatomégalie, tachycardie et œdèmes
C- Hépatomégalie, tachycardie et turgescence des veines jugulaires
D- Hépatomégalie, tachycardie et cardiomégalie
E- Hépatomégalie, tachycardie et prise de poids

23- Le diagnostic différentiel de l’insuffisance cardiaque est :


A. Une dyspnée laryngée
B. Une bronchiolite
C. Une coqueluche
D. Un asthme du nourrisson
E. Une Staphylococcie pleuropulmonaire.

223-Les signes cliniques caractérisant une insuffisance cardiaque aigue sont :


A- Tachypnée
B- Tachycardie
C- Bruit de galop
D- Hépatomégalie
E- Collapsus cardiovasculaire

ABCDE

224-Les signes d’orientation d’une de l’insuffisance cardiaque subaigüe chez un


nourrisson sont :
A- Des dyspnées lors des tétés
B- Une stagnation pondérale
C- La présence d’un souffle
D- Une cyanose réfractaire à l’oxygène
E- Une hépatomégalie

ABCDE

225-L’index cardio-thoracique(ICT) chez l’enfant évoque une cardiomégalie si :


A- ICT = 0,50 chez le nouveau-né
B- ICT > 0,65 chez le nouveau-né
C- ICT > 0,55 chez le nourrisson
D- ICT < 0,50 chez le nourrisson
E- ICT > 0,45 chez l’enfant

BCE

226-Au cours d’une insuffisance cardiaque, l’électrocardiogramme permet de relever :


A- Signes de surcharge ventriculaires
B- Troubles de repolarisation
C- Troubles du rythme cardiaque
D- Signes d’ischémie
E- Les anomalies de la tension artérielle

ABCD

227-L’Echocardiographie a pour intérêt


A- Comprendre le mécanisme de l’insuffisance cardiaque
B- Mesurer les cavités cardiaques
C- Mesurer les paramètres de la fonction systolique
D- L’analyse des lésions anatomiques
E- Renseigne sur l’étiologie de l’insuffisance cardiaque

ABCDE

228-Un diagnostic parmi les suivants peut prêter à confusion avec une insuffisance
cardiaque :
A- Une dyspnée laryngée
B- Une bronchiolite
C- Une coqueluche
D- Un asthme du nourrisson
E- Une staphylococcie pleuropulmonaire (SPP)

229-Une insuffisance cardiaque cyanogène relève d’une étiologie, laquelle ?


A- communication inter ventriculaire ( CIV)
B- communication inter auriculaire (CIA)
C- Tétralogie de Fallot
D- canal artériel ( CA)
E- Coarctation de l’aorte

III. Éruptions fébriles

103- L’éruption de la rougeole :


A. débute par le visage
B. est accompagnée rarement de fièvre
C. gagne le corps de haut en bas
D. est accompagnée de catarrhe oculo-nasal
E. est faite d’éléments séparés par des intervalles de peau saine

ACDE

105- La varicelle :
A. est une éruption vésiculeuse
B. évolue par poussées successives
C. est prurigineuse
D. épargne le cuir chevelu
E. est suivie d’une desquamation fine

A-B-C

106-L’exanthème subit ou roséole infantile se manifeste par :


A. Une fièvre qui dure 3à 5 jours
B. Une éruption de type morbilliforme
C. Un catarrhe oculo-nasal
D. La survenue chez le nourrisson
E. L’apparition de l’éruption après chute de la fièvre

A-D-E

109- Dans la scarlatine


A- l’exanthème est marqué aux plis de flexion
B- La glossite est constante
C- La peau présente un aspect rugueux.
D- La desquamation se fait par de larges lambeaux
E- Les signes généraux sont peu marqués

A-B-C

Cas clinique
Un enfant âgé de 6 ans a consulté pour une éruption fébrile et dysphagie évoluant depuis 48
heures. A l’examen : état général conservé. La fièvre est à 39,7°C, FC : 140/minute, Poids : 15
kg, Eruption en nappes érythémateuses sans intervalle de peau saine, généralisée à
l'ensemble du corps, respectant les paumes et les plantes, plus marquée au niveau des plis.
Absence de conjonctivite. Une angine érythémato-pultacée. La langue est saburrale avec de
petites adénopathies cervicales et sous-angulo-maxillaires. Pas d’allergie médicamenteuse
connue.
25. Quel(s) est (sont) votre (vos) diagnostic(s) ?
A. Une Scarlatine Commune
B. Une maladie de Kawasaki
C. Une rougeole
D. Un exanthèm esubit(roséole)
E. Une réaction médicamenteuse

26. Quel(s)es examens complémentaires allez-vous demander afin de confirmer votre


diagnostic ?
A. Une C-Réactive protéine
B. Aucun bilan n’est nécessaire
C. Une biopsie cutanée
D. Une numération et formule sanguine
E. Une échographie des artères coronaires

27. Quelle est l'évolution de l'atteinte cutanéomuqueuse de cette affection ?


A. Aspect de langue framboisée du 4ème au 6ème jour
B. L’exanthème disparaît en 8 à 10 jours
C. Desquamation une semaine plus tard en doigts de gants
D. Régression immédiate de l’éruption après démarrage des antibiotiques
E. Eczématisation des lésions avec prurit intense

ABC

28. Quel sera votre conduite thérapeutique ?


A. Une hospitalisation
B. Un traitement antipyrétique
C. Une antibiothérapie à base d’amoxicilline
D. Une perfusion d’immunoglobulines
E. Un traitement par des antibiotiques en topique

BC

Pr Dini

I. Les polyarthralgies

5. A propos des étiologies des polyarthralgies de l’enfant :


A. Le RAA est à évoquer devant des polyarthrites migratrices et à traiter systématiquement par les
corticoïdes
B. La leucémie aigue est à évoquer systématiquement devant des polyarthralgies insomniantes
Avec altération de l’état général
C. La maladie de Fabry est une cause possible de polyarthralgie et relève d’un traitement
enzymatique substitutif
D. L’arthrite juvénile idiopathique dans sa forme systémique associe un syndrome tumorale,
une fièvre et des polyarthrites évoluant depuis au moins 6 semaines
E. Les polyarthralgies est une des manifestations extra digestives de la maladie de Crohn.

B-C-DE

Cas clinique n°: 4


Jalal âgée de 6 ans et demi , consulte pour des arthralgies fixes intéressant le genou gauche
évoluant depuis deux mois dans un contexte de fièvre.
Dans ses antécédents, pas de notion d’angines à répétition, parents consanguins au 2éme
dergré, vaccins à jour.
A l’examen clinique : état général conservé, conjonctives bien colorées température : 38° ;
boiterie à la marche ; rougeur, tuméfaction du genou gauche ; choc rotulien positif ; Pas de
viscéromégalie, aires ganglionnaires libres, examen cardio-pulmonaire : normal

20. Quels sont vos hypothèses diagnostics parmi les propositions suivantes ?
A- RAA
B- Arthrite chronique juvénile dans sa forme oligoarticulaire
C- Arthrite septique
D- Maladies de Fabry
E- Leucémie aigue
F- Pupura rhumatoide
B-C-D

21. Parmi les examens complémentaires, quel est le premier à demander chez cette patiente ?
A- Bilan rénal
B- Echocardiographie
C- Ponction articulaire
D- IRM genou
E- Scintigraphie osseuse

22. Sachant que cet examen a éliminé une origine infectieuse, quels sont les autres examens
complémentaires à demander parmi les suivants ?
A- NFS
B- VS
C- Examen ophtalmologique
D- Anticorps anti nucléaires
E- Protéinurie de 24h

ABCD

NB :
- AJI ⇒ oligoarthrite : atteinte oculaire (uveite), AAN élevés (70% des patients), VS
augmentée, NFS normale
- Maladie de Fabry : atteinte oculaire (depots corneens), déficit en alpha-galactosidase

23. Une fois votre diagnostic retenu, quelles sont les possibilités thérapeutiques ?
A- Antipyrétiques
B- AINS
C- Corticoïdes locaux en infiltration
D- Corticoïdes par voie générale
E- Antibiotiques

A-B-C

NB : les corticoïdes par voies générales sont réservés aux poussées grave d'arthrite systémique (AJI)
en cas de péricardite.

24. Le pronostic est lié à l’atteinte :


A- Cardiaque
B- Rénale
C- Neurologique
D- Multiviscérale
E- Oculaire

4. Les polyarthrites avec facteur Rhumatoïde positif de l’enfant :


A- Sont définies par l’atteinte d’au moins 5 articulations
B- Se caractérisent par des signes systémiques
C- Evoluent rapidement vers la destruction articulaire
D- Touchent les garçons dans 80% des cas
E- le risque majeur est l’atteinte oculaire
A-C

NB : Touche les filles à 80%

20- Quelles sont étiololgies pouvant être responsables de poly-arthralgies de l’enfant?


A- Le rhumatisme articulaire aigu
B- La leucémie aigue lymphoblastique
C- L’arthrite juvénile idiopathique
D- Le lupus érythémateux disséminé
E- Le rétinoblastome

A-B-C-D

13- A propos des poly-arthralgies de l’enfant, les éléments à rechercher pour


l’orientation du diagnostic sont :
A- L’âge et le sexe du patient
B- Le caractère inflammatoire ou mécanique de l’arthralgie
C- La présence de signes généraux
D- La présence de symptômes extra articulaires : signes cutanés et digestifs
E- Antécédents familiaux de pathologies auto-immunes, vascularite

A-B-C-D-E

A-C-D

NB : définition AJI : ensemble des arthrites sans causes reconnues débutant avant 16 ans et durant
plus de 6 semaines.

Lina, fillette de 3 ans, consulte pour une boiterie droite évoluant depuis 6 semaines dans un
contexte d’apyrexie. L’anamnèse retrouve la notion de dérouillage matinal et l’examen clinique
met en évidence une arthrite du genou et de la cheville droite.
12. Quelle sera votre conduite à tenir ?
A. Prescription d’une vitesse de sédimentation
B. Dosage des anticorps antinucléaires
C. Dosage du facteur rhumatoïde
D. Examen ophtalmologique à la lampe à fente
E. Ponction du liquide articulaire

A-B-D
NB : on soupçonne une oligoarthrite juvénile.

21. L’Oligo-arthrite
A- Est le plus fréquent des rhumatismes inflammatoires chroniques de l’enfant.
B- Touche les garçons plus que les filles
C- Touche souvent les grosses articulations
D- Nécessite la recherche systématique d’inflammation oculaire
E- S’accompagne de signes systémiques

ACD

II. Asthme de l’enfant

12. Le diagnostic d’asthme chez l’enfant est évoqué devant les manifestations suivantes :
A- Un accès de bradypnée inspiratoire
B- Une toux traînante à prédominance nocturne
C- Des bronchites à répétition
D- Une gêne respiratoire survenant lors des efforts
E- La notion d’un syndrome de pénétration

BCD

13. Le traitement de fond d’un asthme modéré repose sur :


A- La corticothérapie orale
B- L’éviction du tabagisme passif
C- La corticothérapie inhalée
D- Les béta-mimétiques de courte durée d’action
E- L’éviction des allergènes

B-C-E

NB : Traitement de fond = corticothérapie inhalée

16- Pour évaluer le control de l’asthme chez l’enfant, il faut vérifier la présence ou non les
items suivants:
A- Si Symptômes d’asthme transitoires la journée plus de 2 fois par semaine ?
B- Si réveil ou une toux nocturne liés à l’asthme ?
C- Si limitation d’activité à cause de son asthme ?
D- Si Besoin de BD plus de 2 fois par semaine ?
E- Aucune des propositions

ABCD

9- Les manifestations cliniques suivantes en faveur de l’asthme chez l’enfant sont :


A- Des sifflements bilatéraux plus important d’un coté
B- Une toux chronique de la 2ème partie de la nuit
C- Des bronchiolites à répétition
D- Une gêne respiratoire lors des efforts
E- Des laryngites à répétition

B-C-D

10- Parmi les moyens thérapeutiques de la crise d’asthme, vous retenez :


A- Oxygénothérapie
B- L’hydratation
C- Beta 2 adrénergiques par voie inhalée
D- L’antibiothérapie systématique
E- Les corticoïdes par voie inhalée

A-B-C

NB : Traitement de la crise d’asthme = Corticoïdes par voie orale.

Cas clinique
Un enfant âgé de 8 ans connu asthmatique, présente depuis un mois des sifflements diurnes 3
fois par semaine, une toux spasmodique nocturne 2 fois par semaine et des symptômes
quotidiens à l’effort.
A l’examen : FR = 70 cycles/min, tirage sous costal et intercostal, sibilants discrets peu
audibles, Sa02 : 89%
13. Cet enfant présente :
A. Un asthme léger
B. Un asthme partiellement contrôlé
C. Un asthme intermittent
D. Un équivalent d’asthme
E. Une exacerbation d’asthme sévère

14. Les arguments en faveur de votre(vos) diagnostic (s) sont :


A. La toux spasmodique nocturne
B. La FR=70c/min
C. Les sibilants discrets peu audibles
D. Les Sifflements 3 Fois Par Semaine
E. Sa02=89%

B-C-E

15. La prise en charge immédiate de cet enfant repose sur :


A. Une oxygénothérapie
B. Des corticoïdes inhalés
C. Des nébulisations d’adrénaline
D. Des tests cutanés allergologiques
E. Des nébulisations de B2 mimétiques

A-E

III. Les infections respiratoires basses

7- Les éléments en faveur d'une atteinte des voies respiratoires basses sont :
A- L’augmentation de la fréquence respiratoire
B- L’existence de signes de lutte
C- La présence d’anomalies à l’auscultation pulmonaire, diffuses ou localisées.
D- La présence d’un souffle cardiaque
E- Toutes les réponses sont justes

A-B-C

18- Les pneumopathies d’allure virale se distinguent des pneumonies bactériennes


par :
A- Leur début progréssif
B- Une atteinte associée des voies aériennes supérieures
C- Une opacité systématisée à la radiographie pulmonaire
D- Une polynucléose neutrophile à la NFS
E- L’absence de réponse aux antibiotiques

A-B-E

Question 1
Parmi les causes de dyspnée sifflante chez l’enfant figurent :
A. L’adénopathie médiastinale compressive
B. L’asthme
C. Les séquelles de viroses
D. Le corps étranger
E. La coqueluche

A-B-C-D

15- Parmi les causes de dyspnée sifflante chez l’enfant figurent :


A- Le corps étranger
B- L’asthme
C- La primo-infection tuberculeuse
D- Une dyskinésie ciliaire primitive
E- La coqueluche

Réponse : A-B-C-D
Un enfant de 6 ans a consulté pour une toux grasse évoluant depuis 4 jours précédée par une
rhinorrhée. A l’examen : Fr = 25 cycles par min. température = 38,3°C et ronchus diffus.
1. Le(s) diagnostic(s) le(s) plus probable(s) est ou sont :
A. Une pneumonie à pneumocoque
B. Une tuberculose pulmonaire
C. Une bronchite
D. Une bronchiolite virale
E. Une pneumonie à mycoplasme

2. La conduite à tenir chez cet enfant est :


A. Demander Une Radiographie Pulmonaire
B. Prescrire une antibiothérapie à base d'amoxicilline
C. Boissons abondantes
D. Faire une PCR mycoplasme
E. Prescrire une désobstruction nasale par une solution saline

C-E

IV. Les méningites purulentes

14- Le diagnostic de méningite purulente du nourrisson de moins de 8 mois est à


évoquer devant :
A- Une fièvre élevée constante.
B- Des troubles digestifs
C- Cris incessants
D- Une crise convulsive fébrile
E- Une raideur méningée

A-B-C-D

11- Un symptôme clinique parmi ces symptômes ne fait pas parti du syndrome méningé chez
le nourrisson. Lequel ?
A- Une fontanelle antérieure bombante.
B- Cri incessant.
C- Rejet de la tête en arrière.
D- Fièvre aigue rebelle au paracétamol
E- Une diarrhée aigue

Cas clinique 4 :

Un enfant de 8 ans admis pour fièvre, céphalées, vomissements et crises convulsives. La


symptomatologie évolue depuis 3 semaines. À l'examen, l’enfant est somnolent, fébrile et
présente une raideur méningée ainsi qu’un strabisme convergent.

36. À ce stade, quels sont vos hypothèses diagnostiques :


A. Tumeur cérébrale
B. Septicémie
C. Méningite purulente
D. Meningoencephalite herpetique
E. Méningo Encéphalite tuberculeuse

A-C-D-E

La TDM cérébrale montre une hydrocéphalie triventriculaire. La PL montre un liquide clair 420
elements , 80% lymphocytes 20% de polynucléaires, glycorachie à 0,25g/L protéinorachie à
2g/L, examen direct négatif et culture en cours. EEG normal.

37. À ce stade, quel est le diagnostic le plus plausible?


A. Tumeur cérébrale
B. Septicémie
C. Méningite purulente
D. Meningoencephalite herpetique
E. Méningo Encéphalite tuberculeuse

NB : On retient la tuberculose car liquide clair avec hyperalbuminorachie et hypoglycorachie. L'herpès


donne un liquide clair mais avec glycorachie normale.

Méningite bactérienne Méningite Virale Méningite tuberculeuse

- Liquide Purulent - Liquide clair - Liquide clair


- Prédominance PNN - Prédo. lymphocytaire - Prédo. lymphocytaire
- Hypoglycorachie - Glycorachie normale - Hypoglycorachie
- Hyperalbuminorachie - Albuminorachie - Hyperalbuminorachie
(>1g/L) légèrement augm

38. Quelle est votre conduite à tenir ?


A. Chirurgie
B. Remplissage
C. Antibiothérapie intraveineuse à dose méningée
D. Cycloviral intraveineux
E. Traitement anti-bacillaire 2RHZ/7RH pendant 9 mois

Un enfant de 10 ans est amené aux urgences en raison d’un état fébrile, des céphalées et des
vomissements évoluant depuis 48 heures. A l’examen clinique, il est conscient orienté, un bon
état hémodynamique, fébrile à 39°, pas taches purpuriques, mais présente une raideur franche
de la nuque, un Koernig et un brudzinski positifs, pas de déficit moteur, reflexes protomoteurs
normaux. Le reste de l’examen clinique est normal. L’anamnèse relève la prise d’antibiotiques
mais la mère n’a pas ramené l’ordonnance pour identifier l’antibiotique administré.
5. Entourez les propositions correctes :
A. Cet enfant présente un syndrome méningé fébrile
B. Une ponction lombaire s’impose en urgence
C. Une tomodensitométrie cérébrale préalable à la ponction lombaire est nécessaire
D. Une hospitalisation en soins intensifs est justifiée
E. Une encéphalite est probable chez cet enfant

A-B

La ponction lombaire a permis de retirer un LCR clair avec une cellurachie à 280/mm3
lymphocytaire à 85%, une protéinorachie à 0.8 g/l et une glycorachie à 0,38g/l. L’examen direct
négatif, la culture du LCR est en cours.
6. A ce stade vous évoquez :
A. Une méningite virale
B. Une méningite bactérienne décapitée
C. Une méningite purulente franche certaine
D. Une méningite tuberculeuse
E. Une méningoencéphalite herpétique

A-B

7. Votre conduite :
A. L’administration d’antibiotiques à doses méningées en attendant un diagnostic certain
B. La réclamation de l’ordonnance pour authentifier l’antibiotique consommé par cet enfant
C. La réalisation d’un bilan biologique faits de CRP et NFS
D. Led émarrage d’un traitement par l’acyclovir
E. L’évaluation de l’état vaccinal vis-à-vis des oreillon

A-B-C-E

V. Diarrhées chroniques

3- Parmi les étiologies de la diarrhée chronique de l’enfant sans retentissement, on retient :


A- La maladie cœliaque
B- Le côlon irritable
C- La mucoviscidose
D- La maladie de crohn
E- Toutes les réponses sont justes

NB : les diarrhée chroniques sans retentissement sont souvent fonctionnel = le côlon irritable

4- Concernant la forme atypique la maladie cœliaque :


A- Intéresse le grand enfant et chez l’adolescent
B- Une anémie chronique ferriprive isolée peut etre révélatrice
C- Les anomalies de l’émail dentaire peuvent faire évoquer la maladie
D- Douleurs osseuses en rapport avec une ostéoporose précoce peut etre révélateur
E- Le Retard statural peut etre révélateur

A-B-C-D-E

- Présentations atypiques chez le grand enfant et chez l’adolescent : Anémie chronique ferriprive
isolée, Anomalies de l'émail dentaire , Douleurs osseuses pouvant révéler une ostéoporose précoce,
Retard statural isolé, Retard pubertaire, Dermatite herpétiforme, Élévation isolée des transaminases
Un nourrisson âgé de 18 mois se présente à la consultation pour une diarrhée chronique faite
de selles abondantes, fétides et graisseuses.
18. Il s’agit d’une diarrhée par :
A. Fermentation
B. Fonctionnelle
C. Maldigestion
D. Malabsorption
E. Au cours d’une colite inflammatoire

C-D

15. Devant une diarrhée chronique chez un enfant vous évoquez :


A. Une parasitose intestinale
B. Une maladie cœliaque
C. Une forme chronique de l'allergie aux protéines de lait de vache
D. Une infection à rotavirus
E. Un déficit immunitaire

A-B-C-E

VI. La coqueluche :

8- A propos de la coqueluche chez l’enfant :


A- C’est maladie virale hautement contagieuse
B- Le germe responsable est le bacille Bordetella pertussis
C- Immunité naturelle et vaccinale est définitive
D- La contagiosité est maximale à la phase catarrhale et persiste au début de la phase quinteuse.
E- La fièvre est constante

B-D

NB : la coqueluche est une maladie bactérienne, avec une immunité vaccinale de max 10 ans. Pas de
fièvre sauf complications.

3. La coqueluche du nourrisson peut se manifester par :


A. Des quintes de toux sèche
B. Une cyanose
C. Une reprise inspiratoire bruyante
D. Une dyspnée sifflante
E. Des apnées chez le petit nourrisson

A-B-C-E

82- La coqueluche du nouveau-né :


A- est due à un BGN (bacille de Bordet et Gengou)
B- est transmise par voie transplacentaire
C- est une maladie contagieuse
D- est évitable par une vaccination précoce
E- peut se compliquer de dénutrition

ACDE
VII. Les vomissements

Cas clinique
Un nourrisson de 7 mois consulte pour des vomissements chroniques, alimentaires et post
prandiaux depuis la naissance. Le nourrisson est rose, eutrophique et alimenté normalement.

19. Vous suspectez un RGO, votre conduite comporte :


A. La réalisationd’une PH-métriede 24h
B. La réalisation d’un transit œsogastroduodénal
C. La réalisation d’une endoscopie
D. La réalisation d’une échographie
E. Le traitement sans aucune exploration

NB : Les examens d'exploration pour le RGO ne sont pas systématiques dans les situations
suivantes:
- formes digestives
- Non compliquées
- chez le nourrisson durant la première année

Un nourrisson âgé de 12 mois, connu vomisseur chronique depuis la naissance, consulte pour
des hématémèses, vous évoquez un reflux gastro-œsophagien compliqué
d'œsophagitepeptique.
14. Pour confirmer votre diagnostic, vous demandez :
A. Un transit oesogastro-duodénal
B. Une échographie œsogastrique
C. Une endoscopie digestive haute
D. Une PH-métrie œsophagienne de 24h
E. Une tomodensitométrie thoracique

Pr Ammari

I. Asphyxie périnatale

Parmi les critères majeurs de l’asphyxie périnatale du nouveau-né à terme, on peut citer :
A-L’acidose métabolique
B-L’anomalie du rythme cardiaque fœtal
C-Le liquide amniotique méconial
D-L’encéphalopathie précoce
E-La nécessité d’une réanimation néonatale avancée à la naissance

A-D

Critères majeurs Critères mineurs (additionnels)

- Acidose métabolique (PH<7 et - Evénement asphyxiant


HCO3<20 mmol) - Bradycardie
- Encephalopathie precoce - Score d’Apgar entre 0 et 3 après 5 min
- IMOC : quadriplégie spastique ou de vie
dyskinésie - Défaillance Multiviscérale dans les 72h
de vie
- Élimination des autres causes :
- IRM altérée : oedème cérébral
traumas, infection, malformations,
maladies métaboliques.

13- Parmi les complications périnatales de l’encéphalopathie anoxo-ischémique du


nouveau- né à terme on trouve :
A- L’ischémie myocardique
B- L’insuffisance rénale chronique
C- L’inhalation du liquide amniotique méconial
D- L’insuffisance hépatocellulaire
E- Une paralysie faciale

A-C-D

NB : encéphalopathie anoxo-ischémique = Asphyxie périnatale

II. DRNN

24. La détresse respiratoire transitoire est :


A. Secondaire à un retard de résorption du liquide pulmonaire
B. Une détresse respiratoire d’apparition secondaire
C. Fréquente après une césarienne
D. Un diagnostic d’élimination
E. Une détresse respiratoire qui régresse après 5 jours d’évolution

A-C-D

NB : Une DRT régresse après 24 à 48h

Etude de cas QCM


Nouveau-né de 41SA est admis à H3 de vie pour une détresse respiratoire. L’anamnèse
infectieuse est négative, l’accouchement a été par césarienne pour anomalie du rythme
cardiaque fœtal et un liquide amniotique méconial. Le score d’Apgar a été de 3/10 à 1min et
4/10 à 5 min. Le poids de naissance à 3100g.
L’examen à l’admission : T° 35°C, FR = 85 cycles/minute, FC = 140 bat/min, SaO2 à 70%, le
score de Silverman à 6/10, hypotonique et les réflexes archaïques étaient faibles. Le reste de
l’examen a été sans particularité.

25. Quels sont vos hypothèses diagnostics ?


A. L'inhalation du liquide amniotique méconial
B. Le retard de résorption du liquide pulmonaire
C. L’infection materno-fœtale
D. La Maladie Des Membranes Hyalines
E. L’asphyxie périnatale

A-C-E
26. Un des gestes de réanimation néonatale suivants est recommandé en urgence :
A. La ventilation manuelle au masque dès la naissance
B. L’instillation de surfactant en salle d’accouchement
C. Le massage cardiaque externe
D. La Kinésithérapie respiratoire
E. L’aspiration trachéale après intubation

27. Quels examens complémentaires allez-vous demander en premier pour étayer vos
diagnostics :
A. Lalactacidémie
B. La gazométrie
C. L’hémoculture
D. La Radiographie Thoracique
E. L’étude bactériologique des prélèvements bronchiques

ABCD

31- La maladie des membranes hyalines :


A- est due à une insuffisance de production du surfactant
B- son traitement symptomatique repose sur l’oxygénothérapie
C- survient chez le nouveau-né à terme en asphyxie à la naissance
D- son traitement spécifique est à base de surfactant
E- son traitement préventif est la corticothérapie maternelle

ABDE

32- Le diagnostic positif d’une DR néonatale repose sur les paramètres cliniques suivant :
A- L’hypotrophie
B- La cyanose
C- La tachypnée
D- Les signes de rétraction
E- L’hypotonie

BCD

NB : La triade diagnostique de la DRNN : cyanose, tachypnée et signes de lutte.

34- Les complications à long terme à craindre chez un nouveau-né en détresse respiratoire
sont :
A- Dilatation de bronches
B- Dysplasie broncho-pulmonaire.
C- Rétinopathie du prématuré.
D- Persistance du canal artériel.
E- Séquelles et handicaps neurologiques.

BCDE

III. Examen du nouveau né


A combien estimez vous son score ?:
A- 2
B- 3
C- 5
D- 7
E- 10

4- Un nouveau-né présente une hypotonie généralisée, une cyanose des lèvres et des
extrémités, une respiration irrégulière, une fréquence cardiaque à 120 battements /min, et des
grimaces à la stimulation cutanée, le score d’’Apgar est évalué à :
A- 2
B- 3
C- 4
D- 5
E- 6

1-Le périmètre crânien (PC) du nouveau-né à terme est de :


A- 30cm
B- 35cm
C- 40cm
D- 45cm
E- 50cm

2-Le nouveau-né normal à terme a :


A- un âge gestationnel compris entre 37 semaines et 42 semaines
B- un poids entre 2500 et 4000g
C- un PC entre 32 et 36cm
D- une taille en moyenne 50cm
E- un méconium émis dans les premières 36 heures

A-B-C-D-E

6- Parmi les paramètres ci-dessous lesquels interviennent dans le score d’Apgar :


A- la fréquence cardiaque
B- l’évaluation du tonus
C- la coloration de la peau et des téguments
D- la réactivité aux stimuli
E- l’âge gestationnel

ABCD

9- Un nouveau-né à terme normal a :


A- une température à 38°c
B- une fréquence respiratoire de 30 à 50 mouvements/minute
C- un temps de recoloration <3secondes
D- les pouls fémoraux absents
E- une fréquence cardiaque de 100 à 160 battements/min

BCE

12- Concernant les soins nécessaires à la naissance, chez le nouveau-né à terme normal, il
faut recourir à :
A- l’administration de vit K
B- l’utilisation de collyre antiseptique dans les yeux
C- l’injection intramusculaire d’ATB
D- l’administration de sérum glucosé
E- les soins de l’ombilic

A-B-E

13- Les malformations à rechercher systématiquement en salle de naissance sont:


A- l’ambigüité sexuelle
B- une imperforation anale
C- une luxation congénitale des hanches
D- une atrésie de l’œsophage
E- une atrésie des choanes

ABCDE

IV. Ictère du nouveau né

14- L’ictère néonatal physiologique est :


A- Un ictère qui apparait avant 24 heures de vie
B- Un ictère qui nécessite toujours une photothérapie intensive
C- Un ictère qui doit régresser avant J10 de vie chez le nouveau né à terme
D- Un ictère à bilirubine conjugué.
E- Aucune réponse n’est juste

NB : pas de traitement pour l'ictère physiologique ++ , apparition après H24 ++

11. Au cours d’une hémolyse aigue, on retrouve :


A. Un ictère à bilirubine libre
B. Un ictère à bilirubine conjuguée
C. Une hépatomégalie
D. Des urines porto
E. Des urines bouillons sales

A-D

Cas clinique
Nouveau-né de 39 SA, de sexe féminin admise à H2 de vie pour ictère néonatal intense et
généralisé. Elle est issue d’une grossesse non suivie, maman II gestes et II pares.
L’accouchement s’est déroulé par voie basse. L’anamnèse infectieuse était négative. L’examen
à l’admission avait noté une pâleur cutanéomuqueuse modérée sans splénomégalie ni
hépatomégalie.

2. Quel est le diagnostic le plus probable ?


A. L'infection Urinaire
B. L’incompatibilité fœto-maternelle dans le système Rhésus
C. L’Atrésie des voies biliaires
D. L’Ictère physiologique
E. La Maladie de Minkowski-Chauffard

3. Quel (s) examen (s) complémentaire (s) allez-vous demander en premier ?


A. Le Groupage rhésus phénotypé de lamère
B. Le Groupage rhésus phénotypé du nouveau-né
C. La numération formule sanguine
D. La bilirubinémie
E. La C réactive protéine

A-B-C-D

4. Quel(s) examens (s) complémentaire (s) allez-vous demander pour confirmer votre
diagnostic ?
A. Le test direct à l ’antiglobuline
B. L’examen cytobactériologique des urines
C. La Recherche d’agglutinines irrégulières
D. L’échographie abdominale
E. Le frottis sanguin

A-C

11. Au cours d’une hémolyse aigue, on retrouve :


A. Un ictère à bilirubine libre
B. Un ictère à bilirubine conjuguée
C. Une hépatomégalie
D. Des urines porto
E. Des urines bouillons sales

AD

23. Dans l’incompatibilité fœto-maternelle dans le système ABO :


A. La Mère est du groupage O Rhésus positif
B. L’ictère est tardif
C. L’anémie est sévère
D. Le test direct à l’antiglobuline est toujours positif
E. La base de traitement repose essentiellement sur la photothérapie

ABE

NB : Incompatibilite rhesus = mère Rh- (ictère précoce <24h) et incompatibilité ABO = mère groupe O
(ictère tardif >24h)

6. Au cours de l’incompatibilité fœto-maternelle Rhésus :


A- La mère est de groupe A ou B, le nouveau-né est de groupe O
B- L’ictère est d’apparition précoce
C- Les urines sont foncées et les selles sont décolorées
D- L’ictère est à bilirubine conjugué
E- L’anémie est de type arégénérative

42-L’ictère néonatal par incompatibilité fœto-maternelle rhésus :


A- peut se compliquer d’ictère nucléaire
B- s’accompagne d’une hyper bilirubinémie à prédominance conjuguée (directe)
C- nécessite un traitement par photothérapie
D- son traitement repose dans les formes graves sur l’exsanguino-transfusion
E- peut être prévenu par l’injection à la naissance de vitamine K

A-C-D

44- l’ictère néonatal physiologique


A- est fréquent chez le prématuré
B- est un ictère à bilirubine libre (indirecte)
C- apparaît avant 24h de vie
D- s’accompagne d’une anémie
E- nécessite une exsanguino-transfusion

A-B

45- A propos de l’ictère néonatal par incompatibilité fœto-maternelle ABO :


A- l’ictère est à bilirubine directe (conjuguée)
B- la mère est de groupe sanguin O
C- le test de Coombs directs est négatif
D- il ne comporte pas de risque d’ictère nucléaire
E- la photothérapie est inutile

B-C

46- Au cours de l’incompatibilité fœto-maternelle dans le système ABO :


A- la mère peut être du groupe O et le bébé du groupe A
B- la mère peut être du groupe O et le bébé du groupe B
C- l’ictère est de type cholestatique
D- la photothérapie est la base de la thérapeutique
E- en dehors de l’ictère nucléaire, le pronostic est favorable

ABDE

47- Parmi les signes cliniques de l’incompatibilité fœto-maternelle rhésus D, on peut trouver :
A- un ictère précoce avant la 24 ème heure de vie
B- une pâleur cutanéo-muqueuse
C- des urines foncées
D- des selles décolorées
E- une splénomégalie

A-B-E

48- Dans l’ictère néonatal par incompatibilité fœto-maternelle ABO


A- la mère est du groupe A
B- la mère peut être primigeste primipare
C- l’hyper bilirubinémie est de type non conjuguée
D- la photothérapie est efficace
E- l’exsanguino-transfusion peut être nécessaire

B-C-D-E

6. Au cours de l’incompatibilité fœto-maternelle Rhésus :


A- La mère est de groupe A ou B, le nouveau-né est de groupe O
B- L’ictère est d’apparition précoce
C- Les urines sont foncées et les selles sont décolorées
D- L’ictère est à bilirubine conjugué
E- L’anémie est de type arégénérative

B-

23. Dans l’incompatibilité fœto-maternelle dans le système ABO :


A. La Mère est du groupage O Rhésus positif
B. L’ictère est tardif
C. L’anémie est sévère
D. Le test direct à l’antiglobuline est toujours positif
E. La base de traitement repose essentiellement sur la photothérapie

A-B-E

55- le retard de prise en charge d’un ictère néonatal hémolytique provoque les
complications suivantes :
A- Le syndrome de bile épaisse
B- L’ictère nucléaire
C- Le décès
D- Les Séquelles neuro –sensorielles
E- La cirrhose hépatique

ABCD

49- L’ictère par incompatibilité fœto-maternelle rhésus :


A- apparaît en règle dans les 24 premières heures
B- est à bilirubine conjuguée
C- associe anémie et réticulocytose
D- survient chez un nouveau-né de groupe sanguin O négatif
E- comporte un test de Coombs direct positif

A-C-E

V. Infection materno-foetale :

Cas clinique :
Vous êtes appelé par l’obstétricien pour voir Omar, un nouveau-né, 48 heures après sa
naissance pour ictère. Le dossier médical obstétrical vous apprend que la maman âgée de 35
ans, a présenté une rupture de la poche des eaux avec un liquide amniotique teinté.
L’accouchement s’est déroulé par voie basse à 37 semaines d’aménorrhée, le nouveau-né a
une bonne adaptation à la vie extra utérine. Le poids de naissance est de 2500g avec une taille
de 46cm. Le groupe sanguin de la mère est O Rh+. Vous trouvez à l’examen clinique un
nouveau-né geignard, avec une fréquence respiratoire à 65 cycles par minute, un tirage
intercostal et un battement des ailes du nez intenses. Par ailleurs, le nouveau-né présente un
ictère cutanéo-muqueux sur un fond rose avec cyanose des extrémités. la fréquence
cardiaque est à 190 battements par minute, l’auscultation cardiaque est normale. La
température est à 38.7°C.

22. Chez ce nouveau-né, vous estimez le score de Silverman à:


A- 7/10
B- 5/10
C- 4/10
D- 6/10
E- 3/10

D
23. Quel diagnostic évoquez -vous en premier lieu?
A- Incompatibilité fœto-maternelle ABO
B- Infection post natale
C- Ictère au lait de mère
D- Atrésie des voies biliaires
E- Infection materno-fœtale

24. Quel bilan paraclinique allez vous demander chez ce nouveau-né?


A- Hémoculture
B- Numération formule sanguine
C- Transaminases
D- C réactive protéine (CRP)
E- Radiographie thoraco-abdominale

ABCDE

25. Après sa mise en condition, quelle est votre prise en charge initiale?
A- Démarrer une antibiothérapie par voie orale en urgence
B- Attendre les résultats de vos examens paracliniques
C- Démarrer une alimentation entérale par du lait maternel
D- Mettre sous antipyrétique
E- Démarrer une antibiothérapie par voie parentérale en urgence

D-E

5. Les critères anamnestiques mineurs de l’infection materno-fœtale sont :

A. La fièvre maternelle perpartum>38°c


B. La rupture prématurée de membranes de 14 heures
C. Le liquide amniotique teinté
D. La tachycardie fœtale
E. La prématurité spontanée à 34 Semaines d’aménorrhé

B-C-D

Critères mineurs et majeurs IMF

Critères majeurs Critères mineurs

- Tableau évocateur de chorioamniotite : fièvre - Durée d’ouverture prolongée de la poche des


maternelle, tachycardie fœtale, liquide eaux > 12 heures, mais < 18 h
amniotique fétide,syndrome inflammatoire.
- RPM > 12h mais <18h
- Une fièvre maternelle > 38° perpartum ou en
postpartum (24 H suivant la naissance) - Anomalies du rythme cardiaque fœtal =
tachycardie fœtale ou une anoxie périnatale non
- Prématurité spontanée < 35 SA expliquée

- Durée d’ouverture de la poche des eaux> 18h - Liquide amniotique teinté ou méconiale

- Rupture prématuré des membranes > 18h - Apgar < 7 à 1 ou 5 minutes sans cause
apparente
- Antécédents d’IMF à Streptocoque groupe B
- Portage vaginal de SGB +++ (En absence
d’antibioprophylaxie)

- Infection urinaire documentée dans le mois


précédent l’accouchement

- Jumeau infecté.

39-les agents infectieux bactériens infectant le nouveau-né ; sont :


A- Escherichia coli
B- Streptocoque B
C- Listéria
D- Virus de l’herpès
E- CMV

ABC

35- L’infection materno-fœtale se manifeste par :


A- une hypothermie
B- une hémorragie
C- une détresse respiratoire
D- une splénomégalie
E- un ictère

ABCDE

VI. Retard de croissance intra-utérin (RCIU)


21. Les causes fréquentes du retard de croissance intra-utérin dysharmonieux sont :
A. La pré-éclampsie
B. La trisomie 18
C. La fœtopathie à cytomégalovirus
D. La néphropathie diabétique
E. Les anomalies placentaires

ADE

24- Parmi les causes de retard de croissance intra-utérine on retient :


A- La rubéole congénitale
B- La toxoplasmose congénitale
C- L’HTA maternelle gravidique
D- Les anomalies placentaires
E- Les grossesses multiples

ABCDE

26- Le retard de croissance intra utérin (RCIU) harmonieux se distingue du RCIU


disharmonieux par
A- Atteinte seule du poids, inférieur au 10ème percentile.
B- L’aspect du "fœtus araignée".
C- L’atteinte des trois paramètres auxologiques (Poids, Taille et Périmètre Crânien).
D- Une maigreur impressionnante.
E- Le tonus exagéré.

CD

27- les complications à court terme du RCIU sont :


A- L’anémie
B- L’asphyxie périnatale
C- L’hypoglycémie néonatale
D- L’hypothermie
E- La polyglobulie

BCDE

VII. Prématurité

19. Les complications à court terme spécifiques de la prématurité sont :


A- L’hémorragie intraventriculaire
B- L’entérocolite ulcéro-nécrosante
C-Les apnées
D- Le Pneumothorax
E- L’ictère

ABC

1) la grande prématurité se définit par un âge gestationnel (en semaines d’aménorrhée = SA)
entre :
a) 22 et 27 SA + 6 jours
b) 32 et 34 SA
c) 28 et 31 SA+ 6 jours
d) 34 et 36 SA + 6 jours
e) 24 et 26 SA + 6 jours

NB :
- Un prématuré simple pour un terme compris entre 32SA-36SA
- Grand prématuré pour un terme compris entre 28SA-32SA
- Prématurissime ou très grand prématuré pour un terme avant 28SA

21- La prématurité expose à :


A. L’hypothermie
B. L’hypercalcémie
C. L’hyperbilirubinémie
D. La détresse respiratoire
E. L’infection

ACDE

22- Parmi les causes d’accouchements prématurés, on retrouve :


A- La toxémie gravidique
B- La béance cervico- ishmique
C- La grossesse multiple
D- L’incompatibilité foeto-maternelle
E- Les malformations utérines

ABCDE

23- La prématurité expose au risque de :


A- L’infection
B- Maladies des membranes hyalines
C- Apnées
D- Hypothermie
E- Ictère

ABCDE

25- Les mesures de prévention de la prématurité s’articulent autour de :


A- Un suivi régulier de la grossesse.
B- Evaluation de l’âge gestationnel
C- Traitement précoce des menaces d’accouchement prématuré
D- Cerclage du col en cas de béance,
E- Antibiothérapie adaptée en cas d'infection urinaire.

ACDE

Pr Echarii

I. Sd Néphrotique
19. La néphrose lipoïdique de l’enfant de l’enfant est caractérisée par:
A- une protéinurie non sélective
B- la sensibilité au traitement corticoïdes
C- Association d’une HTA est constante
D- les rechutes sont fréquentes
E- le traitement de la première poussée est de 4 mois et demi

B-D-E

NB : Protéinurie sélective car passage d’albumine ++

3- Quelles sont les indications de la ponction biopsie rénale PBR au cours du


syndrome néphrotique. Cochez les réponses justes :
A. Age supérieur à 2 ans
B. Syndrome néphrotique impur
C. Thrombose de la veine rénale
D. Syndrome néphrotique cortico résistant
E. Hypo albuminémie sévère

B-D

NB : Indications de la PBR lors d’un sd néphrotique :


- Elements d'impureté : HTA, IR, Hématurie
- Ages “extremes” : <1an, >12 an
- Corticorésistance
- Signes extra-rénaux

4- La lésion anatomo-pathologique la plus fréquente au cours du syndrome


néphrotique idiopathique est :
A. Prolifération mésangiale sévère
B. Lésions glomérulaires minimes
C. Hyalinose segmentaire et focale
D. Amylose glomérulaire sévère
E. Dépôts mésangiaux d’IgA

15- Les paramètres biologiques qui définissent un syndrome néphrotique sont :


A- Hypoprotidémie inférieure à 60 g/l
B- Hyponatrémie inférieure à 130 meq/l
C- Hypoalbuminémie inférieure à 30 g/l
D- Hyper fibrinémie > 4 g/l
E- Protéinurie massive supérieure à 50 mg/kg/j

A-C-E

II. Sd Post-Streptococcique

20. Dans le RAA, l’atteinte articulaire dans sa forme typique :


A- est une polyarthrite
B- intéresse les petites et les grosses articulations
C- est fixe
D- est une polyarthralgie
E-disparaît sans laisser de séquelles articulaires

A-E

NB : RAA = Polyarthralgie des grosses articulations

6- - Le rhumatisme articulaire aigue :


A- Est un syndrome post streptococcique
B- Il associe : une atteinte cardiaque, atteinte cutanée et /ou atteint Articulaire
C- Est un problème de santé publique au Maroc
D- Le traitement associe toujours une antibiothérapie et une corticothérapie
E- Il ne donne pas de rechutes

Réponse : A- B-C

16- La glomérulonéphrite aigue :


A- Est une inflammation non suppurative, diffuse et généralisée des glomérules des
deux reins.
B- Est un syndrome néphrotique impur
C- Est un syndrome néphrétique aigue
D- Le traitement associe une antibiothérapie+ les diurétiques+ les antihypertenseurs+
et un repos strict
E- L’évolution sous traitement est favorable dans la majorité des cas.

A-C-D-E

Pr Benchehab

I. Infection urinaire

18. La pyélonéphrite du nourrisson:


A- Est évoquée devant une fièvre isolée
B- L’examen cytobactériologique des urines montre une leucocyturie et une bactériurie
significatives
C- L’Escherichia-coli est le germe le plus fréquent
D- Le traitement probabiliste initial repose sur le sulfaméthoxazole-triméthoprime par voie orale
E- L’échographie de l’arbre urinaire est systématique

A-B-C-E

NB : Traitement probabiliste initial = cefixime IV pdt 3 jour puis relais per os pdt 10j

17- L’infection urinaire se définie par:


A. Une leucocyturie supérieure à 102 élts /ml et une bactériurie supérieur à 102 élts /ml
B. Une bactériurie supérieure à 103 élts /ml et une leucocyturie supérieure à 104 élts /ml
C. Une leucocyturie supérieure à 102 élts /ml et une bactériurie supérieur à 105 élts /ml
D. Une bactériurie supérieure à 102 élts /ml et leucocyturie supérieure à 104 élts /ml
E. Une leucocyturie supérieure à 104 élts /ml et une bactériurie supérieure à 105 élts /ml

II. Diabète de l’enfant

15. Le diabète de l’enfant :


A- S’accompagne d’obésité
B- Se manifeste par un syndrome polyuro-polydipsique
C- Est révélé par des douleurs abdominales
D- Se complique d’une acidocétose
E- Se complique de retard de croissance et retard pubertaire

B-C-D-E

124- Les signes cliniques en faveur d’un diabète chez l’enfant sont :
A- une anorexie ou polyphagie
B- une polyurie
C- une polydipsie
D- une déshydratation aigue
E- un amaigrissement

ABCDE

125- Le diabète de l’enfant :


A- est non insulinoprive
B- nécessite une surveillance pluriquotidienne des urines et du sang à l’aide de bandelettes réactives
C- peut se compliquer de retard de croissance et pubertaire
D- nécessite une surveillance de l’Hb glyquée tous les mois
E- peut se compliquer de troubles métaboliques à type d’hypoglycémies

BCE

NB : insulinoprive = insulino dépendant

126- Le diabète de l’enfant :


A- s’accompagne habituellement d’obésité
B- se manifeste par un syndrome polyuro-polydipsique
C- peut être révélé par des douleurs abdominales
D- peut se compliquer d’une acidocétose
E- peut guérir spontanément

B-C-D

127- L’hypoglycémie se manifeste par :


A- une déshydratation
B- des crises convulsives
C- des troubles du comportement
D- pâleur et sueur
E- coma d’installation brutale sans polyurie
BCDE

NB : la déshydratation est retrouvé lors d’une acidocétose

128- L’hypoglycémie de l’enfant diabétique


A- se définit une glycémie inférieure à 0,80g/l
B- peut se manifester par des crises convulsives
C- peut se manifester par une polyurie polydipsie
D- peut être secondaire à un surdosage d’insuline
E- peut être due à l’activité physique intense

BDE

NB : Hypoglycémie = glycémie <0,6g/L

129- L’acidocétose est favorisé par :


A- l’infection
B- le jeun prolongé
C- le stress important
D- Dose d’insuline insuffisante
E- le sport violent

ACD

130- L’acidocétose chez l’enfant diabétique :


A- peut être en rapport avec une infection intercurrente
B- peut se manifester par un coma progressif
C- se manifeste par la présence du sucre et d’acétone dans les urines
D- s’accompagne souvent de déshydratation
E- est d’installation brutale

ABCD

131- Les signes en faveur d’un diabète sucré du nourrisson sont :


A- l’amaigrissement
B- la mycose du siège
C- la polyphagie
D- la déshydratation aigue avec diurèse conservée
E- la glycosurie

ABCDE

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