Vous êtes sur la page 1sur 115

La lithiase urinaire

Cours de préparation TCEM


2020/2021
Med Cpt Mehdi Raboudi
AHU en Urologie
HMPIT
Objectif 1

 Expliquer les mécanismes de la lithogénèse en


précisant les facteurs de risque d’une lithiase urinaire
 Parmi les facteurs favorisants suivants, quels sont
ceux qui sont incriminés dans la genèse des calculs
urinaires?
A- Diurèse insuffisante
B- Anomalie du ph urinaire
C- infection urinaire à germes uréasiques
D- Anomalie de la jonction pyélo-urétérale
E- Cystinurie
 Parmi les facteurs favorisants suivants, quels sont
ceux qui sont incriminés dans la genèse des calculs
urinaires?
A- Diurèse insuffisante
B- Anomalie du ph urinaire
C- infection urinaire à germes uréasiques
D- Anomalie de la jonction pyélo-urétérale
E- Cystinurie
 Tous les germes suivants peuvent favoriser la
formation de calculs coralliformes sauf un lequel?
A- Protéus mirabilis
B- Escherichia coli
C- Pseudomonas
D- Klebsiella Pneumoniae
E- Ureaplasma Urealyticum
 Tous les germes suivants peuvent favoriser la
formation de calculs coralliformes sauf un lequel?
A- Protéus mirabilis
B- Escherichia coli
C- Pseudomonas
D- Klebsiella Pneumoniae
E- Ureaplasma Urealyticum
 Enumérer les facteurs de risques des lithiases
urinaires
 Enumérer les facteurs de risques des lithiases
urinaires
Facteurs alimentaires
Facteurs environnementaux
Facteurs anatomiques
Anomalies du pH
Anomalies métaboliques
 Enumérer 4 facteurs métaboliques incriminés dans la
lithogenèse urinaire
Cystinurie
Hyperoxalurie primaire
Hyperuricémie
Hyperparathyroidie primaire
Hypercalciurie
 Enumérer 4 facteurs métaboliques incriminés dans la
lithogenèse urinaire
Cystinurie
Hyperoxalurie primaire
Hyperuricémie
Hyperparathyroidie primaire
Hypercalciurie
 Citez 3 anomalies anatomiques pouvant entrainer des
lithiases urinaires
 Citez 3 anomalies anatomiques pouvant entrainer des
lithiases urinaires

Anomalie de la jonction pyélo-urétérale


Mégauretère
Rein en fer à cheval
 Quel est le médicament le plus souvent incriminé dans
les calculs d’origine médicamenteuse
 Quel est le médicament le plus souvent incriminé dans
les calculs d’origine médicamenteuse

Indinavir
 Chez le patient présentant une lithiase oxalo-calcique

A- les apports en sel ne doivent pas excéder 7g/jour


B- il n’est pas utile de recommander aux patients de réduire
leur apport en oxalate
C- Un régime normal en calcium mais pauvre en sel et en
protéines diminue le risque de récidive lithiasique
D- L’alcalinisation des urines est inutile et peut être délétère
 Chez le patient présentant une lithiase oxalo-calcique

A- les apports en sel ne doivent pas excéder 7g/jour


B- il n’est pas utile de recommander aux patients de réduire
leur apport en oxalate
C- Un régime normal en calcium mais pauvre en sel et en
protéines diminue le risque de récidive lithiasique
D- L’alcalinisation des urines est inutile et peut être délétère
Objectif 2

 Décrire les différents types physico-chimique de la


lithiase urinaire en précisant leurs propriétés
Oxalate de
calcium
whewellite
= oxalate de calcium
monohydraté (C1),faible diurèse
= oxalo-dépendant
(hyperoxalurie = 88%)

Oxalate de
calcium
whewellite
Ia = oxalate de calcium
monohydraté (C1),faible diurèse
= oxalo-dépendant
(hyperoxalurie = 88%)

Oxalate de
calcium
weddellite
= oxalate de calcium
dihydraté (C2)
= calcium-dépendant
(hypercalciurie = 86%)

IIa
Origine nutritionnelle,faible diurèse
Hypercalciurie
Bourgeonnante,claire, hyperoxalurie primaire
Beige, poreuse
Infection,phospho ammmoniacomagnésien
spectrométrie infra-rouge
 permet :
 une détection de tous les corps
organiques ou minéraux, amorphes
ou cristallins,
 une différenciation parfaite des
espèces cristallines,
 une approche semi-quantitative des
constituants
 une localisation parfaite des
constituants du calcul (étude
séquentielle du calcul du noyau à la
surface)
 un dépistage des lithiases
médicamenteuses et des faux calculs
Objectif 3

 Décrire les formes cliniques de la lithiase urinaire


 Une pyélonéphrite aigue est considérée comme une
forme grave dans les situations suivantes

A- chez la femme enceinte


B- chez l’enfant
C- chez le sujet jeune
D- en cas de diabète associé
E- en cas d’obstacle sur les voies excrétrices hautes
 Une pyélonéphrite aigue est considérée comme une
forme grave dans les situations suivantes

A- chez la femme enceinte


B- chez l’enfant
C- chez le sujet jeune
D- en cas de diabète associé
E- en cas d’obstacle sur les voies excrétrices hautes
Objectif 4

 Poser le diagnostic positif de la lithiase urinaire à


partir des données anamnestiques, cliniques et para
cliniques.
 Quels sont les caractéristiques d’une douleur de crise
de colique néphrétique typique
A- début brutal et aigu
B- évolue par poussées sur un fond douloureux
C- irradiation descendante vers les organes génitaux
externes
D- aucune position antalgique
E- accompagné de vomissements et d’une agitation
 Quels sont les caractéristiques d’une douleur de crise
de colique néphrétique typique
A- début brutal et aigu
B- évolue par poussées sur un fond douloureux
C- irradiation descendante vers les organes génitaux
externes
D- aucune position antalgique
E- accompagné de vomissements et d’une agitation
 Quels examens radiologiques de première intention
doit-on réaliser au cours d’une colique néphrétique
 Quels examens radiologiques de première intention
doit-on réaliser au cours d’une colique néphrétique

 le couple AUSP + échographie urinaire


 En matière de calculs urinaires radio-opaques
L’AUSP renseigne sur les éléments suivants
A- la taille du calcul
B- le nombre des calculs
C- le siège des calculs
D- la composition physico-chimique des calculs
E- l’anomalie anatomique responsable du calcul
 En matière de calculs urinaires radio-opaques
L’AUSP renseigne sur les éléments suivants
A- la taille du calcul
B- le nombre des calculs
C- le siège des calculs
D- la composition physico-chimique des calculs
E- l’anomalie anatomique responsable du calcul
 L’échographie urinaire
A- montre les calculs urinaires comme des formations
hyperéchogènes avec un cône d’ombre postérieur
B- montre les calculs urinaires comme des formations
hyperéchogènes avec un renforcement acoustique des échos
C- la dilatation des cavités excrétrices est le signe
échographique indirect d’un obstacle lithiasique
D- est opérateur dépendant
E- la visualisation des calculs urétéraux est souvent difficile
 L’échographie urinaire
A- montre les calculs urinaires comme des formations
hyperéchogènes avec un cône d’ombre postérieur
B- montre les calculs urinaires comme des formations
hyperéchogènes avec un renforcement acoustique des échos
C- la dilatation des cavités excrétrices est le signe
échographique indirect d’une obstruction
D- est opérateur dépendant
E- la visualisation des calculs urétéraux est souvent difficile
 Quels signes scannographiques peuvent être
visualisés sur le scanner abdomio-pelvien sans
injection au cours d’une colique néphrétique
A- dilatation des cavités pyélocalicielles
B- Retard d’excrétion
C- Infiltration de la graisse péri-rénale
D- Visualisation du calcul urinaire
E- Infiltration de la graisse péri-urétérale
 Quels signes scannographiques peuvent être
visualisés sur le scanner abdomio-pelvien sans
injection au cours d’une colique néphrétique
A- dilatation des cavités pyélocalicielles
B- Retard d’excrétion
C- Infiltration de la graisse péri-rénale
D- Visualisation du calcul urinaire
E- Infiltration de la graisse péri-urétérale
Objectif 5

 Décrire les mécanismes du retentissement


mécanique et infectieux d'une lithiase sur l'appareil
urinaire
 La pyélonéphrite aigue typique associe:
A- Fièvre + douleur lombaire+ hématurie
B- Fièvre + douleur lombaire+ pyurie
C- Fièvre + douleur lombaire+ masse lombaire palpable
D- Fièvre + douleur lombaire+ Chylurie
E- Fièvre + douleur lombaire+ cystalgies
 La pyélonéphrite aigue typique associe:
A- Fièvre + douleur lombaire+ hématurie
B- Fièvre + douleur lombaire+ pyurie
C- Fièvre + douleur lombaire+ masse lombaire palpable
D- Fièvre + douleur lombaire+ Chylurie
E- Fièvre + douleur lombaire+ cystalgies
 Une pyélonéphrite aigue survenant sur une lithiase
obstructive du haut appareil peut se compliquer de:
A- Pyonéphrose
B- état de choc septique
C- rupture spontanée des voies excrétrices
D- Hématome sous capsulaire
E- Rétention purulente d’urines
 Une pyélonéphrite aigue survenant sur une lithiase
obstructive du haut appareil peut se compliquer de:
A- Pyonéphrose
B- état de choc septique
C- rupture spontanée des voies excrétrices
D- Hématome sous capsulaire
E- Rétention purulente d’urines
 Enumérer 3 complications septiques d’une
pyélonéphrite aigue lithiasique mal prise en charge
 Enumérer 3 complications septiques d’une
pyélonéphrite aigue lithiasique mal prise en charge
Abcès du rein
Phlegmon périnéphritique
Choc septique
 Citez deux complications évolutives d’une maladie
lithiasique
 Citez deux complications évolutives d’une maladie
lithiasique

 Pyonéphrose
 Destruction du rein
 Citez 3 complications mécaniques d’une lithiase
urétérale obstructive
 Citez 3 complications mécaniques d’une lithiase
urétérale obstructive
Colique néphrétique hyperalgique
Rupture des voies excrétrices
Anurie obstructive
Objectif 7

 Réunir les arguments biologiques et radiologiques du


diagnostic étiologique d’une lithiase urinaire
 Chez un homme de 59 ans porteur d’un calcul pyélique droit
radio transparent non obstructif, l’uricémie est à 400 µmol/l,
l’uricosurie est à 4200 micromol/24h, le pH urianaire varie entre 5
et 5,5 et les urines sont stériles, indiquez la nature de la lithiase
A- oxalate de calcium
B- acide urique
C- phosphate ammoniaco-magnésien
D- cystine
E- phosphate de calcium
 Chez un homme de 59 ans porteur d’un calcul pyélique droit
radio transparent non obstructif, l’uricémie est à 400 µmol/l,
l’uricosurie est à 4200 micromol/24h, le pH urianaire varie entre 5
et 5,5 et les urines sont stériles, indiquez la nature de la lithiase
A- oxalate de calcium
B- acide urique
C- phosphate ammoniaco-magnésien
D- cystine
E- phosphate de calcium
 Quels sont les formes de lithiases radio-transparentes
parmi les suivantes?
A- phosphate ammoniaco-magnésien
B- Urique
C- phosphate de calcium
D- Xanthique
E- Oxalo-calcique
 Quels sont les formes de lithiases radio-transparentes
parmi les suivantes?
A- phosphate ammoniaco-magnésien
B- Urique
C- phosphate de calcium
D- Xanthique
E- Oxalo-calcique
 L’aspect radiologique habituel d’un calcul oxalo-calcique
dihydraté weddelite est:
A- peu opaque au centre avec un liseré périphérique très
opaque
B- En oursin, peu opaque, hétérogène
C- radiotransparent
D- Opaque, parfaitement sphérique et régulier
E- centre radiotransparent avec une fine opacité
périphérique
 L’aspect radiologique habituel d’un calcul oxalo-calcique
dihydraté weddelite est:
A- peu opaque au centre avec un liseré périphérique très
opaque
B- En oursin, peu opaque, hétérogène
C- radiotransparent
D- Opaque, parfaitement sphérique et régulier
E- centre radiotransparent avec une fine opacité
périphérique
 Le bilan étiologique d’une lithiase urinaire
A- est obligatoire dès le premier épisode lithiasique
B- est basé sur l’analyse spectrophotométrique
infrarouge du calcul
C- comporte un bilan biologique sanguin et urinaire
D- doit être réalisé 3 jours de suite en hospitalisation
E- commence dès l’interrogatoire
 Le bilan étiologique d’une lithiase urinaire
A- est obligatoire dès le premier épisode lithiasique
B- est basé sur l’analyse spectrophotométrique
infrarouge du calcul
C- comporte un bilan biologique sanguin et urinaire
D- doit être réalisé 3 jours de suite en hospitalisation
E- commence dès l’interrogatoire
Bilan de 1 ère
intention
En externe dans les conditions habituelles d’activité et d’alimentation 

Calcul récupéré 

Analyse morpho-constitutionnelle par spectrophotométrie infrarouge 

Calcul non récupéré 

Cristallurie des urines 

Renseignements cliniques 

Histoire chronologique de la maladie lithiasique 

Antécédents personnels 

Antécédents familiaux 

Facteurs environnementaux 

Médicaments lithogènes 

Enquête alimentaire 

Renseignements radiologiques (ASP–échographie, uroscanner ou UIV) 

Calcul radio-opaque 

Calcul radiotransparent 

Anomalie anatomique de la voie excrétrice 

Renseignements biologiques 

Urines des 24heures : créatinine, calcium, acide urique, urée, sodium, volume total 

Bilan sang à jeun : créatinine, calcium, acide urique, glycémie à jeun 

Urines le matin au réveil : densité, pHmétrie, cristallurie, bandelette urinaire/ECBU 


Bilan de 2ème intention

Indications
 Calcul multiple
 Bilatéral
 Récidivant
 Enfant
 Néphrocalcinose
 Insuffisance rénale
Bilan de 2ème intention
En milieu spécialisé 

Bilan de première intention+ 

Bilan sanguin 

Ionogramme sanguin 

Protides totaux 

Phosphatémie 

PTH intact 

Urines des 24heures 

Oxalurie 

Citraturie 

Magnésurie 

Protéinurie 

Phosphaturie 

Glycosurie 

Explorations dynamiques 

Test de PAK 

Épreuves d’acidification des urines 


Objectif 8

 Décrire les moyens thérapeutiques médicaux et


chirurgicaux de la lithiase urinaire et leurs indications.
 Parmi les situations suivantes quels sont celles qui
inciteraient à réaliser une intervention chirurgicale en
urgence chez un patient présentant une lithiase du haut
appareil?
A- Rétention purulente sur calcul
B- Lombalgies persistante
C- Anurie calculeuse
D- Cystalgies
E- Vomissements
 Parmi les situations suivantes quels sont celles qui
inciteraient à réaliser une intervention chirurgicale en
urgence chez un patient présentant une lithiase du haut
appareil?
A- Rétention purulente sur calcul
B- Lombalgies persistante
C- Anurie calculeuse
D- Cystalgies
E- Vomissements
 Une colique néphrétique est grave si
A- elle est hyperalgique
B- accompagné d’une anurie
C- accompagnée d’une fièvre
D- survient chez un diabétique
E- dure plus de 10 minutes
 Une colique néphrétique est grave si
A- elle est hyperalgique
B- accompagné d’une anurie
C- accompagnée d’une fièvre
D- survient chez un diabétique
E- dure plus de 10 minutes
 Une colique néphrétique associée à une anurie:
A-est une urgence thérapeutique
B- peut se voir chez un patient porteur de lithiases
urétérales bilatérales
C- peut être une complication d’une hypertrophie bénigne
de la prostate
D- est traitée par une antibiothérapie
E- peut nécessiter la mise en place d’une sonde de
néphrostomie
 Une colique néphrétique associée à une anurie:
A-est une urgence thérapeutique
B- peut se voir chez un patient porteur de lithiases
urétérales bilatérales
C- peut être une complication d’une hypertrophie bénigne
de la prostate
D- est traitée par une antibiothérapie
E- peut nécessiter la mise en place d’une sonde de
néphrostomie
 La dissolution d’un calcul d’acide urique nécéssite
A- un pH urinaire acide
B-un pH urinaire alcalin
C- un pH urinaire neutre
D- une densité urinaire élevée
E-une concentration urinaire élevée
 La dissolution d’un calcul d’acide urique nécéssite
A- un pH urinaire acide
B-un pH urinaire alcalin
C- un pH urinaire neutre
D- une densité urinaire élevée
E-une concentration urinaire élevée
 Quels traitements peut-on envisager pour soulager
une crise de colique néphrétique?
A- Hyperdiurèse
B- restriction hydrique
C anti-inflammatoire non stéroidiens
D- parasympaticomimétiques
E- Morphine
 Quels traitements peut-on envisager pour soulager
une crise de colique néphrétique?
A- Hyperdiurèse
B- restriction hydrique
C anti-inflammatoire non stéroidiens
D- parasympaticomimétiques
E- Morphine
 Un patient présente un calcul urétéral iliaque droit
obstructif avec dilatation urétéro-pyélo-calicielle en amont
et une fièvre à 38,5, la fosse lombaire droite est sensible,
quel(s)traitement(s) proposez-vous en urgence?
A- LEC
B- Urétéroscopie
C- Drainage des urines en amont du calcul
D- antibiothérapie
E- patienter 48 heures sous traitement antispasmodique
 Un patient présente un calcul urétéral iliaque droit
obstructif avec dilatation urétéro-pyélo-calicielle en amont
et une fièvre à 38,5, la fosse lombaire droite est sensible,
quel(s)traitement(s) proposez-vous en urgence?
A- LEC
B- Urétéroscopie
C- Drainage des urines en amont du calcul
D- antibiothérapie
E- patienter 48 heures sous traitement antispasmodique
 La lithotritie extracorporelle
A- consiste en la fragmentation du calcul par des ondes de
choc
B- nécessite un repérage échographique ou radioscopique
du calcul
C- impose la vérification de la stérilité des urines
D- n’a pas de contre-indications
E- impose la mise en place systématique d’un drainage
urétéral
 La lithotritie extracorporelle
A- consiste en la fragmentation du calcul par des ondes de
choc
B- nécessite un repérage échographique ou radioscopique
du calcul
C- impose la vérification de la stérilité des urines
D- n’a pas de contre-indications
E- impose la mise en place systématique d’un drainage
urétéral
 La lithotritie extracorporelle
A- représente le traitement le moins invasif des calculs
urinaires
B- peut être réalisé chez un patient sous anticoagulants
C- fait appel à des faisceaux laser par lesquels les calculs
sont fragmentés
D- nécessite obligatoirement un ECBU stérile avant sa
réalisation
E- est contre indiquée chez les patients obèses
 La lithotritie extracorporelle
A- représente le traitement le moins invasif des calculs
urinaires
B- peut être réalisé chez un patient sous anticoagulants
C- fait appel à des faisceaux laser par lesquels les calculs
sont fragmentés
D- nécessite obligatoirement un ECBU stérile avant sa
réalisation
E- est contre indiquée chez les patients obèses
 L’urétéroscopie semi rigide
A- est d’autant plus efficace que le calcul est haut situé
B- nécessite la stérilité préalable des urines
C- impose l’extraction des calculs après leur
fragmentation
D- peut être réalisée à la consultation externe sous
anesthésie locale
E- est plus difficile si le calcul est radiotransparent
 L’urétéroscopie semi rigide
A- est d’autant plus efficace que le calcul est haut situé
B- nécessite la stérilité préalable des urines
C- impose l’extraction des calculs après leur
fragmentation
D- peut être réalisée à la consultation externe sous
anesthésie locale
E- est plus difficile si le calcul est radiotransparent
 La NLPC
A- nécessite la ponction du rein sur un calice inférieur et
postérieur
B- s’adresse aux calculs rénaux quelque soit leur
morphologie et topographie
C- comporte un risque hémorragique
D- peut être proposé pour les calculs radio transparentes
E-peut nécessiter un traitement complémentaire par LEC
 La NLPC
A- nécessite la ponction du rein sur un calice inférieur et
postérieur
B- s’adresse aux calculs rénaux quelque soit leur
morphologie et topographie
C- comporte un risque hémorragique
D- peut être proposé pour les calculs radio transparentes
E-peut nécessiter un traitement complémentaire par LEC
 Devant un calcul urétéral pelvien radio-opaque de 5
mm non compliqué quels traitement de 1ère intention
indiquez vous?
A- une LEC
B- une hyperdiurèse + AINS
C- une urétéroscopie
D- un traitement antibiotique
E- une urétérolithotomie
 Devant un calcul urétéral pelvien radio-opaque de 5
mm non compliqué quels traitement de 1ère intention
indiquez vous?
A- une LEC
B- une hyperdiurèse + AINS
C- une urétéroscopie
D- un traitement antibiotique
E- une urétérolithotomie
 Une patiente âgée de 20 ans présente un syndrome de
la jonction pyélo-urétérale compliquée d’un calcul
pyélique de 2 cm quel traitement proposez vous?
A- LEC
B- NLPC
C- plastie de la jonction pyélo-urétérale + ablation du calcul
D-Abstention thérapeutique
E- pyélotomie + ablation du calcul
 Une patiente âgée de 20 ans présente un syndrome de la
jonction pyélo-urétérale compliquée d’un calcul pyélique
de 2 cm quel traitement proposez vous?
A- LEC
B- NLPC
C- plastie de la jonction pyélo-urétérale + ablation du calcul
D-Abstention thérapeutique
E- pyélotomie + ablation du calcul
Cas clinique

 Une patiente âgée de 25 ans a depuis quelques mois


une lithiase calicielle inférieure droite radio opaque de
12 mm, depuis 48 heures elle présente des coliques
néphrétiques droites avec une température à 40 °C
 Il convient de réaliser obligatoirement devant cette
lombalgie fébrile droite
A- une urographie intraveineuse
B- une cystographie rétrograde
C- un dosage de la calcémie
D- des hémocultures
E- un ECBU
 Il convient de réaliser obligatoirement devant cette
lombalgie fébrile droite
A- une urographie intraveineuse
B- une cystographie rétrograde
C- un dosage de la calcémie
D- des hémocultures
E- un ECBU
 Le tableau clinique que présente cette patiente
correspond à :
A- une anurie obstrcutive
B- une colique néphrétique droite
C- une pyélonéphrite aigue droite simple
D- un abcès du rein droit
E- une pyélonéphrite aigue droite sur obstacle
 Il convient de réaliser en urgence chez cette patiente:
A- une lithotritie extra-corporelle
B- une urétéroscopie rigide
C- une néphrolithotomie percutanée droite
D- une urétérostomie droite
E- une montée de sonde JJ droite ou une néphrostomie
percutanée droite
 Il convient de réaliser en urgence chez cette patiente:
A- une lithotritie extra-corporelle
B- une urétéroscopie rigide
C- une néphrolithotomie percutanée droite
D- une urétérostomie droite
E- une montée de sonde JJ droite ou une néphrostomie
percutanée droite
 Quelles auraient pu être les traitements de ce calcul
caliciel inférieur droit avant cet épisode
A- LEC
B- urétéroscopie rigide
C- NLPC
D- alcalinisation des urines
E- urétérorénoscopie souple
 Quelles auraient pu être les traitements de ce calcul
caliciel inférieur droit avant cet épisode
A- LEC
B- urétéroscopie rigide
C- NLPC
D- alcalinisation des urines
E- urétérorénoscopie souple

Vous aimerez peut-être aussi