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3er TB 1
3er TB 1
Cours:
THERMIQUE du BATIMENT
Z. ZRIKEM, Professeur
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CONTEXTE ENERGETIQUE
- L’efficacité énergétique dans le bâtiment, c’est l’utilisation d’une manière rationnelle de
l’énergie.
- Le secteur du bâtiment représente environ 36% de la consommation d’énergie totale au
Maroc, dont 29% pour le résidentiel et 7% pour le tertiaire.
- C’est le secteur, qui consomme le plus d’énergie.
2
Source l’ADEREE (2009)
- Le secteur du bâtiment consomme 50% de l’énergie électrique au Maroc.
3
- Avec l’amélioration du niveau de vie, la consommation va augmenter.
- Dans la région du sud de la méditerranée, le secteur du bâtiment représente environ
40% du potentiel d’économie d’énergie.
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Année 2012
Dépendance énergétique 97 %
5
Évolution de la consommation totale d'énergie
6
7
RAPPELS SUR LE RAYONNEMENT SOLAIRE
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• Le rapport Rb des éclairements directs des surfaces inclinée et horizontale (voir figure) est
un facteur purement géométrique appelé aussi facteur d’inclinaison pour le rayonnement
direct :
G b I b cos(θ) cos(θ) cos(θ)
Rb = = = =
E b I b cos(z) cos(z) sin(h )
• Gb est l’éclairement direct de la surface inclinée alors que Eb est celui de la surface
horizontale. G b
Ib Eb
θ Ib
z
h
β
cos(δ). sin(ω)
sin(a) =
cos(h)
La déclinaison et l’angle horaire (degrés) sont définis par :
284 + n
δ = 23.45 sin 360 ω = 15 (TSV - 12)
365
10
avec B = 360(n-81)/364
• L’angle optimal de l’azimut d’une surface en hémisphère nord est γ=0°. Dans ce cas en
remplaçant cos(θ) et sin(h) par leurs expressions, on obtient :
• La surface inclinée, reçoit un éclairement diffus qui provient du ciel et qui n’a pas de
direction privilégiée. En supposant que ce rayonnement est isotrope, le facteur de forme
entre la surface inclinée et le ciel est le facteur d’inclinaison pour le rayonnement diffus
Rd. Ainsi, le rapport Rd des éclairements diffus des surfaces inclinée et horizontale est :
G d 1 + cos(β)
Rd = =
Ed 2
• En plus des éclairements direct et diffus incidents, une surface inclinée reçoit une partie
du rayonnement solaire global réfléchi par le sol. En supposant que ce rayonnement
aussi est isotrope et en tenant compte du facteur de forme de la surface avec le sol, on
peut définir le facteur d’inclinaison pour le rayonnement réfléchi Rr par :
Gr 1 − cos(β)
Rr = =ρ
Eg 2 11
• L’éclairement global incident sur la surface inclinée est donc :
n * sin(θ) = n sin( ψ)
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• Pour un rayonnement incident normal (θ=0), les équations se réduisent à :
2
n − n*
r = r⊥ = r// =
*
n+n
1
θ
ψ Couche semi-transparente
θ
τ
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• La fraction transmise en ne tenant compte que de l’absorption par la couche semi
transparente est donnée par la loi de Bouger :
τa = e
- K e/cos(ψ )
K coefficient d’extinction
• Généralement τa est supérieure à 0.9 et r est de l’ordre de 0.1, donc on peut faire les
approximations suivantes :
τ ≅ τ aτ r ρ ≅ τ a (1 − τ r ) = τ a − τ a ≅ 1−τ a
Dans ces relations, l’effet de la polarisation n’est compté qu’à travers τr…
• Pour un système de vitrage composé de n couches semi-transparentes identiques, les
relations approximatives sont adaptées :
τ n ≅ τ a ,nτ r ,n ρ n ≅ τ a ,n − τ n a n ≅ 1 − τ a ,n
• Avec:
1 1 − r⊥ 1 − r//
- K (n e) / cos(ψ )
τ r ,n = + τ a ,n = e
2 1 + ( 2n − 1 )r⊥ 1 + ( 2n − 1 )r//
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CONFORT THERMIQUE
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- La température ressentie par l’occupant dépend de celles des parois et de l’air
ambiant. C’est la température résultante :
TR= (Ti+Tr)/2
- Selon l’activité de la personne et son habillement, si l'environnement (TR ,Hr, Va) ne
permet pas le dégagement de la chaleur métabolique, le corps réagit en transpirant,
l'évaporation a lieu à la surface de la peau et elle est favorisée par la circulation d’air :
Métabolisme de repos (environ 100 W)
Métabolisme de travail (juqu’à 800W)
- L’air sec absorbe la vapeur d'eau plus rapidement qu'un air humide. Donc le
dégagement de la chaleur par évaporation est favorisé (l’air chaud et humide est
désagréable). L’humidité recommandée est :
Hr= 30 à 70%
- Le flux thermique humain se répartit pour
différentes températures ambiantes comme montré
sur la figure.
- Pour un travail de bureau (en moyenne 120
watts) et une température ambiante de 20°C, le
rayonnement en représente 72 W (a), la convection
25 W (b, ) et l'évaporation 22 W (c ).
- L'évaporation augmente fortement pour des
températures ambiantes élevées. A 37°C, c'est-à-dire
la température du corps humain, Le corps doit 17
évacuer toute la chaleur par évaporation.
- Diagramme de confort tenant compte de l’habillement et de l’activité pour une
vitesse de l'air de 0,1 m/s et une humidité relative normale de 30 à 70 % env.
Température opérative idéale en fonction de l'habillement et du métabolisme. Les valeurs notées dans les
ovales, et correspondant pour chacune à une zone du graphique (blanc ou hachuré) représentent l'écart de
température (par rapport à la température opérative idéale) pour laquelle le PPD=10% d’insatisfaits. Par
exemple pour 1 clo et 1met, la température opérative idéale est d'environ 23°C, et la zone usuellement
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considérée comme confortable (PPD=10%) correspond à l'intervalle [21°C;25°C].
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- on peut définir une plage de confort hygrothermique dans le diagramme (TR,Hr)
suivant:
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COMPORTEMENT THERMIQUE D’UN LOCAL
- Il dépend :
- Conditions climatiques du lieu d’implantation (ensoleillement, Ta, vent et humidité);
- Plans d’architecture (orientations, détails de la structure interne,… );
- Bâtiments et arbres voisins produisant de l’ombre;
- Surfaces réfléchissantes voisines : eau, sable,… ;
- Dimensions du local : longueur, largeur, hauteur sous plafond;
- Matériaux de construction : nature des matériaux, compositions et épaisseurs des
murs, toits, plafonds, plancher et cloisons, et leurs emplacements;
- Couleurs des matériaux : couleurs des murs et du toit;
- Conditions extérieures au local : locaux adjacents conditionnés ou non, température
des locaux non conditionnés, plancher sur sol ou sur vide;
- Fenêtres : dimensions et emplacements, encadrement bois ou métal, type de vitrage,
type de store, dimensions des auvents et saillies;
- Portes : emplacement, type, dimension, fréquence des ouvertures;
- Occupants : activités et nombre, durée d’occupation du local;
- Eclairage : type, puissance et durée d’allumage;
- Appareils ménagers, moteurs : emplacement, puissance nominale, durée de
fonctionnement;
- Emplacement et type d’équipements (chauffage, climatisation et ventilation) et du
réseau de distribution des fluides caloporteurs;
- Conditions intérieures du local à maintenir (température et humidité relative) ;
- Destination des locaux : habitat, bureau, hôpital, magasin, atelier,… ;
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DONNÉES CLIMATIQUES DE MARRAKECH
Température ( °C ) 40
30
Tmax
20
Tmin
10
0
J F M A M J J A S O N D
Mois
8
7
Irradiation Journalière ( kWh/m² )
6
5
4
Global
3
2 Diffus
1
0
J F M A M J J A S O N D
Mois
25
- Effet de l’orientation de la paroi.
10
8
Irradiation ( kWh/m² )
Sud
6 Ouest
Nord
4 Horiz
Est
2
0
J F M A M J J A S O N D
Mois
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MATERIAUX DE CONSTRUCTION
- Murs et parois verticaux
- Briques pleines en béton
- Briques pleines en terre cuite
- Agglos en béton
- Briques alvéolaires en terre cuite
- Mortier (Ciment+sable)
- Isolant
- Plancher bas
- Dalle en béton armé
- Poteaux
- Béton armé
- Poutre
- Béton armé
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TRANSFERTS THERMIQUES D'ELEMENTS DU BATIMENT
- La résistance thermique d’une couche homogène : R=L/λ
- La résistance superficielle d’une surface : Rs=1/(hc+hr)
dans le domaine du bâtiment on peut prendre hr=4FT3, F est un facteur qui
dépend des facteurs de forme, des émissivités et de la constante de stefan-Boltzmann.
Les coefficients de convection, sont à calculer à partir de corrélations adaptées à
la configuration considérée.
En général, on considère un coefficient d’échange global (Convection et rayonnement)
constant sur les faces extérieures et intérieures verticales ainsi que sur les faces
horizontales selon le sens du flux de chaleur.
pour l'extérieur :
he = 17 W/(m²·K) Re = 0,059 m²K/W
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- Propriétés thermiques de quelques matériaux de construction
29
30
- Absorption solaire et émission IR
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- Résistance de lames d’air verticales et horizontales
baie
mur-plancher angle fenêtre
mur refend mur/plafond seuil
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- Le flux thermique, traversant ces ponts est donné par
Q = ψ L (Ti – Te) (W)
Ψ : coefficient de transmission linéique du flux de chaleur.
L : longueur de la liaison.
Q = χ (Ti – Te) (W)
χ : coefficient de transmission ponctuel du flux de chaleur à travers le coin.
- Ψ et χ, sont calculés par des méthodes numériques (type éléments finis 2D et 3D), sont
données dans des tableaux.
-
36
- Les ponts thermiques ont l'inconvénient de refroidir la surface intérieure. Cet
abaissement de la température superficielle intérieure, peut causer des problèmes de
condensation et de moisissure, à l'origine de taches.
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- Les fenêtres comportent de nombreux ponts thermiques. Pour simplifier le calcul des
déperditions, on détermine en premier lieu les aires du vitrage et du cadre, puis on
calcule approximativement le coefficient de transmission thermique global d'une
fenêtre, Uf par:
AvUv+ AcUc+ Lvψc
Uf =
Av + Ac
- Uv est le coefficient de transmission thermique du vitrage
- Av est l'aire du vitrage (partie transparente)
- Uc est le coefficient de transmission thermique du cadre
- Ac est l'aire du cadre
- Lv est le périmètre total des vitrages;
- ψc le coefficient de transmission thermique linéique du cadre du vitrage.
Ac, Uc
Av, Uv
Vitrage Menuiserie
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(v) (c)
- Pour un simple vitrage
1 1 e 1
Rv = = + +
Uv hi λ he
Uv est de l’ordre de 5,8 W/m².K, pour un vitrage vertical
- Pour un double vitrage, il faut en plus, tenir compte de la résistance de la lame d’air
(voir résistance dans le tableau ci-dessus, pour différentes épaisseurs).
Uv est de l’ordre de 3,5 W/m².K, pour un vitrage vertical
- Pour diminuer encore plus Uv, on peut utiliser du verre peu émissive et/ou un double
vitrage sous vide ou avec de l’argon. Uv peut être diminuée jusqu’à environ 1,5 W/m²K.
- La ventilation dans un bâtiment permet d’assurer le confort des occupants en terme de
qualité de l’air :
- La méthode de ventilation repose sur le principe du balayage, permettant d’assurer
une circulation et donc un renouvellement de l’air de toutes les pièces de l’habitation :
Pièce à
pollution
Pièce spécifique
principale
- On obtient donc des déperditions par renouvellement d’air qui sont proportionnelles à
la différence de température entre l’air du local et l’air extérieur.
Qv = ρair Qvair Cpair (Ti – Te) = Hv (Ti – Te)
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Qvair : débit volumique d’air neuf
BILANS THERMIQUES
- Le bilan énergétique est une comptabilité des entrées et des sorties d'énergie du
bâtiment pendant une période de temps donnée.
- Le bilan énergétique détaillé horaire est assez complexe et ne peut se faire que sur un
ordinateur puissant utilisant un logiciel adapté.
- Il existe des logiciels dédiés à ce type de simulation, dont l’utilisation nécessite une
certaine expertise (TRNSYS, EnergyPlus, COMET, HAP4, HOT2000,…).
- Un bilan thermique moyen est une alternative pour apprécier le comportement
thermique d’un bâtiment donné.
- Cette méthode, consiste à admettre qu'en moyenne, les flux de chaleur transférés à
l'extérieur du bâtiment sont égaux aux flux de chaleur qui seraient transférés si les
températures intérieures et extérieures étaient constantes et égales aux températures
moyennes pendant la période considérée.
- Cette approximation est assez bonne pour le calcul des besoins en chauffage lorsque les
gains solaires et les apports de chaleur internes sont faibles.
- Le bilan est utilisé pour le dimensionnement du système de chauffage et pour
apprécier le degré d’isolation du bâtiment.
- Il ne tient pas compte de l’inertie thermique du bâtiment, ce qui est le cas du modèle
dynamique. Adapté aux habitats légers.
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- Le calcul simplifié du bilan thermique moyen sur le bâtiment, s’écrit :
41
- Les déperditions de chaleur d’un bâtiment sont résumées dans la figure :
Extérieur
Extérieur
Comble
perdu HT
HDl
HV HU HDs
HDs HDs
HU
HDl
HDl
Local non HU HDs
chauffé
LNC HS
Sol, Vide
sanitaire, Sous-sol
non chauffé
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* Déperditions par transmission par les parois HT :
- Directement vers l’extérieur HD : composées de déperditions surfaciques HDs,
linéiques HDl et ponctuelles HDp (déperditions dues aux ponts thermiques) à travers
l’enveloppe.
- Vers les locaux non chauffés (sauf vide sanitaire ou sous sol) (LNC) HU
- Vers le sol (vide sanitaire ou sous-sol non chauffé) HS
* Déperditions par renouvellement d’air Hv : proportionnelles au débit d’air introduit
dans le bâtiment.
Hv= ρair Qvair Cpair
ΦLC→LNC ΦLNC→ext
- Déperditions surfaciques HDs : HDs = Σ U A
LC LNC
- Déperditions linéiques HDl : HDl = Σ ψ L Ti Tu Te
- Déperditions ponctuelles HDp : HDp = Σ χ U1, A1 U2, A2
- Déperditions directement vers les LNC, HU:
QLC→LNC = U1 A1 (Ti – Tu)
QLNC→ext = U2 A2 (Tu – Te)
- Ai désigne les surfaces intérieures des parois qui séparent le volume chauffé de
l’extérieur (AD), du sol (AS) et des locaux non chauffés (AU)
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Méthode des Degrés - Jours
- C’est une méthode simple pour l’estimation des charges, si la température intérieure et
les gains internes sont pratiquement constants. Donc le système de conditionnement
d’air doit fonctionner durant toute la période considérée (Saisons de chauffage et de
climatisation).
- La température de base du bâtiment, est définie par :
Qgain=η(Qs+ Qi)=Kt(Ti-Tb)
- Les gains solaires et internes, sont la moyenne sur la période considérée.
- Kt est le coefficient de perte global du bâtiment (W/K) à calculer de :
Kt = HT+Hv
- Donc : Tb=Ti-Qgain/ Kt
- Il y a besoin de chauffer uniquement si Te est inférieur à Tb. La charge de chauffage
est donc :
Qch= Kt(Tb-Te(t))+
- Si Kt et Tb sont constants sur une période donnée, la charge de chauffage sur cette
période (par exemple un mois) est :
Φch= Kt ∫ (Tb-Te(t))+dt (J ou kWh)
- En pratique, l’intégrale est approximée par une sommation sur une courte période (un
mois par exemple). Si la température moyenne journalière de l’extérieur Te,m est
utilisée, alors le nombre de degrés-jours de chauffage sur un mois est :
DDch(Tb) = (1 jour) ∑mois(Tb-Te,m)+ (K.jours) 47
- La sommation est à faire sur toute la période considérée (saison de chauffage).
- Donc le besoin en chauffage sur cette période est :
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- Températures moyennes à Marrakech
Moy. Nomb.
Moyen. Nom
tempér. Tempér. Tempér. jours Nomb.
tempér. bjour Précip
MOIS minim minimale maximale tempér. jours
maximale s de [mm]
a absolue absolue dépasse pluie
[°C] gel
[°C] 32°C
Janvier 4 18 -2 28 2 0 25 2
Février 6 20 -5 31 1 0 27 3
Mars 9 23 0 38 0 1 33 3
Avril 11 26 2 39 0 6 30 3
Mai 14 29 7 44 0 11 15 2
Juin 17 33 9 46 0 20 7 1
Juillet 19 38 12 49 0 28 2 0
Août 20 38 14 47 0 27 2 0
Septembre 17 27 8 44 0 11 10 1
Octobre 14 28 4 38 0 8 22 2
Novembre 9 24 0 35 0 1 30 2
Décembre 6 19 -2 27 1 0 30 3
Année 12 28 -5 49 4 117 233 22
49
-
50