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Encadré par :
Notre professeur Haddad
Préparé par :
Kaoutar Laaouina
Sanaa Zainoun
Hiba El Assfari
Aymen Nejar
Aymen Belkhir
L’année universitaire
2022-2023
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Remerciement :
Nous remercions notre professeur Madame Hanane Haddad de nous avoir donné cette
opportunité capitale de travailler sur ce projet enrichissant notre parcours professionnel à
l’ISITT.
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Plan :
Introduction générale
1. Généralités sur le changement
1.1 Diagnostic et un état des lieux
1.1.1 La matrice Swot
1.1.2 L’analyse Pestel
1.1.3 Les forces de Porter.
1.2 Changement à mettre en place
1.3 les facteurs internes et externes qui poussent au changement
1.4 les objectifs du changement
1.5 les résultats attendus du changement
1.6 les acteurs à impliquer dans le changement
1.7 les enjeux de la conduite de ce changement
2. Mise en place du changement selon le modèle de Jhon kotter
2.1 Créer un sentiment d'urgence
2.2 Former une coalition
2.3 Définir une vision et une stratégie
2.4 Partager la vision
2.5 Responsabiliser les salariés
2.6 Démontrer des résultats à court terme
2.7 Entretenir la dynamique grâce aux résultats
2.8 Ancrer les nouvelles pratiques
Conclusion générale
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1- Introduction :
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1. Généralités sur le changement :
Le changement est une démarche adoptée par une organisation pour faire face à
l’évolution de son environnement marqué par l’incertitude, la complexité, la volatilité
et l’ambiguïté pour assurer sa pérennité et sa survie. Conduire le changement c’est
anticiper, Définir et mettre en place une démarche qui va permettre d’identifier des
problèmes au sein de l’organisation et définir un cadre d’actions permettant le choix et
la mise en place d’une solution dans des conditions optimales de réussite.
En générale le changement est le passage d’une situation A à B en passant de ce qui ce
passe dans un environnement non stable et plein de changements pour évoluer,
améliorer et être capable d’adapter et de s’adapter à l’environnement en adoptant le
voix de l’évolution.
Pour notre cas le changement qu’on souhaite appliquer c’est de faire développer un
nouveaux type du tourisme Au Maroc qui est l’hébergement alternative (chez
l’habitat) dans une région avec forte potentialité touristique mais oublié est négligé
malheureusement. Tout cela en mettant l’accent sur la gastronomie de la région et lui
adopté aussi les changements nécessaires tout en préservent son originalité et son
histoire .
L’étude porte sur le SIBE Jbel moussa (situé à l’extrême Nord-Ouest du Maroc) où le tourisme
représente une des voies pour répondre à la problématique du développement durable et
écotouristique au Maroc. En effet, le tourisme a pour objectif de mettre en valeur des sites et des
aires de grande valeur écologique et culturelle pour développer un tourisme basé sur la sauvegarde
des richesses naturelles, des traditions et des cultures autochtones. Le SIBE jbel moussa est un
espace intéressant pour mieux préciser les enjeux d’un développement touristique durable et
comprendre les contraintes à surmonter. Il révèle plus largement les difficultés dans la mise en
œuvre d’un équilibre, dont les populations locales seraient à la fois les bénéficiaires et le moteur. La
pêche et le commerce représentaient les principales activités locales, La saison de pêche varie de
cinq à sept mois et constitue un faible revenu instable et non garanti tandis que l’activité de
commerce, elle-même, a connu un grand recul, suite aux difficultés de passage entre la localité de
Belyounech et la ville de Sebta. Le développement du tourisme durable dans une région rurale à fort
potentiel naturel et culturel comme Jbel Moussa peut s’avérer très fructueux tant dans la valorisation
et la préservation du patrimoine que dans le développement socio-économique de la région à travers
l’inclusion de la population locale dans la conception de l’offre touristique dans le cadre de projets
touristiques dans la région Le développement du tourisme durable dans une région rurale à fort
potentiel naturel et culturel comme Jbel Moussa peut s’avérer très fructueux tant dans la valorisation
et la préservation du patrimoine que dans le développement socio-économique de la région à travers
l’inclusion de la population locale dans la conception de l’offre touristique dans le cadre de projets
touristiques dans la région qui créeront de nouveaux emplois directs et indirects aux locaux
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1-prsentation du Sibe jbel moussa
Le SIBE de Jbel Moussa se trouve dans la Réserve des Biosphère Intercontinentale Méditerranéenne.
Cette Réserve de Biosphère Intercontinentale de la Méditerranée (RBIM) qui est déclarée en 2006,
située entre l'Espagne et le Maroc considérée comme un important espace de communication entre
l'Afrique et l'Europe grâce à sa position stratégique particulière, qui possède un patrimoine naturel et
culturel remarquable avec une attractivité touristique élevée. Cette réserve de biosphère est
singulière dans son genre car elle s'étend sur deux continents l'Afrique et l'Europe et compte parmi
les Sites d’intérêt Biologique et Ecologique (SIBE) de priorité 1 dans le Plan Directeur des Aires
Protégées au Maroc (PDAP 1996). Il se situe sur le Détroit de Gibraltar, à l’extrême Nord-Ouest du
Maroc dans la région septentrionale de la Péninsule tingitane, plus précisément entre le port Tanger
Med et Sebta. Le site est à cheval sur la province de Fahs-Anjra et la province de M’diq-Fnidek.Les
limites du SIBE englobent une superficie de 38,4 km2 (partie terrestre : 31,6 km2 ; partie marine : 6,8
km2), soit au total une superficie de 4000 ha.
son teritoire concerne trois communes rurales dont deux relèvent de la Province de Fahs-Anjra
(Commune de Taghramt et Commune de Ksar El Majaz) et une de la Province de M’diq-Fnidek
(Commune de Belyounech) .
Le site appartient au Rif dont la géologie demeure complexe. La majeure partie du site fait partie de
la formation des Ghomarides. A côté, on trouve les formations des Sebtides et particulièrement le
socle cristallophyllien. Les deux principales culminances du site à savoir jbel Cires et jbel Moussa
appartiennent à la ride Taridique. A part, les unités du jbel Tisirene et du jbel Moussa qui donnent
des litho-faciès durs, peu friables, et donc présentant une résistance aux processus érosifs, le reste
des unités géologiques donnent des litho-faciès dominées par des substrats friables, non cohésifs et
présentant peu de résistance à l’érosion. Le jbel Moussa se présente sous la forme de trois arêtes
aiguës correspondant à trois écailles (Moussa, ras Leona, ras Marsa) de pendages différents. La plus
importante d’entre elles longue de 3km porte le plus haut sommet (841m). D’orientation
sensiblement Est-Ouest, cette masse liasique plonge vers le Sud Est. Il en résulte que le front
principal est tourné vers le Nord-Nord-ouest. Le contact avec la mer se fait par l’intermédiaire de
hautes falaises vives ou par de belles plates formes d’abrasion marine. La crête du jbel Fahies (750
m) a une orientation nord-est/sud-ouest. Avec les arêtes de Tourrant-sadina et du Chendir, elle fait
partie des trois unités carbonatées au nord de Tétouan qui correspondent à des anticlinaux. Sa série
stratigraphique comprend des dolomies et des calcaires dolomitiques du lias et du trias. A l’Est du
jbel Fahies existe une autre crête, celle du jbel Chendir (450m). Elle est subméridienne et comprend
uniquement des dolomies triasiques. Son originalité réside dans le fait qu‘elle constitue la couverture
secondaire normale de la zone paléozoïque non métamorphique, elle n’a donc pas de lien structurel
direct avec la dorsale calcaire. Elle appartient à la fenêtre combe paléozoïque des Beni
Mzala .L’intérêt géomorphologique de l’aire protégée de Jbel Moussa est très important car ce
promontoire est la seule structure offrant les témoignages de toutes les transgressions marines
enregistrées dans l’histoire géologique méditerranéenne.
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La zone de Grès d’oligomiocènes du Habt. Qui sont des masses allochtones portée à moyenne
distance et qui sont localisées au niveau de Jbel Atba et Punta Cires. La zone des plages sableuses
localisée principalement au niveau de punta-cires et de l’exutoire de l’oued Marsa. La zone des
masses et marno-schistes du crétacé de l’unité de Tanger. Cette unité est localisée au niveau de part
et d’autre de l’oued El Marsa. L’unité composée de dolomies triasiques de la zone paléozoïque,
localisée au niveau du Jbel moussa. L’unité de Calizas alaboades devonien et L’unité de la plateforme
d’abrasion de cap leona et de l’lot leila.
5. La démographie :
La perception de la famille, du rôle des enfants et de la femme et des activités attribuées à chaque
membre a connu une évolution et un changement presque radical au cours des vingt dernières
années. Les enfants qui étaient considérés comme des unités de production pour les activités
d’agriculture et de la pêche artisanale, se dirigent davantage vers les études et la recherche d’une
autonomie sociale et économique et surtout à s’installer dans les villes ou immigrer vers l’Europe, en
particulier les garçons. De nouvelles conditions de vie se sont installées : la modernité, l’électricité,
etc., ce qui a rendu la vie différente, aisée, mais d’autre part plus chère. Pour ces raisons, les familles
sont devenues de plus en plus petites, avec en moyenne 5 personnes par famille. La population de la
région de Jbel Moussa est d’environ 18000 habitants, dont 5296 installés au milieu du SIBE au niveau
de la commune de Belyounech (HCP2014), avec une répartition équilibrée par sexe. Il s’agit d’une
communauté relativement jeune, dont environ 20% ont un âge entre 15 et 24 ans. La population
active représente plus que la moitié des habitants, alors que les habitants relativement âgés
représentent moins de 10%.
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6-Aspects communautaires :
Suite à l’évolution historique qu’a connue la zone, il est très difficile de cerner l’ensemble des enjeux
déterminants les modes d’aménagement de l’espace de toute la côte nord du Détroit. Sur le terrain,
les localités de Belyounech, Oued El Marsa, Labioute et Dalia directement incluses dans l’aire
protégée, présentent un paysage d’habitat dispersé souvent perché sous forme de gradin sur les
flancs de versant ou des agglomérations côtières occupantes une baie. La notion du douar (dchar),
sauf à Belyounech est très difficile à cerner. Les symboles de centralité sauf les mosquées sont
difficilement saisissables.
L’habitat rifain traditionnellement reconnu par son toit de plaques de zinc, en pente, a presque
totalement disparu. Les maisonnettes enracinées dans le paysage sur le plan architectural, matériaux
de construction et sur le plan fonctionnel, font vraiment exception. Un habitat en dur, sous forme de
maisons individuelles ou de châteaux surdimensionnés et bien ornementé entache toute la zone. Le
recours à l’usage du ciment, du fer, du verre, l’adoption des balcons, des grandes fenêtres, des
portails, de larges cours jardins, fait penser à un habitat citadin aisé. La couleur blanc vif de l’habitat
éclate au milieu du tapis vert qui couvre les versants et frappe l’œil à distance. L’architecture
adoptée, les matériaux de construction utilisés reflètent une richesse qui dépasse de loin les seules
potentialités de l’économie locale. Le meuble interne, l’ustensile en usage défient son homologue
des quartiers les plus aisés des grandes capitales. La grande voiture de luxe (4 x 4), malgré les pentes
et l’état des pistes a partout marqué le terrain. Selon l’information collectée sur le terrain, 20 à 30%
de ces châteaux sont vides en hiver et leur fréquentation augmente surtout les week-ends. Leurs
propriétaires sont à Tanger, à Tétouan, ailleurs, dans les grandes villes du Royaume voire en Europe
(Espagne). Le phénomène, a surtout pris de l’ampleur durant les deux dernières décennies. Il est à
mettre en relation avec le développement de la contrebande, du commerce illicite de stupéfiants et
de la migration internationale, mais aussi de l’injection des pétro - dollars dans la zone. La population
locale qui s’adonne à une agriculture vivrière pauvre et à un élevage très rudimentaire est repoussée
vers des activités soit de pêche, soit du commerce (porteurs, contrebandiers). Les activités liées au
clandestin offrent de l’emploi aux hommes comme aux femmes. Les activités liées aux grands
chantiers de construction ouverts dans la zone (port, autoroute, barrage, équipements
touristiques…) attirent une main d’œuvre exogène surtout venue du sud (Errachidia, Ouarzazate).
L’enseignement :
Tous les enfants âgés de 6 ans ou plus sont scolarisés, c’est un signe positif de la conscience
déshabitant sur le rôle de l’éducation et l’enseignement pour le développement des capacités de
leurs enfants. Bizarrement, le nombre de filles aux écoles est plus important par rapport au nombre
de garçons, ceci est dû au fait que les garçons s’intéressent aussi aux écoles coraniques. À
Belyounech, l’accessibilité de la population aux services éducatifs est facile pour tous les niveaux,
surtout après la construction d’une école secondaire et un lycée au sein de la commune. C’est un
grand avantage pour les habitants de Belyounech, puisque cette situation est très rare dans le monde
rural au Maroc. Il existe plusieurs écoles primaires, presque une pour chaque agglomération. Par
contre à Oued Lmarssa, les enfants se trouvent dans l’obligation d’arrêter leur étude à un niveau
faible, à cause de l’éloignement des établissements scolaires secondaires et du lycée, qui se trouvent
à des dizaines de km des habitations. Pour remédier à cette situation, la commune rurale a créé une
association du transport scolaire en 2011, qui assure le transport d’une centaine d’élèves, ce
transport reste insuffisant pour l’ensemble des enfants de la commune. Cette situation conduit à
l’abandon scolaire, surtout chez les filles.
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Ces activités ne sont pas très développées, quoiqu’il existe des infrastructures importantes rarement
rencontrées dans le monde rural marocain, il s’agit d’un club pour femmes ; d’une bibliothèque
publique ; de terrains de sport et des espaces verts pour divertissement. Tous ces établissements
sont concentrés au centre de « Belyounech » et par conséquent le taux des bénéficiaires reste faible,
surtout pour les agglomérations éloignées. Alors qu’au niveau du site d’Oued Lmarssa, on constate
l’absence de ces infrastructures.
Habitations :
Les maisons des habitants de Jbel Moussa sont modernes et de bonne qualité. Elles sont blindées et
construites en brique. Presque la moitié des maisons est dispersée, alors que l’autre moitié est
regroupée.
Alphabétisation :
Le niveau de l’analphabétisme des habitants n’est pas très élevé, Il est de l’ordre de 31% pour
l’ensemble de la population. Il est surtout observé chez les personnes les plus âgés, avec 70 % au
niveau de certaines agglomérations. Pour les jeunes, ce taux est de 40 % chez les femmes de 16 à 45
ans contre 22% chez les hommes du même âge.
Santé et hygiène :
L’état de santé de la population est considéré comme un facteur qui peut conduire à une situation de
vulnérabilité sociale. Il existe un centre de santé à Belyounech et un autre à Taghramt situé à
plusieurs Km des habitants d’Oued Lmarssa, ce dernier possède également un petit dispensaire. Ces
centres restent insuffisants par rapport au nombre d’habitants et aux exigences de la population. Le
personnel médical est très réduit (un seul médecin et deux infirmières par centre). Pour les cas
compliqués et d’urgence, ils ne sont pas traités sur place.
L’aire de Jbel Moussa est une zone qui connait une présence humaine importante où les populations
pratiquent plusieurs activités économiques basées essentiellement sur l’exploitation et la valorisation
des ressources naturelles. Les principales activités pratiquées sont :
Pêche artisanale L’activité de pêche artisanale est l’une des principales activités économiques au
niveau de la région de Jbel Moussa. Les autres activités rencontrées concernent en particulier
l’élevage des caprins, le tourisme balnéaire et montagneux, l’agriculture et le petit commerce. Pour
la communauté des pêcheurs, rares sont ceux qui pratiquent une autre activité génératrice de
revenu, par manque de disponibilité et de compétences. Mais parfois, à cause des faibles
rendements, les pêcheurs se trouvent obligés de s’appuyer sur d’autres activités pour améliorer leurs
revenus. Ces activités sont surtout assurées par les autres membres de la famille, notamment la
femme et les enfants.
Agriculture et élevage L’agriculture n’est pas très développée au niveau de cette région, la
superficie agricole représente uniquement 17.4% par rapport à la superficie totale. Différentes
raisons justifient cette situation, en particulier, le caractère montagneux de la région, ce qui rend la
superficie agricole utile faible ; et le démantèlement foncier. Ces contraintes handicapent l’utilisation
de grands moyens de production agricole et des techniques sophistiquées.L’agriculture demeure une
activité vivrière, bien qu’elle assure une source d’approvisionnement importante pour la population
locale. Par contre, l’activité de l’élevage est une activité assez développée et elle est pratiquée par
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une tranche importante de la population, en particulier l’élevage des caprins qui est considéré
comme l’une des sources de revenus les plus importantes pour la population locale
Le tourisme La région de Jbel Moussa se caractérise par un très beau littoral, couplé à un paysage
rocheux magnifique très riche et une forêt avec une grande biodiversité en flore et en faune, ce qui
offre à la zone d’importantes opportunités pour le développement des activités touristiques, en
particulier deux types de tourisme, le tourisme montagneux et le tourisme balnéaire. Ces
caractéristiques assurent une grande fréquentation touristique en été. Malheureusement,
l’infrastructure touristique est faible et se limite à la location des maisons et des appartements
équipés.
Forces :
- Existence de cursus de formation supérieure en tourisme dans la région (LP EDD, MS ENVES,
ISITT…)
Faiblesses :
- Saisonnalité marquée.
Opportunités :
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Menaces :
- négligence de la région par les autorités publiques chargées du tourisme et par les investisseurs.
Cette analyse montre que le SIBE de Jbel Moussa représente une opportunité majeure dans toute la
région en matière de développement du tourisme durable de tous ses types. Cette qualité
exceptionnelle se trouve de plus largement renforcée par sa position, sa disposition biogéographique
fait du dit SIBE un hot spot durable pour la biodiversité Néanmoins, on note une absence quasi-totale
des hébergements touristiques si on exclut quelques initiatives soit de location pendant la période
estivale ou de restauration encore à ses débuts. L’activité touristique est à construire dans le cadre
d’une approche de développement territorial d’un tourisme responsable en organisant une
économie sociale autour qui permettra de valoriser le territoire à sa juste valeur.
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l’environnement marketing communicative à but commerciale
et pour faire connaitre de notre
projets au Maroc et a
l’internationale.
L’environnement culturel - Notre projet s’intéresse en premier
lieu à la culture, habitudes, tradition
et gastronomie du Jbel Moussa.
L’environnement juridique et politique - Le lancement de notre projet ne va
pas bien sur être en noir elle va
respecter les lois et normes et
prendre en considération les
décisions politiques et nous aurons
les autorisation nécessaire pour
lancer ce projet .
Relations internationales - Notre projet souhaite faire une
croissance externe et des
coopération au niveaux
internationales .
L’environnement consumériste - Notre projet prendra en compte les
habitudes d’achats du notre
marchés ciblés ainsi que le pouvoir
d’achat de nos clients futurs
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bien connaitre non conçurent actuels et potentielles, bien choisir nos fournisseurs,
ciblé nos clients tout en prenant en compte les produits de substitutions.
Donc les habitants de la région seront face à un nouveau changement qui va les faire sortir de
leurs zones de conforts et leurs routine.
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1.4 les objectifs du changement :
Nos objectifs du projets qu’ont estime réalisés sont SMART ,c’est-à-dire spécifique au
domaine d’activités de notre projets ,mesurable et pour pouvoir les quantifier nous avons
optée pour un questionnaire destinés au responsable et aux habitants de la région, ils ont
aussi atteignables au niveaux du cours et moyen terme pour cela nous devons les adaptés
avec nos ressources actuelles ,financières ,technologiques et humaines ,et bien sur ils sont
réaliste et temporelle une fois l’étude sera terminé nous préciseront la date de notre projet,
Nous avons donc résumé nos objectifs on ce qui suit :
-Développement d’un nouveau concept d’Hébergement : Le Village Ecotouristique et
hébergement et restauration chez l’habitant
-favoriser l’économie inclusive à travers un tourisme durable communautaire au milieu rural
avec la mise en place de la coopérative d’hébergement chez l’habitant
-offrir un mode d’hébergement alternatives
- Instaurer un nouveaux type de tourisme au maroc
- Faire connaitre la région Jbel Moussa
- Faire sortir les habitants de la régions de leurs isolements et pauvretés
- Développer le tourisme rural au maroc
-Attirer de nouveaux client et touriste au maroc
- Aider au développement de la région Jbel Moussa
-La convivialité
-La satisfaction
-La sécurité et l’hygiène
-Le rapport qualité/prix
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