Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
1.3. La gestalt
o Théorie de la perception
o Pour les psychologue gestaltistes, une perception c’est plus que la sommes des
différents parties qui la forment ; elle est un ensemble intégré et signifiant qui permet
de comprendre le sens de l’une de ses parties. Cette dynamique perceptive est crée
par les propriétés des objets.
Exemple : Une table = planche + pied + boulon
1
1.4. Le Behaviorisme
o Un groupe de psychologue dirigé par Watson a pour but de transformer la psycho en
une branche expérimentale purement objective des sciences naturelles. Pour cela il
faut s’en tenir exclusivement à l’observation des comportements.
o Pour le behaviorisme, la psychologie ne doit surtout pas utiliser l’introspection
comme méthode d’analyse car cette méthode est peu fiable (chaque expérience est
personnel). Ce ne sont pas des mesures observables et mesurables de la même
manière par n’importe quel observateur.
o Le behaviorisme est fortement imprégné par le courant empiriste qui rejette la
nécessité de penser d’abord pour connaitre le monde : toute connaissance découle de
notre expérience sensible (observable).
Critique du Behaviorisme :
o L’apport du behaviorisme à été de donner le comportement comme objet d’étude
à la psychologie en utilisant des méthodes exclusivement objectives.
o Le behaviorisme réduit la psychologie à une science purement descriptive, elle
n’explique pas comment les stimuli déclenche la réponse et elle ne reconnait
aucun rôle à la subjectivité.
o Les lois de comportement qui ne sont expliquée que par un schéma S-R ne
tiennent pas compte de la découverte brusque d’une solution (insight).
o Insight = Kohler montrait que l’apprentissage chez les mammifères supérieurs
ne s’effectue pas uniquement par tâtonnement (boite de Skinner) mais le plus
souvent à la suite d’une réflexion entrainement la réorganisation des éléments du
problème à résoudre par insight, sur une solution s’imposant brusquement à
l’espoir comme un tout unifié.
1.4.1. Watson :
o 1 fondateur du Behaviorisme.
er
S R
o L’apprentissage se produit sous base d’un conditionnement classique :
Etablissement d’un lien entre les stimulations issues de l’environnement et les
réactions de l’organisme qui en résulte.
Il justifie cela avec son expérience du petit Albert : Faire retentir un bruit violent
lors de chaque présentation du rat à l’enfant.
- Le rat blanc = stimulus conditionné
- Bruit avec une barre de fer = stimulus inconditionnel
Réaction de la peur au rat conditionnée par le bruit.
2
o Cette expérience permettait de comprendre la façon dont se développent les
comportements sans qu’il soit nécessaire de recourir à une notion de conscience.
o Watson est un environnementaliste radical : les hommes naissent égaux et se sont les
différences de milieu physique et social qui façonnent les hommes différemment et
produisent des personnalités singulière.
1.4.2. Skinner :
o 2ème fondateur du behaviorisme, il va mettre en évidence d’autre type
d’acquisition de comportements nouveau que ceux de Watson.
o Il fit la preuve qu’il pouvait enseigner à des animaux à manifester de remarquable
combinaison de comportement à l’aide du renforcement.
o Nombreux psychologue adhèrent à l’idée qu’il est possible d’expliquer un
comportement humains complexe par le renforcement.
o Cette idée est à la base du conditionnement opérant qui tiens compte de
l’influence du milieu sur l’organisme.
o Pour Skinner le conditionnement opérant explique mieux l’apprentissage que le
conditionnement classique car le comportement est déterminer par des stimuli
antérieur mais aussi par les évènements qu’il déclenche.
o Expérience : La boite de skinner (p20)
Le rat trouve sa nourriture grâce au renforcement : l’actionnement du levier déclenche
la distribution de nourriture. Le comportement prend force d’habitude avec la répétition
du geste.
1.4.3. Tolman :
Certains psychologue cherchent à évaluer l’importance des états internes, tels que
l’intention ou la connaissance pour évaluer un apprentissage.
o Pour Tolman, l’individus se crée des structures mentales par apprentissage : les
indices perceptifs neutre au départ acquière une signification pour le sujets et
orientent ses réponses en fonction du but. Il y a donc une attention lors de
l’apprentissage.
o Tolman qui se voulait comportementaliste, est l’un des 1er à proposer l’approche
cognitive d’apprentissage.
3
o La psychologie cognitive s’intéresse à l’étude des mécanismes intermédiaires ou ce
qu’on appel la boite noire. Selon cette approche on ne peut pas expliquer le R sans
connaitre le P qui dépend des significations que le sujets accorde au stimuli.
o Pour arriver à son but, la psychologie cognitive va inférer des construits inobservable
(la mémoire) sur la base de phénomène observable (performance de rappel).
o Elle s’occupe de l’étude de la relation des variables observables et inobservables.
o La méthode utilisé est l’analyse scientifique qui se base sur de sphénomène
observables.
4
Chapitre 2 : Neurologie et Psychologie :
1. Généralité
2. Morphologie externe :
Le cortext cérébral comporte 2 hémisphère :
- L’hémisphère gauche : régit les actions et reçoit les données du coté droit du
corps.
- L’hémisphère droit : régit les actions et reçoit les données du coté gauche du
corps.
Attention ce n’est pas absolue les informations peuvent venir
des 2 : Ipsilatéral. Les deux hémisphères sont connecté par
l’intermédiaire des commissures de substance blanche dont la
plus importante est le corps calleux qui fait en sorte que les 2
hémisphères travaillent de manière simultanée.
5
Schéma des régions non corticales :
3. Morphologie interne :
3.1. Substance grise et substance blanche :
o Substance grise = corps des neurones et des synapses,
o Substance blanche = fibres myélinisée
3.2. Le cortex cérébral :
Désigne la substance grise périphérique des hémisphères cérébraux.
Il représente 40% de la masse cérébrale. Le cortex cérébral joue un
rôle dans presque toutes les activité de nature physique. Il est le siège de la pensée et du
langage.
3.2.1. Topographie fonctionnelle des lobes :
1. Le lobe frontale : à l’avant de la scissure centrale
2. Le lobe pariétal : derrière le scissure centrale
3. Le lobe temporal : sous la scissure latéral
4. Le lobe occipital : à la fois derrière le lobe temporal et sous le lob pariétal
6
3.2.1.1. Lobe frontal
Impliqué dans les fonctions exécutives.
1) Planification/ résolution des problèmes :
Permet l’agencement temporel et en terme de priorité des différentes étapes nécessaire
à la résolution d’un problème.
2) Initiation :
Mise en route de l’activité
3) Maintien de l’attention :
Maintien en activation du plan d’action jusqu’à sa réalisation complète.
4) Flexibilité mentale :
Permet d’adapter son plan d’action en fonction des exigences de l’environnement.
5) Mémoire de travail :
Système de mémoire active qui s’occupe du traitements et du maintiens des informations
à court terme.
3.2.1.2. Lobe pariétal :
Cette région du cerveau est impliquée dans la perception de l’espace et dans l’attention.
Plus particulièrement, le cortex pariétal supérieur est impliquée dans le contrôle
visuomoteur des mouvements. Il joue aussi un rôle important dans l’intégration des
information issues des différentes modalité sensorielle (vision, toucher, audition).
A la frontière entre lobe frontal et pariétal, on trouve :
- Le cortex moteur :
Il se trouve dans la partie postérieure du lobe frontal, juste avant le scissure centrale. Il
participe au contrôle et exécution des mouvement volontaire des muscles du corps.
- Le cortex somatosensoriel :
Il se trouve derrière la scissure centrale, dans le lob partial. Il reçoit les messages de la
peau.
7
3.2.1.3. Lobe temporal :
Autour du cortex auditif primaire, on trouve le secondaire, qui est impliqué dans les
traitements auditifs de plus haut niveau, comme la compréhension du langage oral
chez l’être humain.
Les deux pôles du langage : Broca et Wernicke
- Air de Broca = pole expressif
Les personnes atteintes de l’aphasie de Broca prononcent des locutions courte et
dépourvues de mot grammaticaux importants.
- Air de Wernicke = pole réceptif
L’aphasie de Wernicke est un trouble qui compromet l’aptitude à comprendre le
discours et à trouver les mots juste pour exprimer la pensée. Ils utilisent la bonne syntaxe
mais le discours est incohérent car les mots choisis ne sont pas adéquat.
3.2.1.4. Lobe occipital :
Le lobe occipital c’est le centre visuel. Il permet la reconnaissance des orientations et
des contours des images.
- Voie dorsale :
Les informations liées aux mouvements et aux positions dans l’espace sont analysées de
façon à permettre les mouvements en directions ou non des objets présents.
- Voie ventrale :
Les informations de formes et de couleurs sont analysées afin d’aboutir à une
reconnaissance des objets présents dans la scène visuelle.
3.2.2. Les aires d’association sensorielles :
Les aires primaires sensorielles traitent l’information provenant directement des sens.
Les aires d’association reçoivent l’information des aires primaires et elles vont
8
contribuer à un traitements cognitif qui est plus élaboré. Chez l’homme 25% de la
surface corticale est représentée par le cortex primaire et 75% par le cortex associatif ce
qui reflète le développement important de la cognition chez l’homme.
9
Chapitre 3 : la sensation et la perception.
1. Sensation et perception
1.1. Définition
Sensation :
o Elle se produit grâce à la stimulation de récepteurs sensoriels et à la transmission de
l’information générée au système nerveux central. Il s’agit d’un phénomène passif.
o La stimulation des sens provient de sources d’énergie, telles que la lumière et le son
ou la présence de substance chimique volatile (odeur).
Perception :
o Processus actif par lequel les sensations sont organisées et interprétées de façon
à former une représentation interne du monde.
o Le perception peut commencer par des sensations mais elle est aussi le reflet de
nos expériences et de nos attentes : elle donne un sens aux stimuli sensoriels. Il
s’agit d’un processus actif.
10
2.1.1. Les principes de Gestalt :
2.1.1.1. La distinction figure-fond et le contour :
Notre cerveau à tendance à structurer les informations de telle façon que tout ce qui est
plus petit ou plus régulier et qui a une signification pour nous soit perçu comme une
figure. Celle-ci se projetterait à l’avant plan, sur un fond perçu comme moins bien
structuré et moins précis.
Afin que la figure se détache sur le fond, il faut qu’elle soit délimitée par un contour.
Figures impossibles
11
2. La loi de la proximité : si je pense que la figure
représente 3 groupes de lignes, j’ai été influencé par la
proximité entre celles-ci.
12
2.2. La perspective cognitive :
Selon la perceptive cognitive, la perception est assimilée à un traitements appliqué par
le cerveau à une représentation mentale en relation direct avec l’image rétinienne. Ce
traitement consiste à donner une signification aux sensations grâce à un ensemble
d’opérations effectuées par le cerveau à partir de l’information sensorielle.
Le traitement de l’information dépend de 2 types de processus opposée mais qui peuvent
fonctionner simultanément :
- Le traitement ascendant : dirigé par les données
- Le traitement descendant : dirigé par les connaissances
Le traitements ascendant :
Il est guidé par les données sensorielles. Il permet ainsi d’identifier les attributs d’un
objet.
Exemple : Vous reconnaissez votre professeur de psychologie grâce aux informations
spécifiques qui émanent du stimulus (lunettes, visage,…).
Le traitement descendant :
Tiens en compte le fait que la perception est influencé par nos connaissance antérieures,
nos croyances et nos attentes.
Exemple : Vous attendez à ce que la personne que vous allez retrouver en face de vous
lors du cours de psychologie soit bel et bien le professeur du cours.
Mise en situation : Une étude a montré que les étudiants à qui on demande de se
rappeler tout ce qui se trouve dans le bureau de leurs professeur se souviennent surtout
des stimuli perçus = traitement ascendant. Mais ils ont également mentionné certains
objets qu’ils s’attendaient à trouver, mais qu’en réalité ne s’y trouvait pas = traitement
descendant.
2.2.1. La reconnaissance visuelle selon la perspective cognitive :
o Pour les cognitivistes, le reconnaissance visuelle de forme de type ascendant
implique l’identification d’un arrangement complexe de stimuli sensoriels ainsi que
l’organisation et intégration de l’information brute fournie par les récepteurs
sensoriels.
o Ces modèles cherchent à rendre compte de la manière dont le cerveau reconnait les
formes suivant un traitement ascendant. Un des modèles le plus accepté est celui du
prototype.
13
Modèle prototypique :
o Prototype : membre central d’une catégorie.
o Nous faisons le stockage des formes abstraites, idéales que sont les prototypes.
o Le grand avantage de ce modèle est sa souplesse car la comparaison du stimulus au
prototype ne doit pas être parfaite pour la reconnaissance.
14
2.3. La perspective inférentielle :
Notre expérience qui nous permet de déduire a partir de sensation.
Théorie transnationaliste :
o Considère la perception comme une forme de « transaction » ou d’échange entre la
stimulation et l’organisme qui débouche sur une « supposition » perspective. Cela
est influencé par l’expérience personnel de manière inconsciente.
o La perception est donc un évènement privé personnel et strictement
incommunicable.
Théorie de l’hypothèse :
o Les perceptions sont des hypothèses inconscientes et en plus de s’appuyer sur
l’expérience passée, elles dépendent d’une variété de facteurs non perceptifs.
Théorie de l’hypothèse : Expérience sur la valeur fonctionnelle d’un objet :
On présente sur un écran des pièces de monnaie à 20 enfants (10 provenant d’un milieu
socioculturel favorisé et 10 d’un milieu défavorié) ainsi que des disques sans
représentation qui ont le même diamètre que les pièces. Chaque enfants doit estimer la
taille du cercle (monnaie ou disque) à l’aide d’une manette de projecteur. Tous les
enfants surestiment la taille des pièces de monnaie et non des disques.
o La valeur fonctionnelle d’un objet influence sa perception physique.
Les enfants provenant d’un milieu socioculturel défavorisé surestiment davantage la
taille des pièce de monnaie que les enfants d’un milieu socioculturel favorisé.
o Le contexte socioculturel a une influence sur la perception des objets qui ont une
valeur sociale.
15
Chapitre 4 : La conscience et l’attention
1. La conscience et l’attention :
o Pour qu’il y ai de l’attention, il faut qu’il existe une conscience sensorielle qui
permet à l’individu d’interagir avec l’environnement et de le comprendre.
o La conscience s’identifie avec l’attention lorsqu’il se produit une concentration
de notre activité mentale qui consiste à sélectionner certains types de stimuli et
exclure ceux qui peuvent interférer dans le processus de traitement.
1.1. Attention sélective
o Action de centrer volontairement ses mécanismes de perception sur un stimulus
particulier. L’attention sélective permet à l’individus de ce concentrer sur un sujet
ou sur une tâche en se détachant de l’atmosphère ambiante.
Exemple :
− Suivre une conversation secrète dans une assemblée de personnes.
− Prêter attention à une émission de radio alors qu’il y en a 2.
o L’écoute dichotique :
c’est une tâche intéressante pour l’étude. Chaque oreille reçoit un message différent et
le sujet a pour consigne de prêter attention au message d’une seule oreille qui devra
restituer (l’attentive).
o Dans l’oreille inattentive :
nous sommes capable de traiter des traits superficiels comme le sexe du locuteur mais
pas le sens. Souvent, on retient le nom si sujet C’est la Cocktail party.
1.2. Attention partagée
o Capacité de traiter simultanément deux ou plusieurs catégories d’informations
pertinentes.
o Pour mesurer la mesurer, on analyse la capacité de résolution de deux tâches en
même temps.
o Les résultats montre que cette capacité d’attention partagée dépend des tâches à
résoudre.
Exemples :
Lorsque l’attention partagé implique deux jugements simultané sur un objets, elle
demande moins d’effort cognitif que lorsqu’elle implique deux jugements simultané sur
deux objets.
− Deux jugements simultanés sur un objet : Facile
− Deux jugements simultanés sur deux objets : Difficile
16
1.3. Type d’attention selon l’intensité
Il y a trois niveau d’intensité :
1) L’alerte :
Concentration très intense qui correspond à la capacité de réactivité durant de brève
période de temps. Elle vise à l’optimisation de l’état de préparation à l’action.
Exemples :
− Un athlète qui va disputer une course à pied.
− Un étudiant réalise un examen.
2) La vigilance :
Constitue un état de préparation à la détection d’évènements rares dans des situations
de longue durée.
Exemple :
− Le sujet qui doit faire le contrôle radar devant son écran.
3) L’attention soutenue :
Dans les situations où un grand nombre d’informations, au rythme rapide d’apparition
doivent être traitées.
Exemple :
− Toutes les stimulations reçues par un pilote automobile de formule 1.
1) Stade 1 : l’endormissement
o C’est le sommeil le plus léger, on a pas l’impression d’avoir dormi.
o Onde thêta = fréquence et amplitude moyennes.
2) Stade 2 : sommeil léger
o Après 30 à 40 minutes on passe au stade 2.
o Onde thêta = fréquence et amplitude moyenne
17
o Fuseaux sommeil :
− Brefs moments d’activité électrique de grande fréquence.
o Complexes K :
− Ondes de grande amplitude qui semblent associées à des réveils
momentanés.
3) Stade 3 et 4 : sommeil profond et très profond
o Stade 3 :
− Onde delta = basse fréquence et amplitude élevé.
o Stade 4 :
o Sommeil le plus profond, il est difficile de s’en réveiller.
o Onde Delta = basse fréquence et amplitude élevé.
4) Le sommeil paradoxal (SP) :
o Après 30minutes du sommeil profond, on retraverse les stades en sens inverse
puis arrive le sommeil paradoxal.
o Plusieurs onde dont les thêta.
o Aussi appelé REM « rapide eyes movement » à cause des mouvements oculaires
intempestifs.
o Difficile de réveiller quelqu’un ; 80% déclare avoir rêvé.
2.2. L’hypnose
o Désigne à la fois une technique et un état de conscience modifiée.
o L’hypnotiseur utilise la suggestion et le sujet entre dans un état semblable à la trans
caractérisé par une grande suggestibilité et une profonde relaxation.
o Sert d’anesthésiant en médecine dentaire, en obstétrique et à l’occasion de certain
traitements médicaux.
o Certains psychologue y recourent pour aider avec l’anxiété, surmonter ou diminuer
des peurs ou des douleurs chroniques.
o Autohypnose : expérience des infections imaginaire.
18
2.3. La méditation
o Renvoie à diverses façons de concentrer son esprit pour modifier son rapport au
monde.
o Evoque des méthode (rituels, exercice, observation passive) utilisé pour modifier
l’état de conscience et aider les gens à composer avec le stress en leur procurant un
sentiments de détente.
La méditation transcendantale (MT) :
o Les gens pratique la méditation transcendantale en centrant leur attention sur un
mantra, une expression ou un sons sensé faciliter l’atteinte d’un état de conscience
modifié.
o Certains objective ne peut être mesurer comme le développement de la conscience
pour embrasser des expériences spirituelles mais d’autres le sont comme celui de
réduire l’anxiété et la pression artérielle.
o Certaines étude montre que la MT permet de ralentir les rythme cardiaque et
respiratoire pouvant aider des personnes qui souffraient d’hypertension à diminuer
leurs pression artérielle.
La méditation introspective :
o Ne poursuit aucun objectif spirituel.
o Technique qui se rapport à celles de la répétition de mantras afin qu’il parviennent à
se concentrer sur le moment présent plutôt que de ruminer des problèmes.
o Avenir prometteur pour aider les gens à composer avec la dépression ou réduire le
stress.
o Certaines imagerie cérébrale montrent que la pratique de la méditation à pour effet
d’activer des structures neuronales associées à l’attention, à l’humeur et au contrôle
du système nerveux autonome.
19
Exemple :
− On a placé des patients atteints de douleur chroniques dans un scanner à
imagerie cérébrale et on leur a montré l’image d’une flamme animée par
ordinateur. La flamme représentait l’activité de la région du cerveau qui
est impliquée dans la douleur et sa taille était proportionnelle à la quantité
subjective de douleur ressentie. En se concentrant sur la flamme, la plupart
des patients parvenaient à exercer un certain contrôle sur son amplitude à
la maintenir réduite et de ce fait à diminuer d’intensité de la douleur
expérimentée.
2.5. La cyberdépendance
o L’activité en ligne change le rapport de l’individu avec son environnement.
o Internet modifie l’expérience sensorielle de l’internaute en lui permettant de
dépasser ses limites spatiales, de masquer son identité ou de la changer, de tisser
et d’entretenir de nombreuses relations simultanément et de sauvegarder ses
expériences.
o Internet entraîne aussi un effet de désinhibition en amenant les utilisateurs à dire et
à faire dans le monde virtuel, des choses qu’ils ne feraient pas dans le monde réel.
o Le cyberespace est apparenté à un état de conscience modifiée : c’est un monde
onirique (relatif au rêve) qui offre aux utilisateurs une perspective différentes d’eux-
mêmes et de la réalité.
o Renvoie à un modèle de comportements autodestructeurs par lequel l’internaute est
tellement préoccupé de se connecter à internet que cela entrave son fonctionnement
dans le monde réel.
o La cyberdépendance peut avoir pour objet les jeu de hasard et les paris. Elle peut
aussi découler du désir de combler des besoins sociaux.
o Internet peut procurer certaines forme de gratification :
− le sentiments d’appartenance à une communauté ;
− l’expérience esthétique ;
− la distraction des problèmes du monde réel ;
− l’impression d’améliorer son statut en modifiant son identité.
20
- Les déterminants de connexion (la personne consulte-elle le profil des autre,
cherche-elle de nouveaux amis, …)
- L’anxiété et le sentiment de solitude.
Résultat : les auteurs pensent que les individus solitaires, peinant à établir des relations
sociales dans la vie réelle, seraient les plus enclins à utiliser les réseaux sociaux.
Dépendants de ce canal pour communiquer, ils seraient angoissés à l’idée que le réseau
s’interrompe.
2.5 Les substances psychotropes : le cas de l’alcool
o Les psychotropes sont des substances qui agissent sur le système nerveux central et
qui modifie le comportement, les fonctions mentales et l’état de conscience.
21
Chapitre 5 : l’apprentissage
1. Le conditionnement classique
1.1. Introduction
o Le conditionnement classique est une forme d’apprentissage par association qui
permet à un organisme d’anticiper des évènements.
22
1.4. Les lois du conditionnement classique
1.4.1. L’extinction et la récupération spontanée
o L’extinction représente l’élimination ou la disparition d’une réponse conditionnée
générée par la disparition de l’association entre le stimulus conditionnel et le
stimulus inconditionnel.
o La récupération spontané est la réparation d’une réponse conditionnée après une
période d’extinction.
1.4.2. La généralisation
C’est la tendance chez les organismes à produire une réponse conditionnée à des stimuli
similaires au stimulus qui à engendrer cette réponse.
Exemple :
− On conditionne un chien à saliver devant la présence d’un cercle (SC).
Puis on lui présente une figure géométrique semblable au cercle, ce qui va
amener le chien à saliver.
o Il y a un critère de proportionnalité : plus la nouvelle figure va ressembler au cercle
plus le chien va saliver.
1.4.3. La discrimination
C’est la distinction entre les stimuli. De nombreux stimuli semblables sont
fonctionnellement différents il y a donc une façon appropriée de réagir à chacun.
Exemple :
− Pavlov a entrainé un chien préalablement conditionné à saliver devant un
cercle (SC), à ne pas produire de salive devant une ellipse discrimination
du cercle er de l’ellipse.
o Lorsque les stimuli à discriminer étaient très semblables, le chien devenait très
stressé.
1.6.1. Le contre-conditionnement
Si les réactions de peurs peuvent être conditionnées par des expérience pénible, peut-
être peuvent-elles être contre-conditionnées en remplacent l’expérience désagréable par
une expérience agréable ?
23
1.6.2. L’immersion et la désensibilisation systématique
2. Le conditionnement opérant
2.1. Introduction
Dans le conditionnement opérant, les organismes apprennent à faire ou a ne pas faire
certaines choses à cause des conséquences de leurs comportements.
2.2. Le paradigme expérimentale
La boite de Skinner : L’animal trouve sa nourriture grâce au renforcement :
l’actionnement du levier déclenche la distribution de nourriture. Le comportement prend
force d’habitude avec répétition du geste.
Le contrôle du comportement n’est pas dépendant des activités internes (ex : comment
je me sens) mais des variables environnementale (ex : nourriture).
2.3. Une application du conditionnement opérant à la II GM
o Durant la seconde GM, Skinner proposa aux autorités américaines de dresser à
guider des missiles vers leurs cible.
o Pendant le dressage, les oiseaux recevraient un renforcement sous forme de graines
lorsqu’ils picoraient les cibles projetées sur un écran.
o Une fois dressés, ils devraient être placé dans les missiles. En picorant l’image de la
cible qui apparaissait sur l’écran. Ils étaient censée parvenir à corriger la trajectoire
de vol du missile jusqu’à sa cible.
24
2.4. Les types de renforçateurs
25
3. Les facteurs cognitifs de l’apprentissage
26
4. L’apprentissage social
27
Chapitre 6 : La mémoire
1. Les systèmes mnésiques
2. Le processus mnésique
2.1. L’encodage
o La 1er phase du traitement d’information en vue de sa mise en mémoire.
o Lorsqu’on encode l’information, on la converti dans un format qui peut être
représenté mentalement.
28
a. Code visuel : pour mémoriser une série de lettre par exemple, vous vous la
représentez mentalement sous forme d’image.
b. Code acoustique : signifie que vous lisez mentalement les lettres de la série et
que vous les nommez une à une ou tentez de former des syllabes.
c. Code sémantique : vous traitez les lettres avec plus de profondeur, on représente
les stimuli selon leur sens (LEs Etats UNis D’AMérique)
2.2. Le stockage
o 2ème phase du processus mnésique
o Stocker signifie conserver l’information, la mémoriser
o La mémorisation peut subvenir grâce à la répétition mentale de l’information ou la
lecture répétée à voix basse (répétition de maintien)
o On peut condenser ou regrouper les informations (LEE/TUN/DAM)
o On peut l’associer à quelque chose que on connait déjà.
o La répétition élaborée permet de traiter l’information en profondeur (meilleur
manière).
2.3. La récupération
o 3ème phase
o Consiste en son repérage et sa restitution à la conscience.
o La récupération d’informations connues ne demande pas d’effort
o La stratégie de récupération sera basée sur la forme d’encodage et de stockage.
29
o Dès que l’information se trouve dans la mémoire à court terme, on peut la manipuler
mais si on ne fais rien pour la retenir on perd l’information pour de bon.
3.2.3. Le groupement
o 7 à 9 groupement est le nombre maximum d’informations que peut retenir un
individu dans sa mémoire à court terme.
o Pour retenir davantage d’informations, il faut regrouper certains éléments.
30
3.3.3.1. L’approche de la profondeur
Cette approche suggère qu’il existe un critère de proportionnalité : plus l’information
est élaborée, mieux est le rappel.
Des études ont montré que parfois des souvenirs flash ou un mot rare sont mieux retenus
car l’information est très distinctives par rapport au reste.
3.3.3.1.1. L’effet de génération
La génération a lieu lorsque le sujet prête plus d’attention à l’information.
Exemple :
− Groupe A : juger à partir du visages des gens si ils sont honnêtes ou pas.
Groupe B ;: distinguer le visage des hommes et des femmes.
Les résultats sont meilleurs pour le groupe A
31
3.3.6. Le souvenir lié au contexte et à l’état
o Le contexte dans lequel on acquière de l’information influe sur la récupération.
Certains souvenirs sont plus simple à récupérer lorsqu’on se retrouve dans le même
contexte que celui où ils ont été formés.
o Le contexte est fourni par l’information sensorielle.
o Les odeurs sont particulièrement efficaces pour ranimer des souvenirs.
32
Chapitre 7 : La motivation et les émotions
1. La motivation
1.1. Introduction
La psychologie de la motivation concerne les raisons du comportements. Le motif est
une raison qui pousse un organisme vers un but en générant chez lui un état hypnotique.
Les motifs peuvent prendre la forme de :
1) Le besoin (physiologique ou psychologique) :
Un état de privation ou de désire.
2) La pulsion (physiologique ou psychologique) :
Représente l’excitation d’un organisme associé à un besoin.
3) Une incitation :
Est un objet ou une personne ou une situation perçu comme étant aptes à satisfaire un
besoin.
1.2. Les théories de la motivation
33
2) Le besoin de sécurité ;
3) Les besoins sociaux (d’amour et d’appartenance) ;
4) Le besoin d’estime ;
5) Le besoin de se réaliser
o Maslow affirmait que les gens sont motivé par un désir conscient d’épanouissement
personnel et que l’aptitude à la réalisation de soi distingue l’homme des animaux.
34
2. Les émotions
2.1. Généralité
o Sur le plan physiologique, les émotions fortes stimulent le système nerveux
autonome ce qui donne lieu à l’accélération du rythme cardiaque et de la respiration,
à la sudation et à la tension musculaire
o Selon certaines théories les pensées, surtout l’interprétation qu’on fait des
évènements semblent être un aspect très important des émotions.
o Chaque émotion entraine des comportements spécifiques :
35
3) Le soutien social :
Les personnes mariées qui ont un soutien social sont plus heureuse que les individus
plus solitaires. En générale, les gens heureux sont plus disposés à prendre le risque
d’investir dans de nouvelles relations.
4) La spiritualité :
Les personnes qui ont la foi sont plus heureuses que celles qui ne l’ont pas. Le sentiment
d’être connecté à quelque chose de plus grand que soi contribue davantage au bonheur
que les possessions matérielles.
5) La manière de réagir à une situation :
L’optimisme est lié à la sensation de bonheur, les gens heureux pensent qu’ils peuvent
changer les choses, ils essaient donc davantage. Ils se félicitent plus de leurs succès. Ces
attitudes contribuent à l’estime de soi, un facteur essentiel au bonheur. Mais il existe des
facteurs psychologique qui entrave le bonheur comme le pessimisme ou la perception
négative d’une situation.
2.5. Les théories de l’émotion
36
2.5.3. L’hypothèse de la rétroaction faciale
o C'est une théorie biologique
o Toute situation entrainerait en même temps des réactions
viscérales, des réactions corporelles et plus spécialement une
expression faciale qui fournirait l’information au cerveau qui
traduira l’expérience émotionnelle.
Exemple :
− je tombe nez à nez avec un ours. Je me mets à
trembler, mes paupières supérieures s’élèvent, mes
lèvres se tendent sur la bouche entrouverte et c’est
la prise de conscience de cette expression faciale qui
déclenche l’expérience émotionnelle de la peur.
37
Chapitre 8 : Le stress, la santé et l’adaptation
1. Le stress : définition et origine
1.1. Introduction
o Le stress c’est l’ensemble des réponses d’un organisme soumis à des pressions ou
des contraintes de la part de son environnement. Ces pressions peuvent être
physiques ou psychologiques. Les réponses auront pour but d’adapter ou d’ajuster
l’organisme à cet environnement.
o Il existe une psychologie de la santé qui étudie les relation entre des facteurs
psychologiques et la prévention ainsi que le traitement de problèmes de santé
physique.
o Les psychologue de la santé cherche à savoir :
1) Comment des facteurs psychologiques peuvent entrainer ou aggraver des
maladies ;
2) Comment le stress et des agents pathogène interagissent et répercutent sur le
système immunitaire et la santé.
3) De quelle façon des interventions psychologiques peuvent-elles contribuer à
une meilleure santé physique.
38
6) Professionnelles :
L’insatisfaction concernant son travail, des problème avec les collègues.
7) Liées à la sécurité :
La peur de perdre son emploi, les inquiétude relatives au fisc, aux fluctuations du
marché, au terrorisme et à la retraite.
8) Liées aux responsabilités financières :
L’inquiétude concernant sa capacité à rembourser des emprunts et à respecter ses
paiements hypothécaires.
1.2.2. Les changements de vie
o Tout changement même positif peut être source de stress. Même les
changements agréables exigent qu’on s’y adapte.
o Même si on peut faire des liens entre les contrariétés quotidienne, les
changements de vie et les problèmes de santé, il y a certaines limites :
Il est difficile de savoir si se sont les contraintes quotidiennes et les changements de
vie qui causent la maladie ou si au contraire se sont des gens prédisposés à des
problèmes d’ordre physique ou psychologique qui connaissent plus de contrariétés et
cumulent donc plus d’unité de changements de la vie.
Un même changement peut être vécu de manière différente selon le contexte ou le
moment. IL est important d’en tenir compte lorsqu’on mesure le stress.
1.2.3. Les conflit
Le conflit est le sentiments d’être déchiré entre les motivations incompatibles. Il y a 4
types de conflits selon Miller :
1) Approche-Approche :
Les 2 objectifs sont à la fois désirables et atteignable. C’est le conflit le moins difficile
à résoudre et le moins stressant.
2) Evitement-évitement :
La personnes est confrontée à 2 objectifs négatifs qu’elle souhaite éviter.
3) Approche-évitement :
Situation ou la personne est confrontée à 2 motivations dont le buts sont de sens
contraire. C’est le conflit le plus fréquent et le plus difficile à résoudre.
Exemple :
− Une femme aime son mari mais elle doit supporter son mauvais caractère.
39
4) Approche-évitement multiple :
Lorsqu’on doit choisir entre des situations qui présentent chacune des aspects positifs et
négatifs.
Exemple :
− La femme qui hésite à briser sa vie de couple dans laquelle elle ne se sent
plus heureuse, mais qui permet le contact étroit avec ses enfant s pour se
lancer dans une vie avec un autre partenaire qui la rendra peut-être plus
heureuse, mais qui compliquera sa tâche de mère et éducatrice.
2.1. L’auto-efficacité
o C’est l’aptitude à atteindre des objectifs donnés. La croyance qu’a l’individu en ses
capacités augmente son aptitude à tolérer le stress.
o Une expérience a montré qu’en présence d’objets et d’évènements qui peuvent
éveiller la crainte, les taux d’adrénaline et de noradrénaline sont plus faible chez les
gens qui ont un grand sentiment d’efficacité personnelle. Ils risquent également
d’être moins perturbé par des évènements imprévus.
40
2.2. La résilience psychologique
o La résilience désigne la capacité d’un organisme, un groupe ou une structure à
s’adapter à un environnement changeant.
o Elle indique la capacité de se faire une vie et de s’épanouir en surmontant un choc
traumatique grave.
o Une personne avec résilience est psychologiquement endurante et elle pourrait
mieux résister au stress parce que elle choisis de l’affronter.
o Expérience sur certains Cadre qui semblaient capables d’éviter la maladie malgré le
stress élevé dans leur profession. Les chercheurs ont découvert les ingrédients clés
de leur personnalité liés à leurs résilience :
1) Leurs engagement : elles se donnent a fond peut importe ce qu’elles font et les
ennuis qui surgissent.
2) Ils ont le gout du défi et croient que la vie est faites de changements et non de
stabilité. Ils voient le changement comme une occasion de développement
personnel.
3) Ils ont un sentiment de contrôle et ont la conviction d’exercer une influence sur
le cours des évènements positif ou négatif de la vie et non d’en être les victimes.
41
2.5. Le soutien social
le soutien social est une notion riche qui englobe plusieurs composantes :
1) L’empathie : l’écoute des problèmes d’autrui et l’expression des sentiments de
sympathie, d’attention, de compréhension et de rassurance
2) L’aide matérielle : le soutien et les services visant à favoriser un
comportement d’adaptation.
3) L’information : un suivi effectué par des professionnels et des conseils
appropriés venant de personnes de confiance peuvent aider un individu à
traverser son épreuve.
4) L’évaluation : la rétroaction d’autrui sur ses propres réactions permets à une
personne d’interpréter ce qui arrive ou de lui donner un sens.
5) La socialisation : les contactes sociaux sont bénéfiques, même lorsqu’ils ne
sont pas orientés vers la résolutions de problème.
42