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PLAN DU COURS
Introduction générale
CHAP.2. LE COMPORTEMENT
3.1. La sensation
3.2. La perception
4.2. La mémoire
4.3. L’habitude
5.1.1. La définition
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INTRODUCTION
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L’affiliation de l’homme avec les animaux a constitué un premier
moyen puissant pour contourner les considérations éthiques des anciens
philosophes (Platon). L’homme doit manger, dormir, se reproduire tel que
d’autres animaux le font. L’homme est objet de plusieurs maladies (surtout
actuellement) identiques. Il se nourrit et s’intoxique par beaucoup de
substances similaires d’où il devenait possible d’étudier l’homme par
certains animaux interposés (utilisés à la place des hommes). Si l’homme
était conçu avec la continuité des animaux inférieurs (qui ne sont pas dotés
de la ratio), il était compris qu’une science naturelle de l’homme incluant son
propre comportement d’adaptation devait être possible. C’est donc à la suite
de ce constat que l’on peut situer le développement de la psychologie. Bref,
la psychologie demeure une science post-darwinienne, elle dépasse la thèse
de l’évolution.
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grande différence. La situation des relations entre deux personnes est
toujours complexe et délicate. D’abord chacune a ses caractéristiques
propres et sa vision de la relation à établir, ensuite, en situation d’action les
hommes changent de manière spécifique. Chacun fait des choses de manière
individuelle. En outre, la vie avec les autres comporte des aspects
pathologiques. C’est pourquoi, en plus de la connaissance empirique,
intuitive et spontanée, il faut une connaissance approfondie de la
psychologie de monsieur et madame tout le monde, il faut une psychologie
des initiés, une psychologie scientifique qui résulte des études patiemment
menées, d’où l’importance de l’étude de la psychologie.
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Chap.1. GENERALITES SUR LA PSYCHOLOGIE
1.1. Définitions
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techniques de recherches propres aux sciences naturelles que la psychologie
s’est bientôt distinguée. Lorsque les premiers chercheurs ne se sont plus
contentés de leur propre intuition et de leurs constatations personnelles et
se sont mis à recueillir soigneusement les informations tirées d’une
observation systématique et d’une expérimentation contrôlée, les
philosophes qu’ils étaient sont devenus des scientifiques. PLATON,
ARISTOTE, SOCRATE et d’autres philosophes, les anciens sophistes, car ils
éduquaient les gens à savoir réfléchir, penser et observer les réalités qui les
entouraient. Ils ont formulé quelques-unes de questions fondamentales de la
psychologie qui sont encore d’actualité : l’homme naît-il avec des dons, des
capacités et une personnalité spécifiques ? Ou les acquiert-il au contraire par
expérience, au fur et à mesure qu’il vit ? Comment l’homme parvient-il à
connaître le monde ? Les idées et sentiments sont-ils innés ou acquis ?
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BINET en élaborant la première échelle métrique de mesure de l’intelligence
donna naissance à la méthode de « TESTS MENTAUX».
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de nature introspectives des structuralistes. Le behaviorisme a également
élargi la portée de la psychologie en y incluant l’étude des animaux puisque
par ce moyen, il est possible d’en apprendre davantage sur les humains.
Cette école a contribué à faire de la psychologie une discipline véritablement
scientifique qu’elle a façonnée profondément et de façon durable, en dépit
d’une simplicité délibérée qui l’a empêchée de traiter convenablement les
facteurs psychologiques non observables, c’est-à-dire, presque tout le
domaine de l’émotion et de la pensée.
d’activité du psychologue.
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L’activité du psychologue porte essentiellement sur trois groupes de
fonctions :
a) La psychologie générale
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Étudie des phénomènes psychiques chez l’homme adulte et normal,
abstraction faite des différences individuelles.
b) La psychologie animale
d) La psychopathologie
e) La psychologie sociale
f) La psychologie différentielle
g) La psychologie scolaire
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Elle s’occupe des problèmes d’adaptation de l’enfant en milieu scolaire
et de son orientation en vue du développement de ses potentialités grâce
notamment à un meilleur choix de filière d’étude.
h) La psychologie industrielle
j) La psychologie judiciaire
Elle fait référence aux divers usages des théories psychologiques dans
les domaines spécifiques de la vie des hommes dans la société. Elle cherche
à améliorer la compréhension des problèmes en milieu carcéral en vue d’une
éventuelle réinsertion sociale harmonieuse de détenus et pour prévenir la
récidive.
Autant les domaines sont nombreux autant les méthodes sont variées.
Nous avons arrêtés seulement 5 parmi elles, toutes sont pour étudier le
comportement de l’homme. La psychologie utilise un arsenal des méthodes
en vue de rassembler les faits concernant les comportements humain et
animal.
1.4.1. L’introspection
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Celle qui permet à l’homme de regarder son propre intérieur, son état
de conscience avec une certaine finalité : la cohérence des actes et la vie à
laquelle il adhère. Le terme introspection vient de la combinaison des
éléments intro : dedans et aspire : regarder. Cette méthode consiste pour
un sujet à tourner son attention ou son regard à l’intérieur de lui-même, afin
de se rendre compte de ses propres états de conscience. Le sujet fait
attention aux faits de sa vie intérieure et les rapporte verbalement. La
méthode est bonne car l’individu est son propre juge, cependant elle
comporte des limites telles que : en effet elle ne permet pas une grande
objectivité parce que le sujet est le seul à rendre compte de ses états. Elle
ne peut donc être appliquée à tous les domaines de la psychologie.
1.4.2. L’Extrospection
- Elle garantit une plus grande objectivité car les phénomènes externes
peuvent être observés par plusieurs personnes.
- Elle permet une plus grande précision tout en fournissant des données
plus facilement mesurables.
Toutefois cette méthode est sujette à des limitations certaines. D’une part
elle peut souffrir de l’équation personnelle du préjugé dans l’interprétation
du fait observé, ce qui peut lui faire perdre l’objectivité. Ensuite,
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l’extrospection est incapable d’atteindre directement certains phénomènes
inconscients.
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● L’établissement des hypothèses sur la relation qui existe entre
les faits;
1.4.4. Le Test
Le terme clinique vient du grec « klinê » qui veut dire le lit et par
extension le lit du malade. Par méthode clinique on attend l’ensemble
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d’observations réalisées au chevet du malade. Mais elle n’est pas
nécessairement celle que le psychologue utilise uniquement auprès du lit du
malade. Elle est, certes, la méthode de choix employée en psychologie
pathologique par les psychologues appelés à travailler en collaboration avec
des médecins, dans les différents hôpitaux, dans les consultations d’hygiène
mentale, mais la méthode clinique s’applique aussi bien aux conduites
adaptées qu’aux désordres de la conduite. Elle consiste donc à observer
systématiquement un individu de manière approfondie pour saisir sa
situation et éventuellement intervenir. Elle consiste à pratiquer l’observation
d’un sujet sans s’entourer de procédés instrumentaux et en mettant l’accent
sur une attitude bien définie par Daniel LAGACHE : « envisager la conduite
dans sa perspective propre, relever aussi fidèlement que possible les
manières d’être et de réagir d’un être humain concret et complet aux prises
avec une situation, chercher à en établir le sens et la genèse, déceler les
conflits qui le motivent et les démarches qui tendent à résoudre ces
conflits ». Elle vise avant tout la connaissance de l’individu concret et pris
dans sa totalité. On l’appelle aussi « méthode de Survey » ou « méthode de
cas ».
1.4.6. L’enquête
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Chap.2. LE COMPORTEMENT
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2.2. Le schéma comportemental
S------P-------R
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de l’individu, le moment, la projection sur les résultats attendus
interviennent pour déterminer la réaction. C’est pourquoi on parle des
situations. Le mot « réponse » dans le schéma comportemental désigne, au
sens restreint, « toute modification des muscles, toute sécrétion glandulaire
provoquée par l’action du stimulus ». Le plus souvent le psychologue a à
faire à des réponses complexes. Le terme « stimulus » a un sens plus riche
en psychologie qu’en physiologie. Il désigne toute excitation en provenance
soit du milieu extérieur soit du milieu interne. En psychologie le stimulus
c’est « tout élément qui déclenche le processus conduisant à la
manifestation d’un comportement ». La réaction a pour mission essentielle
de rétablir l’équilibre rompu par l’excitation.
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généralement précoces et si toutes ne sont pas forcément présentes à la
naissance, toutes celles qui existent déjà à la naissance sont innées. C’est le
cas des instincts et des réflexes. Les réponses acquises sont tout
simplement apprises, elles sont dépendantes dans leur existence des
contacts répétés que l’organisme a eu avec son milieu. Autrement dit, elles
sont liées à l’histoire et à l’expérience de l’individu
2.4.2. L’hérédité
2.4.3. Le milieu
a) Le milieu intérieur
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Presque tous les organes du corps ont une liaison avec le
comportement de l’individu. Cependant, certains organes sont plus impliqués
dans le comportement que d’autres. C’est par exemples : les organes de
sens, le cerveau et les effecteurs c’est-à-dire les muscles et les glandes. Les
glandes sont des cellules qui produisent une sécrétion. Il existe deux
grandes catégories de glandes selon la façon dont la sécrétion est libérée :
les glandes exocrines et endocrines. Les glandes exocrines libèrent leur
sécrétion par l’intermédiaire d’un canal ou d’une cavité. Les glandes
endocrines rejettent leurs sécrétions appelées « hormones » directement
dans le sang. Leur fonctionnement est complexe et se fait sous la
dépendance de l’hypophyse (qui se trouve au niveau de la base du crâne).
Par l’intermédiaire de l’hypophyse, ces glandes sont commandées par
l’hypothalamus. Elles sont nombreuses et jouent un rôle important dans la
croissance, la digestion, le fonctionnement du système nerveux et les
fonctions sexuelles. Le milieu intérieur ne se limite pas seulement aux
glandes. Les muscles effecteurs font également partie intégrante du milieu
interne. Il y a aussi la nourriture qui, venue du milieu extérieur, sera
assimilée et deviendra le sang, les vitamines, les acides aminés… pour faire
désormais partie du milieu intérieur.
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influencée par ce qu’il voit, entend ou sent. Ainsi la vie est une réponse
continue et continuelle à la stimulation. En même temps que l’homme peut
changer ou modeler l’environnement extérieur, ce dernier agit sur lui et le
change. Bien plus, les facteurs extérieurs ne peuvent dans certains cas
influencer certains éléments héréditaires.
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des effets de l’hérédité et du milieu dans lequel il vit. Hérédité et milieu ont
donc sur l’individu un rapport de complémentarité et non celui d’opposition
car on ne peut concevoir un individu sans héritage génétique, comme on ne
pourrait le concevoir sans culture (ensemble des éléments organisés acquis
et transmis).
PERCEPTIFS
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3. 1. LA SENSATION
3.1.1 Définition
Tous les organismes discriminent parmi les stimuli qui leurs tombent
par voie des tissus sensitifs lesquels dans les organismes supérieurs
prennent la forme d’organes de sens. Les sens sont des canaux d’entrée
pour l’information à propos du monde, ils nous rendent capable d’apprécier
les lumières, les sons et les odeurs qui nous environnent. Ils sont aussi
essentiels pour notre service du fait qu’ils nous rendent capable de détecter
le changement dans l’environnement. Ainsi, pour comprendre le
comportement nous devons saisir comment les mécanismes sensoriels sont
élaborés et comment ils relient les sensations de lumière, de son, du
toucher, du goût.
a. Le seuil absolu
C’est la plus petite intensité d’excitant qui donne lieu à une sensation.
Ex : on appelle, on n’entend pas, on augmente la voix (c’est l’intensité qu’il
faut pour que l’individu sente, entende ou comprenne). On l’appelle aussi
EPJ (Excitant juste Perceptible). Conçu de cette façon, le seuil absolu
correspond à ce qu’on peut appeler « seuil absolu inférieur ». Dans le sens
inverse, on parlera du « seuil absolu supérieur » c’est-à-dire le niveau au-
delà duquel nous ne sommes plus capable de ressentir une excitation.
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Naturellement, le seuil absolu varie considérablement d’un individu à l’autre.
Et pour un individu, le seuil absolu peut varier d’un moment à l’autre selon
les conditions physiques, son état émotionnel et les conditions dans
lesquelles les observations sont faites.
b) Le seuil différentiel
3.2. LA PERCEPTION
- l’interprétation du sentiment.
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Chap.4. LES ETATS DE CONSCIENCE, LA MÉMOIRE
ET L’HABITUDE
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l’idée que l’on pourrait agir en conformité ». C’est donc la conformité en son
sens de conduite juste.
Tout ce que nous faisons n’est pas saisi avec le même degré de
conscience. Il y a donc des conduites dont nous sommes conscients et des
conduites dont nous ne pouvons être conscients qu’après un effort et des
conduites essentiellement inconscientes. Les conduites essentiellement
inconscientes sont celles qui ne peuvent jamais être portées à notre
conscience. Nous ne pouvons les connaître que chez autrui et du dehors
mais difficilement chez nous-mêmes. Parmi les conduites conscientes nous
pouvons distinguer :
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b) La conscience réfléchie : elle suppose un dédoublement, un retour sur
elle-même, c’est une forme de connaissance explicite. Elle implique un
effort reconnu comme tel de la part de l’individu. Elle organise notre
personnalité et renforce le contact que nous avons avec le monde
extérieur.
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sommeil. Phénomène d’alarme physiologique, la fatigue résulte d’un
fonctionnement excessif de l’organisme. Qu’elle soit mentale ou physique,
elle produit à peu près les mêmes effets : baisse de rendement et de qualité
de travail, gêne, douleur, impression de faiblesse.
c) Le délire : Dans le langage courant c’est un état d’un malade qui émet
des idées fausses en totale opposition avec la réalité ou l’évidence,
généralement centrées sur un thème personnel. Il est caractérisé par des
idées fausses, des abréviations dans la perception et le jugement. Ce n’est
pas la logique qui est en cause mais l’accord avec le réel. Le délirant est
autistique, enfermé dans ses contradictions, imperméable aux évidences. Il
éprouve comme venant de l’extérieur ce qui lui appartient et attribue à
autrui ses propres tendances.
a) Le sommeil et le rêve
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L’état qui est communément opposé à la veille c’est le sommeil parce
qu’il est un état de grande baisse de conscience et d’activité. Du point de vu
biologique, c’est un état restaurateur. Le sommeil est un état restaurateur,
mais il n’est pas si simple. Le sommeil ne vient pas simplement quand le
processus corporel résultant des activités vigiles le requiert, car au réveil, on
peut se rappeler des rêves. Il n’est pas totalement reposant car certaines
personnes parlent et marchent pendant leur sommeil.
Il n’est pas non plus aléatoire parce que certaines personnes se décident de
se réveiller à une heure donnée et ils le font. Donc, on peut programmer le
sommeil. De toutes les façons on ne dort pas de façon continue. Un cycle
normal de sommeil passe par des phases comprenant notamment :
- la phase d’endormissement
- le sommeil léger
- le sommeil profond
- le sommeil paradoxal
b) Somnambulisme et Cauchemar
c) L’hypnose
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● La confusion et la modification de la pensée à travers le manque de
des soulards;
propre pensée;
4.2.1. La mémoire
Passé Présent
mémorisés.
1. L’acquisition
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C’est la phase de la perception ou du contact des éléments à
mémoriser. Elle peut être volontaire ou involontaire. Plusieurs facteurs
peuvent l’influencer. Il peut s’agir des facteurs objectifs ou des facteurs
subjectifs. Les facteurs objectifs sont liés aux matières à acquérir, il s’agit
notamment de la structure interne du matériel, de la signification et de
l’unité logique de ces matériels. Les facteurs subjectifs sont liés au sujet (à
la personne). Il peut s’agir de la motivation, de l’intérêt de l’âge, de l’état
physique ou psychologique et émotionnel. Il y a aussi des dispositions
naturelles qui induisent une différenciation entre individus.
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4.2.1.2. Les conduites mnémoniques
Les principales conduites mnémoniques mises en jeu par les individus ou les
principales mesures de la mémoire sont :
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élément traumatisant, l’individu a difficile à se souvenir, il n’est pas
capable de fixer de nouveaux souvenirs.
4.2.1.5. L’oubli
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- Selon la deuxième théorie, les souvenirs se déforment
systématiquement avec le temps du fait des processus métaboliques
normaux du cerveau.
Enfin, l’oubli peut être aussi motivé par les besoins et les désirs de l’individu.
C’est la théorie de l’oublie volontaire. Ex : l’individu s’arrange pour oublier, il
fait donc un effort pour oublier, deux faits peuvent être évoqué à l’appui de
cette affirmation : La réminiscence et les phénomènes du bout de la langue.
Donc, la mémoire est permanente. Ex : On se rappelle grâce à la
réminiscence; tout ce qu’on a retenu reste, cependant nous perdons les
repères. La mémoire est donc une bibliothèque.
4.2.2. L’habitude
4.2.2.1. Définition
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- En termes plus simples, elle se présente comme une faculté acquise
par la répétition à reproduire les actes.
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Par définition, l’apprentissage est une modification plus ou moins
permanente du comportement, résultat de l’activité, de l’entrainement ou de
l’observation (Munn, 1961). Pour les behavioristes, l’apprentissage c’est le
mécanisme par lequel une connexion entre un stimulus et une réponse qui
n’existait pas avant est établi. Ce mécanisme exige dans bien des cas un
effort personnel. Il existe plusieurs types d’apprentissage et parmi les plus
connus, nous pouvons citer :
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système d’apprentissage permet d’établir une relation entre une action et
ses conséquences.
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retenir un mouvement commencé. Quand une habitude est acquise on ne
sent plus une rupture.
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Chap.5. LA VIE AFFECTIVE
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5.1.1. Définition
Quant à son orientation, elle apparaît comme une réaction de protection qui
vise à la défense de l’individu. Elle est donc normalement adaptée à ce but.
L’émotion se manifeste généralement sous deux formes :
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● Pâleur ou rougeur
● Sécheresse de la bouche
● Bégaiement
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l’acceptation et du rejet, de l’approche et de l’évitement comme base de
l’émotion.
Il s’agit des émotions dont les causes sont simples et qui sont
observables chez tous les individus. Elles sont déclenchées en réaction
immédiate d’une stimulation externe ou par un processus subjectif et
indirect comme la mémoire, l’association ou l’introspection.
- La colère : c’est une émotion d’approche qui résulte du non réalisation d’un
but ou d’un objectif. C’est une réaction généralement violente à l’endroit de
tous ceux qui nous empêchent d’atteindre un événement heureux ou de voir
nos désirs s’accomplir.
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- L’inquiétude : c’est une agitation d’esprit, une absence de calme intérieure
causé par la crainte de danger, dont on est menacé, ou compressent.
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constitue le système primitif de communication par excellence c’est-à-dire
en deçà de la symbolisation du langage. Quant au sentiment, il est plus
élaboré car associé, selon Max PAGES, à l’objet, à la circonstance et à
l’histoire de la relation.
Il s’agit des sentiments qui prennent cours ou qui interviennent sur fond de
la relation entre les individus. Il s’agit entre autre de la sympathie,
(sentiment de tendresse que l’on manifeste à quelqu’un d’autre avec une
certaine compréhension)
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c) Les sentiments supérieurs
BIBLIOGRAPHIE
BINET A., Les idées modernes sur les enfants, Paris, Flammarion, 1973.
61
BRUNER J., Le développement de l’enfant. Savoir raire, savoir dire, Paris,
PUF, 1983.
62
MOSCOVICI S. (dir.), Psychologie sociale, Paris, PUF, 1984.
RICHARD J.-F., GHIGLIONE R., Cours de psychologie, Paris, Dunod (vol 1-6),
1993-1995.
63
RICHELLE M., La psychologie à la recherche de son objet, Paris, PUF, 1987.
RIMÉ B., SCHERERK, FRIDJA N.H (dir.), Les émotions, Neuchâtel, Delachaux
et Niestlé, 1993.
64
TABLE DES MATIERES
INTRODUCTION 3
1.1. Définitions 6
65
1.3. Les domaines d’application de la psychologie. 12
1.4.1. L’introspection 15
1.4.2. L’Extrospection 16
1.4.4. Le Test 18
1.4.6. L’enquête 19
Chap.2. LE COMPORTEMENT 20
2.4.2. L’hérédité 24
2.4.3. Le milieu 25
3. 1. LA SENSATION 28
3.1.1 Définition 28
3.2. LA PERCEPTION 31
66
4.1. LES ETATS DE CONSCIENCE 37
4.2.1. La mémoire 43
4.2.1.5. L’oubli 48
4.2.2. L’habitude 49
4.2.2.1. Définition 49
5.1.1. Définition 54
BIBLIOGRAPHIE 61
67