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INTRODUCTION

La croissance économique est présente par les institutions comme étant le socle sur lequel les
sociétés bâtissent leur succès autrement dit, une croissance économique forte et vue comme un
objectif louable et nécessaire a une société qui rends possible la majorité de ces ambitions
économiques et sociales, les organisations internationales soutiennent que la croissance est
nécessaire mais elle doit être inclusive.

C’est surtout à partir des années 1990 qu’à commencer a se développer une littérature sur un
lien entre la croissance économique et les inégalités.
Le rapport sur le développement humaine 1996 du PNUD a défini cinq formes de mauvaise
croissance à éviter : la croissance sans création d’emplois celle qui accroit les inégalités, la
croissance sans progrès vers la démocratie, celle qui s’accompagne d’une perte de l’identité
culturelle, la croissance qui dilapide les ressources nécessaire aux générations futures c’est
après la grande récession de 2008 – 2009 que les études et les rapports en ce sens se sont
multipliés.

La croissance inclusive est fondée sur l’idée selon laquelle la croissance économique est
importante mais pas suffisante pour générer une augmentation durable du bien-être qui suppose
un partage équitable de la croissance entre individus et groupe sociaux, dans le même temps ,il
est de plus en plus largement admis qu’au-delà du revenu et de la richesse le bien être dépends
aussi de facteurs non monétaire comme la santé et le niveau d’instruction ,par conséquent le
niveau et la répartition de ces facteurs non liés au revenu sont des aspects fondamentaux de la
croissance inclusive qui en font un concept multidimensionnel.

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1. Définitions :

la croissance inclusive dans les travaux d’autre organisation internationale

1.1.Banque mondiale :
évoque la croissance inclusive pour désigner le rythme et la croissance économique,
concept indépendant et évalués simultanément. Selon delà banque mondiale une
croissance économique forte est nécessaire pour réduire la pauvreté absolue .néanmoins
pour que cette croissance soit durable elle doit concerner un large éventail de secteurs
et de vastes pans population active d’un pays .
Cette définition implique l’existence d’un lieu directe entre les microéconomique et
macroéconomique de la croissance .De ce point de vue, la croissance inclusive met
l’accent sur l’emploie productif, plutôt que sur l’emploi en soie ou la rétribution des
revenues.
La croissance de l’emploie résorbe le chômage et accroit les revenues tandis que la
croissance delà productivité peut augmenter le niveau de rémunération des salaires et
de travailleurs indépendants à long terme et se préoccupe de croissance durable dans
laquelle l’inclusivité désigne l’égalité d’échéance en matière d’accès aux marché au
ressources et a un environnement règlementaire neutre pour les entreprises (les
individus )

1.2.La BAD :
a adapte une stratégie d’entreprise (stratégie 2020) dont l’un principaux objectifs est de
promouvoir la croissance économique inclusive , dans ce cadre la croissance inclusive
est un concept qui va au-delà d’une croissance a large assise .Il s’agit d’une croissance
qui non seulement lue de nouvelles possibilités économiques , mais qui assure aussi
l’égalité d’accès a ces opportunités a tous les segments de la sociétés et notamment aux
pauvres .
Un épisode de croissance de revenues est considérée comme inclusif. Des lorsqu’il
permet la participation et la contribution de tous des membres de la société en mettant
l’accent sur la capacité des pauvres et des catégories de favorisée a prendre part à la
croissance ( l’aspect non discriminatoire) ce qui implique de porter l’attention sur le
processus de croissance et est associée à un recul des inégalités dans les dimensions
non monétaires du bien-être qui sont particulièrement importantes pour promouvoir les
opportunités économiques ,y compris l’éducation ,la santé la nutrition et l’intégration
sociale ce qui implique de s’intéresser plus particulièrement aux résultats de la
croissance .

1.3.Le PNUD :
du point de vie du PNUD ,la croissance inclusive est considérée a la fois comme un
résultats et comme un processus ,d’une part ,elle permet à chacun de participer au
processus de croissance intervenant dans la prise des décisions et en étant acteur de la
croissance d’autre part ,la croissance inclusive procure des avantages qui sont
équitablement partagés ,elle implique donc une participation et une mise en commun
des avantages.

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2. Les politiques en faveur d’une croissance inclusive :

Le cadre d’action de l’OCDE (organisation de coopération de développement


économique) met en évidence trois dynamiques essentielles que les politiques
publiques peuvent contribuer à stimuler en parle des actions à mener pour entretenir la
croissance économique et partager plus équitablement ses fruit à savoir :

2.1.Investir dans les personnes et territoires laissée à côté :

2.1.1. En s’appuyant sur des services d’accueil et d’éducation des jeunes cibles et
de qualité et l’acquisition de compétences tout au long de l’une

2.1.2. Un accès effectif à des services de santé, un enseignement, un system


judiciaire, des logements et des infrastructures de qualité

2.1.3. une gestion optimale des ressources naturelles permettant d’assurer une
croissance durable

2.2.Renforcer le dynamisme des entreprises et l’inclusive des marches de travail :

En s’appuyant sur des activités d’innovation généralisée et une diffusion des


technologies rapides et poussée

2.2.1. une concurrence forte et entreprenariat dynamique.

2.2.2. l’accès à des emplois de qualité en particulier pour les femmes et les groupes
sous-représentés

2.2.3. la résilience et l’adaptation à l’avenir du travail.

3. Mettre en place des administrations efficaces et réactives en s’appuyant sur :

3.1.des trains de mesure cohérents mis en œuvre à l’échelle de l’ensemble de


l’administration

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3.2.l’intégration des questions d’équité dans l’élaboration des politiques publiques dit
le début du processus

3.3.l’action publiques inclusive, l’intégrité, la recevabilité et la coordination


internationale.

4. Les infrastructures :

La réhabilitation de l’importance des projets d’infrastructures pour favoriser la


prospérité est l’un des axes majeurs des stratégies de croissance inclusive promues par
les institutions internationales.
L’OCDE soutient que des infrastructures de qualité offrent des avantages économiques
et sociaux, tant aux économies avancée qu’aux émergeantes.

4.1.Investir dans la construction d’écoles, de logements sociaux et d’hôpitaux, connu


sous le nom d’infrastructure sociale peut donner une impulsion puissance à
l’activité économiques et aux emplois dans les pays.

4.2.L’épargne : nombre de rapports d’institutions internationales déplorent le niveau


faible de l’épargne des ménages dans les pays développés, ces qui selon eux aurait
une incidence direct sur la disponibilité des capitaux pour l’investissement.

4.3.L’investissement privé nécessaire à une croissance économique robuste requiert


d’abondances sources de crédit bon marché. Pour générer un niveau élevé
d’investissement privé un niveau aussi élevé d’épargne doit donc être assuré.

4.4.L’accès au crédit : un rapport commun


Banque mondiale-OCDE soutient que les inégalités et que la dérégulation réduit les
inégalités de revenu...
Pour la banque mondiale, il faut non seulement améliorer l’accès au crédit mais
également diversifiée le système financier au niveau national.

4.5.marche de travail : le taux de chômage des pays développés est considéré comme
étant trop, les institutions internationales estiment que le problème résulte de
marches de travail très rigide.
Pour y remédier, trois sont proposées :
De travailleurs mieux formés, des travailleurs mieux protégées ainsi qu’une
règlementation des marches serait plus flexible.
Le but est de réduire les barrières à « l’emploi » en supprimant les restrictions à
l’ignobilité ou à tout le moins en atteignant un certain équilibre entre régulation et
flexibilité.

4.6.redistribution et politiques fiscales :


Pour assurer une répartition plus égalitaire des gains de la croissance économique,
la réduction des écarts de revenu et d’opportunité doit être assurée non seulement
par des marchés du travail plus inclusif. Mais également au moyen de services
publics en éducation et en santé plus accessible et de meilleures qualités.
A ces instruments réduisant les inégalités par le bas pourrait s’ajouter un recours
accru à des politiques fiscales réduisant les inégalités par le haut.

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Un système fiscal plus progressif permettrait non seulement de financer les
programmes. Sociaux et les services publics de rééquilibrer la répartition des gains
de la croissance économique et de stimuler celle-ci mais elle permet également de
freiner la forte progression qu’ont vécu les plus hauts revenus.

5. Grandes dimensions de la croissance inclusive:

Ø économique
Ø sociale
Ø politique
Ø spatiale
Ø environnementale

Ces dimensions ou piliers reflètent le cadre théorique dans lequel une notion
multidimensionnelle est mesurée.
dans la formation de la banque africaine de développement, la croissance inclusive est mesurée
selon quatre dimensions : économique-sociale-spatiale-et politique, de même le BAD article la
notion de croissance autour des thématiques ou axes suivants :

a. la pauvreté liée ou non liée aux revenus et inégalités


b. La création d’opportunités
c. l’accès aux opportunités
d. la protection sociale
e. la bonne gouvernance et les institutions.

Les huit grandes composantes et les raisons de leur inclusion dans ce cadre sont décrites
brièvement ci-après :

v La croissance : La croissance du PIB réel par habitant permet de déterminer la


performance économique en tenant compte

de la croissance démographique.

v la population active et emploie : trois indicateurs sont inclus pour révéler la


structure de l’emploie.

v santé et démographie : cette dimension contient trois indicateurs : l’espérance


de vie à la naissance, la mortalité des enfants de moins de cinq ans et les dépenses de
santé publique comme pourcentage des PIB.

v La croissance : La croissance du PIB réel par habitant permet de déterminer la


performance économique en tenant compte

De la croissance démographique.

v la population active et emploie : trois indicateurs sont inclus pour révéler la


structure de l’emploie.

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v santé et démographie : cette dimension contient trois indicateurs : l’espérance
de vie à la naissance, la mortalité des enfants de moins de cinq ans et les dépenses de
santé publique comme pourcentage des PIB.

v éducation : pour intégrer le caractère inclusif de la croissance dans le secteur de


l’éducation, deux indicateurs sont utilisées, la première préparation fille-garçon dans le
secondaire, les secondes dépenses publiques d’éducation comme pourcentage de totale
de dépenses d’éducation.

v Genre : l’indice des inégalités de genres introduit par la PNUD.

v environnement : l’indice de performance environnementale (IPE) pour intégrer


les aspects divers et variés de la performance environnementale d’un pays.

v Inégalité et pauvreté : les inégalités sont mesurées par le coefficient de Gini et


la pauvreté par l’écart de pauvreté á USD par jour.

v Gouvernance : est représenté également grâce á un indicateur composite l’indice


de perception de corruption.

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CONCLUSION

En conclusion les travaux consacrés à la croissance inclusive sont fondé sur le principe selon
lequel, même si il est essentielle pour améliorer le niveau de vie de chacun, la croissance du
PIB n’est pas une fin en soi, nous ne pouvons continuer de rechercher aveuglement la
croissance a tout prix sans savoir de soucier de savoir a qui elle profite ni di elle est
viable sur le plan sociale. C’est pourquoi être approche en matière de croissance inclusive va
au de la de sente

Considération financier pour prendre en couple les autre dimensions de la vie des personnes
qui influent sur le bien être comme la santé, l’emploi, la revenue disponible...ect
La croissance inclusive est a la fois large, ambitieux et capable de rallier une majorité de
citoyens, élu et experts plusieurs instruments sont recommandés par les institutions
internationales ... aussi il y’a des indicateurs concernés pour la mesure du taux de la croissance
inclusive...

Fin oui à la croissance mais il faut que ce croissance soit inclusive une croissance qui n’est pas
inclusive qui accroit les écarts du revenu serait difficilement soutenable, puis qu’elle
encouragerait les crises économiques, l’extraction des ventes et les comptions, le terrorisme et
les crises de réfugiés en plus de générer plusieurs problèmes pour la démocratie, la santé et les
bien être des sociétés ces externalités négatives auraient pour conséquence ultime de diminuer
la confiance de la population dans le système économique et politique qui la régit, minant la
résilience de celui-ci

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SOMMAIRE

INTRODUCTION…………….………………………………………….1

1. Définitions……………………………………………………………..2
1.1. Banque Mondiale ………………………………………………2
1.2. Le BAD…………………………………………………………..2
1.3. Le PNUD………………………………………………………...2

2. Les politiques en faveur d’une croissance inclusive…………………3


2.1. Investir dans les personnes et territoires laissée à côté ……….3
2.2. Renforcer le dynamisme des entreprises………………………3

3. Mettre en place des administrations efficaces et relatives…………..3

4. Les infrastructures…………………………………………………….4

5. Grandes dimensions de la croissance inclusive………………………5

CONCLUSION………………………………………………………..…7

ANNEXE 1 :

https://www1.undp.org/content/undp/fr/home/sustainable-
development/development-planning-and-inclusive-sustainable-
growth.html

https://www.oecd.org/fr/rcm/documents/C-MIN-2018-5-FR.pdf

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