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Jules Maurice, Constantin Le Grand. L'origine de La Civilisation Chrétienne
Jules Maurice, Constantin Le Grand. L'origine de La Civilisation Chrétienne
CONSTANTIN
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JULES MAURICE
CONSTANTIN
LE GRAND
L'ORIGINE
DE LA CIVILISATION CHRÉTIENNE
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Graduate Theclocical
Umon Libra
* Editions pes ” 7
17, Rue Soufflot, PARIS (V:)
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PRÉFACE
CHAPITRE PREMIER
CONSTANTIN-LE-GRAND I
2 CONSTANTIN-LE-GRAND
1 LACTANCE, XXII.
? EusèBe, De Martyribus Palestinae, IV, V, VIII. — LAc-
TANCE, De Mort Pers.,.c. ZxXxV:
10 CONSTANTIN-LE-GRAND
CONSTANTIN-LE-GRAND 2
18 CONSTANTIN-LE-GRAND
DetCENUNAISMACONSE, TH p-1701eti227.
5 Conférence de Carnuntum, en Pannonie. — Anonyme
de Valois, 1V, 9. — Consularia Constantinopolitana, 308.
#Panég., VIT, 'c;XIT,
5 Numism. Const., I, pp. LXXII et LXXII,
20 CONSTANTIN-LE-GRAND
Le Miracle de la Croix.
La Conversion de Constantin.
La Bataille du Pont Milvius.
CONSTANTIN-LE-GRAND 3
34 CONSTANTIN-LE-GRAND
INPANÉMESS IC XXIe
2? Panég. IX, c. vir et Panég. X, c. xxIl. Apud Taurinos
pbugna gravior expectat.
SÉPONÉTER CRIE,
ÉPANESIRSNCNERN.
LA CONVERSION DE CONSTANTIN 39
avaient fait reculer Verus dans sa lutte contre les
Parthes !.
Le général de Maxence, Ruricius, préfet du
prétoire, avait rassemblé ses troupes aux environs
de Vérone, afin de surprendre, de flanc, la marche
de Constantin sur Rome. Celui-ci le rejoignit par
la route qui touche au lac de Garde. Milan se ren-
dit. Un nouveau combat de cavalerie, mais de
cavalerie légère, se livra à Brescia. Un tout petit
détachement, si l’on en croit Zosime, de cavaliers
de Constantin, se jeta sur les derrières de l’armée
ennemie, comme ceux de Bonaparte à Porto-
Legnano, et mit en déroute la cavalerie de Ruri-
cius. Le gros des troupes de celui-ci se croyait à
l’abri derrière le cours de l’Adige. Cette grande
armée était ainsi adossée à la Vénétie et à ses
places fortes. Mais Constantin franchit le fleuve
avec une partie de ses troupes en un gué peu pra-
ticable en amont de la ville?. La garnison tenta
de le repousser et se fit battre. Vérone était donc
sur le point d’être encerclée. Laissant une forte
garnison dans la ville, Ruricius courut chercher
des renforts dans l’Ombrie. Il revint avec de nou-
velles forces *. Constantin paya d’audace, aban-
donna le siège de Vérone“, atteignit Ruricius
avant que la garnison de la ville se fût aperçue
de sa libération, attaqua le soir et prolongea
. toute la nuit une lutte féroce, afin de triom-
pher avant que les armées ennemies ne pus-
ss
46 CONSTANTIN-LE-GRAND
CONSTANTIN-LE-GRAND 4
so CONSTANTIN-LE-GRAND
L'Edit de Milan.
1 ULPIEN, Digeste, 1, 18 ; 6, 8.
2 Digeste, 48, 19 ; 27, 1, 2.
s4 CONSTANTIN-LE-GRAND
le faisait au nom de l'Empereur ; c'était l’instruc-
tion, la Cognitio, impériale à laquelle il procédait.
Mais lorsque l'Empereur avait fixé par un rescrit
à ses fonctionnaires la procédure et la pénalité
pour certains crimes, il ne restait qu’à appliquer
ses décisions : c'était la toute-puissance de l’Em-
pereur qui s’exerçait. Il en était ainsi dans le
Conseil de l'Empereur, lorsque celui-ci décidait
seul !. Il envoyait de même à ses fonctionnaires
de province tels ordres qu’il lui plaisait de leur
donner. Néanmoins certains juges provinciaux se
montrèrent inflexibles dans l’application de ses
ordres, tandis que d’autres cherchèrent à éviter
les dénonciations contre les chrétiens et l’applica-
tion des peines ?. Ces derniers étaient parfois peu
aidés par les chrétiens qui craignaient les com-
promis et se présentaient d'eux-mêmes au glaive
du bourreau.
Deux conséquences de ces devoirs et pouvoirs
des juges sont nécessaires à indiquer pour que le
lecteur puisse apprécier la portée de l’Edit de
Milan dont il va être question. ;
La première est qu’il n’était pas nécessaire,
pour que les chrétiens fussent dégradés, soumis à
la torture comme les esclaves, mis à mort, livrés
aux bêtes, aux ongles de fer ou brûlés vifs ; qu’ils
fussent, comme on l’a dit, condamnés pour crime
de lèse-majesté. Leur nom de chrétiens était un
crime du moment que l'Empereur en décidait
1 Sous Pertinax.
2 Code Justinien, VII, 40, 1.
64 CONSTANTIN-LE-GRAND
CONSTANTIN-LE-GRAND 5
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CHAPITRE IV
La Monarchie Chrétienne.
LA MONARCHIE CHRÉTIENNE 69
ne
LA MONARCHIE CHRÉTIENNE rE
IP SCOMSES AVE
? Communication de l’abbé p’ALks à l'Association des
Etudes Grecques, 1922.
LA MONARCHIE CHRÉTIENNE 77
CONSTANTIN-LE-GRAND 6
82 | CONSTANTIN-LE-GRAND
CONSTANTIN-LE-GRAND Z
98 CONSTANTIN-LE-GRAND
CONSTANTIN-LE-GRAND 8
114 CONSTANTIN-LE-GRAND
1 République, VII.
L'INFLUENCE CHRÉTIENNE 115
CONSTANTIN-LE-GRAND 9
130- CONSTANTIN-LE-GRAND
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2 GC. Théo EXT, 02 (526)
PC ROC LTIEAO NET
Cu Théod: HT, 26, tr (sn):
L'INFLUENCE CHRÉTIENNE 135
ACTE, RITES Er
FC TRÉOG IX AUTO):
C. Théod., IX, 40, 2 (315). VICTOR, de Cæsaribus, A.
ZOSOMÈNE, Hist. Eccl., I, 8 .
4 En 315 seulement.
L'INFLUENCE CHRÉTIENNE 139
La Noblesse Constantinienne
et la Pyramide Sociale.
CONSTANTIN-LE-GRAND 10
146 CONSTANTIN-LE-GRAND
« teur de n’importe quel rang et dignité sociale,
« se sent capable, en toute conscience, de prouver
« la vérité de ce qu’il lui reproche, qu’il s’ap-
« proche de moi tranquille et confiant. Je l’écou-
« terai, j’instruirai moi-même le procès, et si la
« preuve de ce qu’il avance existe, je me vengerai
« moi-même de celui qui m’aura trompé par une
« honnêteté simulée !. »
Mais ce n’était pas assez. Il demanda bientôt à
ses grands Juges, ces vertus au superlatif qui sont
l’expression de la Verecundia chrétienne, laquelle
craint de négliger de bien faire.
C'était évidemment dans ses ordres directs à ses
chefs que ses instructions devaient particulière-
ment manifester ses intentions, et nous les igno-
rerions peut-être complètement si, à la fin de son
règne, Constantin n’avait cru devoir organiser un
contrôle de ces vertus.
Il existait dans l’empire païen des associations
de prêtres (Flamines municipaux, Sacerdotales,
ou prêtres provinciaux), lesquels présidaient des
assemblées et des réunions dans lesquelles un culte
public était rendu à Rome et à l’empereur divini-
sés. Constantin, après sa conversion, interdit tout
culte paien dans les temples où ces assemblées se
réunissaient. Les renseignements fournis à cet
égard par Aurélius Victor ?, auteur païen, préfet
de la Ville, et par les inscriptions, qui signalent
même des Flamines chrétiens ?, ne laissent aucun
doute, à cet égard.
LC MP db BR AP AE
Ca AC, SONO SN EEANE
8 HUSÈBE, Wita Const., IV, t.
LÉCONNRÉOG NI 25,2 —- EUCOd Just, XI 20; 2 (10):
LÉ ZOSEUE AN 32
6 ZosiME, Hist. II, 33 ; IV, 27. — Lvypus, De Magistratibus,
11, T0 2 70.2
7 VICTOR, de C@s., 30, I, 3. — VoriscUs : Aurélien, x, 12.
PC RMPRCOU RES, 1e
156 CONSTANTIN-LE-GRAND
LC né RIT 3022);
CT RDS EXT ED, SE (GES):
* SYMMACHE, Ep., X; 37; X, 43. — C. Théod., IX, 16,
La et 2 (314).
TRANSFORMATION DU DROIT PUBLIC 161
MC Théo, :20, 3
ACER NL E27 21210)
CONSTANTIN-LE-GRAND IL
162 . CONSTANTIN-LE-GRAND
LeVérece ty:
? Ammien Marcellin, XX, 8 et C. Théod., livre VII,
HER RNete27 2e.
TRANSFORMATION DU DROIT PUBLIC 163
LC? Théod.,SN;'2T
LÉ TJUSTS ER UoNR
* C. Théod., VIIL, 20, 5 (328). Symmache, livre IIT, p. 67.
LCThéod NI Po;
TRANSFORMATION DU DROIT PUBLIC 167
Le Drame Dynastique.
Le sacrifice de Crispus et la désorganisation
de l’Empire.
CONSTANTIN-LE-GRAND 12
178 CONSTANTIN-LE-GRAND
1 EUTROPE, X, 6.
? VICTOR, Epitome, 41.
S ZOSIME, II, 20.
4 Voir Philostorge, II, 4; Vicror, Epitome. Vita Sancti
Artemii, dans Acta Sanctorum, VIII, p. 856, comme témoi-
gnage chrétien. — Saint Jérôme, Orose, Sidoine Apollinaire
se sont laissé tromper parce que l’histoire était faussée de
leur temps.
‘5 ÉUTROPE, X, 7.
LE DRAME DYNASTIQUE 189
CONSTANTIN-LE-GRAND 13
194 CONSTANTIN-LE-GRAND
n’ait pas séjourné à Rome, mais en Orient où elle
recherchait les souvenirs de la vie du Sauveur,
envoya bientôt dans la Ville les reliques de la
Vraie Croix !, et pour que son nom fût inscrit sur
le sépulcre de saint Pierre, il fallait qu’elle eût
recu de l’empereur un rôle tutélaire sur la Ville
qui n’avait plus d’empereur chrétien, et que, de
loin, elle veillât sur la Rome catholique.
Ainsi cette Rome n'était nullement abandonnée
par Constantin. Une autre preuve s’en trouve
dans l’édification des cathédrales et des monu-
ments chrétiens, poursuivie avec ardeur.
La Cathédrale représentait la volonté même de
Constantin, depuis l’Edit de Milan, de montrer le
triomphe de l’Eglise.
Il existait à Rome, avant cet empereur, des
églises, des cryptes et des maisons chrétiennes,
loca ecclesiastica, qui furent confisquées pendant
la persécution, et en partie restituées au Culte par
le tyran Maxence, sans doute préoccupé de quel-
que vague crainte ?.
Mais sept Basiliques ont été élevées sous le
règne de Constantin, d’après un inventaire, publié
il est vrai deux cents ans plus tard *, et nous ne
connaissons pas la totalité de ces basiliques, égli-
ses et monuments chrétiens de cette époque. Ce
sont celles du Latran; la Sessoriana, sur la voie
Constantinople.
ÉEDSÈBE MAC UT
? EBERSOLT, Le Palais de Constantinople, p. 44, 45.
CONSTANTINOPLE . 209
CONSTANTIN-LE-GRAND 14
210 CONSTANTIN-LE-GRAND
1 SPARTIEN, 15.
2 LAMPRIDE, Alexandre Sévère, x2.
3 Papyrus de Thébaïde, n° 40 de MEYER. — Paul GIRARD»,
Textes de Droit, 1912, p. 203.
4 Ce sont les impôts de classes et les impôts directs qui
ont perdu la civilisation antique comme ils menacent de
perdre la nôtre.
224 CONSTANTIN-LE-GRAND
CONSTANTIN-LE-GRAND 15
226 ‘CONSTANTIN-LE-GRAND
ECMTREOT RITES
2aC-MRÉOT NE MIC 2 vEt
Code DLEOdoS NAT MAT ET
4
SUÉTONE, Caligula, 40. — LAMPRIDE, Alexandre Sévère.
— C. Théodos. XIH, x, 4.
LE SOCIALISME D’ORIGINE SÉMITIQUE 235
L’Orient Catholique
Baptême et Mort de Constantin
VZIOeCONSTSe LEA
2 SOZOMÈNE, I, 8.
CONSTANTIN-LE-GRAND 16
242 CONSTANTIN-LE-GRAND
CONSTANTIN-LE-GRAND 17
258 CONSTANTIN-LE-GRAND
Antioche. On en éleva une autre sur l’emplace-
ment de la vision d’Abrahain, à Mambré. Bientôt
les églises s’élevèrent partout dans l’Asie Mi-
neure. Celles du Hauran et de la vallée de
l’Oronte représentaient la combinaison de l’art
hellénistique avec les traditions de l’architecture
de la Perse !. Constantin voulait utiliser toutes les
ressources de son immense empire pour parache-
ver le triomphe de la Croix.
Mais il n’en avait pas fini avec les difficultés
que devaient soulever les intrigues des Evêques
ariens d'Asie Mineure. Déjà, en 330, au moment
où il s’instailait à Constantinople, un synode
d’évêques avait déposé celui d’Antioche, Eusta-
the ?, dont le tort était d’avoir résisté aux deux
Fusèbe.
Ceux-ci possédaient des arguments dangereux;
car ce qui caractérise les hérésies, c’est qu’elles
tendent d’innombrables pièges. A l’Arianisme
qui, à cette époque, faisait du Christ un dieu
paien, le Sabellianisme avait opposé le prophète.
Cette hérésie avait absorbé la personnalité du
Christ dans le Père et niait que son âme divine eût
réellement habité son corps. Elle avait pour fon-
dateur Lucien, prêtre d’Antioche, qui avait consi-
déré le Christ comme ayant été simplement visité
par l’Esprit-Saint. Ainsi l'Orient hérétique enfan-
tait d’avance l’esprit de Mahomet.
Mais Lucien s’était rétracté, avait été réintégré
mem
SOCRATE, H E. I, 26.
SOCRATE, 1, 26, gegenêmenon au lieu de gegennemenon.
RUFIN NA PE ete
# ATHANASE : Chronique des lettres festales. — Mrcxe,
Patrol. gr., t. XXVI, colonnes 1351 et 1443.
L'ORIENT CATHOLIQUE 261
1 SOCRATE, I, 30.
2 SOZOMÈNE, Il, 25.
SASOCRATE, LT, 25:
4 ATHANASE, À. C. A., 65. — SOCRATE, I, 25. — SOZOMÈKE,
22
266 CONSTANTIN-LE-GRAND
CONSTANTIN-LE-GRAND 15
274 CONSTANTIN-LE-GRAND
Ou encore:
« La Fidélité réciproque du Seigneur et du
Vassal a restauré (à partir du x° siècle), au sein
des déchirements de la société, la notion de
loyauté et de droit, le respect de la parole donnée,
l’observation des pactes conclus, leur sanction par
des Cours de Justice. »
Mais tandis que notre grand Fustel de Cou-
langes croyait que le Moyen Age avait principa-
lement hérité de l’antiquité païenne, M. Flasch
cherchait l’origine de la fidélité réciproque dans
l'amour, provoqué par les liens du sang, dans la
famille et la tribu germaniques et dans l’affection
créée par la communauté de vie et de péril.
L'organisation du Palais des Empereurs chré-
tiens n’existait pas à leurs yeux. Ils ne se dirent
pas que leurs conclusions ne pouvaient pas sortir
de leurs prémisses ; c’est-à-dire que, d’une part,
les engagements de Foi chrétiens ne pouvaient
pas naître d’une civilisation païenne et que,
d’autre part, l’idée d'obligation morale réci-
proque ; indépendante de tout, sauf de la conven-
tion morale ; dont il faut trouver l’origine quelque
part, ne pouvait pas provenir des affections de
famille ou des associations formées pour la guerre
et pour le butin.
La Germanie a laissé son empreinte dans les
guerres de familles et dans les luttes des féodaux.
Le Traité de Foi remplit au contraire les Chan-
sons de Gestes. Il y combat la dureté de l’amour
du sang qu’y ont apporté les Germains.
Qu'importe, après cela, que la Féodalité ait
brisé l’unité du Palais chrétien. L’inféodation
était une nécessité de l’organisation ét de la
CONCLUSION 287
CONSTANTIN-LE-GRAND 19
290 CONSTANTIN-LE-GRAND
{1) Solidus.
(2) Siliqua et Miliariense.
CONCLUSION 297
Lettre adressée
au très regretté Président des États-Unis, M. Harding
en Décembre 1920.
MONSIEUR LE PRÉSIDENT,
JuzEes MAURICE.
CONSTANTIN-LE-GRAND 20
Contre l’exploitation de l'arbitrage
PRÉFACE.
CHap. ler, — Aspect politique et religieux de l'Empire Romain.
Constantin, Empereur des Gaules. . . .
Caae. II. — Le Miracle de la Croix. La conversion de Cons-
tantin. La Bataille du Pont Milvius.
Caab. II. — L’Edit de Milan.
Cxap. IV. — La Monarchie Chrétienne.
Cxar. V. — Rome et la Conquête de l’Orient.
CHar. VI. — Le Progrès et la Réforme du Droit Civil. L’in-
fluence chrétienne
CHapr. VII. — Transformation du Droit Public. La Noblesse
Constantinienne et la Pyramide Sociale ere :
Cgap. VIII. — Le Drame Dynastique. Le sacrifice de ne
et la désorganisation de l’Empire. M re, 175
Cxap. IX. — Constantinople 199
Cap. X. — La destruction du monde romain par le socialisme
d’origine orientale et sémitique. . . . . . 247
CHap. XI. — L’Orient catholique. Baptême et Mort de Cons-
(UE OR ES. 299
CONCLUSION. 279
APPENDICE. — Lettre adressée au très regretté Président des
Etats-Unis, M. Harding, en Décembre 192c. . . .. 299
Conrerti-ploranon.de Arbitrage... 2... 306
LC Coll